Vron
Vron | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Abbeville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Ponthieu-Marquenterre | ||||
Maire Mandat |
Patrick Soubry 2020-2026 |
||||
Code postal | 80120 | ||||
Code commune | 80815 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vronais, Vronaises | ||||
Population municipale |
832 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 40 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 18′ 50″ nord, 1° 45′ 16″ est | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 68 m |
||||
Superficie | 20,67 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Rue | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://mairie-de-vron.com | ||||
modifier |
Vron est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Depuis le , la commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.
Géographie
Localisation
Vron est une commune du Marquenterre, située à 15 km de la Manche, au nord de la baie de Somme. Elle est desservie par l'ancienne route nationale 1 (actuelle RD 1001), aisément accessible par l'autoroute A 16. Rue, le chef-lieu de canton est à 10 km, le chef-lieu d'arrondissement, Abbeville, se trouve à 25 km par la l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001).
En 2019, la localité est desservie par les lignes de bus du réseau Trans'80, chaque jour de la semaine, sauf le dimanche[1].
La commune fait partie du parc naturel régional Baie de Somme - Picardie maritime.
Communes limitrophes
Nampont | ||||
Villers-sur-Authie | N | Argoules | ||
O Vron E | ||||
S | ||||
Vercourt Arry |
Regnière-Écluse | Vironchaux |
Hydrographie
Le Pendé draine les eaux de la commune, d'est en ouest, vers Villers-sur-Authie, et conflue dans le fleuve côtier l'Authie.
Urbanisme
Typologie
Vron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (72,1 %), forêts (7,7 %), cultures permanentes (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones urbanisées (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), prairies (1,8 %), zones humides intérieures (0,1 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
Virrum (Gall. Christ.) en 1100, Vron (1160) donné par Alexandre, pape dans un cartulaire de Valloires et Verrow en 1218 (charte du comté de Ponthieu) sont des formes du nom donné à la localité. Suivront Verons en 1620 et Verderon en 1300 (reconnaissance de fief à l'abbaye de Corbie par Jean de Picquigny)[9].
Le nom de Vron est obscur, ce qui explique sans doute pourquoi Albert Dauzat, Charles Rostaing et Ernest Nègre n'ont pas étudié ce toponyme.
En revanche, le nom de la commune d’Avesnes, absorbée par Vron, appartient à toute une série toponymique, bien étudiée par les spécialistes. Il est mentionné sous la forme Avisnis dès 844[10]. Il s'agit d'un appellatif d'origine germanique, avisna / afisna signifiant « pâturage »[11],[12], commun dans le Nord, la Picardie, la Normandie, l'Île-de-France et l'ancien comté du Maine. Cf. Avesnes, Avernes et Authevernes. Ernest Nègre a voulu voir un bas latin avenesna qui a donné le mot d'oïl avesnesne « lieu propice à l'avoine », mot rarement attesté, ce qui contredit les formes anciennes de tous les Avesnes qui possèdent parfois des attestations remontant jusqu'au VIIIe siècle (toujours du type Avisnis), où n'apparaît jamais la forme *Avenesna. En outre, le sens de « pâturage » est clairement attesté, par exemple Les Avesnes (Seine-Maritime, Communes patures nommées les Avesnes dans le fief de Montérolier 1455).
Histoire
Antiquité et haut Moyen Âge
Une nécropole contenant des sépultures de l'époque romaine jusqu'au VIe siècle a été découverte. Une analyse plus précise du matériel archéologique des tombes et morphologique des squelettes a mis en évidence, selon l'archéologue et anthropologue Luc Buchet, un groupe d'individus du IVe siècle-Ve siècle formant un ensemble homogène qui se distingue morphologiquement des indigènes et se rapproche, par contre, des populations germaniques du Nord. Ils sont à l'origine du cimetière vers 370-375, dans la zone du litus Saxonicum. L'inhumation est pratiquée dans 92 % des cas, parfois avec des armes typiquement germaniques. Ensuite, vers 435-445, les inhumations se déplacent vers l'est avec alignement par rangées et on note pour la seconde moitié du Ve et le début du VIe siècle « une forte influence anglo-saxonne qui n'apparaît plus par la suite ». Le matériel archéologique saxon découvert dans ce secteur, la toponymie et les textes convergent pour confirmer l'installation de foederati saxons au service de Rome et leurs familles. Les travaux d'anthropologie de Blondiaux ont montré que les défunts provenaient de Basse-Saxe[13],[14].
