Transport est-ouest rouennais
TEOR | ||
Autobus sur la ligne T2 à l'arrêt Théâtre des Arts. | ||
Situation | Rouen (Normandie) | |
---|---|---|
Type | Bus à haut niveau de service | |
Entrée en service | 12 février 2001 | |
Longueur du réseau | 36 km[1] | |
Lignes | 4 | |
Stations | 64 | |
Véhicules | 67[2] Heuliez GX 437 BHNS Irisbus Crealis Neo 18 Irisbus Citelis 18 |
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Fréquentation | 16 501 569 passagers[2] (2017 hors titres SMS) |
|
Propriétaire | Métropole Rouen Normandie | |
Exploitant | TCAR | |
Site Internet | www.reseau-astuce.fr | |
Vitesse moyenne | 18,6 km/h[2](2017) | |
Vitesse maximale | 70 km/h | |
Lignes du réseau | T1 T2 T3 T4 | |
Réseaux connexes | Métro de Rouen Réseau de bus |
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Carte du réseau du métro et des lignes TEOR (avant les modifications de 2016 et de 2019). | ||
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Le Transport est-ouest rouennais (TEOR) est un réseau de transport collectif circulant dans la ville de Rouen et dans son agglomération.
Issu d'un projet principalement porté par l'ancien maire de Rouen Yvon Robert au cours de son premier mandat (1995-2001), ce réseau est composé de bus à haut niveau de service. Chacun d'entre eux bénéficie d'une voie réservée sur environ 60 % du parcours[3]. Cette spécificité permet au véhicule de ne pas être mélangé à la circulation routière afin de favoriser une régularité de passage moins sujette aux perturbations.
Les lignes T1, T2 et T3 desservent une zone commune s'étendant sur onze arrêts (environ quatre kilomètres) en centre-ville de Rouen, tandis que la ligne T4 dessert un axe nord-sud en correspondance avec les trois autres lignes à la station Belges.
À partir de , les transports en commun de l'agglomération rouennaise sont gratuits chaque samedi pour une durée expérimentale d'un an.
Histoire du projet
Avant l'inauguration
- 1996 : lancement d'une étude pour la réalisation d'un axe est-ouest en complément du métro qui forme un axe nord-sud. Yvon Robert, initiateur du projet, parle alors d'un « télébus » (téléphérique urbain). L'appel d'offres qui s'ensuit débouche sur 4 propositions : 2 en tramway fer, 1 en tramway pneu, et le dernier par un transport par câble.
- 1997 : le conseil de la Communauté de l'agglomération rouennaise décide, le , de construire le système TEOR en lieu et place d'une seconde phase de tramway jugée trop coûteuse[4]. L'idée du téléphérique est abandonnée et l’autobus articulé à guidage optique est sélectionné.
- Juillet-août 1999 : le TEOR est déclaré d'utilité publique. Début des travaux des lignes T2 et T3.
- Novembre 1999 : signature du marché du matériel roulant.
- [5] : inauguration des lignes T2 et T3 et du pôle d'échanges du Mont Riboudet après de longs retards dans l'évolution des travaux. Ce réseau de bus nouvelle génération, avec système de guidage et d'accostage optique relie le centre-ville de Rouen aux communes environnantes de son agglomération.
Depuis l'inauguration
- Avril 2002 : la ligne T1 rejoint l'infrastructure TEOR sur le trajet entre le campus de Mont-Saint-Aignan et le Théâtre des Arts (portion ouest).
- Juin 2002 : prolongement du T1 du Théâtre des Arts au CHU Charles Nicolle (portion est).
- En parallèle et bien moins médiatisé, est inaugurée LISOR, une ligne circulant également en partie en site propre entre Le Grand-Quevilly et Grand-Couronne. LISOR deviendra une ligne ordinaire (la ligne 6) des bus gérés par TCAR à la suite de la restructuration du réseau en 2007.
- : prolongement des lignes T2 et T3 jusqu'aux hauts de Rouen : Bihorel et Darnétal (portions est). Les 3 lignes TEOR à haut niveau de service constituent désormais un axe est-ouest sur la rive droite de la Seine.
- Mai 2008 : mise en place du système d'aide à l'exploitation et à l'information voyageurs (SAEIV) dans les véhicules circulant sur le réseau TEOR. Il s'agit d'afficheurs lumineux d'informations en temps réel indiquant le temps avant d'atteindre le terminus, les prochains arrêts, ou des informations sur les perturbations sur le réseau.
- Juillet 2008 : à l'occasion de l'Armada, TCAR met en place la ligne T4, une ligne temporaire affectée à la desserte des quais. D'autre part, les trois autres lignes TEOR ainsi que les deux lignes de métro sont en circulation jusqu'à 2 h du matin.
- Septembre 2008 : prolongement du T1 jusqu'à Boulingrin, terminus des deux lignes de métro. Cette extension remplace le projet de prolonger le métro au CHU Charles Nicolle tout d'abord à des fins expérimentales jusqu'en juin 2009 puis maintenu jusqu'à .
