Le Mas-d'Azil
Le Mas-d'Azil | |
L'entrée nord de la grotte. | |
![]() Blason |
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Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Occitanie |
Département | Ariège |
Arrondissement | Saint-Girons |
Intercommunalité | Communauté de communes Arize Lèze |
Maire Mandat |
Raymond Berdou 2020-2026 |
Code postal | 09290 |
Code commune | 09181 |
Démographie | |
Gentilé | Aziliens |
Population municipale |
1 151 hab. (2018 ![]() |
Densité | 29 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 43° 04′ 54″ nord, 1° 21′ 41″ est |
Altitude | 320 m Min. 275 m Max. 580 m |
Superficie | 39,36 km2 |
Unité urbaine | Commune rurale |
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes |
Élections | |
Départementales | Canton d'Arize-Lèze |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
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Le Mas-d'Azil, en occitan Lo Mas d'Asilh, est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie. Ses habitants sont appelés les Aziliens. À la suite des fouilles de sa grotte, elle a donné son nom à la période finale du paléolithique, l'azilien.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Le Mas-d'Azil est une ancienne bastide située dans la région du Volvestre, sur le cours de l'Arize, en plein massif du Plantaurel. La commune est incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.
Hameaux[modifier | modifier le code]
Balança, Baluet, Causseraing, Gouzy, Maury, Saret, Lacoite, Lapeyrère, Lasserre, Plagne, Raynaude, Rieubach…
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie entre 275 et 580 mètres. La superficie est de 3 936 hectares[2].
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[3].
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La commune est arrosée par l'Arize, un affluent de la Garonne.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Accès par l'ancienne route nationale 119. La route départementale 119 traverse la grotte creusée par l'Arize en longeant la rivière.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Le Mas-d'Azil est une commune rurale[Note 1],[4]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,7 %), zones agricoles hétérogènes (19,4 %), terres arables (16,6 %), prairies (8,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), zones urbanisées (1,7 %), eaux continentales[Note 2] (1,4 %)[9].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire[modifier | modifier le code]
Le Mas d'Azil est un haut-lieu de la Préhistoire par les découvertes faites dans sa célèbre grotte : la commune a ainsi donné son nom à une période entre le Magdalénien et du Néolithique, l'azilien.
Le Mas-d'Azil est une ancienne bastide fortifiée créée par le comte Roger IV de Foix en 1246.
Le seigneur Jean de Lacvivier, prieur du monastère de Saint-Béat au diocèse de Comminges est élu en 1426 par l'autorité apostolique du pape Martin V, abbé du monastère du Mas-d'Azil au diocèse de Rieux.
Dès l'arrivée de la réforme, Le Mas-d'Azil avait servi de refuge aux protestants. Avec l'avènement d'Henri IV, les habitants construisent des temples pour se livrer librement à leur culte. Les protestants deviennent dominants ; ils chassent le clergé et détruisent le monastère.
Le protestantisme y fait son apparition dès 1540 et s'y implante pour en devenir un haut lieu, surnommé « La Genève du comté de Foix ». En 1568 la tentative de conquête de la ville par Bellegarde, sénéchal de Toulouse, échoue ainsi que la tentative de prise des grottes où s'étaient réfugiées plusieurs familles protestantes des environs. C'est à cette époque que les moines sont chassés de la ville et l'abbaye rasée.
En 1625, Louis XIII envoie l'armée royale commandée par le maréchal de Thémines dans la région pour soumettre les huguenots. Le son armée forte de 15 000 hommes arrive aux portes du Mas-d'Azil : les Aziliens offrent alors leur reddition contre 15 000 écus, Thémines en demande alors 20 000. Ne pouvant trouver une telle somme les habitants se préparent à défendre leur cité. Le siège dure un mois, 2 000 coups de canons sont tirés pour affaiblir les défenses et à l'aube du à 8 h l'assaut est donné avec pour cible deux des bastions de la ville. Les combats sont acharnés, les femmes de la cité n'hésitant pas à prendre part aux combats, ce sont elles qui capturent le capitaine Sarraute. Six jours plus tard, l'armée royale se retire laissant sur place près de 500 morts, la cité étant toujours aux mains des protestants.
En 1629, le château est démantelé et les fortifications sont rasées en 1636.
En 1649, les moines reviennent et bâtissent une église en 1673 sur les ruines de l'ancienne abbaye.
En 1790, Le Mas-d'Azil devient une commune et absorbe entre 1790 et 1794 la commune de Raynaude[2].
