Michel Berger

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Michel Berger
Michel Berger (1990).
Biographie
Naissance
Décès
(à 44 ans)
Ramatuelle (France)
Sépulture
Nom de naissance
Michel Jean Hamburger
Pseudonyme
Michel BergerVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Père
Mère
Fratrie
Conjoint
France Gall (de à )Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
Pauline Berger (d)
Raphaël HamburgerVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Instrument
Label
Pathé Marconi / EMI (1963-1971)
Warner Music (1972-1992)
Genre artistique
Discographie
Sépulture de Michel Berger au cimetière de Montmartre (division 29).

Michel Hamburger, dit Michel Berger, est un pianiste, auteur-compositeur-interprète, directeur artistique et arrangeur musical français, né le à Neuilly-sur-Seine et mort le à Ramatuelle dans le Var. Il était l'époux de la chanteuse France Gall.

Biographie

Jeunesse

Michel Berger, né le à Neuilly-sur-Seine, est le fils du professeur de médecine et néphrologue Jean Hamburger et de la concertiste Annette Haas, tous deux de confession juive et convertis au protestantisme[1]. « De sa mère il reçoit une éducation stricte, athée, rationaliste, rigoriste aussi »[2].

Il est âgé de cinq ans lorsque son père, ayant subi une sérieuse opération des poumons qui le laisse curieusement et partiellement amnésique (il se souvient de tout sauf de sa famille), abandonne femme et enfants sans aucune explication[3].

Il est scolarisé au lycée Carnot (Paris, XVIIe arr.). Il fait des études de philosophie et obtient, à 21 ans, sa maîtrise avec l'Esthétique de la pop musique comportant une étude comparative des deux derniers albums de Jimi Hendrix[4],[5]. Il a été le compagnon de Véronique Sanson.

Années 1960 : Débuts dans la musique

Michel Berger se fait connaître en tant que chanteur dès l'époque de Salut les copains dans les années 1960. En 1963, il fait sa première apparition à la télévision en chantant la chanson la Camomille[6]. C'est également en 1963 qu'il sort un premier EP 45 t avec la chanson phare D'Autres Filles. D'autres 45 tours vont suivre mais n'accrochent pas le public.

Il figure sur la « photo du siècle » regroupant 46 vedettes françaises du mouvement « yéyé » en .

Michel Berger passe ensuite à la production chez EMI où il écrit, entre autres, pour Bourvil (Les Girafes) en 1967, et pour Vanina Michel, avec qui il a une histoire[7] en 1969.

Années 1970 : Collaborations

Entré chez Warner Music en 1972, il produit les deux premiers albums de sa compagne de l'époque, Véronique Sanson.

L'année suivante, il décide de relancer sa carrière de chanteur en enregistrant son premier album solo, Michel Berger communément appelé Cœur brisé[N 1], après le départ de Véronique Sanson. Seuls les titres Pour me comprendre et Attends-moi émergent de l'album.

Le premier succès de Michel Berger arrive durant l'été de la même année avec Écoute la musique (Quelle consolation fantastique) juste après sa rencontre avec sa nouvelle muse France Gall qui commence à avoir la notoriété.

Entre-temps, il relance la carrière de Françoise Hardy avec l'album Message personnel la même année hjvet produit également son 45 tours suivant, Je suis moi, en 1974.

En 1975, il connaît un succès mitigé avec l'album Que l'amour est bizarre dont la chanson éponyme et Seras-tu là ? sont les deux plus réussies. L'année suivante, seule la chanson Mon piano danse, extraite de l'album homonyme, connaît un modeste succès.

La même année, il écrit pour France Gall La Déclaration d'amour. Il relance la carrière de la chanteuse et produira tous ses albums à partir de 1975 ; il l'épouse le .

Le projet Starmania (1978-1979)

Michel Berger écrit avec Luc Plamondon l'opéra-rock Starmania[8]. Le double album studio sort en 1978. Il est notamment interprété par France Gall, Claude Dubois, Daniel Balavoine, Diane Dufresne, Nanette Workman, Éric Estève et Fabienne Thibeault. Starmania, le spectacle, créé au Palais des congrès de Paris en 1979, remporte un vif succès, réitéré en 1988 avec, entre autres, Maurane, Sabrina Lory, Renaud Hantson, puis avec des distributions différentes lors des reprises dans les années 1990 (une version anglaise, nommée Tycoon sera réalisée en 1992).

