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Labastide-Rouairoux

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Labastide-Rouairoux
Labastide-Rouairoux
Hôtel de ville.
Blason de Labastide-Rouairoux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Castres
Intercommunalité Communauté de communes Thoré Montagne Noire
Maire
Mandat
Michèle Vincent
2020-2026
Code postal 81270
Code commune 81115
Démographie
Gentilé Bastidiens
Population
municipale
1 417 hab. (2021 en augmentation de 0,5 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 28′ 34″ nord, 2° 38′ 23″ est
Altitude Min. 364 m
Max. 940 m
Superficie 23,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mazamet-2 Vallée du Thoré
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Labastide-Rouairoux
Liens
Site web Site officiel

Labastide-Rouairoux est une commune française située dans le département du Tarn, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Bastidiens.

Géographie

Localisation

La commune est située dans l'est du département du Tarn à l'est de Castres. Elle est limitrophe de l'Hérault, au cœur du parc naturel régional du Haut-Languedoc.

Communes limitrophes

Carte

Voies de communication et transports

La commune est desservie par des lignes régulières du réseau régional liO : la ligne 753 la relie à Castres et à Béziers (prolongée jusqu'à Valras-Plage en période estivale) ; la ligne 762 la relie à Castres et à Saint-Pons-de-Thomières.

Hydrographie

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[2]. Elle est drainée par le Thoré, le ruisseau de Candesoubre, le ruisseau de Beson, le ruisseau de Merlaussou, le ruisseau de vertignol, le ruisseau de Camblades, le ruisseau de Frescaty, le ruisseau de la Goutines, le ruisseau de Larroque, le ruisseau de Répudi, le ruisseau de Robert, le ruisseau de Tremès, le ruisseau de Veyriès et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 42 km de longueur totale[3],[Carte 1].

Le Thoré, d'une longueur totale de 61,6 km, prend sa source dans la commune de Rieussec et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans l'Agout à Navès, après avoir traversé 20 communes[4].

Le ruisseau de Candesoubre, d'une longueur totale de 16,2 km, prend sa source dans la commune de Cassagnoles et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est puis vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Thoré à Saint-Amans-Valtoret, après avoir traversé 7 communes[5].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[7].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[6].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,4 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 282 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 4,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Courniou », sur la commune de Courniou, mise en service en 1971[11]et qui se trouve à 6 km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 444,7 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Carcassonne », sur la commune de Carcassonne, dans le département de l'Aude, mise en service en 1948 et à 37 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,7 °C pour la période 1971-2000[15], à 14,1 °C pour 1981-2010[16], puis à 14,5 °C pour 1991-2020[17].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].

La commune fait partie du parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[20]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[21],

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[22] : les « sagnes de la Gante » (36 ha), couvrant 2 communes du département[23], et les « sagnes du Frescaty » (19 ha)[24] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] :

  • la « montagne Noire (versant Nord) » (31 971 ha), couvrant 37 communes dont 14 dans l'Aude, deux dans la Haute-Garonne, trois dans l'Hérault et 18 dans le Tarn[25] ;
  • les « sagnes du plateau d'Anglès et bassin versant de l'Arn » (9 725 ha), couvrant 10 communes dont deux dans l'Hérault et huit dans le Tarn[26].

Urbanisme

Typologie

Labastide-Rouairoux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[I 1],[28]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (81,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,8 %), prairies (9,4 %), zones urbanisées (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3 %)[29].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Toponymie

Histoire

Labastide-Rouairoux a été créée vers 1166 comme bastide, vraisemblablement par Raymond V, comte de Toulouse.

Labastide-Rouairoux appartenait au diocèse de Saint-Pons-de-Thomières et a été intégré à l’Hérault au moment de la création des départements en 1790[30].

Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société populaire » en octobre 1793[31].

En l’an V (loi du 28 pluviôse), la commune a été cédée au Tarn, ainsi que le canton d'Anglès, en échange du canton de Saint-Gervais-sur-Mare, qui appartenait historiquement au diocèse de Castres[30].

Au XIXe siècle, le village s'est développé grâce à l'industrie textile.

