Cons-la-Grandville

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Cons-la-Grandville
Cons-la-Grandville
Le château.
Blason de Cons-la-Grandville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Briey
Intercommunalité CA Grand Longwy Agglomération
Maire
Mandat
Véronique Castronovo
2020-2026
Code postal 54870
Code commune 54137
Démographie
Gentilé Conséens, Conséennes
Population
municipale
519 hab. (2021 en diminution de 4,6 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 29′ 06″ nord, 5° 42′ 07″ est
Altitude Min. 228 m
Max. 388 m
Superficie 8,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Longwy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Mont-Saint-Martin
Législatives 3e circonscription de Meurthe-et-Moselle
Localisation
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Liens
Site web https://www.cons-la-grandville.mairie54.fr/

Cons-la-Grandville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en Lorraine, dans la région administrative Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Le bois de Cons-la-Grandville est une exclave située au nord-ouest de la commune et séparé de celle-ci par Fresnois-la-Montagne et Villers-la-Chèvre

La commune est traversée par le sentier de grande randonnée GR 570.

communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cosnes-et-Romain, Cutry, Fresnois-la-Montagne, Lexy, Montigny-sur-Chiers, Ugny et Villers-la-Chèvre.

Communes limitrophes de Cons-la-Grandville
Villers-la-Chèvre Lexy
Montigny-sur-Chiers Cons-la-Grandville Cutry
Ugny

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est drainée par la Chiers, une rivière franco-belgo-luxembourgeoise, qui est un important affluent de la Meuse en rive droite.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 917 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Villette », sur la commune de Villette à 11 km à vol d'oiseau[3], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 909,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −14,8 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Carte de l'hydrographie et des infrastructures de transport de la commune en 2022.

Typologie[modifier | modifier le code]

Cons-la-Grandville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Longwy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49 %), forêts (44,7 %), zones urbanisées (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 264, alors qu'il était de 270 en 2015 et de 253 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 88,7 % étaient des résidences principales, 3 % des résidences secondaires et 8,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cons-la-Grandville en 2020 en comparaison avec celle de Meurthe-et-Moselle et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3 %) légèrement supérieure à celle du département (2,1 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,4 % en 2015), contre 57,3 % pour la Meurthe-et-Moselle et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Cons-la-Grandville en 2020.
Typologie Cons-la-Grandville[I 1] Meurthe-et-Moselle[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 88,7 88,6 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3 2,1 9,7
Logements vacants (en %) 8,3 9,3 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Cunensis (1173), Cons (1231), Kuns & Cuns (1235), Kons (1309), Con-le-Chastel (1311), Conz (1573), Contz (1682), Coms (1689)[14], Cons la Grandville (1793).

En Lorrain : Con-lai-gran-velle[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

  • Présence antique.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

  • Château mentionné XIe siècle.
  • Dénommé Cunhs en 1222.
  • Prieuré bénédictin de Saint-Michel fondé en 1088.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

En 1811 la commune, instituée par la Révolution française, absorbe celle de Villers-la-Chèvre, qui retrouve en 1833 son autonomie communale[15].

Le premier haut-fourneau de Cons-la-Granville, situé en aval du village, sur la rive droite de la Chiers, date de 1820 ; il est remplacé par un nouveau haut-fourneau en 1865. L'activité est définitivement arrêtée en 1878. On peut encore voir aujourd'hui sur le site un haut-fourneau portant la mention de 1865 et classé au titre des Monuments Historiques en 1974[16].

La gare au début du XXe siècle.

En 1863, la commune est desservie par le chemin de fer avec la mise en service de la gare de Cons-la-Grandville par la compagnie des chemins de fer des Ardennes lorsqu'elle ouvre à l'exploitation la section de Longuyon à Longwy de sa ligne de Longuyon à Mont-Saint-Martin (vers Athus). La gare est désormais fermée.