Années 1980 : Le succès en tant que chanteur

Mais c'est en 1980 qui est l'année charnière pour Michel Berger ; son nouvel album Beauséjour connaît trois grands succès publics : La Groupie du pianiste, Quelques mots d'amour et Celui qui chante. La même année, il monte sur scène au théâtre des Champs-Élysées, avec le même succès.

En 1982, il crée sa propre maison de disques, Apache, distribuée par Warner Music France. Il connait un nouvel échec avec son album d'opéra-rock Dreams in Stone la même année, mais cela n'aura aucune incidence sur le succès nouveau en tant que chanteur.

Michel Berger aligne encore d'autres succès comme Mademoiselle Chang en 1981, Voyou et Les Princes des villes en 1983, Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux et Y'a pas de honte en 1985.

Il fait partie des artistes français à s'être engagés de très près dans des œuvres humanitaires, particulièrement pour celle d'Action Écoles en 1985 aux côtés de France Gall, Richard Berry, Daniel Balavoine et Lionel Rotcage, mais aussi pour l'Éthiopie avec Renaud (Chanteurs sans frontières) et pour Les Restos du cœur avec Coluche.

En 1985, il écrit et réalise l'album Rock 'n' Roll Attitude de Johnny Hallyday. Pour ce dernier, il réalise encore le double album live Johnny à Bercy, captation du spectacle Johnny se donne à Bercy qu'il met en scène et qu'Hallyday donne en septembre 1987 au Palais omnisports de Paris-Bercy, avant de réaliser celui de France Gall à la fin de la même année, Le Tour de France 88.

En 1988, dans une interview à Michel Denisot, il déclare être fasciné par Édouard Lock, Duke Ellington, le film Amadeus, Jacques Kerchache et Vanessa Paradis : « On lui tape beaucoup dessus et c'est très-très bon signe. […] elle va devenir une très-très grande vedette »[9].

Après un concert au Zénith en 1986, année de la mort de ses amis Daniel Balavoine et Coluche, il n'écrit à partir de cette période que des chansons pour France Gall, pour l'opéra-rock La Légende de Jimmy, et, en 1988, réalise avec sa propre équipe de musiciens la version d'Allah tirée de l'album de Véronique Sanson Moi le venin, figurant sur l'album, tandis que la version initiale, différente et plus courte, sort sur un simple CD maxi. Ce titre est censuré, et, à la suite de l’affaire des Versets sataniques de Salman Rushdie, lui vaut de recevoir des menaces de mort. La chanson raconte le périple d'une femme kamikaze interprétée dans le clip par Hiam Abbass. Pour les auteurs de ces menaces, la chanson est sacrilège, alors que selon la chanteuse, c'est une chanson pacifiste.

Années 1990 : Dernières années

En 1990, il compose un nouveau spectacle musical dont le texte est toujours écrit par Luc Plamondon, La Légende de Jimmy, inspiré de la vie de James Dean, avec Diane Tell, Renaud Hantson, Tom Novembre, Nanette Workman et une mise en scène signée Jérôme Savary. Ce spectacle obtient peu de succès.

Il revient en tant que chanteur avec l'album Ça ne tient pas debout, dont Le Paradis blanc en 1990, qui sera son dernier succès en solo. Dans Lunettes noires pour nuits blanches, en 1990, il raconte que le premier disque qu'il a acheté était de Ray Charles[10].

Le sort un album interprété pour la première fois en duo avec France Gall, Double Jeu. Le , jour de leur seizième anniversaire de mariage, le couple donne un concert intimiste à la salle New Morning à Paris[11],[12]. Une tournée est programmée : elle devait débuter à la Cigale de Paris, faire étape dans plusieurs grandes villes du monde (comme à Phnom Penh où le couple avait séjourné l'année précédente[13]), parcourir la francophonie et s'achever au Palais omnisports de Paris-Bercy[14],[15].

