Safran (entreprise)

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Safran
logo de Safran (entreprise)
Logo du groupe
illustration de Safran (entreprise)
L'usine de Safran Aero Composite à Commercy

Création 11 mai 2005 (fusion de Snecma et Sagem)
Forme juridique Société anonyme
Action Euronext : SAF
Slogan Key missions, key technologies (2010)
Powered by Trust (2016)
Siège social Paris
Drapeau de la France France
Direction Olivier Andriès, Directeur Général, Ross McInnes, Président, Bernard Delpit, Directeur Général Adjoint, Celeste Thomasson, secrétaire générale et éthique
Actionnaires voir tableau
Activité Concepteur et producteur de moteurs d’avions, d’hélicoptères et de fusées, d’équipements aéronautiques et de défense
Produits Moteurs d'aéroplanes
Filiales Safran Aero Boosters
Safran Aerosystems
Safran Aircraft Engines
Safran Cabin
Safran Ceramics
Safran Electrical & Power
Safran Electronics & Defense
Safran Engineering Services
Safran Filtration System
Safran Helicopter Engines
Safran Landing Systems
Safran Nacelles
Safran Passenger Solutions
Safran Reosc
Safran Seats
Safran Transmission Systems
ArianeGroup (50 %)
Effectif 83 000[1]
SIREN 562082909[2]Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web www.safran-group.com

Chiffre d'affaires en augmentation19,035 milliards (en euros) (2022)[3]
Résultat net en augmentation 1,80 milliard d'€ (2021)[4]
Société précédente Groupe Snecma et SagemVoir et modifier les données sur Wikidata

Safran est un grand groupe industriel et technologique français, présent au niveau international dans les domaines de l’aéronautique, de l'espace et de la défense. Il est créé en 2005 lors de la fusion entre Snecma et Sagem. Depuis , il est coté au CAC 40.

Ses métiers sont la conception et la production de moteurs d’avions, d’hélicoptères et de fusées, d’équipements aéronautiques, et de défense.

Après l’absorption de Zodiac Aerospace en 2018, le groupe compte à fin septembre 2020 plus de 81 000 employés[5], et 76 800 en 2021[6].

Safran se classait en 2023 au 28e rang mondial pour la production d'armement[7].

Historique[modifier | modifier le code]

Gnome et Rhône est créée en 1915, puis nationalisée en 1945 pour devenir la Société nationale d’étude et de construction de moteurs d’aviation (Snecma). Elle se consacre à la fabrication de moteurs d’avions. Hispano-Suiza rejoint le groupe en 1968, suivi par Messier-Bugatti en 1977, Turboméca et Labinal en 2000. Le 18 juin 2004, l'État français privatise la Snecma en mettant en bourse 35 % du capital[8] pour une recette de 1,3 milliard d'euros.

Fondée en 1925, la Société d’applications générales d’électricité et de mécanique (Sagem) est une entreprise française contrôlée par ses salariés, elle avait une activité très diversifiée, de la défense aux téléscripteurs en passant par des équipements aéronautiques comme les centrales inertielles. En 2004, elle comporte deux branches : télécommunications et défense sécurité.

Le principe de la fusion entre Sagem et Snecma est annoncé en [9]. Elle permet d'achever la privatisation de Snecma en douceur[10]. Lors de la constitution du groupe, Jean-Paul Béchat (ex-Snecma) est le président du directoire et Mario Colaiacovo (ex-Sagem) est le président du conseil de surveillance. Les tensions sont fortes entre les dirigeants des deux anciennes entreprises[11]. En , Grégoire Olivier, ancien président du directoire de Sagem pressenti pour prendre la place de Jean-Paul Béchat, quitte le groupe[12]. Après intervention de Bercy, les deux dirigeants sont remerciés en 2007[13].

Lors de l’année 2008, la branche communication est cédée[14]. En , Areva vend une grande partie de ses actions[15]. Safran entre au CAC 40 le [16].

