Aller au contenu

Utilisateur:MyPhototek/Brouillon

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
André Martin
Naissance
Saint-Laurent en Caux (France)
Décès (à 70 ans)
Douentza (Mali)
Nationalité Française
Pays de résidence France
Profession
Photographe

André Martin (Photographe)[modifier | modifier le code]

André Martin (né le 18 juin 1928 à Saint-Laurent en Caux en France et mort le 15 janvier 1999 à Douentza au Mali) est un photographe français.

Biographie[modifier | modifier le code]

André Martin est né en Normandie en 1928, à Saint-Laurent en Caux, petite ville tranquille où ses parents possédaient un garage, il y passe son enfance avec ses deux frères cadets, Guy et Claude. Puis à Rouen, il fait ses études secondaires au lycée Corneille. C’est la guerre, l’angoisse des bombardements sur la ville et des lendemains incertains. En revanche, l’après-guerre est une période de découverte : les randonnées avec les Eclaireurs de France, les camps à la montagne et les rencontres internationales des scouts aiguisent son goût pour les voyages. Lors de ses pérégrinations, il assiste aux premiers concerts des Frères Jacques et de Charles Trenet dont il chantera les chansons toute sa vie. Sa nature optimiste le prédispose à aimer la vie, son esprit de curiosité lui ouvre un univers nouveau qui l’enthousiasme : celui du jazz, de la littérature et du cinéma américains interdits pendant la guerre.

En 1948, ses parents s’installent à Paris, cela tombe bien car il décide de s’inscrire à l’école de photographie et de cinéma de Vaugirard, aujourd’hui l’ENS Louis-Lumière, où il suit une formation d’opérateur de prises de vue et de prises de son. Son diplôme obtenu, il travaille comme assistant opérateur de long métrage, puis chef opérateur de moyen métrage et de film publicitaire. Dès cette période, son engouement pour l’ethnologie marque un tournant décisif et le dirige définitivement vers la photographie : c’est un travail de solitaire et d’observateur qui lui convient mieux que le cinéma. Ses lectures de Lévi-Strauss et le cinéma vérité de Jean Rouch le persuadent que l’Afrique de l’Ouest est sa destination. Il a une âme d’aventurier et part sur un rafiot, qu’importe, l’avenir est à lui. Il rencontre Marcel Griaule, titulaire de la première chaire d’ethnologie à la Sorbonne qui travaille sur les Dogons, paysans-guerriers du Mali. Le jeune photographe découvre cette partie du Mali, encore préservée du passage des colonisateurs. C’est le coup de foudre. Il entreprend une série de reportages avec son Rolleiflex sur l’Afrique de l’Ouest qui est son premier travail personnel.

En 1952, il fait son service militaire au Service cinématographique des Armées qui l’envoie filmer les inondations en Hollande, les digues submergées, des cérémonies militaires et des manœuvres hors du territoire, bref, il se fait la main et met en pratique son savoir. Il y retrouve deux de ses compagnons de l’école de Vaugirard, Jacques Demy et Henri Coste.

Le photographe ethnologue[modifier | modifier le code]

En 1953, il passe plus de 18 mois en Indonésie avec une expédition ethnographique dirigée par Pierre Ivanoff en compagnie d’un jeune photographe, Raymond de Seynes. Ses photos illustrent un livre sur la tribu des Dayaks, Chez les coupeurs de têtes de Bornéo.[1] Dans la foulée, il réalise avec Serge Bourguignon un film sur Bali, premier film 16mm couleurs et cinémascope, ainsi que des enregistrements musicaux de Bali et de Bornéo édités par le Musée de l’Homme. Le cinémascope était alors une nouveauté, grâce au professeur Henri Chrétien, inventeur d’un objectif anamorphoseur, l’Hypergonar, le film sur Bali fut réalisé. Il se marrie en 1956 et sillonne la France avec son épouse, Michelle, pour donner des conférences sur Bornéo et présenter, dans le cadre Connaissance du Monde, le film sur Bali.

En automne 1955, premier voyage en Espagne où il découvre l’art mozarabe, il y retourne en avril 1956 et se fixe en Andalousie où il fera un travail plus élaboré sur la société sévillane : semaine sainte, féria et corridas qui clôturent toute festivité espagnole. Il devient aficionado, photographie les grands matadors, Dominguin, Ordonez, Ortega, Giron, entrain de toréer dans l’arène. L’ethnologue photographe s’attarde sur les gitans, en grand nombre à cette époque, leurs fêtes, leurs marchés aux mulets et aux ânes où l’on retrouve joueurs de guitare et danseurs de flamenco. De retour à Paris, ses photos attirent par l’originalité de la prise de vue et des sujets traités, les éditions du Seuil décident de les publier et choisissent José Bergamin, grand écrivain et poète espagnol, pétri de tauromachie, qui écrira le texte de Cante Hondo.[2]

L’année 1957 marque un tournant décisif dans sa vie professionnelle : il abandonne le Rolleiflex pour travailler au Leica. Vif à saisir l’événement, le format 24x36 convient mieux à son œil de reporter. Il part à l’aventure en Italie, sans projet particulier, s’arrête à Rome où il rencontre plusieurs écrivains, dont Carlo Lévi. Celui-ci retient son attention depuis qu’il a lu son livre le Christ s’est arrêté à Eboli.[3] Il l’encourage à poursuivre son voyage vers le Sud où il avait été exilé pendant le fascisme, lui parle de la Sicile où Danilo Dolci fait la grève de la faim pour protester contre la Mafia. La voie est tracée. Pendant six mois, il parcourt la Lucanie, la Calabre, les Pouilles et la Sicile sur les routes chaotiques du Mezzogiorno, région pauvre et isolée, coupée du Nord. Le photographe, qui a encore l’esprit boy-scout campe ici et là, toujours à l’affût d’un événement il trouve son chemin hors des sentiers battus. Il découvre ce pays du sud de l’Italie, coincé entre « l’eau salée et l’eau bénite »[4] où le sacré est le seul remède à la misère d’un peuple qui n’a pas encore été touché par les grands courants de la pensée européenne. Ernesto de Martino, sociologue, spécialiste des phénomènes magico-religieux le convainc qu’il a un sujet inédit et exceptionnel à photographier. Il entreprend alors un reportage sur toutes les formes d’expressions conditionnées par la culture, la religion et le mysticisme qu’avait connues le Moyen Age. Sa passion pour l’ethnologie ne l’a pas quitté, il désire publier ce témoignage de phénomènes mystiques et envoie le reportage à Life Magazine qui le refuse à la demande de l’ambassadrice des U.S.A au Vatican. Sujet trop sulfureux ! Finalement, André Martin tirera plus tard de ce reportage un livre publié par les éditions Entente en 1974, un « livre d’une terrible beauté »[5] comme le définit le psycho-ethnologue François Laplantine. Les noires vallées du repentir[6] sera distingué par le prix Nadar en 1977 et s’inscrit dans la ligne des grands reportages sociologiques d’Europe de William Eugène Smith et de Josef Koudelka.

La rencontre de deux visions[modifier | modifier le code]

C’est en 1959 qu’André Martin fait la connaissance de Robert Delpire, « l’œil de Paris » comme le dépeint Jacques Séguéla. La rencontre de ces deux maîtres de l’œil sera le début d’une longue amitié, connivence qui durera 40 ans et mènera à une solide collaboration dès 1960. Etape décisive dans la carrière du photographe marquée tant par les reportages, livres thématiques et expositions que la publicité ou les brochures institutionnelles.

Son travail commence par l’architecture. Il illustre cinq livres dans la collection Le génie du lieu. Ces livres sont écrits par des auteurs de renom : le château de Chambord[7] par Pierre Gascar, la grande mosquée de Kairouan[8] par Paul Sebag, la basilique de Saint-Marc[9] par Pierre Gascar, la Tour Eiffel[10] par Roland Barthes et les temples de Khajurâho[11] par Marcel Flory. Souci du détail architectural, rigueur de la forme, mise en pages recherchée font l’originalité de cette collection dans laquelle la majorité des photos sont en noir et blanc. Plus tard, il prit plaisir à photographier les vues du Paris haussmannien, l’exubérance des toits, les ponts et les perspectives ponctuées de monuments imposants. Ces photographies illustrent Tout Paris[12] dans la collection Terre ouverte, avec un texte de Claude Roy.

Il participe largement à la collection Encyclopédie essentielle avec ses photos et les documents iconographiques qu’il possède. Il partage avec Delpire ce goût de la recherche pointue. Ses audaces visuelles s’accordent avec le graphisme de l’éditeur.

Il y a un autre langage, celui de la publicité. Citroën fait appel à Delpire éditeur pour développer un style de communication, la publicité devient alors création artistique afin de mettre en valeur les formes et les innovations de Citroën. C’est d’abord le dépliant 2CV, puis celui de la DS qui est la vedette après avoir gagné plusieurs rallyes, dont celui de Monte-Carlo en 1959, et obtenu une renommée retentissante en 1962 à la suite de l’attentat du Petit-Clamart visant le général de Gaulle. Ces succès poussent Citroën à créer une écurie que dirige René Cotton dès le début des années 60. Lors des entraînements pour les rallyes, qui mieux qu’André Martin pouvait saisir l’élégance et la virtuosité de cette belle sculpture filant sur les routes glacées de montagnes ! Son œil comprend comment magnifier la DS, la sublimer en amplifiant l’effet de filé, le bougé, le cadrage. Il dynamise ainsi l’effet de vitesse, « sa photo faisait du bruit »[13] disait Jacques Wolgensinger. L’épopée Citroën se termine en 1979 par l’édition des Quatre saisons[14], livre unique sur la CX photographiée dans des paysages aux teintes « plus vraies que des rêves »[15] écrivit Jacques Wolgensinger. Robert Delpire consacra une exposition à ce livre qui montre, disait-il la « somme poétique belle et sensible des rapports de la voiture à la nature »[16] qu’André Martin sut rendre dans ses photos. Il choisissait de photographier la CX dans des paysages, préférant des sites champêtres plutôt qu’urbains, où l’homme n’est pas visible.

L'infatigable voyageur[modifier | modifier le code]

Après l’époque Citroën, il serait vain d’énumérer toutes les marques pour lesquelles André Martin exécuta des travaux publicitaires, il ne cessa de faire des reportages pour plus de 50 établissements jusqu’en 1992. Les années 80 marquent un goût prononcé pour les livres de décoration et de voyage pour satisfaire l’envie de connaître des modes de vie différents. Le besoin de dépaysement fait alors l’objet de reportages qui remplissent magazines et livres pour un public toujours désireux de nouveautés. A sa manière, André Martin participe à cette invitation aux rêves en travaillant avec de multiples magazines, tels Marie-Claire, Elle, Vogue, parmi tant d’autres, et ainsi tout au long de sa vie. Lors de ses reportages, il rencontre stylistes et rédacteurs avec qui il partage l’élaboration de projets. La collaboration avec la rédactrice de Marie-Claire, Jeanne Dodeman, en est un parfait exemple et fut fructueuse. Dès 1976, ils firent le tour du monde deux à quatre fois par an, explorant les endroits les plus divers, de l’Asie à l’Afrique, des continents américains à l’Europe, suivant les saisons, les modes et les besoins du moment, retournant parfois en dans des lieux connus et aimés, ou découvrant de nouveaux pays. Il n’y a guère d’endroits qu’ils n’aient visités durant cette épopée qui durera jusqu’en 1988, vivant dans la plus parfaite harmonie, chacun assumant son travail, sans qu’interfère aucune aide extérieure : Jeanne Dodeman assure la rédaction et l’organisation des voyages, lui photographie. Il a besoin d’être seul, libre de toute entrave pour avoir « une disponibilité totale de l’œil et de l’esprit »[17]. C’est un voyageur infatigable, un marcheur, il ne s’encombre pas de matériel, il faut travailler sans s’attarder au superflu, la lumière et le sujet changent vite. Il voit les choses rapidement, garde l’essentiel de l’événement à photographier. Montrer un pays lointain pour faire rêver le lecteur demande un regard aiguisé et un esprit ouvert sur d’autres horizons. Il faut aussi les comprendre, ce qu’il faisait sans difficulté grâce à son immense culture, sans cesse lisant et se documentant avant et pendant les reportages, écoutant des musiques du monde, s’imprégnant d’autres civilisations. Sans cette connaissance, il eut été inconcevable pour lui de travailler sur un sujet, sans en avoir assimilé son essence au préalable. Gabriel Bauret relève à propos des reportages, qu’André Martin disait « qu’on n’a pas le droit d’être malhonnête, de tordre son sujet. Même si l’on doit faire rêver les gens, il faut montrer ce qui existe »[18].

