Saint-Georges-sur-Eure

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Saint-Georges-sur-Eure
Saint-Georges-sur-Eure
L'église Saint-Georges
de Saint-Georges-sur-Eure
Logo monument historique Inscrit MH (1926)[1].
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Jacky Gaullier
2020-2026
Code postal 28190
Code commune 28337
Démographie
Gentilé Saint-Georgien, Saint-Georgienne
Population
municipale
2 759 hab. (2021 en augmentation de 4,71 % par rapport à 2015)
Densité 179 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 25′ 06″ nord, 1° 21′ 34″ est
Altitude 146 m
Min. 141 m
Max. 165 m
Superficie 15,43 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Georges-sur-Eure
(ville isolée)
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Illiers-Combray
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Georges-sur-Eure
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Saint-Georges-sur-Eure
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Saint-Georges-sur-Eure
Liens
Site web www.saint-georges-sur-eure.fr

Saint-Georges-sur-Eure est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Georges-sur-Eure
Saint-Luperce Cintray Amilly
Orrouer Saint-Georges-sur-Eure Fontenay-sur-Eure
Ollé Chauffours Nogent-sur-Eure

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Berneuse.
Berneuse.

La commune de Saint-Georges-sur-Eure inclut les hameaux de La Taye, Berneuse et Merobert.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Provenant du nord-ouest par Saint-Luperce, la rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse le sud de Saint-Georges pour couler ensuite entre les communes de Nogent-sur-Eure et Fontenay-sur-Eure.

Transports et voies de communication[modifier | modifier le code]

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-sur-Eure bénéficie d'une gare à la Taye, sur la ligne de Chartres à Bordeaux-Saint-Jean.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 621 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-sur-Eure est une commune rurale, elle fait partie des communes peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Georges-sur-Eure, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 803 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Chartres[Note 2]. Cette aire regroupe 117 communes et est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,7 %), zones urbanisées (9,2 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), prairies (3,3 %), forêts (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,6 %), eaux continentales[Note 3] (1,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Georges-sur-Eure est vulnérable à différents aléas naturels :météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vallée du Bois des Vaux et l'Eure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1997 et 1999[19],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Georges-sur-Eure.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[20]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 184 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 834 sont en aléa moyen ou fort, soit 70 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Georgius vers 1200, Seint Jourge sur Eure en 1297[24].

Saint-Georges est un hagiotoponyme.

L'Eure est une rivière qui prend sa source dans la région naturelle du Perche et qui coule dans les départements de l'Orne, d'Eure-et-Loir, de l'Eure et de la Seine-Maritime.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie.
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1926 1965 Paul Thieullet    
1965 1978 Raymond Bataille    
1978 1995 James Manceau   Agriculteur
1995 2001 Claude Lormeau DVG Facteur
2001 28 mai 2020 Christine Goimbault UMP-LR Infirmière libérale
28 mai 2020[25] En cours Jacky Gaullier SE Enseignant technique retraité

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Cadre de vie[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[26].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 2 759 habitants[Note 4], en augmentation de 4,71 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
650584595621648622625657690
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
700782750720772776787802815
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
806801771722755808933884874
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9961 2331 7342 0392 2542 4452 5342 4482 734
2021 - - - - - - - -
2 759--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les élèves de la commune dépendent de l'académie d'Orléans-Tours (zone B).