Mort

L'été 1992, il se ressource dans sa propriété de Ramatuelle, dans le sud de la France, auprès de son épouse France Gall ; il meurt, le , d'une crise cardiaque à la suite d'une partie de tennis avec Marie-Françoise Holtz, épouse du journaliste Gérard Holtz, présent lui aussi sur les lieux.

Fabienne Thibeault qui a collaboré avec l'artiste entre 1978 et 1979, considère que c'est l'enregistrement de l'album Double Jeu qui aurait épuisé Michel Berger en raison de désaccords artistiques avec France Gall, et que le supposé règlement de ses problèmes de couple avec l'avocat aurait engendré chez lui une grande anxiété[16].

Michel Berger est inhumé au cimetière de Montmartre à Paris, dans la 29e division. Après une bataille juridique l'opposant à la sœur de Michel, Françoise (dite Franka) Berger (alors tutrice de leur mère Annette Haas), France Gall obtient en octobre 1999 le transfert de la sépulture de Michel Berger dans la concession de Pauline située quelques mètres plus loin[17], et que la chanteuse fait transformer en maison de verre le [18].

À la suite du décès de Michel Berger, France Gall assurera seule les concerts de la tournée Double Jeu programmée à travers la France, la Suisse et la Belgique

Hommages

Allée Michel-Berger dans le parc Monceau.

En 1992 ouvre la salle de concert EMB (Espace Michel Berger) à Sannois[19], en hommage à l'artiste.

Une salle municipale de la commune du Plessis-Pâté en Essonne porte son nom.

En 2012, la mairie de Paris lui rend hommage en donnant son nom à une allée du parc Monceau, situé non loin de son ancien domicile.

Le au Palais des sports de Paris, a lieu la première représentation d'une comédie musicale de France Gall et de son compagnon Bruck Dawit, Résiste, reprenant certaines de ses chansons.

En , TF1 lui consacre une émission, intitulée Michel Berger, 25 ans déjà - L'hommage symphonique. Une émission d'une heure et demie (enregistrée le mardi à La Seine musicale), présentée par Nikos Aliagas, où plusieurs artistes parmi lesquels Christophe Willem, Claudio Capéo, Élodie Frégé, Isabelle Boulay, Marina Kaye, Nolwenn Leroy, Raphaël, la troupe Résiste, Shy'm, Slimane, Tal, Vincent Niclo, Loïc Nottet […], reprennent les grands succès de Michel Berger.

Le Google lui dédie un doodle (page d'accueil personnalisée) pour les 72 ans de sa naissance.

Michel Berger et le cinéma

À la fin de l'année 1984, Michel Berger manifeste un certain intérêt pour le cinéma. Beaucoup de ses proches diront que le chanteur allait vers « une vie derrière la caméra ». Désireux d'apprendre à manier l'outil cinématographique, il réalise en 1987 le clip de France Gall Babacar, et en 1988 celui de Papillon de nuit. Au début des années 1990, il rencontre Jacques Kerchache. Les deux hommes ont un intérêt commun : la place de l'artiste dans la société. Ils travaillent ensemble à l'écriture d'un film : Totem, mais le projet n'aboutit pas à cause de la mort du chanteur.

Par ailleurs, il compose plusieurs musiques de films : Mektoub d'Ali Ghalem (1970), Sérieux comme le plaisir de Robert Benayoun (1975), Tout feu, tout flamme de Jean-Paul Rappeneau (1982) et Rive droite, rive gauche de Philippe Labro (1984). Il compose également les musiques de films publicitaires, dont celle d'Orangina.

Vie privée

De son union le avec France Gall naissent deux enfants : Pauline Isabelle, née le , qui meurt le d'une mucoviscidose, et Raphaël Michel, né le .