- : inauguration de l'arrêt Cathédrale par Laurent Fabius (président de la Communauté de l'agglomération rouennaise), en compagnie de Valérie Fourneyron, députée-maire de Rouen et Patrice Dupray, vice-président du Conseil régional de Haute-Normandie chargé des transports et des infrastructures. Cette station, conçue par Jean-Pierre Vaysse et Alain Crenon, marque la fin des aménagements de l'infrastructure à Rouen.
- Septembre 2012 : mise en service de 37 Irisbus Crealis Neo 18 en remplacement de 38 Renault Agora L.
- : la ligne T4 rejoint l'infrastructure TEOR sur le trajet entre Boulingrin à Rouen et Zénith - Parc Expo au Grand-Quevilly.
- : la gratuite hebdomadaire des transports de l'agglomération pour chaque samedi entre en vigueur.
- 2020-2021 : travaux de prolongement de la ligne T4 jusqu'au CHU de Rouen.
- 8 mars 2021 : à l'occasion de la Journée mondiale des Droits des Femmes, le réseau Astuce a créé le service de « Descente à la demande » à partir de 22 h sur les lignes TEOR, FAST et Noctambus ( Hors centre ville de Rouen).
- A partir du 5 mai 2021: Open Paiment sur les lignes FAST.
Controverses autour du projet
TEOR a été un projet qui a été contesté en raison de son coût et d'abandons successifs[6].
- 1995 : Yvon Robert parle de « télébus » dans son nouveau projet de ligne est ouest LEO.
- 1998 : pour des raisons de coûts (environ 1 milliard de francs), le projet LEO est abandonné au profit d'un nouveau projet de bus à haut niveau de service, TEOR.
- Novembre 1999 : abandon de la desserte directe des Hauts de Rouen et de Bonsecours.
- Mai 2000 : report des travaux entre le boulevard des Belges et Martainville (quartier de Rouen) ainsi que les aménagements à Darnétal. Les travaux reprendront quelque temps après.
- 2000 : à la suite de sondages de terrain trop tardifs en bas de l'avenue Pasteur, les travaux sont arrêtés. Le terrain est pollué par des hydrocarbures. Les travaux de dé-pollution s'ajoutent à la facture.
- 2000 : acquisition du terrain du Mont-Riboudet pour 2,7 millions de francs (prévue, à la base, pour 1,5 million de francs).
En théorie (dans la déclaration d'utilité publique), le coût du matériel roulant était estimé à 150 millions de francs (bus articulés et équipements de l'atelier-dépôt). La commande finale à Irisbus a atteint les 193 millions de francs.
Financement
Chiffres exprimés en millions d'euros, hors taxes.[7]
- Montant total de l'opération TEOR (T1/T2/T3) : 208,8
- Montant de l'achat du matériel roulant : 29,5
- Construction du pôle d'échanges du Mont-Riboudet : 9,4
Total des subventions : 80,9
- FEDER : 9,9
- État : 29,8
- Région Haute-Normandie : 18,6
- Département Seine-Maritime : 18,6
- Municipalités : 18,6
- Rouen : 2,8
- Déville-lès-Rouen : 0,46
- Mont-Saint-Aignan : 0,39
- Maromme : 0,15
- Darnétal : 0,03
- Notre-Dame-de-Bondeville : 0,09
- Montant utilisé pour la construction de la ligne T4 : 88[8]
Exploitation
Horaires d'ouverture et fréquences
Le réseau TEOR circule tous les jours de l'année de 4 h 30 à minuit (sauf les dimanches et jours de fêtes : ouverture vers 5 h 30 et dernier passage en centre ville a 23h00), à l'exception du 1er mai où aucun bus ne circule. En semaine, la circulation du TEOR commence vers 4 h 30 pour le T2, puis vers 5 h pour les T1 et T3 et ouverture a 5 h 30 pour la T4. Les derniers passages ont lieu à minuit en centre ville de Rouen sauf pour la ligne T1 dont le dernier passage en centre ville se situe vers 1 h 30 et dont le service se termine vers 2 h 30. Les dimanches et jours fériés, toutes les lignes TEOR ouvrent vers 5h30 sauf la ligne T4 qui s'ouvre a 6 h 55, les derniers passages en centre ville de Rouen ont lieu a 23 heures sauf pour la ligne T1 dont le dernier passage se situe vers minuit en centre ville et dont le service se termine vers 1h30.
En heure de pointe, il passe un bus environ toutes les 1'30'' aux arrêts du tronc commun et toutes les 3'00'' en heures creuses. En dehors du tronc commun, il passe un bus environ toutes les 6' en heure de pointe et toutes les 8' en heures creuses.
Le samedi, les horaires sont les mêmes qu'en heure creuse de semaine (cinq minutes sur le tronc commun et onze minutes hors tronc commun).
