Dommartin-lès-Toul
Dommartin-lès-Toul | |||||
Mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Grand Est | ||||
Département | Meurthe-et-Moselle | ||||
Arrondissement | Toul | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Terres Touloises | ||||
Maire Mandat |
Laurent Guyot 2020-2026 |
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Code postal | 54200 | ||||
Code commune | 54167 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Dommartinois, Dommartinoises [1] | ||||
Population municipale |
1 934 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 282 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 40′ 14″ nord, 5° 54′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 201 m Max. 295 m |
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Superficie | 6,87 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Toul (banlieue) |
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Aire d'attraction | Nancy (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Toul | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
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Dommartin-lès-Toul est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.
Géographie
Le ban communal de Dommartin-lès-Toul, d'une superficie de 687 Hectares, est divisé en deux zones morphologiques. De part et d'autre de l'ancienne Route Toul-Nancy (et l'autoroute A31 aujourd'hui) se trouvent : au nord, la plaine alluviale de la Moselle dans son lit Majeur (altitude moyenne 202 m) au sud, le relief (env 266 m) laissé par le creusement de la rivière dans les couches plissées des fonds marins, aux âges géologiques.
D'après les données Corine land Cover , le territoire de cette commune comprend (en 2017) près de 50 % de zones agricoles et prairies, à égalité 15 à 16 % de forêts et zones urbanisées et fait remarquable, 11 % de surfaces en eau.
Dans ce relief, arrosé par la Moselle (Rivière), le village (zonages cadastraux A) s'étend au sud de la route d'accès à Toul, tandis qu'un zone commerçante (Zonage ZL) a pris place au raccordement entre cette liaison et la route vers Villey-le-Sec (D 909). Les bois communaux (Zonage OB) ferment l'espace au sud-est et le ban de la commune voisine (Gondreville) au nord-est.
Les terres du lit de la Moselle sont en prairies ou cultures ou font l’objet d'exploitations de gravières (ZH et ZO)
Urbanisme
Typologie
Dommartin-lès-Toul est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toul, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[5] et 22 901 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[6],[7].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[8],[9].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (24,9 %), zones urbanisées (16,7 %), forêts (15,7 %), prairies (13,7 %), eaux continentales[Note 3] (11,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,3 %), zones agricoles hétérogènes (7 %), cultures permanentes (2,4 %)[10].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[11].
Toponymie
Ecclesia Domni Martini cum villa et sylva (890), Domnus Martinus secus Mosellam (XIIe siècle), Dompmartin-sus-Muselle (1346) et Dompnus Martinus ante Tullum (1384), sont les graphies rencontrées dans le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[12].
Le toponyme vient du latin médiéval Domnus Martinus, où Dom(i)nus, littéralement seigneur, maître désigne le saint. Ce type de toponyme, qui fait d'un saint le maître et le protecteur d'un lieu et de ses habitants, est particulièrement fréquent au Haut Moyen Âge. En l'espèce, le nom du village apparaît en 880 sous la forme latine (ecclesia) Domni Martini cum villa et sylva[13] (église de Saint-Martin/Dommartin avec le village et le bois).
Il a d'abord été situé par rapport à la Moselle : Domnus Martinus secus Mosellam au XIIe siècle et "Dommartin-sur-Moselle" en 1346, avant de l'être par rapport à Toul : Dompnus Martinus ante Tullum (littéralement Dommartin devant Toul) en 1384, enfin "Dommartin-les-Toul" en 1862[14].
Histoire
La carte géologique du toulois[15] montre que des terrains mésozoïques appartenant aux Systèmes triasique et jurassique affleurent en Lorraine et notamment à Dommartin (Toarcien, bajocien...)
[16] Or, Les terrains toarciens (Jurassique Inférieur) d'Europe occidentale sont bien connus pour leurs grandes richesses paléontologiques. (Les falaises de Whitby, le long des côtes du Yorkshire (Angleterre) et, surtout, les célèbres carrières d'Holzmaden, dans le Baden-Wurttemberg (Allemagne), sont les gisements toarciens les mieux connus).