En 1911, la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique de Carbonne à Montesquieu-Volvestre est prolongée jusqu'au Mas-d'Azil[10]. Elle est exploitée par la Compagnie des chemins de fer du Sud-Ouest jusqu'à sa fermeture en 1938[10].
Au la région Midi-Pyrénées, à laquelle appartenait Le Mas-d'Azil, fusionne avec la région Languedoc-Roussillon pour devenir la nouvelle région administrative Occitanie.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[11],[12].
Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]
En 1793, la commune du Mas-d'Azil est chef-lieu du canton du Mas-d'Azil au sein du district de Mirepoix-Pamiers, devenu arrondissement de Pamiers en 1801. Le canton est transféré à l'arrondissement de Saint-Girons en 1926 puis revient dans celui de Pamiers en 1942[2].
À compter des élections départementales de 2015, la commune du Mas-d'Azil rejoint le nouveau canton d'Arize-Lèze.
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[13]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[14].
En 2018, la commune comptait 1 151 habitants[Note 3], en diminution de 3,03 % par rapport à 2013 (Ariège : +0,25 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
selon la population municipale des années : | 1968[17] | 1975[17] | 1982[17] | 1990[17] | 1999[17] | 2006[18] | 2009[19] | 2013[20] |
Rang de la commune dans le département | 11 | 13 | 17 | 20 | 22 | 20 | 20 | 21 |
Nombre de communes du département | 340 | 328 | 330 | 332 | 332 | 332 | 332 | 332 |
Enseignement[modifier | modifier le code]
L'éducation est assurée sur la commune jusqu'au collège André-Saint-Paul[21].
- L'école du cheval propose au Pas-del-Roc (route de Camarade) des cours adulte et enfant avec une pédagogie adaptée pour une meilleure relation au cheval.
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
- Fête du Mas-d'Azil le premier week-end de septembre.
Santé[modifier | modifier le code]
Sports[modifier | modifier le code]
Clubs[modifier | modifier le code]
Équipements[modifier | modifier le code]
- Salle omnisports de 1 200 m2 avec 200 places en gradin ouverte en 2017.
Économie[modifier | modifier le code]
Le Mas-d'Azil est un bourg touristique où les commerces essentiels sont présents.
Biodiversité[modifier | modifier le code]
- L'association Kokopelli[22] se consacre, depuis 1999, à la protection de la biodiversité alimentaire par la production de semences issues de l'agro-écologie avec environ 1 500 variétés en 2017 libres de droit et reproductibles (non-hybrides F1 et non-OGM).
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Grotte du Mas d'Azil, haut-lieu de la préhistoire ;
- L'église Saint-Étienne avec son clocher à bulbe date du XVIIe siècle. Elle fut construite sur les anciens vestiges d'une puissante abbaye bénédictine fondée en 1286 et à l'origine de l'édification de la bastide. Le clocher à bulbe est inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1950[23] ;
- L'Église de l'Immaculée-Conception du Mas-d'Azil dite de la Raynaude de Portetény ;
- Temple protestant du Mas-d'Azil, inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 2015[24] ;
- Chapelle du temple du Mas-d'Azil ;
- Temple de l'église réformée évangélique de Rieubach ;
- Halle à piliers ronds ;
- Le Musée de préhistoire complète la visite de la grotte en présentant des objets qui en sont issus notamment le propulseur orné nommé « le faon aux oiseaux » ;
- Lac de Filleit, à l'est de la commune.
- Dolmens de Bidot, de Seigmas et de Cap del Pouech, ;
- Pont Louis-XIII ;
- Musée-parc « La Forêt aux dinosaures » en forêt de Castagnès, à l'est du bourg ;
- Verrerie d'art ;
- Musée de l'Affabuloscope a été créé par l'artiste Claudius de Cap Blanc en 2018 à la suite de l'achat de la collection de l'artiste par Michel Malbec. Le projet du musée est dirigé par Fred Noiret, précédemment galeriste et par ailleurs sculpteur. Le musée est ouvert à la visite de mai à novembre. C'est un lieu culturel remarqué en Ariège, qui rassemble une collection de plus de 600 œuvres de Claudius de Cap Blanc. Il dispose d'une salle d'exposition temporaire permettant d'inviter des artistes.
L'Arize.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Jean de Lacvivier, abbé du Mas-d'Azil en 1426.
- Joseph Falentin de Saintenac (1793-1847), député de l'Ariège
- Charles Casimir Dugabé, homme politique né en 1799 au Mas
- Charles d'Amboix sous-lieutenant de la marine royale, participant au débarquement raté des Émigrés, à Quiberon, en 1795. Fait prisonnier, il est condamné à Vannes le 14 thermidor an III / samedi , et fusillé. Il était âgé de 24 ans.
