Ceci est une version archivée de cette page, en date du 16 novembre 2019 à 14:03 et modifiée en dernier par 2a01:cb10:a:aa00:f4d0:6434:f202:85f0(discuter). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Le prix de la combativité est une récompense donnée au Tour de France, récompensant les attaquants. Après 1981, aucun cycliste l'ayant remporté n'a gagné le Tour la même année.
Un prix de la combativité a été attribué à l'issue de chaque étape à partir de l'édition 1952[1], mais c'est seulement à partir de 1956, qu'un prix de la combativité pour l'ensemble du Tour est attribué, André Darrigade étant le premier récompensé[1].
Le système des prix a changé au cours des années. Historiquement, les coureurs accumulaient des points, mais le système actuel attribue des prix à chaque étape, sauf pour les étapes de contre-la-montre, puis un prix appelé « super-combatif » récompense le coureur le plus combatif pour l'ensemble du Tour. Ce titre est décerné après la dernière étape[2]. Le coureur doit impérativement terminer la course afin de gagner le prix.
Il n'y a pas de maillot spécifique pour le coureur le plus combatif, mais son numéro de coureur est indiqué en blanc sur fond rouge au lieu de l'habituel noir sur blanc.
À partir de 2003, le prix de la combativité est décerné par un jury composé de journalistes, d'anciens coureurs cyclistes et d'organisateurs de la Grande Boucle.
↑ a et b(fr) « Règlement du tour de France », sur LeTour.fr (consulté le ) : « Il est remis à l’issue de chaque étape par un jury composé de huit spécialistes de cyclisme. Un « super-combatif » est désigné après la dernière étape du Tour.[...]Le Prix de la Combativité est parrainé par la marque d'électroménager Brandt depuis 2005. »
↑(fr) « Antargaz, parrain du Prix de la Combativité », sur LeTour.fr (consulté le ) : « Antargaz franchit une nouvelle étape dans son engagement avec le Tour de France en devenant parrain du Prix de la Combativité. »