Le photographe du goût[modifier | modifier le code]

Fin des années 80, l’engouement du public pour les saveurs nouvelles se développe avec la redécouverte de la cuisine, tout naturellement, les livres thématiques sur la gastronomie foisonnent pour reconstituer les styles, les goûts et l’atmosphère d’un passé retrouvé. La gastronomie est une autre forme de nature morte, un domaine dans lequel André Martin excelle, cet art de vivre exige une mise en scène pour allier les produits du terroir, le travail des fourneaux à l’élégance de l’art de la table. Afin de reproduire en photo un plat, il faut comprendre la photo culinaire, « tout est dans l’œil », disait André Martin, savoir la travailler pour rendre le met vivant et gustatif, l’embellir, se lancer dans des compositions parfois insolites pour surprendre, bref, s’évader dans la fantaisie. Comme l’écrivit Jean Giono, « La vie de l’homme est une chasse au bonheur. Parmi ces bonheurs, l’exercice de la gourmandise en est un des plus importants. »[19] Le photographe, la styliste et le chef sont les artisans de ce bonheur de vivre, leurs domaines demandent une grande exigence et un savoir-faire qu’ils ont, mais encore faut-il harmoniser le geste juste du chef qui crée une recette et « l’œil lumineux » du photographe qui la voit pour transmettre au lecteur l’onctuosité du chocolat, la fragrance d’une pintade ou le glacé d’une poire. Le travail de la styliste-rédactrice, spécialiste de la gastronomie comme l’était Jacqueline Saulnier, est de concocter des arrangements culinaires dont l’esthétisme colle avec l’œil du photographe. Pendant plus de 10 ans, Jacqueline Saulnier et André Martin travaillèrent en bonne entente, partagèrent curiosité et gourmandise. Leurs affinités les entraînèrent à mettre en œuvre leurs expériences sur les saveurs retrouvées grâce au talent du chef étoilé du Grand Hôtel du Lion d’Or à Romorantin, Didier Clément, et de son épouse, Marie-Christine, historienne du goût. Cette « invitation au rêve gourmand »[20] se poursuivit et se réalisa dans des livres comme Colette gourmande[21], Sologne gourmande[22], les délices des petites filles modèles[23] ou à la table de George Sand[24]. La Provence gourmande de Jean Giono[25], les recettes du marché[26] de Sylvie Tardrew, l’Alsace des saveurs retrouvées[27] et les bonnes recettes italiennes des Carluccio[28] sont la suite de cette route gastronomique.

L’architecture de la Nature[modifier | modifier le code]

Son goût pour la Nature remonte à 1967, après la naissance de son fils Yan, quand André Martin achète une maison de campagne dans l’Oise. La famille y passe ses week-ends, source de joie, de bonheur et de moments de détente dont il profite pour photographier la campagne aux alentours. C’est un pisteur né, il aime découvrir des lieux insolites, guetter l’instant idéal, attendre le bon vouloir de la lumière pour photographier ses paysages. Certes, l’objectif saisit la réalité de cet instant éphémère lors du déclic, mais la vision de l’artiste reflètera un paysage impressionniste, grâce à sa composition et à la lumière recherchée.

Dès 1970, ses photos en couleurs paraissent dans le livre Images d’une France[29], véritable consécration du paysage. L’auteur, Pierre Gascar, a bien compris le chemin du photographe, semblable à celui du peintre impressionniste qui « saisit, fixe si bien les aspects secrets de la réalité »[30]. Sans cette perception des transfigurations de la lumière qui se reflètent dans le monde végétal, sa photographie serait une simple reproduction sans âme. C’est ce don de communiquer une sensation au-delà de l’apparence réelle qui lui est particulier. Chez les impressionnistes, les ombres sont colorées, les siennes sont lumineuses, dans ses photos, il y a toujours une percée dans ses paysages vers un horizon de clarté, même si le ciel est réduit au minimum. Mais à la différence du peintre qui prépare sa toile, lui travaille au gré de la lumière, tout en ayant déterminé auparavant son cadrage.

Nous voyons rarement la totalité d’une réalité dans ses détails, parce que notre vision, comme notre mémoire, est sélective. Mais lui, avec sa grande sensibilité, peut sélectionner l’élément à reproduire et l’enfermer dans un cadre pour révéler un instant particulier qui nous échappe. Tout élément est à considérer, il ne laisse rien échapper, la pluie qui fait briller les végétaux, le vent qui donne le mouvement, il disait que « les arbres n’ont pas les mêmes couleurs en mouvement ou immobiles »[31]. Capter les changements de lumière et de mouvement, tout se passe dans l’œil, et c’est la raison pour laquelle ses photos ont une âme. Elles projettent une réalité bien à lui, idéalisée, mêlant poésie et observation incisive. Il voit au-delà de la simple réalité pour rendre la profondeur et l’essence d’un sujet, chaque photo est un instant unique volé au temps au moment où la lumière lui semble idéale, il ne peut y avoir une seconde chance, car c’est au hasard d’une rencontre qu’il trouve l’instant recherché pour donner de l’objet sa propre vision. « C’est la lumière qui fait l’image »[32], disait-il.

Natif de la Normandie, André Martin aime ses bocages humides jouxtant la mer, baignés d’une lumière irisée d’eau partout présente. Il prend autant de plaisir à humer l’odeur de la forêt qu’à photographier le dépouillement de l’architecture normande comme dans Toute la Normandie[33] écrit par Jean Roman. Il entreprend un travail personnel sur toutes les formes de végétaux de toutes sortes et de toutes provenances, cernés dans les moindres détails avec la précision d’un scientifique, tout en sublimant leurs particularités. L’étude approfondie du Végétal, de fleurs en particulier, telle Vie et mort d’un iris[34] en est un bon exemple, elle fut exposée dans le cadre de Botanica[35] au Palais de Tokyo en 1987 et au Japon en 1993 et 1994.

A partir de 1990, ses photos en couleurs illustrent des livres sur des sujets différents : fleurs exotiques, végétaux fossilisés ou insectes étranges. Dans ses natures mortes, il ne travaille pas seulement la lumière mais aussi la composition et la matière. Tout se résume dans sa phrase, « il n’y a pas que la lumière ; ce qui m’intéresse, c’est montrer l’épaisseur de l’air. Que cela vibre, que cela vit »[36]. Qu’il s’agisse de fleurs de bananier, de crotons aux couleurs surprenantes, de roses de porcelaine nacrée ou de palmiers en éventail, ses végétaux semblent vivants, presque palpables.

Son travail personnel[modifier | modifier le code]

Ses photos en noir et blanc constituent une grande part de son travail personnel et n’ont pas toujours fait l’objet de livres, sauf dans Fragments d’une histoire naturelle[37]. Cet ouvrage posthume, hommage au photographe et à sa manière de travailler sur la Nature, est tel un cabinet de curiosités où le lecteur peut se perdre tant les sujets abordés sont nombreux. Chaque photo est une invitation à mieux comprendre les valeurs essentielles qu’il recherchait à reproduire, qu’elles soient dans l’exubérance d’une plante, le dépouillement d’une forme, l’estompe d’un paysage ou l’étrangeté d’un objet. Tout est une question de voir et de comprendre.

C’est en particulier dans ses photos de jardins que l’on ressent le plus la vibration des couleurs d’une fleur éphémère, le nacré d’un pétale, la fragilité ou la pesanteur d’un objet. Il lui arrivait de rapporter des rosiers qu’il plantait dans son jardin pour le plaisir de voir éclore la rose qu’il voulait immortaliser. Il s’inspirait de peintres, tel que Redouté, pour la présentation de ses natures mortes de fleurs et de fruits. Le peintre préfèrerait l’aquarelle pour mieux rendre la transparence ou l’opacité des roses, le photographe, lui, recherchait les jeux de lumière et de matière pour exalter la beauté d’une fleur ou l’eau dans un vase. Il ressort de la simplicité de ses compositions une impression de profonde vérité et de précieux. Son intérêt pour la Nature l’incite à composer un herbier, quoi de mieux pour comprendre le monde végétal, mais non pour l’amour de collectionner des raretés mais pour le plaisir de composer une nature morte et de la photographier. Le début des années 90 marque la fin des travaux publicitaires et des grands voyages, dans le calme de sa maison, il a le loisir de se consacrer à la botanique dont la sophistication fascine son œil soucieux du détail. C’est un travail minutieux de suivre le changement de lumière sur des végétaux, il est dans son élément favori, il prend son temps, observe, et ainsi réalise des milliers de photos de nature, immense travail personnel peu publié.

Ceux qui ont connu André Martin lui reconnaissent « ce poétique éclectisme »[38], qualité qui lui était propre et séduisait son entourage. Quand il travaillait sur une nature morte, il avait l’art de composer un décor pour la rendre vivante avec des objets, pour la plupart rapportés de ses voyages. C’était un goûteur de lumière, avec un sens du détail très aigu, il faisait jaillir un monde de sensations à travers ses photos. Comme le décrivit Ester Henwood, il était « intègre, authentique, généreux, l’humanité de son regard « bleu-Gabin » transparaît toujours dans ses images. Quelles soient natures mortes, portraits ou paysages, j’y ai toujours trouvé ce tact qui lui est personnel »[39].

Curiosité sans limite[modifier | modifier le code]

André Martin ne s’est pas laissé enfermer dans un genre unique, il trouvait son bonheur dans la photographie sous toutes ses formes et en tous genres, pour son propre plaisir ou pour ses commandes de reportages. D’un naturel réservé, il ne parlait pas beaucoup de lui, mais il savait être jovial et aimait passionnément son métier, sa curiosité n’avait pas de limite, tantôt explorant le monde à la recherche d’autres civilisations pour des reportages, tantôt travaillant pour lui-même. Il savait tout photographier, analyser et structurer, il avait tous les talents et maîtrisait ses sujets, du paysage à la nature morte, de l’éléphant d’Afrique à l’automobile, du bouton d’iris à l’insecte. Il avait une étonnante aptitude à tirer parti de toutes les situations, ses valeurs se reflètent dans ses compositions et l’atmosphère qui en ressort, tout est dans sa sensibilité. Seule, une infime partie de son œuvre a été publiée, ses images, la finesse de ses cadres constituent une inépuisable et somptueuse ressource artistique. Son vieil ami Delpire l’a bien compris : « En noir et en couleurs, ses paysages témoignent de cette qualité du regard propre à André Martin, exprimant une sensibilité du végétal, à la lumière, aux subtiles variations des saisons qui n’a, dans la photographie contemporaine, pas d’équivalent. »[40]

L’Afrique de l’Ouest a été son terrain de chasse de prédilection, il s’y sentait à l’aise, chez lui en quelque sorte. Dès 1968, il retournera en Afrique régulièrement pour photographier ses paysages et sa faune, au Tchad, Zaïre, Kenya, etc… Il semble qu’il n’en avait jamais fini de photographier cette terre rouge qui lui tenait à cœur. Et puis un jour de 1999, il partit avec son ami, Nicolas Bruant et son fils, ce fut son dernier voyage. Etrange destin pour cet idéaliste, toujours en quête d’absolu, de perfection. Il avait commencé sa carrière professionnelle au Mali 50 ans auparavant, il y perdit la vie dans un accident de voiture alors qu’il faisait un travail sur les Dogons, en pleine force et désir de vivre.

