Meslay-le-Grenet
Meslay-le-Grenet | |||||
![]() L'église Saint-Orien et le monument aux morts ![]() | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres métropole | ||||
Maire Mandat |
Gilles Pineau 2020-2026 |
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Code postal | 28120 | ||||
Code commune | 28245 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
352 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 22′ 06″ nord, 1° 23′ 00″ est | ||||
Altitude | Min. 140 m Max. 174 m |
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Superficie | 8,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Illiers-Combray | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Meslay-le-Grenet est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Géographie[modifier | modifier le code]
Situation[modifier | modifier le code]
Meslay-le-Grenet est à 13 km d'Illiers-Combray et de Chartres et à 16 km de Courville-sur-Eure. L'accès à l'A11 est à 6 km.
- Situation géographique
Meslay-le-Grenet dans son arrondissement.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Meslay-le-Grenet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous les formes Maslaicum vers 1100, Milliacum vers 1120, Melleyum en 1626[7].
Il est impossible d’écarter l’hypothèse d’un *melarium « pommier », dérivé du latin classique malum « pomme » ou de la nèfle qui se disait mêle ou mesle.
Histoire[modifier | modifier le code]
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Politique environnementale[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[8]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[9].
En 2018, la commune comptait 352 habitants[Note 3], en augmentation de 18,52 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Enseignement[modifier | modifier le code]
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Économie[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
L'église Saint-Orien-et-Saint-Blaise est classée et protégée en tant que monument historique depuis 1913[1].
Elle abrite notamment des peintures murales de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle, inspirées de la gravure sur bois publiée par Antoine Vérard en 1492. Ces peintures sont classées dès 1906[12] :
- Dans la nef, au registre supérieur, un Dit des trois morts et des trois vifs (trois jeunes gentilshommes sont interpelés dans un cimetière par trois morts, qui leur rappellent la brièveté de la vie et l'importance du salut de leur âme) et, au registre moyen, une danse macabre ;
- Dans le chœur, la Passion du Christ.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- « Église Saint-Orien », notice no PA00097150, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 26 mars 2021).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le 26 mars 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 26 mars 2021).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le 26 mars 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 26 mars 2021).
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, , p. 745.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Peintures murales », notice no PM28000418, base Palissy, ministère français de la Culture.