Les dimanche et jours fériés, un bus passe toutes les dix minutes sur le tronc commun et toutes les trente minutes en dehors du tronc commun.
Tarification
Le système de tarification se fait sans distinction de zone. La politique tarifaire est déterminée par Métropole Rouen Normandie, l'autorité organisatrice de la mobilité.
Depuis , la carte à puce Astuce permet de charger un ou plusieurs titres de transport (quatre par carte au maximum) sur un seul support. Des valideurs sont placés à bord des bus (un valideur à chaque porte) ; pour valider une carte Astuce, il suffit d’approcher la carte à moins de quinze centimètres des bornes, même dans un sac ou une poche. Les titres de transport peuvent également être chargés sur une carte Atoumod, le système billettique régional de la Haute-Normandie.
Il existe également une gamme de dix titres de transport sur support papier pour les voyageurs occasionnels.
Un titre de transport (tickets sous forme papier ou carte à puce Astuce) permet de voyager pendant une heure à partir de la première validation, quelle que soit la distance avec une à six correspondances[9] avec les lignes d'autobus et de tramway.
Deux autres systèmes de titre de transport dématérialisés existent sur le réseau[10] : l'un sous la forme d'un titre SMS (qui fût une première en France[11]) fonctionnant avec l'envoi d'un SMS à un numéro dédié, le montant étant directement débité sur la facture d’opérateur mobile ou décompté de la carte mobile pré-payée de l'usager; l'autre dénommé M-Ticket via l'application mobile My Astuce.
Depuis le , l'usage des transports en commun de l'agglomération rouennaise est gratuit tous les samedis sur l'ensemble du réseau Astuce, conformément à l'une des promesses du maire de Rouen et président de la Métropole Rouen Normandie, Nicolas Mayer-Rossignol. Tout voyageur doit toutefois être muni d’un titre de transport et le valider, sans cependant qu'aucun décompte ne soit opéré.[12].
Lignes
Ligne | Parcours | Mise en service |
Dernière extension |
Longueur (en km)[1] |
% en site propre (% en site propre sur une voie)[1] |
Nombre d'arrêts | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
T1 | CHU Charles Nicolle ↔ Mont aux Malades | 2002 | 2008 | 7,8 | 100% | 15 | |
T2 | Tamarelle ↔ Mairie V. Shœlcher | 2001 | 2007 | 15,4 | 33% (19,5%) | 30 | |
T3 | Durécu-Lavoisier ↔ Monet | 2001 | 2007 | 14,2 | 38% (12%) | 27 | |
T4 | Zénith – Parc Expo ↔ Boulingrin | 2019 | 2022 | 8,5[8] | 65% (33%) | 16 |
T1
Les stations de la ligne sont présentées d'est en ouest :
(Les arrêts Saint-Hilaire et Boulingrin ne sont plus desservis depuis le )
T1 | |
Un bus à la station Théâtre des Arts. | |
Terminus | CHU Charles Nicolle Mont aux Malades |
---|---|
Communes desservies | Rouen Mont-Saint-Aignan |
Histoire | |
Mise en service | 2002 |
Dernière extension | 2008 |
Exploitant | TCAR |
Infrastructure | |
Conduite (système) | Conducteur |
Exploitation | |
Matériel utilisé | Heuliez GX 437 BHNS Irisbus Crealis Neo 18 Irisbus Citelis 18 |
Dépôt d’attache | Deux Rivières |
Points d’arrêt | 15 |
Jours de fonctionnement | L, Ma, Me, J, V, S, D |
Fréquentation (moy. par an) |
5 113 496 passagers[2] (2017 hors titres SMS) |
Lignes connexes | T2 T3 T4 |
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Stations | Communes desservies | Correspondances | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
O | CHU Charles Nicolle | Rouen | T2 T3 | |||
o | Martainville | Rouen | T2 T3 5 11 13 20 | |||
o | Saint-Marc | Rouen | T2 T3 | |||
o | République | Rouen | T2 T3 F1 6 F3 F5 8 32 33 | |||
o | Cathédrale | Rouen | T2 T3 | |||
o | Théâtre des Arts | Rouen | ||||
o | Belges | Rouen | T2 T3 T4 | |||
o | Pasteur — Panorama | Rouen | T2 T3 29 | |||
o | Luciline | Rouen | T2 T3 | |||
o | Mont-Riboudet Kindarena | Rouen | T2 T3 F4 26 29 30 P+R t35 | |||
o | Fond du Val | Rouen | P+R 5 | |||
o | Campus | Mont-Saint-Aignan | ||||
o | Place Colbert | Mont-Saint-Aignan | F2 8 40 43 Noctambus P+R | |||
o | Les Coquets | Mont-Saint-Aignan | F2 8 40 43 Noctambus | |||
O | Mont aux Malades | Mont-Saint-Aignan | F2 43 |
T2
Le T2 est la ligne enregistrant le plus de voyageurs du réseau TEOR[13].
