Berzé-la-Ville

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Berzé-la-Ville
Berzé-la-Ville
Berzé-la-Ville depuis la roche Coche. Vue sur Milly-Lamartine et la roche de Vergisson.
Blason de Berzé-la-Ville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Mâconnais Beaujolais Agglomération
Maire
Mandat
Éric Faure
2020-2026
Code postal 71960
Code commune 71032
Démographie
Gentilé Berzélavilliens
Population
municipale
701 hab. (2021 en augmentation de 6,7 % par rapport à 2015)
Densité 127 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 21′ 50″ nord, 4° 42′ 15″ est
Altitude Min. 238 m
Max. 505 m
Superficie 5,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hurigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web berzelaville.fr

Berzé-la-Ville est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté. Les habitants se nomment les Berzélavilliens et Berzélavilliennes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Accès et transports[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Gisement de gypse, exploité au XIXe siècle.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 914 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Berzé-la-Ville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (54 %), forêts (13,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (9,8 %), cultures permanentes (8,7 %), prairies (8,7 %), terres arables (4,1 %), zones urbanisées (1,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La grotte des Furtins, à cheval sur les communes de Berzé-la-Ville et de Sologny-la-Croix-Blanche[14], a livré des matériaux de l'Aurignacien moyen et gallo-romains[15] ainsi qu'une curieuse « fosse aux ours » avec des crânes d'ours adultes placés délibérément de façon à entourer des crânes d'oursons, et de nombreux os d'ours[16].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1100, Hugues de Semur, abbé de Cluny de 1049 à 1109, fonda un prieuré à Berzé-la-Ville. Ce prieuré fut rattaché à l'Ordre de Cluny.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la Révolution, le prieuré fut vendu comme bien national et transformé en grange d'une exploitation agricole. La chapelle fut rachetée par Miss Evans, archéologue britannique qui en fit don à l'Académie de Mâcon en 1947.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Listes des maires[modifier | modifier le code]

Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1871 octobre 1876 Philippe Arnaud    
octobre 1876 janvier 1878 Guillaume Longepierre    
janvier 1878 janvier 1881 Philippe Arnaud    
janvier 1881 juillet 1882 Pierre Lassarat    
juillet 1882 mai 1884 Philippe Arnaud    
mai 1884 mars 1895 Joseph Bouchacourt    
mars 1895 décembre 1919 Jean Pierre Simonet Radical Député et Conseiller général
décembre 1919 avril 1921 Claude Garnier    
avril 1921 mai 1935 François Préaud    
mai 1935 juin 1937 Jean Lafond    
juin 1937 février 1982 Louis Simonet PCF Conseiller général , viticulteur
février 1982 mars 1983 Georges Desroches PCF  
mars 1983 juillet 1994 Pierre André Roblot UDF Cadre
juillet 1994 juin 1995 Maurice Mauguin   Agriculteur
juin 1995 mars 2008 Bertrand Leprieur UMP Directeur des ventes
Maire Honoraire
mars 2008 mars 2014 Marc Trelat DVG Viticulteur
mars 2014 juin 2020 Christophe Juvanon[17] DVD Cadre
juin 2020 En cours Eric Faure SE Retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité[modifier | modifier le code]

Instance judiciaire et administrative[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[19].

En 2021, la commune comptait 701 habitants[Note 4], en augmentation de 6,7 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
603486671652686709700705705
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
656696725768794790764633595
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
544554534425382326319313347
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
363341371410511530519516536
2015 2020 2021 - - - - - -
657697701------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

Les Amis du Vieux Berzé[22], qui a mis au jour les vestiges de la carrière de gypse, restauré les parties encore existantes et reconstitué l’histoire de l’exploitation du gypse.

Cultes[modifier | modifier le code]

Berzé-la-Ville appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Saint-Vincent en Val-Lamartinien, paroisse qui a son siège à La Roche-Vineuse et qui regroupe quinze villages du Mâconnais.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Les vignobles du Mâconnais.

Économie[modifier | modifier le code]

Vignoble[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La chapelle des moines[modifier | modifier le code]

Le prieuré, dépendance de l'abbaye de Cluny, fut créé sous l'impulsion d'Hugues de Semur, saint abbé de Cluny de 1049 à 1109. La construction attenante dite « château des moines » date du XVIe siècle, soit environ un siècle avant le départ des moines chassés par la Révolution. En 1791, la chapelle est transformée en habitation. Classée monument historique dès 1893, mise en vente et menacée, elle est rachetée en 1947 par miss Joans Evans, archéologue anglaise, qui en fit don à l'académie de Mâcon. La décoration de la chapelle remonte au premier quart du XIIe siècle et l'influence byzantine apparaît nettement (attitudes hiératiques, féminisation des personnages...) à côté de l'influence germanique (art ottonien). Le Christ en majesté, sous la main de Dieu (en) tenant une couronne, et les douze apôtres (dont six sont identifiés) occupent la scène principale. Au pied des apôtres, deux évêques et deux diacres, saint Vincent et saint Laurent, très vénérés dans la région. À l'étage inférieur, au-dessus des chapiteaux, six femmes richement parées, dont certaines portent encore une inscription permettant de les identifier : sainte Agathe et sainte Consorce. Plus bas, en vis-à-vis dans les arcatures aveugles, deux panneaux représentent, l'un le martyre de saint Vincent maintenu sur le gril par les fourches de deux soldats, et l'autre la légende et la mort de saint Blaise. Neuf saints martyrs occupent la frise inférieure, initialement plus longue. L'emploi de colorants minéraux tels que le lapis-lazuli, l'ocre et le minium ont favorisé la conservation de ces fresques.