Texte de Michelle Caroly, mise en forme de Yan Martin.

Œuvre[modifier | modifier le code]

Photothèque André Martin[modifier | modifier le code]

Les photographies couleurs ou noir et blanc d’André Martin sont en possession de son fils. Afin d’avoir accès à l’ensemble de cette photothèque, il faut s’adresser à Yan Martin : utilisation de droits photographiques pour illustrations ou expositions, commande de tirages, etc.

Publications[modifier | modifier le code]

Livres[modifier | modifier le code]

1955 :

  • Chez les coupeurs de tête de Bornéo, texte de Pierre lvanoff, photographies d’André Martin, Paris, éd. Arthaud, 1955, 112 p. plus 8 p. de photographies supplémentaires.

1956 :

  • Parures africaines, textes de Denise Paulme et Jacques Brosse, nombreuses photographies noir et blanc d’André Martin, autres photographies de Huet, Verger, Grandin, Borel, Matter, Darbois et Brandt, Paris, éd. Hachette, 1956, 95 p.

1957 :

1960 :

  • Paris, texte d’André Maurois, photographies d’André Martin, Londres, éd. Spring Books, « Famous cities of the world », 1960, 160 p.

1961 :

1962 :

  • Le château de Chambord, texte de Pierre Gascar, notices techniques et historiques de Paul-Robert Houdin, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1962, 117 p. ; Et Le Nouvel Observateur / Delpire, 1976, 115 p.
  • L’arbre, texte de Jacques Brosse, nombreuses photographies d'André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « L'encyclopédie essentielle », n°15, série « Sciences », 1962, 106 p.

1963 :

  • La grande mosquée de Kairouan, texte de Paul Sebag, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1963, 125 p. ; et Le Nouvel Observateur / Delpire, 1977, 123 p.
  • L'oiseau, texte de Simone Jacquemard, nombreuses photographies d'André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « L'encyclopédie essentielle », n°17, série « Sciences », 1963, 106 p.

1964 :

  • La basilique Saint-Marc, texte de Pierre Gascar, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1964, 167 p.
  • La Tour Eiffel, texte de Roland Barthes, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1964, 119 p., (ISBN 2-86754-055-0).
  • Tout Paris, texte de Claude Roy, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Terre ouverte », 1964, 212 p.

1965 :

  • Les temples de Khajurâho, texte de Marcel Flory, préface de Raja Rao, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1965, 162 p.
  • Toute la Normandie, texte de Jean Roman, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Terre ouverte », 1965, 185 p.
  • Auto, textes de Pierre Gascar, photographie de couverture d'André Martin, Paris, éd. Delpire, 1965, 103 p.

1968 :

  • La main, texte de Jean Brun, nombreuses photographies d'André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « L'encyclopédie essentielle », n°22, série « Sciences », 1968, 109 p.
  • L'or, texte de Pierre Gascar, nombreuses photographies d'André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « L'encyclopédie essentielle », n°23, série « Histoire », 1968, 105 p.
  • L'insecte, texte de Jacques Brosse, nombreuses photographies d'André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « L'encyclopédie essentielle », n°24, série « Sciences », 1968, 117 p.
  • Toute la Tunisie, texte de Paul Sebag, photographies d’André Martin, conception Delpire, Tunis, éd. Cérès Productions, 1968, 111 p.

1972 :

  • Images d'une France, texte de Pierre Gascar, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire pour le compte du Service des Relations Publiques de Kodak Pathé, 1972, 59 p.

1973 :

  • Les bouchers, texte de Pierre Gascar, préface de Georges Chaudieu, 16 photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire Editions Neuf, collection « La magie du métier », 1973, 201 p.
  • Paris, architectures sites & jardins, texte de Bernard Champigneulle, 20 photographies d’André Martin, Paris, éd. du Seuil, 1973, 640 p.

1975 :

  • Les noires vallées du repentir, "Contributions à l'étude de la mentalité magico-religieuse en Italie méridionale", introductions de Danilo Dolci et François Laplantine, textes de Michelle et André Martin, photographies d’André Martin, Paris, éd. Entente, collection « Impacts », 1975, 129 p., Prix Nadar 1977, (ISBN 2-7266-0013-1).

1976 :

  • Mosaïques de Tunisie, texte de Georges Fradier, photographies d’André Martin, Tunis, éd. Cérès Productions, 1976, 203 p.

1977 :

  • De tout cœur, Texte de Claude Roy, photographies d’André Martin, Paris, Le Nouvel Observateur / Delpire, collection « Le détail des choses », n°2, 1977, 77 p.
  • Images d'une France, préface de Pierre Gascar, photographies d’André Martin, Paris, éd. Le Nouvelle Observateur / Delpire, 1977, [2e éd. 1980], 89 p.

1979 :

  • Quatre saisons, préface de Jacques Wolgensinger, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, 1979, 70 p.

1982 :

  • Au bonheur des rues, texte de François Mathey, photographies de Bertrand Bouët-Willaumez, André Martin, Jean Nau, Deidi von Schaewen et Raymond de Seynes, Paris, éd. Sous le Vent, 1982, 148 p., (ISBN 2-85889-030-7).
  • Mosaïques romaines de Tunisie, texte de Georges Fradier, photographies d’André Martin, Tunis, éd. Cérès Productions, 1982, [2e éd. 1986], 198 p.
  • Les couleurs de la France, maisons et paysages, texte de Jean-Philippe et Dominique Lenelos, préface de Georges Henri Rivière, 1 photographie d’André Martin, Paris, éd. du Moniteur, 1982, 240 p, (ISBN 2-281-15063-1).

1984 :

  • La cuisine de la Villa Lorraine et de l'Ecailler du Palais-Royal, texte de Marcel Kreusch avec le concours de Huguette Van Dyck, collaboration de Jacqueline Saulnier, photographies d’André Martin, Paris, éd. Flammarion, 1984, 307 p., (ISBN 2-08-200055-9).

1985 :

  • L'Opéra de Paris, introduction de Bruno Foucart, notices de Martine Kahane, photographies anciennes de Hyacinthe César Delmaet, Louis Emile Durandelle, Charles Marville, Le Deley, Solignac et Chevojon, photographies contemporaines d’André Martin, Paris, Centre National de la Photographie (CNP), collection « Photo Poche », n°18, 1985, 139 p., (ISBN 2-86754-021-6).
  • La passion du chocolat, textes de Maurice et Jean-Jacques Bernachon, préface de Jean-Paul Aron, collaboration de Jacqueline Saulnier, photographies d’André Martin, Paris, éd. Flammarion, 1985, 117 p., (ISBN 2-08-200063-X).

1986 :

  • Le Duc, toute la cuisine de la mer, textes de Paul et Jean Minchelli, collaboration de Jacqueline Saulnier, photographies d’André Martin, Paris, éd. Olivier Orban, 1986, 485 p., (ISBN 2-85565-295-2).
  • Mes recettes du terroir, cuisinier à Brive-la-Gaillarde, texte de Charlou Reynal, préface d'Yves Courrière, collaboration de Jacqueline Saulnier, photographies d’André Martin, Paris, éd. Olivier Orban, 1986, 446 p., (ISBN 2-85565-330-4).
  • La féerie du champagne, textes de Michel Rachline, 2 photographies d’André Martin, Paris, éd. Olivier Orban / Canard-Duchêne, 1986, 92 p., (ISBN 2-85565-341-X).

1987 :

  • A la table de George Sand, texte de Christiane Sand, collaboration Esther Henwood, photographies d’André Martin, Paris, éd. Flammarion, 1987, [2e éd. 2002], 240 p., (ISBN 2-08-200512-7).

1988 :

  • Musées de France, un nouveau visage, texte de Hervé Oursel, Isabelle Monod-Fontaine, Fabienne Joubert, Albert Le Bonheur et al., photographies d’André Martin, Claude Caroly et al., Paris, éd. Réunion des Musées Nationaux, 1988, 164 p., (ISBN 2-7118-2-186-2).

1989 :

1990 :

  • Demeures secrètes de Venise, texte d'Elisabeth Vedrenne, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1990, 239 p., (ISBN 2-226-04920-7).

1991 :

  • 9 mois de cuisine, textes de Michèle Olivier, préface de Jean-Claude Sultana, collaboration Jacqueline Saulnier, photographies d’André Martin, Paris, éd. du Centurion, 1991, 223 p., (ISBN 2-227-00427-4).

1992 :

1993 :

  • Peintures décoratives, art populaire du monde entier, texte de Tracy Marsh, traduction de Gisèle Pierson, photographies d’André Martin, Paris, éd. du Chêne, collection « Art de vivre », 1993, [2e éd. 1998], 176 p., (ISBN 2-85108-807-6 et 2-84277-104-4).

1994 :

  • Le goût du bonheur, la Provence gourmande de Jean Giono, texte de Sylvie Giono, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1994, 189 p., (ISBN 2-226-07499-6).

1995 :

  • Le jardin romantique de George Sand, textes de Gilles Clément et Christiane Sand, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1995, 183 p., (ISBN 2-226-06413-3).

1996 :

1997 :

  • Carluccio's complete italian food, textes de Antonio et Priscilla Carluccio, photographies d’André Martin, Londres, éd. Quadrille Publishing Limited, 1997, 320 p., (ISBN 1-899988-31-9) ; édition française : La bonne cuisine italienne des Carluccio, Paris, éd. Hachette, 2002, 320 p., (ISBN 201236265-6).

1998 :

  • Les recettes du marché, texte de Sylvie Tardrew, photographies d’André Martin, Paris, éd. du Chêne, 1998, [2e éd. 2010], 191 p., (ISBN 2-84277-059-5 et 978-2-81230-187-2).
  • L'oiseau, texte de Simone Jacquemard, commentaires d’Elvire Perego, 6 photographies d'André Martin, Paris, éd. Nathan / Delpire, collection « Essentiellement », 1998, 124 p., (ISBN 209-754151-8).
  • La main, texte de Jean Brun, commentaires de Samuel Kammer, 4 photographies d'André Martin, Paris, éd. Nathan / Delpire, collection « Essentiellement », 1998, 124 p., (ISBN 209-754152-6).
  • Le cheveu, texte de Pierre Gascar, notes de François Bernheim, Samuel Kammer et Elvire Perego, commentaires de Sylvain Roumette, 3 photographies d'André Martin, Paris, éd. Nathan / Delpire, collection « Essentiellement », 1998, 124 p., (ISBN 209-754153-4).
  • Fleurs étranges, dans la forêt, sous les feuilles, rêvent des fleurs étranges, texte de Marion Faver, photographies d’André Martin, Paris, éd. du Chêne, collection « Idées pour la maison », 1998, 158 p., (ISBN 2-84277-172-9).