En , Safran et le groupe Airbus annoncent leur volonté de créer Airbus Safran Launchers, une coentreprise dans le domaine des lanceurs spatiaux[17], afin de concurrencer l’américain SpaceX. Les deux groupes voudraient à terme reprendre les activités actuellement confiées à Arianespace et au Centre national d'études spatiales[18].

En 2016, toutes les sociétés du groupe prennent le nom Safran[19].

Le groupe se recentre sur le métier de l’aéronautique, tout en préservant son expertise dans le domaine de l'espace et de la défense. Tout d’abord, Safran vend sa filiale Morpho pour 2,4 milliards de dollars au fonds d'investissement Advent International, propriétaire d’Oberthur Technologies[20],[21]. Puis, entre 2017 et 2018, Safran rachète Zodiac Aerospace pour environ 8,7 milliards d’euros, reprise de dettes comprise. Les familles actionnaires de Zodiac, le Fonds stratégique de participation (FSP) et le FFP, la société d'investissement de la famille Peugeot, détiennent ensemble 10 % du capital, soit autant que l’État. La marque « Zodiac Aerospace » disparaît[22],[23],[24],[25],[26],[27].

Au mois d', Safran voit son chiffre d'affaires divisé par deux par rapport à l'année précédente, la faute à la crise du secteur aérien directement liée au Covid-19[28]. La trésorerie de Safran s'élève toutefois à 3,25 milliards d'euros au [29],[30].
En 2020, malgré la pandémie, Safran parvient à dégager un bénéfice net de 352 millions d'euros[31].

En septembre 2021, Safran et TotalEnergies annoncent un accord pour développer le recours aux carburants d'aviation durables (SAF) afin de limiter l'empreinte écologique de leurs actions[32]. Ces carburants, qui représentent en 2019 moins de 0,1 % des 360 milliards de litres de carburant utilisés par l'aviation, doivent atteindre une part de 2 % en 2025 et 5 % en 2030[33].
Au troisième trimestre 2021, Safran profite de la reprise du trafic aérien pour porter son chiffre d'affaires à 3,734 milliards d'euros, soit une hausse de 10,4 % par rapport à la même période en 2020[34].

En raison de pots-de-vin versés en Chine par ses filiales entre 1999 et 2015, pour solder un différend avec le ministère américan de la Justice, Safran s'engage en décembre 2022 à verser 17,2 millions de dollars[35].

Le 1er juin 2023, Safran annonce entrer en "négociations exclusives" avec Air Liquide pour acquérir ses activités oxygène aéronautique[36].

Chronologie[modifier | modifier le code]

Zodiac Marine and PoolZodiac AerospaceSagemcomMorpho (entreprise)MobiwireSociété d’applications générales d’électricité et de mécaniqueSociété d’application téléphoniqueSociété de fabrication d’instruments de mesureSOM-BerthiotSociété de fabrication d’instruments de mesureOptique et précision de LevalloisLabinalTurbomécaSociété de construction des avions Hurel-DuboisIdemiaSMA EnginesLaboratoire de recherches balistiques et aérodynamiquesSociété européenne de propulsionÉtablissements RégnierClerget-BlinAvions VoisinSociété nationale d'étude et de construction de moteurs d'aviationGnome et RhôneArianeGroupLorraine-DietrichLorraine-DietrichRenaultCaudron-RenaultSociété des avions CaudronBugattiSafran Transmission SystemsSociété alsacienne de constructions mécaniquesMessier-BugattiGeorge MessierGeorge DowtyTechspace AeroFN HerstalSociété nationale des poudres et des explosifs

Identité visuelle (logotype)[modifier | modifier le code]

Chiffres clés[modifier | modifier le code]