Les fours à gypse[modifier | modifier le code]

Paire de meules utilisées pour broyer le gypse après cuisson.

La présence de gypse ou pierre à plâtre sur le site remonte au Trias. L'exploitation en est très ancienne et on sait que les moines de Cluny ont extrait par puits la partie supérieure constituée de gypse particulièrement pur.

Témoins rares inscrits à l'inventaire des Monuments historiques en 1992[23], les fours aujourd'hui visibles forment un ensemble architectural de grande qualité récemment restauré. Construits au XIXe siècle, ces fours permettaient d'effectuer sur place la transformation du gypse en plâtre. L'entreprise était alors entre les mains d'un ingénieur-entrepreneur local, Étienne Bonnin, qui employait en 1862 douze ouvriers dans ses seules carrières et dans ses fours de Berzé (plus d'autres dans son entreprise de pulvérisation du gypse à Saint-Sorlin, aujourd'hui La Roche-Vineuse)[24].

La cheminée monumentale de 38 mètres de haut qui en assurait le tirage a disparu en 1902. La pierre à plâtre était acheminée sur rail de la galerie d'extraction aux fours. Après cuisson, le plâtre était pulvérisé et conditionné dans des moulins situés à proximité. Parmi les douze carrières de plâtre exploitées en Saône-et-Loire en 1838, celle de Berzé-la-Ville était particulièrement qualitative. L'exploitation sera définitivement abandonnée en 1899.

L'église Notre-Dame-de-la-Purification[modifier | modifier le code]

Construite au XIe siècle, elle appartenait à l'abbaye de Cluny[25]. La façade occidentale et la baie supérieure en plein cintre qui éclaire les combles sont des témoins de cette époque. L'église a fait l'objet d'agrandissement au XVIe siècle et au XVIIIe siècle, la nef a été partiellement agrandie. L'élément le plus intéressant est le décor intérieur qui orne le chœur et les chapelles nord et sud. Il a été réalisé selon la technique du pochoir au XVIe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Marius Lacrouze (1891-1917), aviateur mort pour la France le 28 novembre 1917, auquel une plaque commémorative fixée au mur sud de la mairie, « offert[e] par la municipalité d'Ausonia, le village jumeau de Berzé-la-Ville », rend hommage, rappelant qu'il fut pilote d'essai pour avion de chasse Blériot.
  • Jean-Pierre Simonet (1867-1935), député de Saône-et-Loire du 8 mai 1910 au 31 mai 1914.
  • Benjamin Dirx, député de Saône-et-Loire.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Berzé-la-Ville Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'argent à trois quintefeuilles d'azur, aux 2e et 3e de sinople à trois grappes de raisin d'or ; sur le tout, de gueules à l'épée haute d'argent, à deux clés d'or passées en sautoir et brochant sur l'épée[26].
Détails
L'écusson central représente les armes de l'abbaye de Cluny, à laquelle la commune a toujours été rattachée. Les grappes de raisin rappellent la vigne et les fleurs symbolisent la ville fleurie.
Adopté par la municipalité le 31 mai 1991.

Galerie photos[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marie-Anne Gagnol, Un patrimoine industriel en Val lamartinien au XIXe siècle : les plâtrières de Berzé-la-Ville, Les Amis du Vieux Berzé (132 pages).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Berzé-la-Ville et Jalogny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. André Leroi-Gourhan, « La Grotte des Furtins (commune de Berzé-la-Ville (Saône-et-Loire) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 44, nos 1-2,‎ , p. 43-55 (lire en ligne, consulté le ), p. 43.
  15. Leroi-Gourhan 1947, p. 52.
  16. Leroi-Gourhan 1947, p. 48-49, 51.
  17. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du 17 avril 2014, p.  2
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. « Les fours et la carrière de gypse », sur Berzé-la-Ville - Patrimoine architectural et naturel du village (consulté le )
  23. Dans le contexte d'une restauration et d'une mise en valeur qui valurent à l'association Les Amis du Vieux Berzé de recevoir en juillet 1992 le Prix des Chefs-d'œuvre en péril.
  24. « La machine infernale de monsieur Bonnin », article de Pierre Ponsot paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 118 de juillet 1999, pages 21 et 22.
  25. Son clocher était d'ailleurs encore surmonté, dans les années trente, d'une girouette aux armes des abbés de Cluny. Source : « Où donc s'est envolée la girouette de Berzé ? », article d’Élisabeth Balley-Mercier paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 44 (hiver 1979-1980), page 8.
  26. Armorial de France