À Paris, il a vécu avec France villa de Beauséjour (16e arrondissement)[20]. En 1986, le couple emménage dans un immeuble haussmanien près du parc Monceau (17e arrondissement)[21], où ils passent le reste de leur vie[22]. Dans les années 1970, ils acquièrent aussi la maison du Clos Saint-Nicolas, une résidence à Vasouy, près d'Honfleur (Normandie), qu'agrandit par la suite le frère architecte de Michel Berger. C'est ici que le chanteur aurait composé le tube Résiste[23].

Selon les confidences en 2012 de Franka Berger, la sœur de Michel Berger, et de Bernard Saint-Paul, un proche collaborateur de Véronique Sanson, Michel Berger vivait une histoire sentimentale avec Béatrice Grimm, jeune mannequin et apprentie-chanteuse durant les mois précédant sa mort en 1992[24], et projetait de s'installer avec elle dans une maison à Santa Monica[25].

Grégoire Colard, l'agent de Michel Berger et de France Gall, et qui avait cessé de travailler pour eux en 1990, affirme que France Gall était parfaitement au courant de la liaison extraconjugale de son époux et qu'elle en parlait librement[26]. Selon Jean-Marie Perier, photographe qui a partagé la vie de France Gall quelques mois après la mort de son mari, ils « n’étaient plus ensemble depuis pas loin de quatre ans »[27]. Hormis ces témoignages, aucun document ne permet de corroborer ces faits[réf. nécessaire]. Ni Michel Berger ni France Gall ne se sont exprimés publiquement sur ces allégations[pertinence contestée]. Par ailleurs, ni Serge Perathoner ni Jannick Top, musiciens et proches collaborateurs de Michel Berger jusqu'à sa mort, n'ont eu connaissance d'une liaison de l'artiste avec Béatrice Grimm[28].

Discographie

Albums studio

Albums live

Ces lives sont tous disponibles en CD. Néanmoins, seul Michel Berger au Zénith est disponible séparément du coffret Pour me comprendre.

Illustrations musicales

  • 1969 : Patchwork Orchestra Vol 2 - Variety / Light Music
  • 1972 : Patchwork Orchestra Vol 4 - Gai / Mélancolique

Opéra-rock

Vidéographie

  • 1989 : Starmania, live, enregistré au Théâtre Marigny 1 DVD Région 2 - Couleur, stéréo, remasterisé et réédité en 2002 — Biographies incluses de Michel Berger et Luc Plamondon — Durée 116 min — Warner Vision France
  • 2005 : Émilie ou la Petite Sirène 76, conte musical télévisé, argument de Michel Berger & Franck Lipsik — Durée 56 min — 1 DVD Région 2, INA / Éditions LCJ (émission originale télévisée enregistrée en 1976) — Réédition en et

Télévision

Filmographie (compositeur)

On aperçoit également Michel Berger en « Chef des explosifs », aux côtés de Michel Fugain et de Michel Sardou en « Étudiants résistants », trois figurants non crédités dans le film de René Clément, Paris brûle-t-il ? (1966)[32].

Bibliographie

Biographies

Essai

Photographies

  • Murielle Bisson et Patricia Martoglio (préf. France Gall), Sur les pas de France Gall et Michel Berger : road-book d'une groupie, Paris, Éditions Descartes & Cie, , 176 p., broché (ISBN 9782844462374, présentation en ligne)
  • France Gall (photogr. Thierry Boccon-Gibod), Michel Berger, Haute fidélité, Paris, Éditions Fetjaine, coll. « Musique », , 144 p., relié, 28 cm × 23 cm (ISBN 9782354253776)Document utilisé pour la rédaction de l’articleAlbum-souvenir de photos prises par l'ami d'enfance de Michel Berger, le photographe Thierry Boccon-Gibod (auteur, notamment, de nombreuses pochettes d'albums-musique), et commentées par France Gall.