2000 :

  • Le chat, texte de Jean-Louis Hue, commentaires d’Anne-Marie Koenig, 1 photographie d'André Martin, Paris, éd. Nathan / Delpire, collection « Essentiellement », 2000, 124 p., (ISBN 209-754155-0).
  • Les noires vallées du repentir, introduction et commentaires de Michelle Caroly, texte de François Laplantine, photographies d’André Martin, Paris, éd. Nathan, collection « Photo Poche Société », n°8, 2000, 140 p., (ISBN 209-754274-3).
  • Cuisine des marchés, texte de Sylvie Tardrew, photographies d’André Martin, Paris, éd. du Chêne, collection « Idées gourmandes », 2000, [2e éd. 2003], 110 p., (ISBN 2-84277-2644).
  • Le grand livre de la cuisine ELLE, textes de Sophie Boucot, Martine Deschamps, Monique Maine, Janine Péjan, Madeleine Peter et Sylvie Tardrew, photographies d'Odile Brouillaud, Marcel Duffas, Yves Duronsoy, Jean-François Gate, Pierre Hussenot, Yves Jannès, Peter Knaup, Guillaume de Laubier, Philippe Leroy, André Martin, Yan Martin, Martine Richier, Sylvina Rostan, Manfred Seelow et Edouard Sicot, France, éd. Filipacchi, 2000, 550 p., (ISBN 2-85018-785-2).
  • Recevoir aux beaux jours, textes de Jean-Pascal Billaud, Jacqueline Saulnier, Marion Bayle et Caroline Tiné, photographies d’André Martin, Noëlle Hoeppe, Marie-Pierre Morel, James Merrell, Alexandre Bailhache Bernard Grilly, Nicolas Tosi et Yukata Yamamoto, Paris, éd. du Chêne, collection « Marie-Claire Maison », 2000, 143 p., (ISBN 2-84277-254-7).
  • Antipasti, textes d'Antonio et Priscilla Carluccio, photographies d’André Martin, Paris, éd. Hachette, collection « L'Italie gourmande des Carluccio », 2000, 64 p., (ISBN 978-2-01-236486-8).
  • Légumes et salades, textes d'Antonio et Priscilla Carluccio, photographies d’André Martin, Paris, éd. Hachette, collection « L'Italie gourmande des Carluccio », 2000, 64 p., (ISBN 978-2-01-236487-5).
  • Pâtes, textes d'Antonio et Priscilla Carluccio, photographies d’André Martin, Paris, éd. Hachette, collection « L'Italie gourmande des Carluccio », 2000, 64 p., (ISBN 978-2-01-236488-2).
  • Poissons et fruits de mer, textes d'Antonio et Priscilla Carluccio, photographies d’André Martin, Paris, éd. Hachette, collection « L'Italie gourmande des Carluccio », 2000, 64 p., (ISBN 978-2-01-236489-9).

2001 :

  • Variations sur un thème végétal dans les jardins du Centre, texte de Jean-Paul Pigeat, photographies de Nicolas Bruant, André Martin, Sarah Moon, Jean-Luc Olezak et Marc Riboud, Paris, éd. Delpire, 2001, 93 p., (ISBN 2-85107-210-2).

2005 :

  • Montagnes sacrées, textes d’Elisabeth Foch, 1 photographie d’André Martin, Paris, éd. du Chêne, 2005, 165 p., (ISBN 2-842775-75-9).

2006 :

  • La photographie publicitaire en France de Man Ray à Jean-Paul Goude, textes de Françoise Denoyelle, Gabriel Bauret, Patrick Remy, Rémi Babinet, Pierre Léotard, Vincent Baby et Amélie Gastaut, 6 photographies d’André Martin, Paris, éd. Les Arts décoratifs, 2006, 191 p., (ISBN 2-901422-88-8).
  • Fragments d’une histoire naturelle, préface d’Erik Orsenna, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, 2006, 130 p., (ISBN 2-85107-227-7).
  • Cordons-bleus de nos régions, les desserts, textes de Pierre-Yves Chupin, photographies de Chistophe Raynaud de Lage, Daniel Czap, André Martin, Thomas Dhelemmes et Jean-Blaise Hall, Paris, éd. Mango, 2006, 135 p., (ISBN 2-84270-584-X).

2015 :

  • Sud e magia, texte de Ernesto De Martino, photographies d’André Martin, Franco Pinna et Ando Gilardi, Rome, éd. Donzelli, 2015, 314 p., (ISBN 978-88-684-3351-2).

2017 :

  • C'est de voir qu'il s'agit, textes et propos réunis par Michel Christolhomme, 4 photographies d'André Martin, Paris, éd. Libella / Delpire, 2017, 239 p., (ISBN 979-10-95821-11-3).

Editions institutionnelles[modifier | modifier le code]

Non daté :

  • Bienvenue en Tunisie, texte de Claude Roy, conception Delpire, photographies d’André Martin et Inge Morath, Tunis, Office du Tourisme, n.d., n.p.
  • Tunisie, conception Delpire, photographies d’André Martin et Inge Morath, Tunis, Direction du Tourisme, n.d., n.p.
  • L’avenir et le passé font de la France un harmonieux présent, conception Delpire, photographies d’André Martin, publication du Commissariat Général au Tourisme, s.l.n.d.
  • Petite histoire illustrée du conditionnement, la fortune du pot, texte de Jules Vimar, conception de Robert Delpire, 12 photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, 76 p.
  • Le manganèse de Moanda, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, n.p.
  • Paris, 23 photographies d’André Martin, Paris, Préfecture de Paris, 103 p.

1963 :

1967 :

  • Junex, 40 ans, historique rédigée par Ferd Lärn, photographies d’André Martin et al., Copenhague, 1967, 49 p.

1981 :

  • La photographie est indispensable, 7 photographies d’André Martin, Paris, SNLP, 1981, n.p.

1983 :

  • Palais omnisports de Paris-Bercy, introduction de Jacques Chirac, texte de Pierre Descargues, photographies d’André Martin et al., Paris, ville de Paris, 1983, 68 p.

1987 :

  • ADP en 1986, compte de résultat, photographies d’André Martin, Martine Coignard, Paul Maurer et Michel Tiziou, Paris, GLSA Conseil, 1987, 19 p.
  • Ballade, le magazine d’évasion de Bally, n°2 (septembre 1987), couverture

1990 :

  • LVMH, rapport annuel 1988, 1989, 1990, 1991, 1995 et 1996 Moët Hennessy et Louis Vuitton, photographies d’André Martin, Paris, S.D.E. Conseils en Information, 1990-1993, 1996 et 1997, 64, 92, 91, 70, 83 et 83 p.
  • Destination Ailleurs, Cacharel, 5 photographies d’André Martin, Paris, Equateur / Idéodis, septembre 1990, n.p.
  • Jean-Michel Gasquet, catalogue de l’exposition Bois et Pastels, photographies d’André Martin, Macon, Musée des Ursulines, 1990, n.p.

1991 :

  • Lemercier, catalogue de l’exposition de Paul Lemercier à l’espace Lamartine, photographies d’André Martin, octobre 1991, 29 p.

1992 :

1993 :

1994 :

  • Hôtel Ritz – Guy Legay et Le Crillon – Christian Constant, photographies d’André Martin, Vanves, éd. Philippe Lamboley, collection « Les épicuriennes », 1994, n.p.

1995 :

  • Napoléon et Joséphine, catalogue de l’exposition, photographies d’André Martin, 1995, 95 p.

1996 :

  • Marie-Antoinette, catalogue de l’exposition à Fukuoka, photographies d’André Martin, Japon, Meru Planning, 1996, 95 p.

1998 :

  • Calendrier 1999, the gourmet shop, 2 photographies d’André Martin, Lombreuil, éd. Nouvelles Images, 1998, n.p.

1999 :

  • Napoléon, catalogue de l’exposition Napoléon à l’île Sainte-Hélène, textes de Bernard Chevalier, Guy Vadeboncoeur, Robert Derome et Jean-François Gauvin, photographies d’André Martin et al., Montréal, musée Stewart au fort de l’île Sainte-Hélène, 1999, 207 p.
  • Le verre de Venise, ses origines, son rayonnement, catalogue de l’exposition the golden age of venetian glass, textes de Ann Chevalier et Monique Merland, photographies d’André Martin, Japon, Tokyo Station Gallery, Daimaru Museum et Yokkaichi Municipal Museum, 1999, 168 p.

Films[modifier | modifier le code]

1954 :

  • Bornéo, film court métrage noir et blanc, réalisation de Serges Bourguignon, images d’André Martin, 1954.

1968 :

  • Ex-, film court métrage couleur, 16 mm, sonore, 5 min, réalisation de Jacques Monory, images d'André Martin, montage et production de Jacques Monory, 1968. Grand Prix du festival international du jeune cinéma de Toulon, Hyères, 1974.

Expositions[modifier | modifier le code]

1965 :

1969 :

  • Photauto (exposition collective), Paris, Galerie Delpire, du 14 novembre 1969 au 3 janvier 1970.

1972 :

  • Images d'une France, Paris, Galerie Delpire, du 16 mai au 8 juillet 1972.

1973 :

  • Au bonheur des rues (exposition collective), Paris, Galerie Delpire, du 19 octobre au 24 novembre 1973.

1974 :

  • Inauguration de la galerie Delpire (exposition collective), Paris, Galerie Delpire, 1974.
  • Centenaire de l’Opéra, hommage à Ch. Garnier 1875-1975 (exposition collective), Paris, Opéra de Paris, 1974.

1977 :

  • De tout cœur, Paris, Centre Kodak d'Information, 1977.
  • Face and façades (exposition collective), Paris, Fnac, 1977.
  • Les noires vallées du repentir, Paris, Fnac Rennes, 1977.

1978 :

  • Images d'une France, Zurich, Galerie Nikon, du 13 mai au 6 juillet 1978.
  • Paysages, Paris, Galerie Le Nouvel Observateur / Delpire, du 25 mai au 24 juin 1978.

1980 :

  • Quatre saisons, Paris, Galerie Le Nouvel Observateur / Delpire, du 16 octobre au 30 novembre 1980.

1981 :

  • Images pour une page (exposition collective), Paris, Centre Kodak d’Information, du 15 octobre au 14 décembre 1981.

1984 :

  • Aérographies (collection André Martin), Paris, Galerie Idéodis / Delpire, du 15 décembre 1983 au 4 février 1984.

1985 :

  • Photographies des pratiques religieuses en pays méditerranéens (exposition collective), Montpellier, Hôtel de Ville, du 14 mai au 1er juin 1985.

1987 :

1989 :

1990 :

1993 :

  • Terroirs Versailles Botanica, Toronto, Galerie de l’Alliance Française, 1993.
  • Botanica (exposition collective), série Cucurbitacées, Tokyo, Musée Isetan, du 20 mai au 1 juin 1993.

2000 :

2001 :

  • Les noires vallées du repentir, Paris, Galerie Fait & Cause, du 25 janvier au 31 mars 2001.

2006 :

  • Fragments d’une histoire naturelle, Paris, Galerie Libéral-Bruant, du 27 octobre au 25 novembre 2006.

2010 :

  • Fragments d’une histoire naturelle (exposition collective), Chambord, Château de Chambord, du 23 octobre 2010 au 13 mars 2011.

Périodiques[modifier | modifier le code]

1955 :

1963 :

  • « Robert Delpire », Graphis, n°105 (janvier-février 1963), pp.30-37.

1964 :

  • « Les rallyes, quelles sont ces courses sans voitures de cours ? », Vive les Vacances, n°93 (février 1964), pp.46-47.

1969 :

  • « Tête de coléoptère scarabéidé Goliath », Présence de la Photographie, (décembre 1969), p.58.

1970 :

  • « Near and far », Applied Photography International, n°8 (1970), pp.22-29.

1972 :

  • « Les français aiment-ils les arbres ? », Connaissance de la Campagne, n°15 (printemps 1972), p.80-81 et couverture.
  • « The frenchman’s France », Réalités, n°257 (avril 1972), couverture.
  • « Images d’une France », Kodéco, n°177 (mai 1972), pp.10-11, couverture et quatrième de couverture.
  • « La France d’André Martin », Le Nouveau Photocinéma, n°2 (mai 1972), pp.56-59.
  • « Notre belle Normandie que raconte en images… André Martin », Claudel : Message de l’Usine à la Ferme, n°67 (juin 1972), p.16.
  • « Douce France », Panorama Aujourd’hui, n°44 (juillet 1972), pp.26-34.
  • « Champ de coquelicots », Touring, n°839 (juillet-août 1972), couverture.

1974 :

  • « André Martin’s soft landscapes », Modern Photography, n°7 (juillet 1974), pp.94-103.

1975 :

  • « L’Opéra, une esthétique de l’accumulation », Zoom, n°31 (juillet-août 1975), pp.50-59.

