Vieux-Berquin

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Vieux-Berquin
Vieux-Berquin
La mairie.
Blason de Vieux-Berquin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Dunkerque
Intercommunalité Communauté de communes de Flandre Intérieure
Maire
Mandat
Jean-Paul Salome
2020-2026
Code postal 59232
Code commune 59615
Démographie
Gentilé Vieux-Berquinois
Population
municipale
2 649 hab. (2021 en augmentation de 5,29 % par rapport à 2015)
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 41′ 44″ nord, 2° 38′ 43″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 20 m
Superficie 25,96 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bailleul
Législatives Quinzième circonscription
Localisation
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Vieux-Berquin
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Vieux-Berquin
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Vieux-Berquin

Vieux-Berquin est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. La commune regroupe deux hameaux, Sec-Bois et Caudescure, ce dernier étant en partie sur le territoire de la commune de Merville.

Géographie

La dominante paysagère est celle d'une agriculture intensive. Ce sont la polyculture et le polyélevage qui sont prédominants. Le recensement agricole de 2010 dénombre 45 exploitations agricoles (contre 65 pour celui de 2000 et 85 pour celui de 1998) pour 55 UTA. La surface classée en superficie agricole utile pour les exploitants ayant leur siège dans la commune est de 2 158 hectares.

Sa superficie est de 2595 Ha, dont 350 Ha de forêt (partie de la forêt domaniale de NIEPPE).

Situation

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes

Une partie du hameau de Caudescure se trouve à Merville quant l'autre est située à Vieux-Berquin[1]

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 707 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Richebourg », sur la commune de Richebourg, mise en service en 1990[8] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 762,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 35 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,8 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Vieux-Berquin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[18] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[21],[22].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,7 %), forêts (13,8 %), zones urbanisées (2,4 %), prairies (2 %), zones agricoles hétérogènes (1 %)[23].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[24].

Héraldique

Les armes de Vieux-Berquin se blasonnent ainsi : « D'or à cinq cotices de gueules[25]. »


Le blason représente les armoiries du Seigneur Louis de Berquin; une alternance des flammes : 6 or et 5 sang. Les 5 flammes de sang rappellent que le seigneur Louis de Berquin a plusieurs membres de sa famille morts au combat pour le royaume. Les 6 flammes or rappellent que dans la famille du Seigneur Louis de Berquin il y a eu de nombreux preux chevaliers. La devise « A la bonne foy Berquin » signifie « sur la parole du Seigneur, on peut se fier »; il était garant d’un serment.

Toponymie

  • Oud-Berkijn[26] et Noord-Berkijn en néerlandais.
  • Berkin (1187), Berchin (1212), Brekin (1215), Zuut Berkin (1385), Noortberkim (1392), Neufberkin (XIVe siècle)[27].

Histoire

Une voie romaine menant de Cassel au pont d'Estaires, par Caëstre, Strazeele, et Neuf-Berquin, passait par Vieux-Berquin. Des fers à cheval et des armes romaines ont été retrouvés à proximité[28].

La première mention écrite du nom du village (Berkin) remonte a 1160 en étant cité dans une charte féodale émanant du comte de Flandre Robert II. [29]

Moyen Âge : Vieux-Berquin possède plusieurs seigneureries (mottes féodales): la seigneurerie de Berquin (35,4 hectares), la seigneurerie du Plessy (26,5 hectares), la seigneurerie de la Grande Jumelle, la seigneurerie de la Bleutour (39 hectares), la seigneurerie de l'Escague, de Beaulieu et de Morroy, la seigneurerie du Chatelet de l'Escague (4,2 hectares), la seigneurerie de Caudescure, la seigneurerie d'Ophove (23,5 hectares), seigneureries d'Oudenhove, d'Avenhouck et de Soitsacker, la seigneurerie de Sec-Bois (Drooghout en flamand), la seigneurerie de la grande Vénerie et de la petite Vénerie, la seigneurerie de Zevecot (27,6hectares).

Avant la Révolution française, la paroisse était incluse dans le diocèse de Thérouanne, puis à la disparition de celui-ci dans le diocèse de Saint-Omer[30].