Activité faïencière : dans leur ouvrage Les Poteries et faïences françaises, Mrs Lesur et Tardy placent à Cons-la-Grandville une manufacture de faïence a à la fin du XVIIIe siècle. D'après eux, les faïences étaient sans doute cuites dans les fours à forges du pays (!) [17]. Des recherches historiques récentes démontrent que cette manufacture de faïence se situait en réalité à La Grandville, près de Charleville-Mézières (08)[18]. Ce village s'appelait avant 1932 également Cons-la-Grandville.

Durant la Première Guerre mondiale, le 11 octobre 1914, la ligne de front se situe dans la commune, tenue par le 106e régiment d'infanterie.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Briey du département de Meurthe-et-Moselle.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Longuyon[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Mont-Saint-Martin.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Meurthe-et-Moselle.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération dénommée depuis 2021 Grand Longwy Agglomération, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2017 sous le nom de communauté d'agglomération de Longwy par transformation de la communauté de communes de l'Agglomération de Longwy et auquel la commune adhéré en 1998 et avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette communauté de commune avait elle-même été créée en 2002 par transformation d'un district constitué en 1960 et qui avait progessivement intégré d'autres communes.

La commune est également membre de l'Agglomération transfrontalière du pôle européen de développement.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1875 après 1876 M. Rogissart[19]    
         
mars 1995 mars 2008 Édouard Jacque UDF-RAD puis UMP Conseiller général de Mont-Saint-Martin (2001 → 2008)
Député de Meurthe-et-Moselle (7e circ) (2002 → 2007)
Maire de Longwy (2008 → 2014)
Président de la CC de l'agglomération de Longwy (2008 → 2011)
mars 2008 juillet 2020 Lucien Hochstrasser   Retraité salarié du secteur privé
juillet 2020[20],[21] En cours
(au 6 juin 2023)
Véronique Castronovo   Ancienne artisan, commerçant ou chef d'entreprise
Vice-présidente de la CA Grand Longwy Agglomération (2020 → )
Réélue en 2021 après l'annulation des élections de 2020[22],[23]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Montigny-sur-Chiers et Villers-la-Chèvre dans le cadre d'un regroupement pédagogique concentré au sein de l'école Paul-Fort[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[26].