Héraldique

Labastide-Rouairoux

Son blasonnement est : De gueules au château d'argent, ouvert et ajouré de sable, chargé d'un écusson parti émanché d'azur et d'or, au chef cousu d'azur chargé des lettres SSB (Saint Saturnin de Bison) capitales d'or.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
1798 1808 Jacques Rouanet    
1808 1822 Philippe Cormouls    
1822 1826 François Aussilloux    
1826 1830 Auguste Jamme    
1830 1848 Victor Alexandre Rouanet    
1848 1848 Eugène Barthe    
1848 1865 Joseph Malafosse    
1865 1876 Léon Xavier Aussilloux    
1876 1881 Benjamin Benoit    
1881 1882 Antoine Aussilloux    
1882 1901 Auguste Vabre    
1901 1904 Pierre Lanet    
1904 1919 Élie Benoit    
1919 1941 Frédéric Bourguet Soc. indep. Industriel et conseiller général. Résistant, il est destitué par Vichy entre 1941 et 1944.
1941 1944 Léon Belot   Nommé conseiller général en 1942[33]
1944 1947 Frédéric Bourguet Soc. indep.  
1947 1971 René Fabre    
mars 1971 1977 Irénée Cros    
mars 1977 mars 1989 Jacques Cauquil PCF  
mars 1989 mars 2008 Michel Tournier    
mars 2008 mars 2014 Françoise Fabre    
mars 2014 mai 2020 Serge Lafon    
mai 2020 En cours Michèle Vincent[34]    

Démographie

Au dernier recensement, la commune comptait 1417 habitants.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36]. En 2021, la commune comptait 1 417 habitants[Note 7], en augmentation de 0,5 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4751 5661 6132 0202 4122 4282 5862 8383 019
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6382 6332 8822 8713 0902 8893 0112 9062 820
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5332 3212 2722 4022 8343 0543 2582 9203 327
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
3 3133 2082 8582 3012 0271 7531 6311 6141 443
2017 2021 - - - - - - -
1 4101 417-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 675 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 1 319 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 220 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 13,7 % 13,7 % 14,4 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 653 personnes, parmi lesquelles on compte 65,4 % d'actifs (51 % ayant un emploi et 14,4 % de chômeurs) et 34,6 % d'inactifs[Note 9],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 365 emplois en 2018, contre 396 en 2013 et 406 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 341, soit un indicateur de concentration d'emploi de 107,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 35,1 %[I 10].

Sur ces 341 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 168 travaillent dans la commune, soit 49 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,5 % les transports en commun, 11,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Galerie

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Labastide-Rouairoux » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Labastide-Rouairoux » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Labastide-Rouairoux » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Labastide-Rouairoux » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  3. « Fiche communale de Labastide-Rouairoux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  4. Sandre, « le Thoré »
  5. Sandre, « le ruisseau de Candesoubre »
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  8. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  11. « Station météofrance Courniou - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Orthodromie entre Labastide-Rouairoux et Courniou », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station météofrance Courniou - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Orthodromie entre Labastide-Rouairoux et Carcassonne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  16. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  17. « Station météorologique de Carcassonne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  18. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
  19. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  20. « Le parc naturel régional du Haut-Languedoc en chiffres », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
  21. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 », sur https://www.parc-haut-languedoc.fr/ (consulté le )
  22. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Labastide-Rouairoux », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF les « sagnes de la Gante » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF les « sagnes du Frescaty » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF la « montagne Noire (versant Nord) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « ZNIEFF les « sagnes du plateau d'Anglès et bassin versant de l'Arn » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  27. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  30. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Jean-François Dubost, « Le réseau des Sociétés Politiques dans le département de l'Hérault pendant la Révolution Française (1789-1795) », Annales historiques de la Révolution française, no 278, 1989. p. 416.
  32. [1] Liste des maires de Labastide-Rouairoux sur MairesGenWeb (FranceGenWeb)
  33. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9771772n/f7.item.r=Ampoulange.zoom
  34. Le Tarn libre, 19 juin 2020, p. 26.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Etape 48 : Labastide Rouairoux - Lac des Montagnès (Mazamet)

Voir aussi

Article connexe

Liens externes

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