Moyen Âge
- Une congrégation de moines cisterciens s'établit à l'emplacement de l'actuelle ferme de Balance, jusqu'à ce qu'en 1137 le comte Guy II de Ponthieu les sollicite pour établir l'abbaye de Valloires. En 1158, ils s'installent définitivement dans ce monastère au bord de l'Authie[15].
Époque moderne
Époque contemporaine
La faïencerie
Vron fut le siège d'une faïencerie importante de la fin du XVIIIe siècle à la fin du XIXe siècle : en 1798, Louis Marie Verlingue, d'origine flamande, fonda une faïencerie à Vron puis devint maire de la commune. À sa mort en 1810, son gendre, Jean-François Delahodde, continua la fabrication de faïence jusqu'à sa mort en 1840. Sa veuve, avec l'aide de son ouvrier-peintre Stroffe, poursuivit la production jusqu'en 1850, année de la disparition de la fabrique[16]. Le musée Boucher-de-Perthes d'Abbeville conserve une collection de faïences de Vron.
La râperie
Une râperie dépendant d'une sucrerie proche basée à Rue, les Sucreries du Marquenterre exista à Vron au XIXe siècle[17].
Électeurs en 1849
1849 : comme dans toutes les communes de France, la population masculine majeure peut, pour la première fois, aller voter grâce à l'instauration du suffrage universel.
- Voici la répartition (en nombre) de quelques patronymes des électeurs :
Barbier | Bernard | Leroy | Petit | Sueur | Vasseur |
1 | 4 | 1 | 7 | 26 | 2 |
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Abbeville du département de la Somme. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Rue[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 17 à 55 communes.
Intercommunalité
La commune était membre de la Communauté de communes Authie-Maye, créée fin 2007.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, dont la commune est désormais membre.
Liste des maires
Politique de développement durable
En 2018-2019, dix jeunes agriculteurs regroupés dans Vert Energies ont envisagé l'installation d'un méthaniseur pour traiter les effluents de leurs exploitations. Ce projet, situé le long de l'ex-RN1 (actuelle RD 1001), à 900 mètres des premières habitations et à 650 mètres du coin de la première pâture, a fait l'objet d'un vote défavorable du conseil municipal du , craignant les nuisances[23].
En , le maire annonce l'abandon du projet[24].
Jumelages
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26].
En 2021, la commune comptait 832 habitants[Note 2], en évolution de −0,95 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Vron depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint en 1831 avec 1 370 habitants.
Pyramide des âges
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,4 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 26,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 419 hommes pour 417 femmes, soit un taux de 50,12 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,51 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
À la rentrée de , le regroupement pédagogique concentré porté par la communauté de communes Ponthieu-Marquenterre, baptisé École des Horizons, regroupe les 128 élèves de Vron, Villers-sur-Authie, Nampont, Bernay-en-Ponthieu et Arry dans trois classes de maternelle et trois classes élémentaires. Un accueil périscolaire est organisé dès 7 h 30 et jusqu'à 18 h 30. La nouvelle structure a coûté 5,3 millions d'euros[30], malgré l'opposition de certaines des communes concernées, qui contestaient la fermeture de leurs écoles[31].
Santé
Confrontée au départ en retraite du praticien historique de la commune, la commune a aménagé en 2016 deux cabinets médicaux dans l’ancien logement du bureau de poste, permettant l'installation de deux doctoresses.
Le village dispose également d'un cabinet infirmier et d'une pharmacie[32].
Autres services publics
Le village s'est doté d'une agence postale communale qui remplace l'ancien bureau de poste[33].
Économie
Ces tableaux (en référence) regroupent les chiffres clés de l'économie communale[34].
La commune abrite plusieurs vergers surtout orientés vers la production de pommes et poires.