La ville administre une école maternelle et une école élémentaire. Le collège public du secteur se trouve à Lucé.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Un projet de développement de la zone d'activité la vallée Renault — en sommeil depuis 10 ans — a été relancé lors d'un conseil municipal fin 2021. Cette émergence accueillera de nouvelles entreprises après que quelques travaux y soient réalisé [31], et s'étendra sur 58 700 m²[32].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Georges[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1926)

La stèle et le lieu de mémoire Jean Moulin[modifier | modifier le code]

La stèle et le lieu de mémoire se trouve à La Taye – à côté de la gare – rebaptisée en hommage au résistant « Gare de La Taye - Jean Moulin ». La stèle est placée devant le cabanon où Jean Moulin a été torturé. Une plaque inaugurée en 1997 cite des extraits du journal tenu par Jean Moulin en [33] :

« Pendant sept heures j'ai été mis à la torture physiquement et mentalement. Je sais qu'aujourd'hui je suis allé jusqu'à la limite de la résistance. Je sais aussi que demain, si cela recommence, je finirai par signer. » (...) « Et pourtant, (...) je ne peux pas être complice de cette monstrueuse machination. (...) Je ne peux pas sanctionner cet outrage à l'Armée Française et me déshonorer moi-même. » (...) « Je sais que le seul être humain qui pourrait encore me demander des comptes, ma mère, (...) me pardonnera lorsqu'elle saura que j'ai fait cela pour que des soldats français ne puissent pas être traités de criminels et pour qu'elle n'ait pas, elle, à rougir de son fils. »

Par ailleurs, une croix et une plaque au cimetière de Saint-Georges rendent ainsi hommage aux victimes du bombardement du 14 août 1940 :

« En mémoire des victimes du bombardement du 14 aout 1940 présentées le 17 juin 1940 au préfet Jean Moulin comme ayant été massacrées par des troupes coloniales. »

Il s'agissait du 26ème RTS qui s'était battu les 16 et 17 juin devant Chartres. La 4ème section de la 5ème compagnie (2ème bataillon) du lieutenant Pierre Valin a été arrêtée par la 1ère division du général Kurt Feldt à Fontaine sur Eure, à quelques km de Saint Georges. Une pièce de théâtre, le "Memorial de Chartres", met en scène ce dramatique épisode de la campagne de France (Ruggiero del Ponte, L'Harmattan, 2013).

L'étang de Saint-Georges-sur-Eure[modifier | modifier le code]

Ce plan d'eau accueille le Cercle nautique de Beauce, des pêcheurs y sont régulièrement actifs. Un triathlon d'ampleur départemental y est organisé depuis 2020[34].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Les ifs du cimetière communal obtiennent en septembre 2017 le label « Ensemble arboré remarquable » décerné par l'association ARBRES[35],[36],[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Georges-sur-Eure Blason
D'argent à saint Georges contourné de carnation, armé de pied en cap de sable, le manteau voltigeant de gueules, sur son cheval au naturel harnaché de sable et sellé d'azur, terrassant de sa lance d'argent un dragon de sinople lampassé de gueules.
Détails
Armes parlantes.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Église Saint-Georges », notice no PA00097195, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Georges-sur-Eure et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Georges-sur-Eure », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Georges-sur-Eure », sur Géorisques (consulté le )
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Georges-sur-Eure », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  23. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1543.
  25. Ministère de l'Intérieur, « Saint-Georges-sur-Eure », sur https://elections.interieur.gouv.fr (consulté le ).
  26. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Centre France, « Industrie - De nouvelles entreprises vont s’installer à Saint-Georges-sur-Eure », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le )
  32. « Zone d’activités de la vallée Renault », sur SAINT-GEORGES-SUR-EURE, (consulté le )
  33. Jean Moulin, Premier combat, Paris, Les Éditions de minuit, , 169 p. (ISBN 2-7073-0404-2).
  34. Centre France, « Triathlon - Le triathlon de Saint-Georges-sur-Eure, qui se déroule ce dimanche, veut s'inscrire dans le temps », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le )
  35. « Quatre arbres remarquables à découvrir en Eure-et-Loir », sur https://www.lechorepublicain.fr, .
  36. Conseil départemental d'Eure-et-Loir, « Nos veilleurs de cimetières », Eurélien n° 73,‎ , p. 23.
  37. Carte de France interactive « Comment trouver les arbres labellisés par l’association ? », sur le site de l'association A.R.B.R.E.S., consulté le 8 septembre 2022.