T2 | |
Un bus à la station Cathédrale. | |
Terminus | Tamarelle Mairie V. Schœlcher |
---|---|
Communes desservies | Rouen Bihorel Déville-lès-Rouen Maromme Notre-Dame-de-Bondeville |
Histoire | |
Mise en service | 2001 |
Dernière extension | 2007 |
Exploitant | TCAR |
Infrastructure | |
Conduite (système) | Conducteur |
Exploitation | |
Matériel utilisé | Heuliez GX 437 BHNS Irisbus Crealis Neo 18 Irisbus Citelis 18 |
Dépôt d’attache | Deux Rivières |
Points d’arrêt | 30 |
Jours de fonctionnement | L, Ma, Me, J, V, S, D |
Fréquentation (moy. par an) |
6 085 395 passagers[2] (2017 hors titres SMS) |
Lignes connexes | T1 T3 T4 |
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Les stations de la ligne sont présentées d'est en ouest :
Stations | Communes desservies | Correspondances | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
O | Tamarelle | Bihorel-Rouen | F2 20 40 302 303 | |||
o | Châtelet | Rouen | ||||
o | Maison de l'Emploi | Rouen | ||||
o | Galilée | Rouen | ||||
o | Piscine Salomon | Rouen | ||||
o | Malraux | Rouen | ||||
o | Sainte-Claire | Rouen | ||||
o | Couperin | Rouen | ||||
o | Clos d'Argent | Rouen | ||||
o | Deux Rivières | Rouen | T3 22 300 301 | |||
o | Auberge de Jeunesse | Rouen | T3 | |||
o | Saint-Hilaire | Rouen | T3 | |||
o | CHU Charles Nicolle | Rouen | T1 T3 | |||
o | Martainville | Rouen | T1 T3 5 11 13 20 | |||
o | Saint-Marc | Rouen | T1 T3 | |||
o | République | Rouen | T1 T3 F1 6 F3 F5 8 32 33 | |||
o | Cathédrale[14] | Rouen | T1 T3 | |||
o | Théâtre des Arts | Rouen | (M) Technopôle (M) Georges Braque (M)Boulingrin Noctambus F3 F5 32 33 34 29 30 | |||
o | Belges | Rouen | T1 T3 T4 | |||
o | Pasteur — Panorama | Rouen | T1 T3 29 | |||
o | Luciline | Rouen | T1 T3 | |||
o | Mont-Riboudet Kindarena | Rouen | T1 T3 F4 26 29 30 P+R t35 | |||
o | Bapeaume | Rouen | ( 29 t35 route de Bapaume) | |||
o | Maison Normande | Déville-lès-Rouen | ||||
o | Petit Saint-Pierre | Déville-lès-Rouen | ||||
o | Mairie de Déville | Déville-lès-Rouen | 8 29 t35 362 | |||
o | Bernard Palissy | Maromme | 8 29 t35 362 | |||
o | Demi-Lune | Notre-Dame-de-Bondeville | 8 29 t35 364 | |||
o | Moulin à Poudre | Notre-Dame-de-Bondeville | 8 | |||
O | Mairie V. Schœlcher | Notre-Dame-de-Bondeville | F4 29 |
T3
Les stations de la ligne sont présentées d'est en ouest :
T3 | |
Un bus à proximité de la station Saint-Marc. | |
Terminus | Durécu-Lavoisier Monet |
---|---|
Communes desservies | Rouen Darnétal Canteleu |
Histoire | |
Mise en service | 2001 |
Dernière extension | 2007 |
Exploitant | TCAR |
Infrastructure | |
Conduite (système) | Conducteur |
Exploitation | |
Matériel utilisé | Heuliez GX 437 BHNS Irisbus Crealis Neo 18 Irisbus Citelis 18 |
Dépôt d’attache | Deux Rivières |
Points d’arrêt | 27 |
Jours de fonctionnement | L, Ma, Me, J, V, S, D |
Fréquentation (moy. par an) |
5 247 264 passagers[2] (2017 hors titres SMS) |
Lignes connexes | T1 T2 T4 |
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Stations | Communes desservies | Correspondances | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
O | Durécu-Lavoisier | Darnétal | P+R 38 | |||
o | Les Canadiens | Darnétal | 22 | |||
o | Mairie de Darnétal | Darnétal | 22 38 | |||
o | École d'Architecture | Rouen | ||||
o | Deux Rivières | Rouen | T2 22 | |||
o | Auberge de Jeunesse | Rouen | T2 | |||
o | Saint-Hilaire | Rouen | T2 | |||
o | CHU Charles Nicolle | Rouen | T1 T2 | |||
o | Martainville | Rouen | T1 T2 5 11 13 20 | |||
o | Saint-Marc | Rouen | T1 T2 | |||
o | République | Rouen | T1 T2 F1 6 F3 F5 8 32 33 | |||
o | Cathédrale | Rouen | T1 T2 | |||
o | Théâtre des Arts | Rouen | (M) Technopôle (M) Georges Braque F3 F5 32 33 34 29 30 | |||
o | Belges | Rouen | T1 T2 T4 | |||
o | Pasteur — Panorama[15] | Rouen | T1 T2 | |||
o | Luciline | Rouen | T1 T2 | |||
o | Mont-Riboudet Kindarena[16] | Rouen | T1 T2 F4 26 29 30 P+R | |||
o | MIN | Rouen | t35 F4 9 | |||
o | Chemin de la Corniche | Canteleu | ||||
o | Place Prat | Canteleu | 30 | |||
o | Place Touyé | Canteleu | t35 | |||
o | Dumas | Canteleu | ||||
o | Provence | Canteleu | ||||
o | Hôtel de Ville - Jaurès | Canteleu | t35 | |||
o | Pissarro | Canteleu | ||||
o | Bizet | Canteleu | ||||
O | Monet | Canteleu |
T4
La nouvelle ligne TEOR (Nord-Sud) baptisée T4, en grande partie en site propre, a été mise en service le [17] juste avant l'Armada.