- Pierre-Jean d'Amboix frère du précédent ; lieutenant au régiment de Béarn, participant au débarquement raté des Émigrés, à Quiberon, en 1795. Fait prisonnier, il est condamné à Vannes le 14 thermidor an III, et fusillé. Il était âgé de 29 ans.
- Denis Henri Alfred d'Amboix de Larbont (1841-1926), général de division né au Mas d'Azil et auteur de Le Siège du Mas-d'Azil en 1625 réédité chez Lacour en 2003.
- Saint-Just Péquart, (1881-1944), archéologue et préhistorien. Il fouilla pendant près de dix ans la grotte du Mas-d'Azil.
- Paul Laffont (1885-1944), homme politique né au Mas et tué à Rimont.
- François Huc, né le au Mas-d'Azil, décédé le . Charpentier-maçon, Compagnon du Devoir « Comtois l'Ami du trait ». Résistant, communiste, président du Comité de Libération du Mas d'Azil. maire du Mas-d'Azil, 1944-1947, conseiller général du canton du Mas-d'Azil 1944-1945.
- André Saint-Paul, né en 1916 à Rabastens-de-Bigorre (Hautes-Pyrénées), décédé en 2000 au Mas-d'Azil. docteur en médecine, Résistant, député socialiste de l'Ariège du au , maire 1947-1989, conseiller général du Mas-d'Azil, président du conseil général de l'Ariège1966-1985. Conseiller régional Midi-Pyrénées 1974-1981.
- Jean Périssé, réalisateur né au Mas en 1946.
- Christian Saint-Paul, né en 1948 au Mas, éditeur, poète et chroniqueur radio.
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blasonnement :
De gueules au château d’argent, ouvert du champ (1814)[25].
|
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Napoléon Peyrat, « Le siège du Mas-d'Azil 1625 », Bulletin de la Société de l'Histoire du Protestantisme Français, , p. 611-620 (lire en ligne)
- Émile Cartailhac, « Les fouilles de M. Ed. Piette dans la grotte du Mas d'Azil (Ariège) », dans Bulletin de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, 1891-1894, 4e volume, p. 231-239 (lire en ligne)
- C. Barrière-Flavy, « Journal du siège du Mas-d'Azil en 1625, écrit par J. de Saint-Blancard, défenseur de la place contre le maréchal de Thémines », dans Bulletin de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, 1891-1894, 4e volume, p. 310-339 (lire en ligne)
- Abbé David Cau-Durban, « Abbaye du Mas-d'Azil, monographie et cartulaire, 817-1774 », dans Bulletin de la Société ariégeoise des sciences, lettres et arts, 1895-1896, 5e volume, p. 297-325, 329-360, 377-393, 429-451 [1]
- Alice Wemyss, Les Protestants du Mas-d'Azil : histoire d'une résistance, 1680-1830, Toulouse, Privat, 1961.
- Louis Claeys, Deux siècles de vie politique dans le département de l'Ariège 1789-1989, Pamiers, 1994.
- Simone Henry, Comminges et Couserans, éditions Privat, 1985, Toulouse.
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes de l'Ariège
- Liste des anciennes communes de l'Ariège
- Liste des bastides
- Chemins de fer du Sud-Ouest
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Le site officiel de la commune du Mas-d'Azil
- Le Mas-d'Azil sur le site de l'Institut géographique national
- Histoire du Mas d'Azil sur Histariège
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le 12 avril 2021)
Références[modifier | modifier le code]
- Carte IGN sous Géoportail
- Notice Cassini du Mas-d'Azil
- « Plan séisme » (consulté le 2 avril 2015)
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 24 mars 2021).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le 24 mars 2021).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le 24 mars 2021).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le 24 mars 2021).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le 24 mars 2021).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statitiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le 12 avril 2021)
- Site facs-patrimoine-ferroviare.fr, FACS : Les chemins de fer secondaires de France - département de la Haute-Garonne lire (consulté le 11 novembre 2019).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le 2 septembre 2020).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le 10 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le 8 janvier 2016).
- laetitia adminplantaurel, « COLLEGE ANDRE SAINT PAUL - », sur andre-saint-paul.entmip.fr (consulté le 9 décembre 2017)
- « Semences potagères et aromatiques bio »
- « Eglise Saint-Etienne », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le 4 juin 2020)
- « Temple protestant », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le 11 juin 2020)
- Armorial de France