Ceci explique la découverte d'un squelette de Steneosaurus, et de dents de crocodiliens sur le ban de la commune.
-
Dents de crocodiliens trouvés à Dommartin.
Préhistoire
[17] Dans une publication faisant l'état des connaissances de l'exploitation de la pierre avant l'age du bronze dans la vallée de la Moselle, Abel Lieger[18] et R Marquet expliquent ainsi la découverte régulière d'outils en quartzite taillés comme à Dommartin :
"Arrosé par la Moselle, qui dessine sa grande boucle à l'Ouest de Nancy, et par ses affluents, l'Ache, le Terrouin, la Bouvade, le Toulois est constitué par un plateau creusé de nombreuses vallées et dominé par des côtes boisées, dont les sommets atteignent 350 à 400 m. Sa situation privilégiée pour la pêche et la chasse dut attirer et fixer très tôt les populations primitives. Les sols sableux des vallées et des terrasses, faciles à cultiver, permirent de bonne heure des établissements sédentaires."
Epoque romaine
Le répertoire archéologique de Jules Beaupré[19] cite M Dufresne qu'une publication des études touloises reprend en ces termes :
[20]A 3 km de Toul, à gauche de la route de Toul à Nancy, entre Dommartin et Gondreville, à "l'Ancien Couvent", sur une superficie considérable, s'étendaient les vestiges d'une villa gallo-romaine, recouverts d'une quantité de débris de tuileaux, de briques, de poteries. Sis sur le versant de la colline, face à Toul, le bâtiment principal comprenait un autel quadrangulaire décoré d'un bas-relief sur chaque face, enjolivé d'une quantité de marbre de toutes couleurs, avec peintures à fresques, poteries fines, fibules, médailles.
Abel Liéger signale la découverte d'une dépendance de la villa citée au moment de la construction de la station d'épuration de l'ancien hôpital militaire "Jeanne d'Arc".
D'autres découvertes dans la rivière Moselle, sur la ban de la commune sont signalées dans la carte archéologique de la Gaule (CAG)[21], fragments de stèles funéraires (portant ascia) et meule à grains .
Moyen-âge
Dom Calmet évoque, au XVIIIe siècle entre autres les intérêts architecturaux dans cette commune par ces mots :
[22]"On voit dans ce lieu une belle maison avec une galerie ou colonnade , ornée de figures de pierres en sculpture , bâtie par messire Pierre Gaut(h)ier , doyen de la cathédrale de Toul , lequel a légué cette maison pour en faire un hôpital général, pour les pauvres de Toul, qui le possèdent aujourd'hui. Il y a une chapelle sous l'invocation de Saint Pierre, patron du fondateur. L'archevêque Herbert rapporte que Saint-Bernard opéra un miracle à Dommartin."
La paroisse, qui dépend de l'évêché de Toul, est située en Lotharingie, royaume issu du partage de l'empire de Charlemagne. Son nom fait référence à l'église de Saint-Martin de Tours et l'influence de l'Église est forte, à cette époque, dans toutes les décisions politiques.
Dommartin-lès-Toul est alors sous la protection du comte de Toul, qui ne parvint cependant pas à faire obstacle aux invasions hongroises[23] et normandes.
On estime alors la population à environ 180 habitants dont la vie était organisée autour de la culture du blé et de la vigne ainsi que de l'élevage au profit des moines de l'abbaye de Saint-Epvre. La traversée de la Moselle à cette époque, pour rejoindre Toul, reste encore une énigme de nos jours (pont, bac, gué).
Epoque moderne
Il y a, sur le territoire communal, au lieu-dit du même nom, un ouvrage (redoute) du système fortifié Seré de Rivières. On rapporte la présence du Frontstalag 162 pendant la Seconde Guerre mondiale.
Politique et administration
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].
En 2021, la commune comptait 1 934 habitants[Note 4], en évolution de −3,88 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et viticole , au XIXe siècle:
« Surface territ. , 684 hect. Cadastrés, dont 246 en terres labour. , 123 en vignes d'un assez bon produit , quoique le vin soit dur , et 53 en prés. L'hectare semé en blé et orge peut rapporter de 12 à 13 hectol., en seigle 15, en avoine 13 ; planté en vignes 20 hectol. Vaches et brebis. Principale culture : la vigne »[30],[31]
Secteur primaire ou Agriculture
Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.
