Millam

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Millam
Millam
Église Saint-Omer de Millam (février 2009).
Blason de Millam
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes des Hauts de Flandre
Maire
Mandat
Marie-Andrée Beckaert
2020-2026
Code postal 59143
Code commune 59402
Démographie
Gentilé Millamois (es)
Population
municipale
848 hab. (2021 en augmentation de 5,21 % par rapport à 2015)
Densité 68 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 51′ 19″ nord, 2° 14′ 54″ est
Altitude Min. −0,5 m
Max. 54 m
Superficie 12,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Dunkerque
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Wormhout
Législatives Quatorzième circonscription
Localisation
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Millam
Liens
Site web https://millam.fr/

Millam [milam] est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Millam dans son canton et son arrondissement.

Situation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 806 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Watten à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records WATTEN (59) - alt : 7m, lat : 50°50'01"N, lon : 2°12'47"E
Records établis sur la période du 01-09-1970 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2 2 3,5 5,1 8,3 11,2 13,4 13,4 10,8 8,1 5 2,6 7,1
Température moyenne (°C) 4,8 5,3 7,6 10,3 13,5 16,3 18,5 18,6 15,7 12,1 8,1 5,2 11,3
Température maximale moyenne (°C) 7,6 8,5 11,7 15,5 18,6 21,3 23,7 23,8 20,7 16,1 11,1 7,9 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−19,3
14.01.1982
−14,6
11.02.12
−11
07.03.1971
−4,6
02.04.1996
−1,4
03.05.1981
1,1
02.06.1991
4,5
01.07.1984
4,7
28.08.1978
1,3
22.09.1997
−6,8
29.10.1997
−9,6
30.11.1978
−13,8
29.12.1996
−19,3
1982
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
01.01.22
20
24.02.21
25,9
31.03.21
28,9
19.04.18
32,8
27.05.05
35,8
21.06.17
41,9
25.07.19
37
10.08.03
33,6
05.09.13
29,9
01.10.11
20,3
07.11.15
16,4
19.12.15
41,9
2019
Précipitations (mm) 69,5 57,8 50 43,9 56,4 58,8 67 72,9 71,9 83,9 97,3 93,4 822,8
Source : « Fiche 59647001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Millam est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dunkerque, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (97,6 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune abrite un terrain de dépôt (« TD 19 » de VNF) qui fait l'objet d'une gestion restauratoire en faveur de la biodiversité, avec le Conservatoire des sites du nord et du Pas-de-Calais. C'est le dernier refuge connu en Flandre de Hyla arborea (la rainette arboricole), une espèce d'amphibiens devenu rarissime dans cette région (très sensible aux insecticides et à la fragmentation écologique et pollution ou destruction des zones humides) ; cette espèce est très menacée dans cette région et elle est protégée. Merci de l'observer de loin et sans la déranger. Les mares de Millam accueillent aussi 19 espèces de libellule (inventaires tels que disponible en 2008, éventuellement incomplet, et environ 70 espèces d'oiseaux lors de leurs migration, ce qui fait de ce site un des noyaux importants des trames vertes locale et régionale, et plus particulièrement de la Trame bleue, telle que définie par le Grenelle de l'environnement et ses suites législatives.

Histoire[modifier | modifier le code]

Période historique[modifier | modifier le code]

Sainte Mildrède est arrivée à Millam d'Angleterre traversant la Manche puis les marais où se trouvait Millam. Une chapelle lui est consacrée.

Elle est réputée guérir les gens de la fièvre des marais. Cette chapelle est aujourd'hui privée et n'est que très difficilement visitable. Autrefois chaque année, une neuvaine lui était consacrée.

En 1085, Gérard, évêque de la Morinie (évêques de Thérouanne), déclare avoir donné à l'abbaye de Watten l'église de Millam et la chapelle de Merckeghem[13].

En 1115, le comte de Flandre Baudouin VII de Flandre donne le marais de Millam à l'abbaye Notre-Dame de Bourbourg[14].

Jusqu'à la Révolution française, Millam relevait de la châtellenie de Bourbourg. Le territoire de la paroisse, très étendue, mais en partie composé de marais ou terres basses, était partagé entre plusieurs seigneuries.

En 1244, Arnould III de Guînes, comte de Guînes, châtelain de Bourbourg, seigneur d'Ardres (seigneurs d'Ardres) confirme la donation qu'avait faite son oncle Arnould de ses terres de Millam[15], (probablement à l'abbaye de Watten). En 1245, le chevalier Henri de Formeselle, (sans doute Voormezele), déclare que son vassal Simon, curé de Zeggers-Cappel a, du consentement de son frère Guy, cédé contre 60 livres, la sixième partie de sa dîme de Millam à l'abbaye de Watten[16]. En 1247, la comtesse de Flandre Marguerite de Constantinople déclare que Pierre et Gérard, fils du chevalier Jean de Bailleul, ont renoncé à leurs droits sur la dîme de Millam, au profit de l'abbaye de Watten[17]. Ainsi, petit à petit, l'abbaye de Watten finit par récupérer l'intégralité de la dîme de Millam, (Jean de Bailleul et ses fils avaient des difficultés financières et avaient déjà dû céder, vingt ans plus tôt, leur dîme de Rubrouck, ce qui avait provoqué moult actes à ce sujet).

Le 25 octobre 1307, Élard de Sainghen, chevalier, seigneur de Milham, atteste que Jean, fils de Simon de la Grange a vendu à l'aumônerie de l'abbaye de Bourbourg une rente annuelle de 15 sous, assise sur des terres situées le long de la Colme[18].