T4 | |
Un bus à la station Belges. | |
Terminus | Boulingrin Zénith — Parc Expo |
---|---|
Communes desservies | Rouen Le Petit-Quevilly Sotteville-lès-Rouen Le Grand-Quevilly |
Histoire | |
Mise en service | 25 mai 2019 |
Exploitant | TCAR |
Infrastructure | |
Conduite (système) | Conducteur |
Exploitation | |
Matériel utilisé | Heuliez GX 437 BHNS Irisbus Crealis Neo 18 Irisbus Citelis 18 |
Points d’arrêt | 16 |
Longueur | 8,5 km |
Jours de fonctionnement | L, Ma, Me, J, V, S, D |
Lignes connexes | T1 T2 T3 |
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Son temps de trajet total est de 25 à 30 minutes avec une fréquence de passage de 8 minutes en heure de pointe. La fréquentation espérée à terme est de 18 000 à 20 000 voyageurs par jour[8].
Voici la liste des stations desservies du nord au sud[18] :
Stations | Communes desservies | Correspondances | ||||
---|---|---|---|---|---|---|
O | Boulingrin | Rouen | (M) Technopôle (M) Georges Braque P+R | |||
o | Beauvoisine | Rouen | (M) Technopôle (M) Georges Braque | |||
o | Gare-Rue Verte | Rouen | (M) Technopôle (M) Georges Braque Noctambus | |||
o | Cauchoise | Rouen | 5 | |||
o | Vieux Marché | Rouen | ||||
o | Belges | Rouen | T1 T2 T3 | |||
o | Orléans | Rouen | 34 | |||
o | CAF | Rouen | ||||
o | Louis Poterat | Rouen | (M) Georges Braque | |||
o | Chartreux | Le Petit-Quevilly | 6 | |||
o | 11-Novembre | Le Petit-Quevilly | ||||
o | Stade Diochon | Sotteville-lès-Rouen | F1 41 t54 32 | |||
o | Champ des Bruyères | Le Grand-Quevilly | Noctambus | |||
o | Stendhal | Le Grand-Quevilly | Noctambus | |||
o | George Sand | Le Grand-Quevilly | 42 Noctambus | |||
O | Zénith — Parc Expo | Le Grand-Quevilly | 27 32 Noctambus P+R |
Lignes temporaires
Une ligne T4 CHU Charles Nicolle — Le Musoir avait été créée pour deux semaines à l'occasion de l'Armada 2008. Le T4 circulait de 9 h à 23 h et desservait deux arrêts sur le site de l'Armada : le terminus Le Musoir (à l'extrémité du site de l'Armada) et l'arrêt Pont Flaubert, avant de rejoindre Mont-Riboudet et d'emprunter la voie TEOR jusqu'à CHU Charles Nicolle.
À partir de 20 h, les deux arrêts Pont Flaubert et Le Musoir n'étaient plus desservis pour ne pas entraver l'accès aux concerts.
En , la ligne T4 a de nouveau été opérationnelle durant trois week-ends, à l'occasion de la hausse de la fréquentation des transports en commun lors des périodes de fêtes, mais aussi à la suite de l'incendie du pont Mathilde. En effet, les dégâts occasionnés au pont ont empêché toute circulation sur celui-ci pendant plusieurs mois.
Stations
Le réseau totalise 65 arrêts de 20 ou 35 mètres de long[19]. La hauteur des quais, de 270 mm, permet une meilleure accessibilité aux véhicules. Les quais sont équipés de bordures biaises pour servir de chasse-roue en cas de perte de guidage. En mode nominal, les roues ne touchent pas le trottoir.
Chaque arrêt est équipé :
- D'une aubette de type Abribus de grande capacité avec un ou plusieurs panneaux publicitaires exploités par JCDecaux ;
- D'un panneau à messages variables pour le système d'aide à l'exploitation et à l'information voyageurs ;
- D'un distributeur automatique de titres de transport ;
- De cadres d'informations et de messages commerciaux ;
- De deux caméras de vidéoprotection.