Évolution de la répartition du capital, des données financières, et des effectifs
2007[37] 2009[38] 2011[39] 2013[40] 2015[41] 2016[42] 2017[43] 2018[44] 2019 2020 2021
Actionnaires Flottant 38,79 % 38,14 % 51,96 % 62,75 % 70,89 % 73,7 % 78,2 % 80,2 81,4 % 81,4% 81,7%
État français 30,41 % 30,20 % 30,20 % 22,41 % 15,39 % 14 % 13,1 % 11% 11,2 % 11,2% 11,2%
Salariés 19,96 % 20,09 % 15,98 % 14,70 % 13,57 % 11,9 % 6,9 % 6,9% 6,8 % 7,3% 7%
Areva 7,38 % 7,38 %
Autodétention, autocontrôle 1,39 % 4,19 % 1,86 % 0,14 % 0,15 % 0,4 % 1,8 % 1,9% 0,6 % 0,1% 0,1%
Données financières Chiffre d’affaires (M€) 10 321 10 448 11 736 14 495 15 536 15 781 16 521 21 050 24 640 16 498 15 300
Résultat net - Part du groupe (M€) 39 376 1 189 1 193 1 482 1 804
Effectifs Salariés 63 262 54 872 59 805 66 289 70 087 66 490 58 000 92 000 95 000 78 892 76 800

Les données financières ajustées étant issues des rapports annuels, la comparaison entre les années est difficile. Notamment, les chiffres sont en euros courants et les périmètres de consolidation varient.

Métiers et sociétés du groupe[modifier | modifier le code]

En 2019, une nouvelle organisation regroupe les sociétés en trois secteurs d'activités[45] :

Propulsion aéronautique et spatiale[modifier | modifier le code]

Safran Aircraft Engines

Safran Aircraft Engines, anciennement Snecma, est un motoriste aéronautique et spatial, il conçoit, développe, produit, et commercialise, seul ou en partenariat, des moteurs pour avions civils et militaires, lanceurs spatiaux et satellites. Il assure la maintenance et le support pour ses appareils.

Le principal succès de Safran est le moteur CFM56 fabriqué et commercialisé par la société CFM International, une coentreprise à parité entre Safran Aircraft Engines et l’américain General Electric. En trente années d’existence, ce moteur, destiné aux avions civils moyen-courrier, a été vendu à plus de 20 000 exemplaires. Un A320 sur deux en est équipé, tous les B737 en sont équipés. Safran réalise la moitié de son chiffre d’affaires dans la propulsion.

Safran Helicopter Engines

Motoriste aéronautique, Safran Helicopter Engines, anciennement Turboméca, conçoit, développe, produit, et commercialise, seul ou en partenariat, des turbomachines pour hélicoptères civils, parapublics et militaires. Il assure la maintenance et le support pour ses appareils.

Safran Power Units est une filiale de Safran Helicopter Engines.

Safran Aero Boosters

Safran Aero Boosters, anciennement Techspace Aero, conçoit, développe et produit des modules, des équipements pour moteurs d’avions (civils et militaires) et d’engins spatiaux. La société est aussi spécialisée dans la conception, l’installation et la modernisation de bancs d’essais, sous la marque Safran Test Cells.

Safran Transmission Systems

Safran Transmission Systems, anciennement Hispano-Suiza, est spécialiste de l’extraction et de la gestion de puissance pour moteurs d’avions et d’hélicoptères civils et militaires.

ArianeGroup

La co-entreprise ArianeGroup, anciennement Airbus Safran Launchers, est spécialisée dans les lanceurs.

Équipements aéronautiques[modifier | modifier le code]

Safran Nacelles

Safran Nacelles, anciennement Aircelle, fournit des nacelles complètes pour moteurs d’avions ainsi que le support et les services associés, des matériaux composites pour aérostructures. Il est le nacelliste intégrateur des deux motorisations de l’Airbus A380.

Safran System Aerostructures, localisé à Florange est une filiale de Safran Nacelles.

