Nogent-le-Phaye

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Nogent-le-Phaye
Nogent-le-Phaye
Ancienne éolienne de Nogent-le-Phaye
Logo monument historique Inscrite MH (1993).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté d'agglomération Chartres Métropole
Maire
Mandat
Benjamin Beyssac
2020-2026
Code postal 28630
Code commune 28278
Démographie
Population
municipale
1 474 hab. (2021 en augmentation de 6,97 % par rapport à 2015)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 52″ nord, 1° 34′ 39″ est
Altitude Min. 127 m
Max. 151 m
Superficie 15,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chartres-2
Législatives Première circonscription
Localisation
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Nogent-le-Phaye

Nogent-le-Phaye [nɔʒɑ̃ lə fɛ] est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Nogent-le-Phaye est un village situé à 9 km à l'est de l'agglomération chartraine. Entourée de champs, mais aussi de bois, le village est baigné par un ruisseau "La Branche" et par une petite rivière "La Roguenette", qui rejoint l'Eure à Saint-Prest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

En provenance de Sours, la commune est traversée par la rivière la Roguenette, affluent en rive droite de l'Eure, sous-affluent du fleuve la Seine. Avant de rejoindre Oisème, la Roguenette est alimentée par son affluent la Branche, dont la source est dans la commune voisine d'Houville-la-Branche.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 625 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sours à 4 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 587,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Nogent-le-Phaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), forêts (15,4 %), zones urbanisées (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,7 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Nogent-le-Phaye est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Roguenette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2016[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nogent-le-Phaye.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des effondrements généralisés de terrains[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 583 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 582 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Nogento à l'époque mérovingienne[19].

Ce toponyme, comme la plupart des Nogent de France vient de novio-, élément gaulois signifiant "nouveau", et le suffixe *-entum indiquant un village, un habitat ; soit « le nouveau village »[19].

Novigentum le Feis vers 1180[19], le-feis, c'est-à-dire le fisc[20], probablement une perception routière avant l'entrée à Chartres[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

La récolte 1693 fut médiocre à cause des conditions climatiques, s'ensuivit en 1694 une famine et son lot de malheurs, les épidémies. On estime que 1 300 000 personnes moururent en France sur 20 millions d'habitants. Nogent-le-Phaye n'échappa pas à la famine : pour 15 naissances il y eut 57 décès, dont une enfant dévorée par un loup[Note 3].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Le dimanche , peu après 7 heures du matin, un terrible orage a dévasté Nogent-le-Phaye et d'autres paroisses. En l'espace de cinq minutes, la moisson qui devait commencer quelques jours plus tard a été perdue et les raisins hachés sur pied. On ne compte plus les maisons dont le toit a été percé ou emporté. Même l'église est touchée.

Les vignes de Nogent-le-Phaye ont aussi gelé pendant l'hiver 1789, n'ont rien donné en 1790 et à nouveau gelé en grande partie le [22].

Plusieurs notaires ont exercé dans la commune, le dernier fut Louis Tasse, tabellion, puis notaire, de 1779 jusqu'en 1801[23], date à laquelle l'office notarial de Nogent-le-Phaye fut supprimé, ses actes furent alors déposés chez Maître Delion, notaire à Sours[24].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1909, le terrain d'aviation de Chartres (future base aérienne 122 Chartres-Champhol) débute des activités aéronautiques prestigieuses sur le terrain de la commune, entre Nogent-le-Phaye et Sours. Il s'installe sur le site de Champhol en 1922, jusqu'à sa fermeture, en 1997, la piste d'aviation demeurant civile.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 1999 Armand May - -
Mars 2001 Mars 2014 Jean-Claude Richard - -
Mars 2014 Juillet 2020 Brigitte Franchet DVD Retraitée Fonction publique
Juillet 2020 En cours Benjamin Beyssac    
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 474 habitants[Note 4], en augmentation de 6,97 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
720733807780807846844880855
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
892850826800806802815762711
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
682675641559561555585605570
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
5715778338791 0041 1961 2841 2961 348
2017 2021 - - - - - - -
1 4721 474-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Ce village bénéficie de l'influence économique de la préfecture eurélienne, Chartres. Le territoire de la commune englobe l'échangeur autoroutier "Chartres Est", véritable atout économique du village. Ainsi, dans la continuité de la RD 910 (anciennement RN 10), plusieurs entreprises, profitant d'une imposition plus souple[réf. souhaitée], se sont installées au lieu-dit le Bois Paris, créant ainsi une petite zone artisanale et industrielle.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre-et-Saint-Paul[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Paul date du XIIe siècle.

Éolienne de Nogent-le-Phaye[modifier | modifier le code]

Monument aux morts et ancienne éolienne.
Monument aux morts et ancienne éolienne.
Cannelle, pensionnaire de la Tanière.
Cannelle, pensionnaire de la Tanière.