En 1160, le comte de Flandre Thierry d'Alsace, et son fils Philippe d'Alsace, donnent à Berkin une keure (charte communale)[31].

Vieux Berquin eut beaucoup à souffrir de la première guerre mondiale : elle reçut à ce titre la Croix de guerre 1914-1918[32].

Politique et administration

Liste des maires

Maire en 1802-1803 : C. Dubaele [33].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1816 1838 Jean Baptiste Degroote[34]    
1809   Pierre Louis Deroo[35]    
1838 1848 François Cappon    
1848 1861 Auguste Joseph Wicart    
1861 1870 Jacques Jean-Louis Loones    
1870 1871 Émile Potie    
1874 1876 Henri Petitprez    
1876 1916 Stanislas Biebuyck   Officier d'Académie
1916 1919 Henri Traisnel    
1919 1925 André Biebuyck    
1925 1929 Charles Paquet    
1929 1933 Auguste Moreel    
1933 1945 René Duflos    
1945 1970
(décès)
Albert Protin DVD Médecin
Conseiller général du canton de Bailleul-Sud-Ouest (1964 → 1970)
1970 1995 Thérèse Protin-Becquaert RI puis UDF Conseillère générale du canton de Bailleul-Sud-Ouest (1970 → 1988)
juin 1995 En cours Jean-Paul Salomé DVD Ingénieur chimiste

Jumelages

Carte
Jumelages et partenariats de Vieux-Berquin.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Vieux-Berquin.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Nentershausen (d)[36]Allemagnedepuis

Vieux-Berquin est jumelée depuis le 11 octobre 1975 avec le village de Nentershausen, de la Verbandsgemeinde de Montabaur, dans l'arrondissement de Westerwald, dans la région de Rhénanie-Palatinat en Allemagne. Les 2 communes sont distantes l'une de l'autre de 470 kilometres.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[38].

En 2021, la commune comptait 2 649 habitants[Note 8], en augmentation de 5,29 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 4243 4743 4373 3173 5173 5523 4823 4633 364
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 2043 2673 2783 3793 2643 2173 2003 1072 986
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 8102 7782 7131 9062 1962 0352 0331 9631 876
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 9061 8641 7591 9492 0922 1852 2772 3042 497
2018 2021 - - - - - - -
2 5032 649-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 215 hommes pour 1 288 femmes, soit un taux de 51,46 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
2,6 
6,4 
75-89 ans
8,2 
13,7 
60-74 ans
15,5 
21,7 
45-59 ans
20,0 
19,8 
30-44 ans
20,0 
16,5 
15-29 ans
13,1 
20,7 
0-14 ans
20,6 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Lieux et monuments