En 2021, la commune comptait 519 habitants[Note 4], en diminution de 4,6 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1872
550577655845548504507556480
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
457485434414423479480480462
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
549623632578630790828769669
1990 1999 2006 2011 2016 2021 - - -
596608572585527519---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Hubert.
  • Le château des XIIIe, XVIe et XVIIIe siècles, la crypte du XIe siècle et ses fresques du XIVe siècle, le prieuré bénédictin du XVIIIe siècle, sa grange, le parc romantique et les anciens jardins, le haut-fourneau du XIXe siècle forment un ensemble monumental témoin d'une continuité familiale de plus de neuf siècles. Cet ensemble d'abord inscrit partiellement au titre des monuments historiques par arrêté du 4 novembre 1947 est totalement protégé par classement de l'arrêté du [28].
  • Église Saint-Hubert, reconstruite en 1732 sur une crypte XIIe siècle avec peintures murales XIIIe siècle ; voûtes d'ogives dans l'église haute, Mise au tombeau XVIe siècle, retable* XVIIIe siècle baroque, stalles XVIIe siècle , balustrade XVIIIe siècle. L'église Saint-Hubert comprenant crypte et église haute est classée au titre des monuments historiques par arrêté du [29].
  • Haut-fourneau portant la mention de 1865 et classé au titre des Monuments Historiques en 1974
  • Prieuré de bénédictins Saint-Michel, Saint-Hubert. Fondé vers 1065 par Dudon de Cons, le prieuré Saint-Michel est donné vers 1090 à l'abbaye bénédictine de Saint-Hubert d'Ardenne et construit à proximité immédiate du château, il ne subsiste de cette époque ou du début XIIe siècle que la crypte servant de sépulture familiale à la famille de Lambertye ; maison du jardinier construite en 1566, date portée ; colombier construit en 1688, date portée ; rétabli en 1788, date donnée par un chronogramme, après avoir été endommagé par la foudre ; logis des moines et église priorale reconstruite en 1732, date portée par la 2e travée de la voûte ; porte nord de la nef datée 1702 en remploi ? ; voûtes et toitures de l'église rétablies entre 1944 et 1950 ; en 1792, l'église priorale devint église paroissiale et à l'époque du Concordat, elle abandonna le vocable de Saint-Michel pour celui de Saint-Hubert, patron immémorial de la paroisse, les autres bâtiments furent vendus comme biens nationaux en 1794, la famille de Lambertye, propriétaire du château, se rendant par la suite acquéreur de l'ensemble des bâtiments, le logis prioral, en très mauvais état de conservation, est en cours de restauration. Le bâtiment du prieuré proprement dit, le bâtiment de ferme du XVIe siècle et le bâtiment de ferme du XVIIIe siècle sont classés au titre des monuments historiques par arrêté du [30].
  • Dans l'église une mise au tombeau en pierre datant de la seconde moitié du XVIe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cons-la-Grandville Blason
D'argent à cinq roses de gueules ordonnées 1, 2 et 2, feuillées de sinople et posées sur une seule tige de même mouvant de la pointe.
Détails
Ce sont les armes de l'ancienne maison de Cons que l'on retrouve sculptées sur des clefs de voûte du château et sur un sceau du tabellionnage de Cons La Grandville, daté de 1722.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Hubert Collin, Cons-la-Grandville, château et prieuré Saint-Michel, dans Congrès archéologique de France. 149e session. Les Trois-Évêchés et l'ancien duché de Bar. 1991, p. 79-93, Société française d'archéologie, Paris, 1995

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Cons-la-Grandville et Villette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Villette », sur la commune de Villette - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868
  15. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. « Ancien haut fourneau », notice no PA00106017, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. Les Poteries et faïences françaises - Adrien Lesur et Tardy - Édition de 1957 pages 183-184
  18. Marc Feller, « La faïencerie Carette de Cons-la-Grandville (Ardennes). Une éphémère production de faïence au pays des cloutiers pendant la période révolutionnaire », Revue Historique Ardennaise,‎ à paraître.
  19. Almanach-Annuaire historique, administratif et commercial de la Marne, de L'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, de 1876, p197.
  20. « Sécurité et environnement au programme de Madame la maire : Véronique Castronovo a pris les rênes de la commune. Première femme de la localité à accéder à cette responsabilité, elle est mariée, mère de deux enfants et grand-mère de quatre petits-fils. Établie depuis 1996 à Cons, elle est élue depuis 2014 », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  21. « Rétro 2020 : Véronique Castronovo, première femme à la tête de la localité : 2020 a vu l’arrivée à Cons-la-Grandville de la première femme maire. De nombreux travaux ont été menés, notamment la mise en sécurisation de la rue d’Ugny et la création d’une voie cyclo-pédestre entre Cons-la-Grandville et Ugny », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. St. M., « La liste Continuons ensemble reçue 15 sur 15 : La liste Continuons ensemble, menée par Véronique Castronovo, a réalisé un carton plein à l’occasion des élections municipales. En plus des douze personnes élues au premier tour, elle a qualifié ses trois derniers colistiers. L’élection de 2020 avait été annulée par le Conseil d’État », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Réélue en 2021 après l'annulation des élections de 2020 : X. J., « Véronique Castronovo élue maire à l’unanimité », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Les enfants ont repris le chemin de l’école », Le Républicain lorrain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Château de Cons-la-Grandville », notice no PA00106015, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Église Saint-Hubert comprenant crypte et église haute », notice no PA00106016, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Prieuré de bénédictins Saint-Michel », notice no PA00106018, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.