Les rampes d'accès aux quais sont aménagées pour les personnes à mobilité réduite, elles sont présentes à tous les arrêts, tout comme les bandes podotactiles.
L'arrêt Cathédrale a été inauguré le . Il possède un design différent des autres : modélisé par Jean-Pierre Vaysse et Alain Crenon du cabinet d’architecture Ar. Thème, l'arrêt évoque l'architecture de la cathédrale Notre-Dame de Rouen, symbole de Rouen.
Pôle du Mont-Riboudet
Sorti de terre en , le pôle d'échange du Mont-Riboudet se situe à l'entrée de l'A150 (Barentin - Le Havre), au pied du pont Flaubert. Il permet une correspondance entre les trois lignes TEOR et trois autres lignes régulières (F4, 26 et 29).
Cet arrêt est le plus proche du centre-commercial Docks 76 et du Kindarena, le palais des sports de Rouen.
De par sa proximité avec l'autoroute, le parc relais du Mont-Riboudet permet de garer sa voiture facilement pour prendre l'une des trois lignes TEOR présentes. Constitué de 950 places, le parking est équipé de distributeurs de pass In'Cité. Ce titre de transport à 3,90 € permet de garer sa voiture au parking et sert de titre de transport pour un aller-retour pour tous les occupants d'une voiture.
Le , cet arrêt a été renommé Mont-Riboudet Kindarena.
Voirie
Il existe trois types de circulation possibles pour les véhicules du réseau TEOR.
- Les sites propres
Les voies à double sens sont réservées exclusivement aux véhicules TEOR, aux véhicules d'intérêt général et aux véhicules du réseau Astuce. Elles sont isolées de la circulation routière par des séparateurs physiques et mesurent 6,20 m de largeur[20]. Ces voies sont prioritaires aux carrefours grâce à un système similaire à la signalisation des tramways et sont interdites d'accès aux cyclistes[21].
- Les sites réservés
Les voies à double sens ou à sens unique sont réservées aux véhicules TEOR et mesurent 6,20 m de largeur[20]. Elles sont séparées de la circulation routière par une séparation franchissable par les autres véhicules, il est d'ailleurs fréquent que ces derniers croisent la voie TEOR. Cependant les véhicules TEOR sont prioritaires aux carrefours grâce à un système similaire à la signalisation des tramways. Ces voies sont interdites d'accès aux cyclistes[21]. Par exception et depuis le 25 février 2019, les vélos sont autorisés sur une partie de la plateforme TEOR en hyper-centre de Rouen (entre la rue Saint-Eloi à l’angle du quai du Havre jusqu’au bout de la rue Martainville à l’angle du boulevard Gambetta)[22]..
- Les sites banalisés
Les véhicules TEOR circulent sur la chaussée, mêlés à la circulation routière. L'aménagement des arrêts est identique à celui des arrêts en site propre.
Matériel roulant
À l'origine du projet, des Irisbus Civis devaient être équipés d'un poste de commande (ou cabine de conduite) central et d'un système de rétrovision par caméra, ce qui pose encore aujourd’hui des problèmes d’homologation[23]. Les tests ne furent pas concluants à cause de multiples problèmes techniques et d'une consommation excessive de carburant (100 L aux 100 km pour le Civis contre 70 L aux 100 km pour un Agora[23]), la Communauté de l'agglomération rouennaise se sépara[Comment ?] des deux prototypes Civis en 2004 et passa commande de 28 Irisbus Citelis 18.
Au total, 58 véhicules parcourent les trois lignes TEOR actuellement en service. Ils sont tous équipés du système de guidage optique Optiguide de Siemens. Chaque véhicule est équipé d'un système de climatisation, d'un dispositif de vidéoprotection et de deux panneaux à messages variables (bornes de système d'aide à l'exploitation et à l'information voyageurs). Tous les véhicules sont à plancher bas intégral pour permettre une meilleure accessibilité aux arrêts.
Jusqu'à la mise en service des Irisbus Crealis en , les véhicules du TEOR se distinguaient des autres lignes de bus par une sérigraphie différente.
Depuis 2018, des Heuliez GX 437 BHNS circulent également sur le réseau.
En septembre 2021, la Métropole Rouen Normandie annonce que l'ensemble de la flotte sera remplacé d'ici 2026 par 76 bus articulés électriques.
Aujourd'hui, les véhicules roulant sur TEOR sont :
Irisbus Crealis Neo 18
Depuis , 38 Irisbus Crealis Neo 18 circulent sur les trois lignes TEOR en remplacement des Renault Agora L. L'Irisbus Crealis Neo 18 est un autobus articulé de 18,2 mètres de longueur, de 2,50 mètres de largeur et d’une capacité de 135 personnes, dont 35 assises et 2 places pour fauteuils roulants. Il dispose de quatre portes coulissantes extérieures dont l'accès s'effectue en libre-service.