1976 :

  • « Images d’une France », Nikon-News, n°1 (1976), pp.20-22.

1977 :

  • « Correspondances », Le Nouvelle Observateur, Spécial Photo, hors-série n°1 (juin 1977), p.31.
  • « Yo-yo, très facile à faire : un merveilleux ouvrage pour Pénélope », Marie Claire, n°298 (juin 1977), pp.180-183.
  • « Le Kenya, un grand coin de paradis », Marie Claire, n°303 (novembre 1977), pp.96-110.
  • « Des cadeaux qui illuminent », Marie Claire, n°304 (décembre 1977), pp.132-133.
  • « Chenonceau, Azay-le-Rideau », Beautés de la France, Larousse, n° 92 (1977), 20 p.
  • « Photographie d’animaux : l’art de faire mouche ! », Nikon-News, n°3 (1977), pp.15 et 18.

1978 :

  • « Les moments d’air pur d’un campagnard du dimanche », Photo, n°128 (mai 1978), pp.106-113.
  • « L’apprenti-photographe », Le Nouvelle Observateur, Spécial Photo, hors-série n°3 (juin 1978), p.17 et couverture.
  • « Tendre Lot », Marie Claire, n°311 (juillet 1978), pp.48-57.
  • « Une Somme de poésie », Marie Claire, n°313 (septembre 1978), pp.104-111.
  • « Le salon permanent de la photo, les plus beaux livres d’images photographiques, André Martin, Images d’une France », Point de Vue Images du Monde, n°1582 (17 novembre 1978), pp.18-19.

1979 :

  • « Boutons d’or en Ile-de-France », Lettre de Paris, n°44 (juillet 1979), couverture.
  • « Le Caire : rue Mouizz-li-din-Allah », Marie Claire, n°326 (octobre 1979), pp.20-29.

1980 :

  • « Balade au pays des tuyés, 1 : le Jura », Marie Claire Maison, n°153 (janvier 1980), pp.114-119.
  • « Balade au pays des « bornes », 2 : Suisse et Savoie », Marie Claire Maison, n°154 (février 1980), pp.120-125.
  • « Un voyage au fond des siècles », Marie Claire, n°331 (mars 1980), pp.6-13.
  • « Haïti : suivez avec nous les pèlerins du vaudou », Marie Claire, n°332 (avril 1980), pp.4-15.
  • « Singapour », Marie Claire, n°335 (juillet 1980), pp.6-13.
  • « Plongez au cœur de l’Afrique mystique », Marie Claire, n°338 (octobre 1980), pp.6-14.
  • « Le caractère des bruyères », Marie Claire Maison, n°162 (novembre 1980), pp.210-217.

1981 :

  • « Balade au pays des volcans, Massif Central », Marie Claire Maison, n°165 (février 1981), pp.132-137.
  • « Jogjakarta, la ville-théâtre de l’Asie », Marie Claire, n°344 (avril 1981), pp.6-14.
  • « Quatre saisons », Pentax Photography, (juillet 1981), pp.18-21.
  • « Istanbul, un week-end en orient », Marie Claire, n°350 (octobre 1981), pp.6-14.
  • « La Champagne », Marie Claire Maison, n°174 (décembre 1981), pp.159-163.

1982 :

  • « Les Pyrénées aux 40 vallées, 1 : des Pyrénées-Atlantiques aux Hautes-Pyrénées », Marie Claire Maison, n°175 (janvier 1982), pp.115-121 et 125.
  • « Série de photographies sur la CX de Citroën », Photo-Reporter, n°39 (janvier 1982).
  • « Les Pyrénées aux 40 vallées, 2 : du Comminges à la Cerdagne », Marie Claire Maison, n°176 (févier 1982), pp.121-127.
  • « Tunis la douce », Marie Claire, n°355 (mars 1982), pp.6-14.
  • « Poissons d’eaux douces », Marie Claire, n°356 (avril 1982), p.232.
  • « Rennes et ses alentours », Marie Claire Maison, n°179 (mai 1982), pp.211-217.
  • « L’Inde pour rêver », Marie Claire, n°360 (août 1982), pp.4-12.
  • « Au pays de l’inattendu, spécial Nord Pas-de-Calais », Marie Claire Maison, n°184 (novembre 1982), pp.207-213.
  • « Le paysage est une littérature non écrite », Double Page, Pyrénées, n°18 (1982), n.p.

1983 :

  • « L’ile de Pâques au fond des yeux », Marie Claire, n°365 (janvier 1983), pp.10-19.
  • « Offrez-vous le grand choc du Sahara » et « Le paradis des terrines en Quercynois », Marie Claire, n°367 (mars 1983), pp.6-15 et 206-211.
  • « Petits plats français en pays Cajun », Marie Claire, n°370 (juin 1983), pp.190-197 et 201.
  • « En Grèce, l’esprit des escaliers », Marie Claire, n°372 (août 1983), pp.6-14.
  • « Une nuit à l’Opéra », 100 idées, n°121 (novembre 1983), pp.56-65.

1984 :

  • « Réussir son voyage en Egypte », Marie Claire, n°378 (févier 1984), pp.92 et 94.
  • « Florence par les coulisses », Marie Claire, n°379 (mars 1984), pp.8-17.
  • « Plaisirs à l’écossaise », Marie Claire, n°380 (avril 1984), pp.212-217.
  • « Au cœur de la douceur créole », Marie Claire Maison, n°199 (mars 1984), pp.142-147 et 150.
  • « Recevoir trente personnes avec le sourire » et « Légère et gourmande, la crème fraîche », Marie Claire, n°382 (juin 1984), pp.204-211, 214 et 212-213.
  • « Buono prestissimo », Marie Claire, n°383 (juillet 1984), pp.92-103.
  • « Qui s’achète des robes à 5000 F ? » et « Les gourmandises d’un homme de goût », Marie Claire, n°385 (septembre 1984), pp.8-15, 22 et 20-21, 222-223.
  • « Les herbes sont le soleil de la cuisine », Marie Claire, n°386 (octobre 1984), pp.298-299.
  • « Recettes de ma mère l’oye » et « Noël aux épices », Marie Claire, n°388 (décembre 1984), pp.186-192, 196 et 194-195.
  • « Divagations blanches », Décoration Internationale, n°77 (décembre 1984 / janvier 1985), pp.71-73 et 198.

1985 :

  • « Artichaut », Nikon-News, n°1 (1985), p.27.
  • « Peau d’âme », Décoration Internationale, n°78 (février 1985), pp.118-119.
  • « Lisbonne par les cafés », Marie Claire, n°390 (février 1985), pp.56-61.
  • « Fantômes à vendre », Marie Claire, n°392 (avril 1985), pp.10, 12-14 et 16-17.
  • « Les belles d’acier » et « Le vaisseau de la route », Décoration Internationale, n°81 (mai 1985), pp.124-129 et 130-131.
  • « Gourmandises et framboisier » et « Le fin du fin de la tarte », Marie Claire, n°393 (mai 1985), pp.160-161 et 236-240.
  • « L’homme et la pierre », Pétrole Progrès, n°142 (printemps 1985), pp.1-8.
  • « Le fin du fin de la fraise », Marie Claire, n°394 (juin 1985), pp.202-205 et 208.
  • « Soupes glacées pour l’été », « Café frappé, plaisir d’été » et « Le riz, délice de l’été », Marie Claire, n°395 (juillet 1985), pp.134-139 et 140-141 et 142-143.
  • « Le fin du fin de la pomme de terre gratinée », Marie Claire, n°397 (septembre 1985), pp.212-215.
  • « Le fin du fin de la daube », Marie Claire, n°398 (octobre 1985), pp.258-261.
  • « Le fin du fin de la soupe de poisson », Marie Claire, n°399 (novembre 1985), pp.202-207.
  • « Fêtes viennoises » et « Style 30 & préciosités », Votre Beauté, Votre Santé, n°593 (décembre 1985), pp.86-89 et 170-178.

1986 :

  • « Le Mali à découvrir avec le cœur », Cosmopolitan, n°146 (janvier 1986), pp.132-135.
  • « King of the sun », House & Garden, volume 158, n°2 (février 1986), pp.128-135.
  • « Le duc du poisson », Marie Claire, n°402 (février 1986), pp.174-175.
  • « Shanghai », Marie Claire, n°404 (avril 1986), pp.10-21.
  • « Coquillages et crustacés », Marie Claire, n°405 (avril 1986), pp.262-269.
  • « L’or de Lahore », Marie Claire, n°406 (juin 1986), pp.259-264.
  • « La cuisine sans-souci » et « Cuisine saveur en papillotes », Marie Claire, n°407 (juillet 1986), pp.107-123 et 124-125.
  • « Crocodile », Stern, n°37 (septembre 1986), pp.144-145.
  • « Sahara secret », Marie Claire, n°410 (octobre 1986), pp.374-379.
  • « Le gibier nouvelle manière », Marie Claire, n°411 (novembre 1986), pp.240-243.
  • « Le menu d’Erna », Style Express, supplément n°1 (octobre-novembre 1986), pp.96-98.
  • « Ici depuis sept siècles… », Marie Claire, n°412 (décembre 1986), pp.10-24.
  • « Spécial cuisine en fête », Marie France, supplément n°370 (décembre 1986), pp.5-6, 10-11, 13, 16, 23, 27, 33-35 et couverture.

1987 :

  • « Cuisiner vite et frais », Marie Claire, n°413 (janvier 1987), pp.105-113.
  • « Tibet » et « Jeune jusqu’à 120 ans : les recettes », Marie Claire, n°416 (avril 1987), pp.10-20, 25-28, 373-374 et 94-97.
  • « Tendres stocks », Décoration Internationale, n°97 (avril-mai 1987), pp.66-71.
  • « Chicago », Marie Claire, n°417 (mai 1987), pp.10-23, 25-26 et 192.
  • « Une envie d’ailleurs » et « Le menu de José Lampreia », Cuisine et Vins de France, n°430 (juin 1987), pp.56-61 et 64-67 et couverture.
  • « Pérou secret » et « Trop chaud l’Egypte ? Jamais, même en été », Marie Claire, n°418 (juin 1987), pp.10-23, 25-26, 192 et 299.
  • « Mes heures italiennes… », Décoration Internationale, n°98 (juin-juillet-août 1987), pp.106-113.
  • « Le goût retrouvé » et « Panzani : du soleil dans les pâtes », Marie Claire, n°419 (juillet 1987), pp.137-142, 145-146, 149-151 et 156-157.
  • « L’ile mystérieuse », Marie Claire, n°420 (août 1987), pp.8-17.
  • « Miroirs vénitiens », Décoration Internationale, n°99 (septembre 1987).
  • « La France profonde » et « La choucroute non conformiste », Marie Claire, n°422 (octobre 1987), pp.10-19, 22 et 280-284.
  • « Aventure en Afrique » et « Venez diner dimanche », Marie Claire, n°423 (novembre 1987), pp.10-24 et 222-229, 232, 234.

1988 :

  • « La table des records », ELLE, n°2194 (25 janvier 1988), pp.88-89.
  • « Facile et raffiné : les secrets tout simples de deux jeunes chefs », Marie Claire, n°425 (janvier 1988), pp.116-119 et 126.
  • « Le thé, une tradition d’actualité », ELLE, n°2197 (15 février 1988), pp.98 et 101.
  • « Foule et lumière à Bénarès », Marie Claire, n°426 (février 1988), pp.9-19.
  • « A chaque boisson son verre », ELLE Décoration, n°2 (mars 1988), pp.64-69.
  • « L’Irlande des légendes », Marie Claire, n°428 (avril 1988), pp.10-23.
  • « L’ile de l’étrange », Marie Claire, n°429 (mai 1988), pp.22-38.
  • « André Martin », Camera International, portfolio, n°15 (mai-juin 1988), n.p.
  • « Un patchwork en kit », ELLE, n°2220 (25 juillet 1988), pp.68-69.
  • « Folie Floride » et « Le nouveau souffle de la cuisine », Marie Claire, n°433 (septembre 1988), pp.14-25 et 230-235.
  • « Plaids : bonheur d’hiver », ELLE Décoration, n°5 (novembre 1988), pp.62-67.
  • « Une touche de fraicheur », ELLE, n°2241 (19 décembre 1988), pp.130-136.
  • « Venise d’hiver », Marie Claire, n°436 (décembre 1988), pp.10-21.
  • « Un festin savoureux », Marie Claire Maison, n°250 (décembre 1988), pp.110-115.
  • « Mille et un plis », Vogue Décoration, n°17 (décembre 1988), pp.76-77, 67 et couverture.