Textes intégraux des opéras rock

Recueil de textes

  • Les 100 plus belles chansons de Michel Berger, Paris, Éditions Josette Lyon, coll. « Leur cent plus belles chansons », , 160 p. (ISBN 2906757004)

Notes et références

Notes

  1. Sans nom, l'album est ainsi nommé du fait de sa pochette illustré par le dessin d'un cœur rouge brisé.

Références

  1. Notice de Michel Berger, sous la plume d'Yves Bigot, dans les deux éditions du Dictionnaire du rock, sous la direction de Michka Assayas, Bouquins (2000, p. 136 et 2014, p. 193)
  2. Yves Bigot, Quelque chose en nous de Michel Berger, Paris, Éditions Don Quichotte, , p. 23
  3. « Quelque chose en nous de Michel Berger », sur elle.fr, .
  4. Lesinfluences.fr
  5. Yves Bigot : Quelque chose en nous de Michel Berger, 2012, éd. Don Quichotte, Chap. "Puzzle"
  6. « Michel Berger "la Camomille" », sur ina.fr (consulté le )
  7. nordeclair.fr
  8. Inspiré de la véritable histoire de Patricia Hearst, fille du richissime magnat de la presse américaine William Randolph Hearst.
  9. Mon Zénith à moi, sur Dailymotion.com
  10. Interview de Michel Berger dans Sacrée Soirée, sur Youtube.com
  11. Grégoire Colard, Alain Morel, France Gall, Le Destin D'Une Femme Courage, Paris, Flammarion, , 277 p. (ISBN 978-2-0812-0729-5), p. 181-182
  12. Wodrascka, Alain., France Gall muse et musicienne, D. Carpentier, (ISBN 9782841676910, OCLC 743005421, lire en ligne), p. 168-169
  13. Wodrascka, Alain., France Gall muse et musicienne, D. Carpentier, (ISBN 9782841676910, OCLC 743005421, lire en ligne), p. 165
  14. Royer, Hugues., France Gall, Michel Berger : deux destins pour une légende, Éditions du Rocher, (ISBN 2268018733, OCLC 37176285, lire en ligne), p. 191
  15. Colard, Morel Grégoire. Alain, France Gall : Le destin d'une star courage. Biographie, Flammarion, (ISBN 9782081207295, OCLC 171530767, lire en ligne), p. 192
  16. Wodrascka, Alain, Douce France (ISBN 9782354174439, OCLC 991072923, lire en ligne), p. 238
  17. Wodrascka, Alain, Douce France, 240 p. (ISBN 9782354174439, OCLC 991072923, lire en ligne)
  18. Wodrascka, Alain, Douce France, 241 p. (ISBN 9782354174439, OCLC 991072923, lire en ligne)
  19. « Site internet de l'Espace Michel Berger », sur emb-sannois.org (consulté le )
  20. Fabienne Thibeault, interviewée par Gilles Trichard, « Le jour où j'ai été embauchée pour Starmania », Paris Match, semaine du 13 au 19 décembre 2018, p. 178.
  21. Matthieu Écoiffier, « France Gall, près du piano debout », liberation.fr, 4 décembre 2002.
  22. Méliné Ristiguian, « Le jour où j'immortalise France Gall pour Paris Match », parismatch.com, 8 janvier 2018.
  23. Nicolas Schiavi, « Le refuge de France Gall et Michel Berger : là où est née la chanson Résiste », gala.fr, 9 janvier 2018.
  24. Bigot, Yves, 1955- ..., Quelque chose en nous de Michel Berger, Don Quichotte éd, dl 2012 (ISBN 9782359490824, OCLC 795471769, lire en ligne), p. 304, 307
  25. Bigot, Yves, 1955- ..., Quelque chose en nous de Michel Berger, Don Quichotte éd, dl 2012, 305, 308 (ISBN 9782359490824, OCLC 795471769, lire en ligne)
  26. Bigot, Yves, 1955- ..., Quelque chose en nous de Michel Berger, Don Quichotte éd, dl 2012, 306 p. (ISBN 9782359490824, OCLC 795471769, lire en ligne)
  27. Cité par Yves Bigot, ibidem.
  28. Bigot, Yves, 1955- ..., Quelque chose en nous de Michel Berger, Don Quichotte éd, dl 2012 (ISBN 9782359490824, OCLC 795471769, lire en ligne), p. 306
  29. Artistdirect.com
  30. Perigord.com
  31. Noted.blogs.com.
  32. Paris brûle-t-il ? sur IMDb.

Voir aussi

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Article connexe

Liens externes