En plus des deux panneaux à messages variables, ces bus sont équipés de quatre écrans LCD intérieurs diffusant des informations pratiques et des messages commerciaux de Métropole Rouen Normandie et de ses partenaires. Tous les bus sont alimentés en biodiesel, sont équipés de filtres à particules et de pots catalytiques de la nouvelle génération (CTR) conformément à la norme environnementale Euro 5. La caméra du système de guidage optique est située dans l'habitacle du véhicule, à la base du pare-brise.
Un exemplaire de ces autobus est équipé d'une motorisation hybride.
Irisbus Citelis 18
Le réseau TEOR comporte, depuis 2006, 28 Irisbus Citelis 18. L'Irisbus Citelis 18 est un autobus articulé de 18 mètres de longueur, de 2,50 mètres de largeur et d'une capacité de 110 personnes, dont 43 assises. Il dispose de quatre portes louvoyantes intérieures dont l'accès s'effectue en libre-service.
Tous les autobus sont alimentés en biodiesel, sont équipés de filtres à particules et de pots catalytiques conformément à la norme environnementale Euro 3. La caméra du système de guidage optique est située hors de l'habitacle, au-dessus du pare-brise.
Renault Agora L
De 2001 à 2012, 38 Renault Agora L parcouraient les trois lignes TEOR. En 2008, quatre autobus ont été affectés à d'autres lignes régulières nécessitant des bus articulés, réduisant ainsi, l'effectif des Agora sur TEOR à 34 unités. En 2012, les Renault Agora L ont été affectés à d'autres lignes de bus et ont été remplacés par les Irisbus Crealis Neo 18. Depuis 2015, seuls trois Agora circulent encore sur TEOR. A l'été 2018, ils ne sont plus que deux. Aujourd'hui ils ne rouent plus sur le réseau.
Le Renault Agora L est un autobus articulé de 17,8 mètres de longueur, de 2,5 mètres de largeur et d'une capacité de 115 personnes (dont 40 places assises)[24]. Tous les véhicules sont alimentés en biodiesel, conformément à la norme environnementale Euro 2. Il dispose de quatre portes louvoyantes intérieures dont l'accès s'effectue en libre-service. La caméra du système de guidage optique est située dans l'habitacle du véhicule, à la base du pare-brise.
Heuliez GX 437 BHNS
Entre mai et aout 2018, 15 Heuliez GX 437 BHNS sont livrés pour l'exploitation de la ligne T4, cependant ils circulent sur toutes les lignes TEOR.
En plus des deux panneaux à messages variables, ces bus sont équipés de quatre écrans LCD intérieurs diffusant des informations pratiques et des messages commerciaux de Métropole Rouen Normandie et de ses partenaires. Tous les bus sont alimentés en biodiesel, sont équipés de filtres à particules et de pots catalytiques de la nouvelle génération (CTR) conformément à la norme environnementale Euro 6. La caméra du système de guidage optique est située dans l'habitacle du véhicule, à la base du pare-brise.
Guidage optique
Le système de guidage optique Optiguide conçu par Matra (aujourd'hui Siemens) a pour rôle d'optimiser l'accessibilité aux arrêts en faisant suivre au véhicule une trajectoire matérialisée par un marquage au sol. Il assure la précision et surtout la régularité de l'accostage pour une bonne accessibilité des voyageurs et des personnes à mobilité réduite.
- Le système de guidage optique est composé d'une caméra numérique (placée derrière le pare-brise pour les Agora et les Crealis ou au-dessus du pare-brise pour les Citelis) qui lit sur la chaussée un marquage au sol, fait de peinture routière standard, matérialisant la trajectoire imposée ;
- Un ordinateur de bord analyse la position du véhicule par rapport à la voie et transmet à la colonne de direction les informations nécessaires ;
- L'accostage se fait avec une moyenne de 60 mm d'écart horizontal entre le quai et le véhicule ;
- Il est utilisé uniquement pour l'accostage aux arrêts, le conducteur peut à tout moment passer d'une conduite guidée à une conduite manuelle ;
- Le « rail virtuel » est long d'environ 50 mètres pour l'arrivée aux arrêts, et 50 autres mètres en sortie (variable selon les arrêts) ;
- Lors de l'utilisation du guidage optique, la vitesse maximale est limitée en fonction de la configuration de la station pour des raisons de sécurité ;
- Le risque de panne du guidage optique est très faible (indice de défaut du guidage pendant l’exploitation : 1,97 pour 10 000 accostages aux arrêts. (chiffre de 2006) soit 99,98 % d'efficacité)[25],[26] ;
- L'arrêt Chemin de la Corniche sur la ligne T3[27] n'est pas équipé du guidage optique ainsi que 6 stations sur les 16 de la ligne T4 dont l'équipement est en cours (au seules les stations Beauvoisine, Gare - Rue verte, Cauchoise et Vieux Marché ne sont pas équipées).