1989 :

  • « Le magicien de la couleur » et « Des bleus de Delft à broder », ELLE Décoration, n°6 (février-mars 1989), pp.86-91 et 140-141.
  • « A Paris, une adresse choisie », Vogue Décoration, n°19 (mars-avril 1989), pp.116-119.
  • « Avant ils râlaient, maintenant ils passent aux fourneaux » et « Ces merveilleux égoïstes savent également rêver… », Figaro Magazine, n°13 882 (15 avril 1989), pp.248-250 et 316-319.
  • « La chine d’Allah », Marie Claire, n°440 (avril 1989), pp.10-26.
  • « De briques et de grès » et « 11 créations contemporaines », ELLE Décoration, n°7 (avril-mai 1989), pp.150-157 et 158-159.
  • « Tout nouveau, tout bon » et « Petit déjeuner chez les Lorain », Cuisine et Vins de France, n°449 (mai 1989), pp.48-52 et 58-63 et couverture.
  • « Au pays des maîtres-mages », Marie Claire, n°441 (mai 1989), pp.12-26.
  • « La poésie de l’inachèvement », Joyce, n°15 (mai-juin 1989), pp.214-221.
  • « Venise confidentielle » et « Inspiré d’un sol vénitien, un dallage brodé main », ELLE Décoration, n°8 (juin-juillet 1989), pp.144-151 et 152-153.
  • « Un univers voué aux objets », « Chien à broder » et « Hôtel de charme », ELLE Décoration, n°10 (octobre-novembre 1989), pp.140-147 et 148-149 et 185-186.
  • « Le menu autour du Fitou de Marie-Louise et Didier Banyols », Cuisine et Vins de France, n°454 (novembre 1989), pp.58-63.
  • « Clefs pour Tokyo » et « Salaisons du pays catalan », Marie Claire, n°447 (novembre 1989), pp.12-24 et 259-269.

1990 :

  • « Les grosses galettes », Madame Figaro, n°14 110 (6 janvier 1990), pp.98-101.
  • « Les mariages gourmands du Comté », Marie Claire, n°452 (avril 1990), pp.285-293.
  • « Rajasthan, mémoire de l’Inde », Air France Madame, n°16 (avril-mai 1990), pp.70-77.
  • « Si jamais je t’oublie, Jérusalem… », Marie Claire, n°453 (mai 1990), p.404.
  • « Le grand prix cuisine et vins de France du goût de la Bretagne, la finale », « Les recettes de Monet, Colette, Sand et les autres » et « Un mariage réussi », Cuisine et Vins de France, n°460 (juin 1990), pp.36-37 et 38-44 et 90-91 et couverture.
  • « Une vraie maison de pays », ELLE Décoration, n°15 (juin-juillet 1990), pp.122-127.
  • « Délices à l’italienne », ELLE, n°2322 (9 juillet 1990), pp.100-104.
  • « L’Amérique des westerns », Marie Claire, n°455 (juillet 1990), pp.10-19, 22 et 24.
  • « Les fièvres de Hong Kong », Marie Claire, n°457 (septembre 1990), pp.12-26.
  • « Recettes fromagère » et « Un automne en pleine nature », Cuisine et Vins de France, n°463 (octobre 1990), pp.60-68 et 106-107.
  • « L’Alsace, paradis des gourmands », Marie Claire, n°458 (octobre 1990), pp.281-289.
  • « Rillettes maison », Madame Figaro, n°14 355 (20 octobre 1990), pp.132-135.
  • « Un grand atelier de restauration » et « Le Maroc des artisans », ELLE Décoration, n°18 (novembre 1990), pp.35-36 et 152-157.
  • « La route du Maroc », ELLE, n°2339 (5 novembre 1990), p.150.
  • « Les vagabondages gourmands de Colette », Marie Claire, n°459 (novembre 1990), pp.244-249 et 251-252.
  • « Réveillon en Alsace », ELLE, n°2345 (17 décembre 1990), pp.148-158 et 160.

1991 :

  • « Préciosités », Joyce, n°26 (janvier-février 1991), pp.160-167.
  • « Cidre bien frais et crêpes moelleuses » et « Recettes de carnaval », Cuisine et Vins de France, n°466 (février 1991), pp.4-5 et 42-47.
  • « A découvrir : le wok, l’autre façon de cuisiner », Marie Claire, n°462 (février 1991), pp.154-155.
  • « Au bon plaisir », Marie Claire Maison, n°271 (février 1991), pp.92-97 et 122.
  • « Pâtes folles » et « Le plaisir appartient à ceux qui se lèvent tôt », Cuisine et Vins de France, n°467 (mars 1991), pp.48 et 49-50 et couverture.
  • « La morue refait surface », ELLE, n°2359 (25 mars 1991), pp.134-136 et 141.
  • « Epices et délices de l’Inde », Marie Claire Maison, n°272 (mars 1991), pp.112-117 et 128.
  • « Sa majesté le thé », Joyce, n°27 (mars-avril 1991), pp.250-257.
  • « Goutez le monde entier en deux cookies et quatre thés » et « Pour gouter le printemps en primeur », Cuisine et Vins de France, n°468 (avril 1991), pp.54-55 et 56-60.
  • « Colette en Provence, l’encrier marin », Maison Côté Sud, n°8 (avril-mai 1991), p.90-95.
  • « Parfums baroques et flâneries vénitiennes », Happy Few, 9ème année (printemps 1991), pp.51-56.
  • « Pékin deux ans après », Marie Claire, n°466 (juin 1991), pp.13-21, 23 et 25-26.
  • « Duo de jardin », « La nostalgie réinventé » et « Délice florentines », Marie Claire Maison, n°275 (juin 1991), pp.66-67, 176, 94-95 et 122-127.
  • « Les tissus provençaux à la conquête du monde », ELLE Décoration, n°23 (juin-juillet-août 1991), pp.100-105.
  • « Les rois de l’été », ELLE, n°2375 (15 juillet 1991), pp.84-87.
  • « Déjeuner sur l’herbe », Marie Claire Maison, n°276 (juillet-août 1991), pp.122-127.
  • « France, que fais-tu de ta campagne ? », Dynasteurs, le mensuel des Echos, n°61 (juillet-août 1991), pp.22-23, 27, 32-33 et couverture.
  • « La route des dieux », Marie Claire, n°469 (septembre 1991), pp.12-24.
  • « Saveurs d’automne » et « Comment réussir un diner du Sud-Ouest », Cuisine et Vins de France, n°473 (octobre 1991), pp.44-49 et 50-51.
  • « La maison mise en boîte » et « Automne portugais », Marie Claire Maison, n°278 (octobre 1991), pp.102-103 et 126-130, 138.
  • « Le terroir à la cocotte » et « Plaisir et légèreté sur toute la ligne », Cuisine et Vins de France, n°474 (novembre 1991), pp.52-57 et 66-67.
  • « Les bonnes recettes de l’oncle Corse », ELLE, n°2391 (4 novembre 1991), pp.131-134.
  • « L’art de composer avec les pâtes », Marie Claire Maison, n°279 (novembre 1991), pp.138-144.
  • « Simontta Battistoni », Joyce Paris, n°31 (novembre-décembre 1991), pp.172-179.
  • « Noël gourmand en Aubrac », ELLE, n°2396 (9 décembre 1991), pp.112-132.
  • « L’élégance en transparence », Marie Claire Maison, n°280 (décembre 1991 / janvier 1992), pp.116-121.

1992 :

  • « Une Inde de rêve », Marie Claire, n°474 (février 1992), pp.16-23.
  • « Le dîner des Douze », Marie Claire Maison, n°281 (février 1992), pp.106-111.
  • « Un coin de France préservé, l’Aveyron », Notre Temps, n°267 (mars 1992), pp.30-39.
  • « Soufflés, c’est bien joué ! », ELLE, n°2411 (16 mars 1992), pp.130-133 et 135.
  • « Tout est bon » et « Art de la table : le retour des grands classiques », Marie Claire Maison, n°282 (mars 1992), pp.128-133 et 141-147.
  • « Variation sur l’asperge », Marie Claire Maison, n°283 (avril 1992), pp.118-123.
  • « Régions » (série de 11 articles), Cuisine et Vins de France, n°479 (mai 1992), pp.51, 63, 81, 95, 107, 115, 123, 133, 145, 151 et 155.
  • « La cuisine au vin blanc », ELLE, n°2423 (8 juin 1992), pp.100-105.
  • « Un dimanche d’été chez Adrienne », Madame Jour de France, n°1958 (13 juillet 1992), pp.88-91.
  • « La Franche-Comté raffinée », ELLE, n°2429 (20 juillet 1992), pp.80-87 et 98.
  • « Débarquez en Normandie ! », ELLE, n°2430 (27 juillet 1992), pp.72-80.
  • « Gascogne gourmande », ELLE, n°2432 (10 août 1992), pp.74-81.
  • « Invitation au potiron », Marie Claire Maison, n°287 (septembre 1992), pp.120-126.
  • « Les adresses secrètes de nos grands chefs, les dames de Belcastel », Cuisine et Vins de France, n°483 (octobre 1992), pp.94-99.
  • « Moutarde 10 idées extra-fortes », ELLE, n°2440 (5 octobre 1992), pp.140-145.
  • « La passion des champignons », Marie Claire Maison, n°288 (octobre 1992), pp.128-134.
  • « Hector Bianciotti un aristocrate européen », Vogue Décoration, n°40 (octobre-novembre 1992), p.116-121.
  • « Les fêtes par la poste », ELLE, n°2446 (16 novembre 1992), p.129.
  • « Saveurs subtiles de la cuisine du Nord », Marie Claire, n°483 (novembre 1992), pp.287-294.
  • « Pâtes en version originale », Marie Claire Maison, n°289 (novembre 1992), pp.136-142.
  • « Deux réveillons très gourmands… En direct des Landes », ELLE, n°2449 (7 décembre 1992), pp.180-191, 196 et 198.
  • « Au fil de Colette », ELLE, n°2450 (14 décembre 1992), pp.114-117.
  • « Les coulisses de la fête », Marie Claire Maison, n°290 (décembre 1992), pp.128-134.
  • « Un mythe : le N°5 de Chanel » et « Ambre Absolu », Vogue Décoration, n°41 (décembre 1992 / janvier 1993), p.23-24, 26 et 90-93.