En 1334, par acte passé devant Bernard de Ruic, notaire du diocèse de Thérouanne, Marie, femme d'Enguerrand de Braulo vend à l'abbaye de Bourbourg vingt mesures de terre (environ neuf hectares) situées à Milham avec le consentement de son mari. L'acte est daté de Saint-Omer et d'Éperlecques[19].

À la veille de Révolution, en 1750, l'église du village détient quelques terres, (d'une église à une autre, les situations sont très inégales) situées pour l'essentiel dans la paroisse. Ces biens sont administrés par un « conseil de la fabrique »; les terres sont louées et le produit de la location entre en recettes dans les comptes de l'église. L'église de Millam possède 27 mesures de terre, soit environ 12 hectares[20]. Le curé a droit à la portion congrue, dont le montant augmente selon le nombre de vicaires. À côté, la table des pauvres de chaque paroisse détient également quelques terres destinées à aider les indigents, celle de Millam possède 4 mesures de terre , soit environ 2 hectares[21].

Légende de Zoé[modifier | modifier le code]

La chaumière reconstruite Villeneuve d'Ascq

La légende de Zoé, une guérisseuse vivant dans une chaumière d'ouvriers agricoles fin XIXe est l'objet d'une légende. Sortant de nuit pour récolter ses plantes, elle a obtenu la réputation de sorcière. Ainsi les habitants se signaient lors de son passage, un jour, un homme ne l'a pas fait et est tombé dans un marais et s'est noyé.

Première Guerre mondiale (1914-1918)[modifier | modifier le code]

En juin 1917, la commune a reçu 150 masques à gaz pour équiper la population civile, a priori seulement les autorités de la ville[22].

Seconde Guerre mondiale (1939-1945)[modifier | modifier le code]

Un des évènements qui a marqué la commune est la chute d'un avion abattu dans un champ de la commune.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Millam se blasonnent ainsi :"De gueules au chef d'argent chargé de trois merlettes du champ."

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Maire de 1802 à 1807 : Louis Porteman[23],[24].

En 1854 le maire est Mr Moreau[25].

Maire en 1883 et de 1887 à 1891 : J. Vandenbavière[26].

Maire de 1891 à 1903 : Delgrange[27].

Maire de 1903 à 1912 : E. Dereudre[28].

Maire en 1912-1914 : E. Vanhaecke[29].

Maire de 1921 à 1954 : Gaston Persyn[30].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1892   Delgrange[31]    
  1919 Emile Vanhaecke    
1919   Gaston Persyn    
1955 1961 André Luyssaert SE Agriculteur
1961 mars 1989 Jacques Cooche SE Agriculteur
mars 2001 Bernard Luyssaert SE Agriculteur
mars 2014 Jean-Marie Burie SE  
2014 En cours Marie-Andrée Beckaert
Réélue pour le mandat 2020-2026[32]
   
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 848 habitants[Note 3], en augmentation de 5,21 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
825737794834801825858874894
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8959049298969661 0069899931 006
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
997935922876830807798820694
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
662604525525593648751764792
2017 2021 - - - - - - -
813848-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,5 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 418 hommes pour 402 femmes, soit un taux de 50,98 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,23 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,3 
4,6 
75-89 ans
7,3 
14,1 
60-74 ans
10,6 
21,5 
45-59 ans
22,8 
20,0 
30-44 ans
20,3 
16,4 
15-29 ans
18,0 
23,1 
0-14 ans
20,8 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint Omer de Millam[39] au patrimoine ainsi que son orgue.
  • Chapelle Sainte Mildrède.
  • Oratoire sur la Départementale 46

L'atelier : construction simple, longue et basse en pans de bois et torchis, témoin rare des activités des artisans avant l'ère industrielle

La chaumière : maison d'ouvriers agricoles, elle accueillait deux familles d'ouvriers séparées par la cheminée centrale. Le bâtiment est un témoin du patrimoine rural. Elle reste marquée par la légende de la sorcière Zoé vivant à la fin du XIXe siècle dans cette maison.[réf. souhaitée]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Millam et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Dunkerque », sur insee.fr (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  13. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome 1 Année 1085
  14. A. Wauters, op. cit., Tome II, Année 1115.
  15. A. Wauters, op. cit., Tome Iv, Année 1244.
  16. A. Wauters, op. cit., Tome IV, Année 1245.
  17. A. Wauters, op. cit., Tome IV, Année 1247.
  18. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome VIII, Année 1307.
  19. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome 9. Année 1334.
  20. Georges Dupas, Le clergé, les couvents et leurs biens dans la châtellenie de Bourbourg avant la Révolution, Coudekerque-Branche, Galaad, , p. 126.
  21. Georges Dupas, Le clergé, les couvents et leurs biens dans la châtellenie de Bourbourg avant la Révolution, Coudekerque-Branche, Galaad, , p. 127 et 140.
  22. Journal de marche du commandement d'étapes de Gravelines, fin juin 1917, p. 36, lire en ligne.
  23. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 272, lire en ligne.
  24. « Annuaire statistique du département du Nord Année 1807 », sur lillonum.univ-lille.fr, p. 142-143 -images 172-173
  25. Almanach du commerce Département du Nord 1854
  26. Annuaire Ravet Anceau du Département du Nord Années 1883 et de 1887 à 1891
  27. Annuaire Ravet Anceau du Département du Nord Années 1892 à 1903
  28. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1904 à 1912
  29. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1913-1914
  30. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Années 1922 à 1954
  31. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1893
  32. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21597855
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Millam (59402) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  39. Retables de Flandre: L’église Saint-Omer de Millam