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Au sens le plus large, on appelle couramment « musique classique » la musique occidentale savante et de tradition écrite. Cette tradition, qui tire son origine des musiques de la Grèce antique et de la Rome antique, a vu le jour essentiellement en Europe à l'époque médiévale. Son influence a essaimé au fil du temps dans le monde entier et son développement se poursuit à l'époque contemporaine au travers des créations de nombreux compositeurs.
Les musicologues nomment par ailleurs de manière restrictive « musique classique » l'ensemble des œuvres savantes composées en Europe entre le milieu du XVIIIe siècle et le début du XIXe siècle. La définition extensive du concept de « musique classique » est de fait quelque peu paradoxale : dans d’autres domaines artistiques, on opposera, par exemple, « baroque » et « classique », « classicisme » et « modernisme ». On devrait donc s’étonner de voir qualifiées de classique la musique baroque comme la musique atonale : ce n'est en effet que par une convention de langage, parfois controversée, qu'est adoptée cette dénomination.
On parle aussi de « musique classique » pour désigner des traditions de musiques savantes non occidentales telles que la musique classique indienne ou la musique classique arabe. Ces musiques sont décrites à partir du portail des musiques du monde.
Un clavecin est un instrument de musique à cordes muni d'un ou plusieurs claviers dont chacune des cordes est « pincée » par un dispositif nommé sautereau.
Terme générique, il désigne différents instruments d'une même famille, distincts par leur structure, leur forme, leurs dimensions ou leur timbre, chacun d'entre eux ayant souvent un nom spécifique. Le mot « clavecin », au sens restrictif, désigne alors le plus grand, le plus complet et le plus techniquement développé d'entre eux, généralement appelé « grand clavecin ».
Instruments spécifiques de la musique européenne, les clavecins ont connu leur apogée et suscité un très large répertoire au cours des XVIIe et XVIIIe siècles avant de connaître une longue éclipse pendant tout le XIXe. Ils ont retrouvé la faveur des musiciens et du public depuis le début du XXe.
Comme pour l'orgue, la puissance des sons émis ne dépend pas de la force avec laquelle le claveciniste frappe les touches, c'est la présence de registres affectés à chacun des claviers qui permet de varier les timbres. Pendant toute la période « baroque », c'était l'instrument de musique favori de la grande bourgeoisie, de la noblesse, de la monarchie. Il a été un des instruments privilégiés de l'écriture en contrepoint et de la réalisation de la basse continue. Mais ses possibilités expressives se sont révélées moins appropriées au style du classicisme naissant, et surtout par la suite, à la sensibilité du romantisme. Les compositeurs lui ont préféré le piano-forte, puis le piano nouvellement inventés. Le clavecin fut relégué au musée et disparut de la scène musicale alors qu'il avait inspiré les plus grands musiciens de l'époque baroque et notamment Bach, Scarlatti, Rameau. Redécouvert par quelques passionnés instrumentistes, musicologues et facteurs, il a aujourd'hui retrouvé toute sa place dans l'interprétation de la musique ancienne.
Lire l’articleArnold Schönberg est un compositeur et théoricien autrichien né le 13 septembre 1874 à Vienne, et mort le 13 juillet 1951 à Los Angeles (États-Unis). Son influence sur la musique du XXe siècle a été considérable.
Après des œuvres qui procèdent de son admiration pour Richard Wagner et Richard Strauss, dont il a assimilé l'art avec une prodigieuse maîtrise (La Nuit transfigurée, sextuor à cordes, 1899 ; Gurrelieder, cantate profane en deux parties pour chœurs, solistes et grand orchestre, 1900-1911 ; Quatuor à cordes n° 1, 1905), il élimine au terme d'une profonde évolution (dont les étapes principales sont le Quatuor à cordes n° 2, 1908, avec sa révolutionnaire partie pour soprano dans le dernier mouvement, sur un poème approprié de Stefan George affirmant « je ressens l'air d'autres planètes » ; les cinq pièces pour orchestre, 1909 ; les six petites pièces pour piano, 1911) les relations tonales et élabore le mode de déclamation du « Sprechgesang » (« chant parlé ») avec Pierrot lunaire pour soprano et huit instruments solistes en 1912. Cette composition l'établit définitivement en tête des compositeurs les plus influents de son temps. Igor Stravinski (Trois poésies de la lyrique japonaise) et Maurice Ravel (Trois poèmes de Mallarmé) l'imitent, Darius Milhaud le fait jouer à Paris et Ernest Ansermet à Zurich, tandis que l'Europe musicale se divise en atonalistes et anti-atonalistes, ces derniers n'hésitant pas à perturber des concerts et à demander le renvoi de Schönberg de sa chaire de professeur.