1993 :

  • « Huit manières de conjuguer la soupe au chou », ELLE, n°2454 (11 janvier 1993), pp.62-67.
  • « Meilleurs vœux de bonheur » et « Deux simples réveillons », Marie Claire, n°485 (janvier 1993), pp.16 et 104-109.
  • « Soupes à malice », Marie Claire, n°486 (février 1993), pp.136-138 et 140.
  • « A la mode de Nohant », Marie Claire Maison, n°292 (mars 1993), pp.122-128 et 158.
  • « Risotto, un petit grain de fantaisie », ELLE, n°2468 (19 avril 1993), pp.102-105.
  • « La chanson de geste de Perla », Maison & Jardin, n°392 (avril 1993), pp.95-96.
  • « Cuisine ensoleillée, délices à l’italienne », ELLE, n°2474 (31 mai 1993), pp.114-117.
  • « L’hymne à la mer », Marie Claire Maison, n°294 (mai 1993), pp.124-130.
  • « Vacances : le Vietnam à la mode » et « Mettez-vous au vert », Marie Claire, n°490 (juin 1993), pp.15-21, 23-24 et 223-228, 230, 232 et 234.
  • « Hautes saveurs », ELLE, n°2482 (26 juillet 1993), pp.66-73.
  • « Pique-nique dans la dune », Marie Claire Maison, n°296 (juillet-août 1993), pp.110-116.
  • « C’est déjà le Sud… », ELLE, n°2484 (9 août 1993), pp.62-69.
  • « Les soupes de poissons eu chaud ou froid », Marie Claire, n°493 (septembre 1993), pp.169-172.
  • « Sept recettes sans casse-tête », ELLE, n°2492 (4 octobre 1993), pp.130-133.
  • « Délice de Sologne », ELLE, n°2493 (11 octobre 1993), p.170.
  • « 5 menus à la carpe » et « Table », ELLE, n°2495 (25 octobre 1993), pp.110-113 et 125.
  • « Les recettes de Kenzo », Marie Claire Maison, n°298 (octobre 1993), pp.122-128.
  • « Deux grands menus pour votre noël, le réveillon des chefs », ELLE, n°2502 (13 décembre 1993), pp.110-115.
  • « La fête et après ? », ELLE, n°2503 (20 décembre 1993), p.114.
  • « Malaisie des styles sous influences », ELLE Décoration, n°44 (décembre 1993 / janvier 1994), pp.146-153 et 170.
  • « Sonia Rykiel : question de goût », Maison & Jardin, n°399 (décembre 1993 / janvier 1994), pp.59-60.
  • « Au château des merveilles », Marie Claire Maison, n°300 (décembre 1993 / janvier 1994), pp.118-123.

1994 :

  • « Réveillon de chocolat », Marie Claire, n°497 (janvier 1994), pp.126-130.
  • « La bière façon cuisine », Marie Claire Maison, n°301 (février 1994), pp.110-116.
  • « Où trouver les produits les plus savoureux », ELLE, n°2514 (7 mars 1994), p.220.
  • « Chocolat show », ELLE, n°2516 (21 mars 1994), pp.120-123.
  • « Mélanges d’orange », Marie Claire Maison, n°302 (mars 1994), pp.119-124.
  • « Murano l’ile de verre », ELLE Décoration, n°46 (mars-avril 1994), pp.138-140, 142 et 144.
  • « Chez Lorenza De’Medici » et « Hôtel mania : le Park Hôtel », Maison & Jardin, n°402 (avril 1994), pp.124-132 et 148-151 et couverture.
  • « Pâques au goût de la Provence », Marie Claire Maison, n°303 (avril 1994), pp.120-126.
  • « L’Inde au fil des étoffes », Air France Madame, n°39 (avril-mai 1994), pp.76-87.
  • « Hervé This, pourquoi le soufflé monte », ELLE, n°2522 (2 mai 1994), p.24.
  • « Branchez-vous avant tout le monde ! », ELLE, n°2526 (30 mai 1994), p.69.
  • « Cuisiner au fromage d’ailleurs », Marie Claire, n°501 (mai 1994), pp.254-258.
  • « Saveurs de Méditerranée », Marie Claire Maison, n°304 (mai 1994), pp.122-128.
  • « Allez là où personne ne va », ELLE, n°2527 (6 juin 1994), p.157.
  • « Le sommet du saumon », Marie Claire, n°502 (juin 1994), pp.238-242 et 244.
  • « Les légumes ont la primeur ! », ELLE, n°2534 (25 juillet 1994), pp.68-72.
  • « Un décor de saveurs », Marie Claire Maison, n°306 (juillet-août 1994), pp.114-120.
  • « Sous le signe des poissons », ELLE, n°2536 (8 août 1994), pp.62-67.
  • « La véritable nature du pique-nique », Marie Claire, n°504 (août 1994), pp.118-122 et 244.
  • « Touche écossaise », ELLE, n°2543 (26 septembre 1994), pp.118-123.
  • « Giono et sa Provence », ELLE, n°2544 (3 octobre 1994), pp.148-153.
  • « Venise à la vénitienne » et « Une journée à Venise avec Marie Brandolini », ELLE, n°2547 (24 octobre 1994), pp.106-113, 121 et 130.
  • « Des tourtes pochette-surprise », Marie Claire, n°506 (octobre 1994), pp.320-324 et 326.
  • « Des pâtes comme en Toscane », Marie Claire Maison, n°308 (octobre 1994), pp.120-126.
  • « Goût », ELLE, n°2550 (14 novembre 1994), p.182.
  • « Champagne » et « Gastronomie », ELLE, n°2551 (21 novembre 1994), pp.154 et 166.
  • « Embarquement pour le style philippin », ELLE Décoration, n°51 (novembre 1994), pp.130-137 et 170.
  • « Un menu allegro presto », Maison & Jardin, n°408 (novembre 1994), pp.53-54.
  • « A la table de Jean Giono », Marie Claire Maison, n°309 (novembre 1994), pp.128-134.
  • « Le réveillon des chefs, le noël alsacien », ELLE, n°2554 (12 décembre 1994), pp.168-173.
  • « Quoi de neuf pour le 31 ? », ELLE, n°2555 (19 décembre 1994), p.18.
  • « Le meilleur guide du Rouergue est sa mémoire », GEO, n°190 (décembre 1994), pp.128-138 et 141.
  • « Souper à la vénitienne », Marie Claire Maison, n°310 (décembre 1994 / janvier 1995), pp.142-148.

1995 :

  • « 7 recettes sur un plateau », ELLE, n°2565 (27 février 1995), pp.100-103.
  • « Fromages de saison et de raison », Marie Claire, n°510 (février 1995), pp.178-180.
  • « Un goût de soleil dans l’hiver », Marie Claire Maison, n°311 (février 1995), pp.117-122.
  • « Philippines, le rêve en sept mille iles », Air France Madame, n°44 (février-mars 1995), pp.56-69.
  • « Agapes libanaises », Marie Claire Maison, n°312 (mars 1995), pp.118-124.
  • « Hôtel mania : la Certosa Di Maggiano », Maison & Jardin, n°412 (avril 1995), pp.156-161.
  • « La saison des terrines », Marie Claire Maison, n°313 (avril 1995), pp.122-128.
  • « La cuisine au miel », Marie Claire Maison, n°314 (mai 1995), pp.120-126.
  • « Un printemps en Toscane », Marie Claire Maison, n°315 (juin 1995), pp.122-128.
  • « Escale en baie de Somme », ELLE, n°2586 (24 juillet 1995), pp.84-91.
  • « Un vrai goût de Provence », Marie Claire Maison, n°316 (juillet-août 1995), pp.120-126.
  • « Quinze trucs pour dompter poissons et crustacés », Marie Claire, n°516 (août 1995), pp.135-136, 138, 140, 142 et 144.
  • « Délices sans artifice » et « Simplissime pureté », Marie Claire Maison, n°318 (octobre 1995), pp.108-113, 130 et 114-115.
  • « Du rififi dans le potage », ELLE, n°2604 (27 novembre 1995), pp.108-111.
  • « Saveurs de sous-bois », Marie Claire Maison, n°319 (novembre 1995), pp.114-119 et 136.
  • « Les bonheurs de Sophie », Maison Côté Ouest, n°7 (hiver 1995), pp.99-107.
  • « Réveillon à la russe » et « Sur fond de samovar », Marie Claire Maison, n°320 (décembre 1995 / janvier 1996), pp.120-125 et 126-127.

1996 :

  • « Des crêpes qui sortent de l’ordinaire », Marie Claire, n°522 (février 1996), pp.187-190.
  • « Vite fait, grand effet », Marie Claire Maison, n°321 (février 1996), pp.104-109.
  • « Gelée de printemps », Marie Claire Maison, n°323 (avril 1996), pp.88-93 et 116.
  • « L’intimité des jardins d’Irlande », Marie Claire Maison, n°324 (mai 1996), pp.114-125 et 128.
  • « Saveurs irréductibles du Pays Basque », « La métamorphose du cochon », « Les copains d’abord », « La piperade célèbre et méconnue », « Irouléguy, vin d’Euzkadi », « Les recettes de notre pays » et « Guide pratique », Cuisine du Terroir, n°9 (mai-juin 1996), pp.22-23, 25-31 et 32-37 et 38-43 et 44 et 46-51 et 53-70 et 73-77 et couverture.
  • « Un pique-nique très sophistiqué », ELLE, n°2638 (22 juillet 1996), pp.74-77.
  • « Saveurs catalanes », ELLE, n°2642 (19 août 1996), pp.82-83.
  • « Là-bas, au Connemara… », ELLE, n°2648 (30 septembre 1996), pp.148-151.
  • « L’olive, reine des épices », Marie Claire Maison, n°327 (septembre 1996), pp.100-105.
  • « Passion, délices et graines », « Invitation marocaine » et « Ambiance mille et une nuits », Marie Claire Maison, n°329 (novembre 1996), pp.52, 54 et 120-123, 152 et 124-125.
  • « Fruits de la terre et des eaux », « Les festins de Nancy », « L’irrésistible ascension du canelé », « 95-96 Bordeaux reprend des couleurs », « Les recettes de notre pays » et « Guide pratique », Cuisine du Terroir, n°12 (novembre-décembre 1996), pp.20-28 et 36-41 et 42-43 et 44-49 et 51-69 et 72-75 et couverture.
  • « Trois réveillons par le menu », ELLE, n°2659 (16 décembre 1996), pp.130-137.
  • « Fines comme des coupes », « Noël du Nord » et « Festin alsacien », Marie Claire Maison, n°330 (décembre 1996 / janvier 1997), pp.84-87 et 102-107 et 130-137.

1997 :

  • « Roulés boulés chocolatés », Marie Claire, n°533 (janvier 1997), pp.137-142.
  • « La dame aux cardons », Cuisine du Terroir, n°13 (janvier-février 1997), pp.32-37.
  • « Leçon de choux », Biba, n°204 (février 1997), pp.118-121.
  • « Miroir, mon beau miroir », Marie Claire Maison, n°331 (février 1997), pp.80-83.
  • « Pêches en fleurs », ELLE, n°2672 (17 mars 1997), pp.156-159.
  • « La romance d’un potager » et « Petit légumes de printemps », Marie Claire Maison, n°332 (mars-avril 1997), pp.92-97 et 98-103 et 160.
  • « La saveur des bonnes feuilles », ELLE, n°2680 (12 mai 1997), pp.228-231.
  • « Soupes fraîches », Marie Claire Maison, n°333 (mai-juin 1997), pp.112-115.
  • « Dimanche à la guinguette », Marie Claire Maison, n°335 (septembre 1997), pp.92-97.
  • « Pommes, poires, sucré-salé », Marie Claire Maison, n°336 (octobre 1997), pp.98-103.
  • « Sur le métal argenté : spectaculaires, les pommes de terre ! », ELLE Décoration, n°75 (novembre 1997), pp.162-165.
  • « Des fleurs dans le potager » et « L’Inde dévisagée », Marie Claire Maison, n°337 (novembre 1997), pp.80-85, 165 et 104-118.
  • « L’éclat du diamant noir », ELLE, n°2710 (8 décembre 1997), pp.154-159.
  • « Les Guérard aux fourneaux pour les 10 ans de « ELLE Déco » ! », ELLE Décoration, n°76 (décembre 1997 / janvier 1998), pp.208-217, 260, 262, 264 et 266.