Système d'aide à l'exploitation et à l'information voyageur (SAEIV)
En 2005, la Communauté de l'agglomération rouennaise a lancé un appel d'offres afin de renouveler le système d'aide à l'exploitation et à l'information voyageurs (SAEIV) pour un montant d'environ 10 millions d'euros[28].
Chaque autobus est équipé d'une borne de SAEIV du fabricant Ineo. Un panneau à messages variables est située à l'avant du véhicule, au milieu du couloir ; le second se situe derrière le soufflet du véhicule. Ces bandeaux SAEIV indiquent : le prochain arrêt, la destination de la ligne, le temps de trajet estimé avant d'atteindre le terminus, l'heure ainsi que des messages d'information en cas de perturbation sur la ligne. À cette borne SAEIV, est ajoutée des haut-parleurs diffusant des annonces vocales (prochain arrêt, destination et messages d'information en cas de perturbation).
L'installation de ce nouveau SAEIV a débuté en 2006 pour s'achever en . Ce système équipe également tous les autres véhicules (tramway et bus) depuis .
Atelier-dépôt
Les véhicules circulant sur le réseau TEOR sont remisés et entretenus au centre des Deux Rivières à Rouen (à la limite de Darnétal), avec les autres autobus de Métropole Rouen Normandie. Le site accueille également le siège social de TCAR.
Projets
Prolongement de la ligne T4
Pendant la concertation menée en 2014-2015, il était évoqué le projet de prolongé la ligne T4 du Boulingrin, son actuel terminus, jusqu'au CHU Charles Nicolle. En aout 2020, les travaux préparatoires sont lancés sur le boulevard de Verdun et les rues alentours, ils ont duré jusqu'à l'été 2021. Depuis juin 2021 et jusqu'en aout 2022 les travaux dits de surface sont menés, ils doivent permettre la réfection totale des voiries ainsi que la création de voies de bus de chaque coté du boulevard. Deux stations doivent être crées : une au niveau de la piscine du Boulingrin nommée Marie Marvingt et une autre au niveau de la place St Hilaire qui sera totalement réaménagée, un deuxième arrêt doit également être aménagé au niveau du terminus actuel du Boulingrin. [29]
Ligne T5
En novembre 2021, la Métropole Rouen Normandie lance pour 6 mois une concertation publique visant à l'aménagement d'une nouvelle ligne de TEOR, T5, reliant le Mont-aux-Malades de Mt-St-Aignan à la future gare St Sever de Rouen via le Mt-Riboudet et l'éco quartier Flaubert.
Annexes
Notes, sources et références
- « Google Maps » (consulté le )
- « Observatoire des mobilités de la Métropole Rouen Normandie 2017 », sur www.metropole-rouen-normandie.fr, (consulté le )
- TCAR - L'entreprise: Chiffres clés
- Publication sur le TEOR sur agglo-rouennaise.fr.
- Rétro Rouen : bon anniversaire Teor
- Dossier de la Gazette daté du 22 octobre 2006.
- Dossier d'étude du TEOR, page 21/43.
- « La nouvelle ligne T4, c'est quoi ? », sur Métropole Rouen Normandie (consulté le )
- Section FAQ de www.tcar.fr.
- Titre SMS ou M-Ticket
- Le paiement du ticket de transport par SMS arrive à Rouen : « une première en France »
- Titre Gratuit le samedi
- « Rouen monographie TEOR »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), page 6/7.
- Anciennement Place Lelieur de 2001 à décembre 2008
- Anciennement Louis Pasteur de 2001 à septembre 2014
- Anciennement Mont-Riboudet de 2001 à septembre 2012
- « Du Zenith à Boulingrin, la ligne T4 entre en circulation à Rouen ce samedi 25 mai », sur France 3 Normandie (consulté le )
- « Plan de la ligne T4 », sur Réseau Astuce (consulté le )
- Il y a deux arrêts pour la station Belges (un pour la T4 et un pour les autres lignes). Les arrêts de 35 mètres de long se situent sur le tronc commun des trois lignes TEOR.
- « Rouen monographie TEOR »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), page 7/7.
- « A Rouen, les cyclistes sur les voies de bus dans le collimateur »,Normandie Actu, 1er décembre 2014
- « En centre-ville de Rouen, les vélos de nouveau admis sur les voies de Teor »,Normandie Actu, 26 février 2019
- [PDF] 6_Teor
- Chiffre calculé selon une base de 4 personnes au m². Section Matériel roulant du tcar.fr
- Étude du TEOR sur Euromedina.
- Équipé du système de guidage optique Siemens, le réseau TEOR de l'Agglomération de Rouen reçoit la Palme de l'Accessibilité
- « Vue Street View montrant l'absence de marquage au sol à Chemin de la Corniche », sur Google Maps, (consulté le )
- Réalisations de l'agglo.
- « Prolongement de TEOR », sur Métropole Rouen Normandie (consulté le )
Articles connexes
- Liste des stations du TEOR et du tramway de Rouen
- Réseau Astuce
- Métro de Rouen
- Liste des bus à haut niveau de service