  • L'église Saint-Barthélémy: inaugurée le 21 octobre 1934 par le Cardinal Liénart, Eveque de Lille.(centre bourg)
  • L'église Saint-Charles Borromée (hameau de Sec-Bois)
  • Grotte dédiée à la Vierge bénie le 27 mai 1928.
  • Mairie et son petit beffroi reconstruite en 1922-1923.
  • Ancien hospice reconverti en espace médiathèque et maison des associations "Louis de Berquin" inauguré en 1996.
  • Les plaques commémoratives et mémorial :
    • Le jumelage
    • Le mémorial du marquis Bertrand Bouille sur trouve rue de la Bleutour. Ce capitaine du 24ème régiment de dragons est mort pour la France le 11 octobre 1917 prés de Verdun. Il descendait de la famille de Croix dont certains membres ont été Seigneurs de la Bleutour avant la révolution.
    • Un cairn commémoratif offert par une association d’anciens combattants australiens fut apposé sur le mur de la mairie le 12 avril 1983 en présence de l’ambassadeur d’Australie en France, en hommage aux soldats australiens ayant combattus à Vieux-Berquin durant la première guerre mondiale.
    • Les mottes féodales inscrites au titre des monuments historiques:
    • Motte féodale avec basse-cour adjacente du « Plessy » (cad. ZH 102 à 104) : inscription par arrêté du 4 mars 1980. Le parc boisé, les jardins et le château occupaient le très grand enclos rectangulaire (310 x 210 m) situé entre la forêt et le village, et qui reste encore bien marqué aujourd’hui par un fossé d’enceinte et la Plate Becque. A l’entrée sud se trouvent la motte et la basse cour entourées d’eau. La motte est ronde (diamètre 35 m) de même niveau que les terres voisines. Elle est reliée au sud à la basse cour par une étroite bande de terre dont la confection inachevée au nord résulte d’enlèvements sur la motte sur le côté ouest de la basse cour. Autrefois, la motte devait être un îlot. La basse cour se présente comme une terrasse rectangulaire de 60 x 40 m et surélevée d’un mètre environ. Son fossé, profond de 2 m au plus, a été rebouché en deux points pour permettre un passage direct des bâtiments de ferme vers les terres d’exploitation. La longue aire rectangulaire entourée d’un fossé dans l’angle de l’enclos correspondrait à l’emplacement du dernier château détruit sous la révolution.
    • Motte féodale (cad. ZO 22, 23) : inscription par arrêté du 27 juin 1988. Située entre la Becque et le chemin Coevoet, cette ancienne motte féodale est située sur le bord droit de la Plate Becque dans une prairie entourée d’un fossé de drainage et d’une haie vive correspondant vraisemblablement à l’ancien parc seigneurial du lieu. La motte est approximativement circulaire de 38 m de diamètre, et présente un léger profil en coupole qui atteint au plus 1 m d’élévation par rapport au niveau du passage comblé. Son fossé de tour fait 10 à 15 m de large et environ 1 m de profondeur avec une hauteur d’eau qui dépasse souvent les 50 cm. A l’Est, un bief maintenant bouché en deux endroits assurait son raccord et celui du fossé d’enceinte de la pâture à la Plate becque.
    • La motte féodale de la seigneurie de Berquin n’existe plus; elle a été détruite lors de la reconstruction de l’église après la première guerre mondiale.
    • Les monuments aux morts : le monument aux morts de la Grand-Place a été érigé en 1926. Il est orné d’une statue crée par le sculpteur Camille Debert. Y sont inscrits les noms de 109 soldats morts pour la France et 6 victimes civils. Un autre monument aux morts, au hameau de Sec-Bois, a été inauguré  quelques mois avant le 18 octobre 1925. Réalisé à l’initiative d’un comité d’érection président par Ame Andries. Y sont inscrits les noms de 33 habitants du hameau  morts  en  1914/1918  ( 30 militaires et 3 victimes civils).
  • Cimetières militaires du Commonwealth :

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. La Voix du Nord : https://www.lavoixdunord.fr/art/region/merville-le-hameau-de-caudescure-entre-nostalgie-et-ia18b47658n2993422
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  8. « Station Météo-France Richebourg - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Vieux-Berquin et Richebourg », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Richebourg - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Vieux-Berquin et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  25. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f59615
  26. « Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois ».
  27. Toponymie générale de la France, tome 2, Formations non-romanes, Ernest Nègre
  28. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Année 1858, p. 77-78, lire en ligne
  29. Jean-Pascal Vanhove, De Noord-Berkin a Vieux-Berquin: 850 ans d'histoire, p. 4
  30. Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1862-1864, neuvième volume, p. 66, lire en ligne.
  31. E. de Coussemaker, « Documents relatifs à la Flandre maritime-Extraits du cartulaire de l'abbaye de Watten », dans Annales du Comité flamand de France, Tome V, 1889, lire en ligne.
  32. Annuaire Ravet Anceau Département du Nord Année 1922
  33. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  34. maire de 1816 à 1838, cf. Actes de naissance, de mariage et de décès de cette période
  35. Registre d'état-civil de Vieux-Berquin, 1809
  36. Gildas Dubaele, « Vieux-Berquin : le jumelage entre pompiers pourrait être relancé avec l’Allemagne », La Voix du Nord,  : « Samedi, c’était le 43e anniversaire du jumelage entre Vieux-Berquin et la commune allemande de Nentershausen. »
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Vieux-Berquin (59615) », (consulté le ).
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
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