Lire l'article- Erik Satie a composé trois morceaux en forme de poire.
- Igor Stravinsky a été successivement citoyen russe, français et américain.
- Certains livrets d'opéra de Métastase ont été mis en musique par plusieurs dizaines de compositeurs.
- Enfant prodige, Roberto Benzi dirigea son premier concert à six ans.
- Albert Roussel est un ancien élève de l'École navale.
- William Herschel, l'astronome qui a découvert en 1781 la planète Uranus, a été aussi compositeur de musique.
- Gustavus Waltz, le cuisinier de Haendel, était un excellent musicien et a chanté dans plusieurs de ses opéras.
Pendant que Viva V.E.R.D.I. (pour Vittorio Emanuele Re D'Italia, « Victor-Emmanuel Roi d'Italie ») devient le cri de ralliement des patriotes et que Giuseppe Verdi devient le symbole de l'unité italienne, son éditeur Giulio Ricordi, alors jeune officier bersagliere de 20 ans, compose, en 1860, la musique d'un Inno al Re Vittorio Emmanuele, écrit par le poète Giuseppe Regaldi, et parfois présenté comme le premier hymne de ce corps d'élite qui entre dans Rome à la Porta Pia le , concluant ainsi le processus d'unification du pays.
Jean-Baptiste Lully (1632-1687) |
Le Bourgeois gentilhomme, divertissement final : Chaconne des Scaramouches et Trivelins |
- 23 juillet : décès de Marie Leonhardt, violoniste suisse.
- 20 juillet : décès d'Alice Harnoncourt, violoniste autrichienne.
- 20 juin : décès de Kurt Equiluz, ténor autrichien.
- 13 mai : décès de Teresa Berganza, mezzo-soprano espagnole.
- 18 avril : décès de Nicholas Angelich, pianiste américain.
- 18 avril : décès de Harrison Birtwistle, compositeur britannique.
- 17 avril : décès de Radu Lupu, pianiste roumain
- 10 avril : décès de Philippe Boesmans, compositeur belge.
- 8 mars : décès de René Clemencic, compositeur, claveciniste, musicologue et chef d'orchestre autrichien.
- 6 février : décès de George Crumb, compositeur américain.
- 26 janvier : décès d'Alain Bancquart, compositeur français.
- 18 janvier : décès de Paavo Heininen, compositeur finlandais.
- 1er novembre : décès de Nelson Freire, pianiste brésilien.
- 21 octobre : décès de Bernard Haitink, chef d'orchestre néerlandais.
- 18 octobre : décès d'Edita Gruberová, soprano slovaque.
- 10 octobre : décès de Luis de Pablo, compositeur espagnol.
- 22 septembre : décès de Jean-Patrice Brosse, claveciniste et organiste français.
- 19 septembre : décès de Sylvano Bussotti, compositeur italien.
- 2 septembre : décès de Michel Corboz, chef de chœur et chef d'orchestre suisse.
- 2 septembre : décès de Míkis Theodorákis, compositeur grec.
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- 200 ans de la mort de E.T.A. Hoffmann (25 juin) ;
- 150 ans de la naissance d’Alexandre Scriabine (6 janvier);
- 150 ans de la naissance de Déodat de Séverac (20 juillet) ;
- 150 ans de la naissance de Ralph Vaughan Williams (12 octobre) ;
- 100 ans de la naissance de Jean-Pierre Rampal (7 janvier);
- 100 ans de la naissance de Iannis Xenakis (29 mai) ;
- 100 ans de la mort d'Ika Peyron (15 mars) ;
- 100 ans de la naissance d'Odette Gartenlaub (13 mars).
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- Étude op. 10, n° 7 de Chopin
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- Wolfgang von Bartels
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