Une unité de fabrication de desserts (pâtisseries, viennoiseries) est implantée à Vron, elle fait partie du groupe Pasquier[35].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château d'Avesnes (XVIIIe siècle) et son parc[36],[37].
- Chapelle du château d'Avesnes.
- Église Saint-André (nef du XIXe siècle).
- Le bois des embuscades ou bois Périot. Entre autres, un carrosse chargé de vingt mille deniers royaux est pillé en 1719 (ou 1720). Les malfrats finiront exécutés et rompus sur la place d'Abbeville[38].
- Réplique de la grotte de Lourdes, rue de la Grotte. Un maçon la construit au début du XXe siècle sur une propriété privée. Elle passe ensuite en propriété communale[39].
- Monument aux morts du sculpteur Emmanuel Fontaine.
- Ruines du moulin : deux pans de murs envahis par la végétation, visibles en montant la côte.
-
Saint-André.
-
Bibliothèque et école des filles.
-
École des garçons.
-
Panneau d'informations.
-
La grotte de Lourdes reconstituée.
-
Monument aux morts, près de l'église.
Héraldique
Blason | D'azur à trois chevrons d'or. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Personnalités liées à la commune
- Sophie Ryckeboer-Charrier (1964-), footballeuse internationale née à Vron.
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- http://www.mairie-de-vron.com/
- « Dossier complet : Commune de Vron (80815) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
Bibliographie
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- « Trans80, Abbeville », sur trans80.hautsdefrance.fr.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique du département de la Somme, Mémoires de la société des antiquaires de Picardie, archives départementales de la Somme, Amiens, 1878, tome 2, p. 410 Lire en ligne sur le site des archives départementales, vue 208/267..
- Ernest Nègre Toponymie générale de la France (Lire en ligne)
- Maurits Gysseling, Toponymisch woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en Duitsland (vóór 1226), Deel I, Belgisch Interuniversitair Centrum voor Nederlandistiek, 1960, p. 86 (lire en ligne) [1]
- François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, éditions Picard, p. 35 Avesnes-en-Bray et Avesnes-en-Val.
- Luc Buchet, « La recherche des structures sociales et des conditions de vie par l'étude des squelettes » in Les hommes du Moyen Age, Dossier de l'archéologie n°208, p. 62.
- C. Seillier, La Présence germanique en Gaule du Nord au Bas-Empire, Revue du Nord, 1995, n° 77.
- Site de la mairie.
- http://www.bookine.net/faiencevron.htm
- Notice no IA00076641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- La révolution dans la Somme. Conventionnels, jacobins et soldats, Robert Legrand, 1988, p. 232, 233
- "Le Courrier picard", édition d'Abbeville, 26 mars 2017
- Le Courrier picard, édition d'Abbeville, 3 avril 2014, p. 12..
- Claude Cailly, « Vron, élection sans surprise de Patrick Soubry », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 12.
- Magali Mustioli-Herce, « Le projet de méthanisation crée l’émoi à Vron », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Matthieu Herault et Claude Cailly, « Quatre raisons qui expliquent l’échec du projet de méthaniseur à Vron : Des élus parties prenantes. Une histoire d’hommes. Une veille d’élections municipales et un farouche opposant au projet. Les porteurs du projet de méthaniseur ont finalement décidé de faire machine arrière », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vron (80815) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Somme (80) », (consulté le ).
- « Première rentrée au tout nouveau regroupement pédagogique concentré de Vron », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Alexandra Mauviel, « Ponthieu-Marquenterre: la sectorisation gagne la partie : La requête des 14 communes s’opposant au vote de la sectorisation scolaire, portée par l’intercommunalité, a été rejetée par le tribunal administratif », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Claude Cailly, « VRON Un nouveau cabinet médical depuis le 1er décembre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Magali Mustioli-Herce, « Braquage à l’agence postale communale de Vron », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Les données de l'Insee sur le village.
- « Le sitre du groupe ».
- « Parc du château d'Avesnes », notice no IA80000783, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Jardin d'agrément du château Avesnes », notice no IA80000703, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Gérard Devismes, Histoires insolites de Picardie maritime, La Vague verte, 2008.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, F Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 24.