D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[32]), la commune de Dommartin-lès-Toul était majoritairement orientée[Note 5] sur la polyculture et le poly - élevage (auparavant même production ) sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 300 hectares (inférieure à la surface cultivable communale) en diminution depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 318 à 210 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 1 (8 auparavant) exploitation(s) agricole(s) ayant son/leur siège dans la commune employant 2 unité(s) de travail[Note 7]. (9 auparavant)
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Vestiges de villa gallo-romaine au lieu-dit l'Ancien Couvent.
- [33]Ancien château des comtes de Fontenoy.
- Ancienne redoute.
- Monument aux morts.
L'église Saint-Martin de Dommartin-lès-Toul a été construite en 1841 en remplacement de celle consacrée vers 750 et devenue trop exiguë. L'ancienne église avait été conçue de style roman mais son état de délabrement à l'époque ne permettait pas de réfection utile. La nouvelle église fut construite sur les plans de l'architecte Antoine dans le style des basiliques romaines.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Voir aussi
Bibliographie
- G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- « Dommartin-les-Toul », Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur https://galeries.limedia.fr
- Dommartin-lès-Toul sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
- Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
- Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
Références
- https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Toul », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
- Benoit, Histoire ecclesiastique et politique de la ville et diocese de Toul, par le reverend pere Benoit de Toul .., chez Alexis Laurent, (lire en ligne).
- Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
- J.-C. FLAGEOLLET, J. LE ROUX et P.-L. VINCENT avec la collaboration de J. DELAUNAY, Ch. GUILLAUME, Ph. RENAUD, J. RICOUR, J. TIMBAL et J. VOGT, « NOTICE EXPLICATIVE DE LA FEUILLE TOUL A 1/50 000 », sur http://www.brgm.fr/ (consulté le ).
- Pascal GODEFROIT, « LES REPTILES MARINS DU TOARCIEN (JURASSIQUE INFERIEUR) BELGO-LUXEMBOURGEOIS », sur https://core.ac.uk, .
- R. Marquet et Abel Liéger, « Stations à quartzites du Toulois », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 58, no 11, , p. 748–755 (DOI 10.3406/bspf.1961.3794, lire en ligne, consulté le ).
- http://viaf.org/viaf/76431908|notice internationale d'autorité|Lieger, Abel, 1914-..
- Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 57.
- « L'inventaire du Toulois 2e partie : Sites archéologiques par Jean-Yves CHAUVET ».
- Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, , 468 p. (ISBN 2-87754-091-X et 9782877540919, OCLC 890475393, lire en ligne), Art 168 - § 008.
- Calmet, Augustin (1672-1757)., Notice de la Lorraine, qui comprend les duchés de Bar et de Luxembourg, l'électorat de Trèves, les trois évèchés (Metz, Toul et Verdun). (OCLC 1005705084, lire en ligne), p. 503.
- Csanád Bálint, « L'archéologie française et les incursions hongroises », Cahiers de Civilisation Médiévale, vol. 11, no 43, , p. 371–377 (DOI 10.3406/ccmed.1968.1453, lire en ligne, consulté le ) :
.« les territoires ravagés par les Normands et ceux qui l'ont été par les Hongrois se complètent . Les Normands ont préféré les parties occidentales de la France, alors que les Hongrois ont fréquenté le plus souvent l'Alsace, la Lorraine, et la Bourgogne. Nous ne sommes pas encore en mesure de dire si cela fut le résultat d'une sorte d'accord entre ces deux peuples. »
- « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Grosse, E., Dictionnaire statistique du departement de la meurthe : contenant une introduction historique ..., Nabu Press, (ISBN 978-1-278-24895-0 et 1-278-24895-1, OCLC 936241814, lire en ligne).
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- « LES COMTES DE FONTENOY », sur Etudes touloises (consulté le ).