1998 :

  • « Quand les fromages font recettes… », ELLE, n°2717 (26 janvier 1998), pp.98-103.
  • « Avec la bière, faLites mousser les capiteux plats du Nord », ELLE Décoration, n°77 (février 1998), pp.120-123.
  • « L’art du brunch », Gala, n°242 (du 29 janvier au 4 février 1998), pp.64-66.
  • « Le grand spectacle des bocaux contenants contenus : un régal aussi pour la vue », ELLE Décoration, n°78 (mars 1998), pp.118-121.
  • « La Syrie ou les vestiges du paradis », Marie Claire Maison, n°340 (mars-avril 1998), pp.120-132.
  • « Devenez pro du pain », ELLE, n°2732 (11 mai 1998), pp.164-167.
  • « Spécialités éoliennes », Marie Claire Maison, n°341 (mai-juin 1998), pp.158-163 et 200.
  • « Petites leçons de bouquets », Atmosphères, n°19 (juin 1998), pp.110-115.
  • « La Corse de mère en fille », Marie Claire, n°551 (juillet 1998), pp.155-160.
  • « Surimi mon ennemi », Marie Claire, n°552 (août 1998), pp.157-162.
  • « Spécial maternité », Votre Beauté, supplément n°718 (juin 1998), pp.14 et 20.
  • « Au théâtre de la table réveillon en trois tableaux », ELLE Décoration, n°84 (décembre 1998 / janvier 1999).
  • « Menu spécial » et « Un bouquet d’Afrique », Marie Claire Maison, n°346 (décembre 1998 / janvier 1999), pp.140-144 et 160-165.

1999 :

  • « Par ici la bonne soupe », ELLE, n°2769 (25 janvier 1999), p.18.
  • « La saveurs d’autrefois à l’honneur », Air France Magazine, n°22 (février 1999), pp.110-114.
  • « Fruits rouges », Marie Claire Maison, n°349 (mai-juin 1999), pp.178 et 228.
  • « Bien manger en Périgord », Air France Magazine, n°27 (juillet 1999), pp.140-142 et 144.
  • « Recettes aux citrons », Marie Claire Maison, n°351 (septembre 1999), pp.128-133 et 170.
  • « Graphiques graminées », Marie Claire Maison, n°352 (octobre 1999), pp.160-165.
  • « Le trésor des Vilmorin », Marie Claire Maison, n°353 (novembre 1999).

2000 :

  • « Ah ! Les petites soupes de Paris… », ELLE, n°2820 (17 janvier 2000), p.92.

2002 :

  • « King of the road », British Journal of Photography, n°26 (juin 2002), pp.16-18.
  • « Visionary », Classic Cars, n°2 (février 2002), pp.106-110.

2005 :

  • « Les halles de la Villette, 1958 », Fario, n°2 (automne-hiver 2005), pp.254-255.

2006 :

  • « André Martin l’enchanteur », Epok, n°57 (novembre 2006), p.15.

2008 :

2014 :

  • « L’académie des savoir-faire », Le Monde d’Hermès, n°65 (automne-hiver 2014), p.113.

Et de nombreuses autres publications dans Air France Madame, Air France Magazine, Atmosphères, Le Chasseur Français Cuisine, Cosmopolitan, Cuisine du Terroir, Cuisine et Vins de France, Décoration Internationale, Le Double Chevron, ELLE, ELLE Décoration, L’Express, Figaro Magazine, Gala, House & Garden, Joyce, Madame Figaro, Madame Jour de France, Maison Côté Ouest, Maison & Jardin, Maison Française, Marie Claire, Marie Claire Maison, Marie France, Nikon-News, Notre Temps, Le Nouvelle Observateur, Photo, Vogue, Vogue Décoration, Votre Beauté et Zoom.

Clients[modifier | modifier le code]

Aéroports de Paris, A.G. Concept Architecture, Air France, Alibert, Arcurial, Audi, Banque Française du Commerce Extérieur, Banque Nationale de Paris, Boucheries Bernard, Bridel, BSN, Cacharel, Carmaud, Carrefour, Cassegrain, Citroën, Comilog, Control Data, Côtes du Roussillon, Courrèges, De Dietrich, Delpire Publicité, Ducati, Dunlop, EDF, Eggert, Ercuis, ERDF, Essel, Esso, Federal-Mogul, Ferodo, Ford, Givenchy, Grand Hôtel du Lion d’Or, Habitat, Hardelot, Hermès, Heuliez, Junex, Kawasaki, Kodak, Kronenbourg, Le Droff, Lelievre, Loewe, LVMH, Manuel Canovas, Maudor, Maxim’s, Mazda, Mercedes-Benz, Minolta, Moët-Hennessy, Moto Guzzi, Nature & Découvertes, Nikon, Opel, Opéra de Paris, L’Oréal, Pampryl, Pentax, Petit Bateau, Peugeot, Picard Surgelés, Région Lorraine, Renault, Roussel, Rubafix, Lorenzo Rubelli, Saft, Saint-Gobain, Schlumberger, SK&F, Sofitel, Solamor, Sony, Sovac, S.T. Dupont, Stein Surface, Tagamet, Tourisme Irlandais, Tourisme Morbihan, Tourisme Tunisien, Trigano, Verto, Volvo, Vuitton, Whiskas, Yves Saint Laurent et bien d'autres...

Notes et références[modifier | modifier le code]

Assistants[modifier | modifier le code]

Remerciements[modifier | modifier le code]

A Michelle Caroly qui a écrit le texte principal de cette biographie.

A tous ceux qui ont croisés la route d’André Martin ou participé à son travail et à cette biographie : les services iconographiques du magazine ELLE et Marie-Claire, Marion Bayle, Sylvie Binet, Bertrand Bouët-Willaumez, Nicolas Bruant, Claude Caroly, Marie-Christine et Didier Clément, Henri Coste, Anne-Laurence De Blonay, Robert Delpire, Jeanne Dodeman, Sophie et Jean-Michel Gasquet, Esther Henwood, Marie Kalt, Nathalie Le Foll, Monique Maine, Sarah Moon, Annebelle Potin, Jacqueline Saulnier, Raymond de Seynes, Sylvie Tardrew, Nicole Vallery-Radot, Elisabeth Védrenne et bien d’autres…

Références[modifier | modifier le code]

  1. Chez les coupeurs de tête de Bornéo, texte de Pierre lvanoff, photographies d’André Martin, Paris, éd. Arthaud, 1955, 112 p. plus 8 p. de photographies supplémentaires.
  2. Cante hondo, texte de José Bergamin, photographies d’André Martin, Paris, éd. du Seuil, « Petite planète », album n°2, 1957, 141 p.
  3. Le christ s’est arrêté à Eboli, texte de Carlo Lévi, Paris, éd. Gallimard, 1948 [réédition collection Folio n°954, 1977 et 2001], 248 p. [320 p.], (ISBN 2070239276 et 9782070369546)
  4. Danilo Dolci. Les noires vallées du repentir, Paris : éd. Entente, 1975, p.43
  5. François Laplantine. Les noires vallées du repentir, Paris : éd. Entente, 1975, p.7
  6. Les noires vallées du repentir, "Contributions à l'étude de la mentalité magico-religieuse en Italie méridionale", introductions de Danilo Dolci et François Laplantine, textes de Michelle et André Martin, photographies d’André Martin, Paris, éd. Entente, collection « Impacts », 1975, 129 p., Prix Nadar 1977, (ISBN 2-7266-0013-1)
  7. Le château de Chambord, texte de Pierre Gascar, notices techniques et historiques de Paul-Robert Houdin, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1962, 117 p. ; Et Le Nouvel Observateur / Delpire, 1976, 115 p.
  8. La grande mosquée de Kairouan, texte de Paul Sebag, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1963, 125 p. ; et Le Nouvel Observateur / Delpire, 1977, 123 p.
  9. La basilique Saint-Marc, texte de Pierre Gascar, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1964, 167 p.
  10. La Tour Eiffel, texte de Roland Barthes, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1964, 119 p., (ISBN 2-86754-055-0)
  11. Les temples de Khajurâho, texte de Marcel Flory, préface de Raja Rao, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Le génie du lieu », 1965, 162 p.
  12. Tout Paris, texte de Claude Roy, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Terre ouverte », 1964, 212 p.
  13. Jacques Wolgensinger.
  14. Quatre saisons, préface de Jacques Wolgensinger, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, 1979, 70 p.
  15. Jacques Wolgensinger. Quatre saisons, Paris : éd. Delpire, 1979, p.4
  16. Robert Delpire.
  17. André Martin propos recueillis par Gabriel Bouret. Photographies Magazine, n°2 (février 1988), p.63
  18. André Martin propos recueillis par Gabriel Bouret. Photographies Magazine, n°2 (février 1988), p.63
  19. Jean Giono. Schéma d’un thème pour la conversation sur la gastronomie, Aix-en-Provence, Rencontres de la Gastronomie, 1954 ; Le goût du bonheur, la Provence gourmande de Jean Giono, Paris : éd. Albin Michel, 1994, p.10
  20. En cour de vérification
  21. Colette gourmande, textes de Marie-Christine et Didier Clément, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1990, 207 p., (ISBN 2-226-04898-7)
  22. Sologne gourmande, le cahier secret de Silvine, textes de Marie-Christine et Didier Clément, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1992, 192 p., (ISBN 2-226-05907-5)
  23. Les délices des petites filles modèles, souvenirs et desserts de la comtesse de Ségur, textes de Marie-Christine et Didier Clément, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1995, 142 p., (ISBN 2-226-07954-8)
  24. A la table de George Sand, texte de Christiane Sand, collaboration Esther Henwood, photographies d’André Martin, Paris, éd. Flammarion, 1987, [2e éd. 2002], 240 p., (ISBN 2-08-200512-7)
  25. Le goût du bonheur, la Provence gourmande de Jean Giono, texte de Sylvie Giono, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1994, 189 p., (ISBN 2-226-07499-6)
  26. Les recettes du marché, texte de Sylvie Tardrew, photographies d’André Martin, Paris, éd. du Chêne, 1998, [2e éd. 2010], 191 p., (ISBN 2-84277-059-5 et 978-2-81230-187-2)
  27. L’Alsace des saveurs retrouvées, textes d'Antoine Westermann et Jean-Luc Petitrenaud, photographies d’André Martin, Paris, éd. Albin Michel, 1996, 167 p., (ISBN 2-226-08792-3)
  28. Carluccio's complete italian food, textes de Antonio et Priscilla Carluccio, photographies d’André Martin, Londres, éd. Quadrille Publishing Limited, 1997, 320 p., (ISBN 1-899988-31-9) ; édition française : La bonne cuisine italienne des Carluccio, Paris, éd. Hachette, 2002, 320 p., (ISBN 201236265-6)
  29. Images d'une France, préface de Pierre Gascar, photographies d’André Martin, Paris, éd. Le Nouvelle Observateur / Delpire, 1977, [2e éd. 1980], 89 p.
  30. Pierre Gascar. Images d’une France, Paris : éd. Delpire, 1977, p.5
  31. Jacques Wolgensinger. Quatre saisons, Paris : éd. Delpire, 1979, p.5
  32. Jacques Wolgensinger. Quatre saisons, Paris : éd. Delpire, 1979, p.5
  33. Toute la Normandie, texte de Jean Roman, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, collection « Terre ouverte », 1965, 185 p.
  34. Botanica (exposition collective), série Vie et mort d'un iris, Paris, Centre National de la Photographie, Palais de Tokyo, du 10 décembre 1987 au 29 février 1988.
  35. Botanica (exposition collective), série Vie et mort d'un iris, Paris, Centre National de la Photographie, Palais de Tokyo, du 10 décembre 1987 au 29 février 1988.
  36. Jacques Wolgensinger. Quatre saisons, Paris : éd. Delpire, 1979, p.5
  37. Fragments d’une histoire naturelle, préface d’Erik Orsenna, photographies d’André Martin, Paris, éd. Delpire, 2006, 130 p., (ISBN 2-85107-227-7)
  38. Ester Henwood. Photographies Magazine, n°2 (février 1988), p.71
  39. Ester Henwood. Photographies Magazine, n°2 (février 1988), p.71
  40. Robert Delpire.

Liens externes[modifier | modifier le code]