L'éolienne de Nogent-le-Phaye, inscrite au titre de monument historique[29], est l'emblème de la commune. Elle fut inaugurée le . Elle est parfois appelée l'éolienne Bollée du nom de ses créateurs : Ernest Bollée et son fils Auguste, originaires du Mans. Elle servait alors à remonter de l'eau, pour remplacer les anciennes fontaines du villages depuis plusieurs années à sec et pour irriguer les terres alentour. L'éolienne disposait également d'un moteur et pouvait s'orienter automatiquement pour prendre le plus de vent possible ou pour se protéger des tempêtes. Malheureusement, le rentabilité et la fiabilité de l'éolienne n'était pas sans failles et, aujourd'hui, elle ne fonctionne plus.

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le monument aux morts, situé en face de l'église ;
  • La place Armand-May, anciennement place du Noyer, est la place principale du village où se déroulent les animations associatives de la commune. Autour de cette place ombragée, les commerçants de proximité font vivre le village au quotidien ;
  • La place du Tertre, lieu emblématique, qui se trouve au plein milieu du village, où les habitants aiment venir jouer à la pétanque ;
  • L'allée des Moitiés, une des nombreuses rues de Nogent-le-Phaye ;
  • Le zoo-refuge de la Tanière.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Sépulture de Ferdinand Jumeau.
Sépulture de Ferdinand Jumeau.
« Un témoin, Germain Lecomte, affirme au juge d'instruction connaître Le Beau-François. Il assure qu'il est le fils de François Richard et originaire de Nogent-le-Phaye.
Il pourrait donc s'agir de Louis Jérémie Richard, né le , de François Richard et de Marie-Louise Bouchard. Or, on ne trouve aucune trace de son mariage ni de son décès dans cette commune. Mais une autre piste semble plus sérieuse. Le Beau François pourrait être le fils de Jean Richard, berger, né le à Nogent-le-Phaye, et de Marie-Anne Lefevre, fille de laboureur, née dans la même commune, le . Le couple marié le à Nogent aura cinq enfants dont des jumeaux morts en bas âge. Ceux qui arriveront à l'âge adulte sont Jean François, né le et qui fera souche à Nogent-le-Phaye, Pierre Augustin, né le et Marie Anne Adélaïde, née le , restée célibataire.
Pierre-Augustin Richard pourrait donc être celui surnommé François, du nom de François Gautier, selon une pratique courante à l'époque »[30] ;
  • Jean François Jannyot (1756-1845), avocat au Parlement de Paris puis avocat à Chartres, chevalier de la légion d'honneur[31], président du Tribunal de première instance de l'arrondissement de Chartres, vice-président de la commission administrative des hospices de Chartres. Il fut maire de Nogent-le-Phaye (1809)[32] ;
  • Ferdinand Jumeau (1824-1885), sénateur d'Eure-et-Loir, vécut à Nogent-le-Phaye et y est mort ;
  • Pierre Bérégovoy (1925-1993), homme politique, possédait une résidence secondaire à Nogent-le-Phaye.

Citation littéraire[modifier | modifier le code]

« Un peu plus tard, ils traversèrent des villages dont les noms chantaient comme des poèmes à Jeanne : Occonville, Umpeau, Cherville, Villiers-les-Bois, Houville-la-Branche, Nogent-le-Phaye. »

— Michèle Sarde, Histoire d'Eurydice pendant la remontée, Paris, Seuil 1991, page 69-70.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Statistiques personnelles d’après les registres de baptêmes, mariages et sépultures de Nogent-le-Phaye, numérisés par les Archives départementales d'Eure-et-Loir.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Nogent-le-Phaye et Sours », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Sours », sur la commune de Sours - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Sours », sur la commune de Sours - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Nogent-le-Phaye », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 146.
  20. Société de mythologie française, Mélanges de mythologie française : offerts au président-fondateur Henri Dontenville, G.-P. Maisonneuve et Larose, , p. 324.
  21. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , p. 113.
  22. La loi de la guillotine, la véritable histoire de la bande d'Orgères, d'Alain Bouzy, éditions cherche-midi, 2016, page 303.
  23. Il est possible de consulter le répertoire de ses actes, avec la liste alphabétique de ses clients, aux Archives départementales d'Eure-et-Loir, sous la cote E 4828.
  24. Journal "Annonces, affiches et avis divers de Chartres et du département d'Eure-et-Loir" du 27 septembre 1801.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Éolienne », notice no PA00125352, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. La loi de la Guillotine, la véritable histoire de la bande d'Orgères, d'Alain Bouzy, éditions cherche-midi, 2016, page 497.
  31. « Jean François Jannyot », base Léonore, ministère français de la Culture.
  32. Registre d'état civil de la commune de Nogent-le-Phaye, année 1809, consultable en ligne.