Safran Landing Systems

Concepteur et fabricant de trains et de systèmes d’atterrissage, Safran Landing Systems, anciennement Messier-Bugatti-Dowty, équipe plus de 19 000 appareils, avions civils, avions militaires et hélicoptères. C’est un acteur majeur des systèmes d’atterrissage et de freinage, (roues et freins carbone, extension/rétraction des trains, calculateurs de freinage, hydraulique...) pour l’aéronautique. Présent sur les marchés civil et militaire, il équipe les programmes Airbus, de l'A300 à l'A350, mais aussi Boeing (767ER, 777ER, 737 NG et le programme 787). Il est enfin présent sur l'aviation d'affaires et régionale (Dassault, ATR et sélectionné pour le prochain Learjet 85).

Safran Electrical & Power

Spécialiste des systèmes de câblages électriques et de l’électronique de puissance pour l’aéronautique, Safran Electrical & Power (formé des parties de Labinal et d’Hispano-Suiza) est fournisseur de Boeing et d’Airbus, pour l’ensemble des programmes civils tels que l’A380 et le B787 Dreamliner ainsi que le programme militaire A400M. Dans le domaine militaire, il équipe de nombreux avions.

Safran Engineering Services est une filiale de Safran Electrical & Power

Safran Electronics & Defense

Safran Electronics & Defense, anciennement Sagem, propose des solutions et des services en optronique, avionique (commandes de vol pour hélicoptères), navigation, électronique et logiciels critiques pour les applications civiles et de défense aérospatiales, terrestres et navales.

Safran Aerosystems

Présent à bord de la plupart des programmes d'avions commerciaux, régionaux et d'affaires et d'hélicoptères, Safran Aerosystems conçoit, développe et produit des systèmes aéronautiques de distribution électrique, des systèmes gonflables de sécurité et des systèmes de gestion des eaux et déchets. Issue du rachat de Zodiac, la société est également un acteur majeur des systèmes oxygène, de divertissement à bord, de télémesure et de communications et des systèmes carburant.

Équipements intérieurs[modifier | modifier le code]

Safran Cabin

Safran Cabin fournit les cabines intégrées, les coffres à bagages, les cuisines et équipements de service à bord, les cabinets de toilettes, les espaces de repos pour équipage et conteneurs de fret. Issue du rachat de Zodiac, la société équipe les avions régionaux, moyens et long-courriers, l’aviation d’affaires et militaire.

Safran Seats

Issue du rachat de Zodiac, Safran Seats propose des sièges d’avion, pour équipage et passagers. 1 million de sièges fabriqués par Safran Seats sont actuellement en service dans les flottes aériennes mondiales.

Safran Passenger Solutions

Société la plus récente du groupe (créée en 2019), elle intègre les équipements complexes des cabines et les solutions axées sur le confort passager (gestion de l'eau et des déchets et divertissements à bord).

Autres filiales[modifier | modifier le code]

Safran Ceramics est spécialisée dans les matériaux composites thermostructuraux et céramiques.

Safran Engineering Services, filiale de Safran Electrical & Power, propose des services d’ingénierie à valeur ajoutée, avec expertise et gestion de projet dans différents domaines : systèmes électriques, aérostructures, mécanique, logiciels, ingénierie système.

Safran Tech est chargé de l'organisation de la R&T (Recherche et Technologie) du groupe.

Safran Martin-Baker France, filiale de Safran et de Martin-Baker construit les sièges éjectables des avions militaires français.

Safran Aero Composite, coentreprise avec Albany International (en), spécialisé dans la fabrication des aubes en composites, implantée à Rochester, Commercy et Mexico.

Organisation[modifier | modifier le code]

Le siège de Safran, dans le 15e arrondissement de Paris.

Capital[modifier | modifier le code]

Au [46] :

État Français (Agence des participations de l'État) 11,2%
Salariés 7,01%
Capital Research & Management WI 3,71%
TCI Fund Management 3,36%
The Vanguard Group 2,09%
Capital Research & Management GI 1,96%
Fidelity Management & Research Co 1,66%
Jennison Associates LLC 1,14%
Artisan Partners LP 1,11%
Capital International Ltd 1,11%

Dirigeants[modifier | modifier le code]

Au , les membres du conseil d’administration sont[47] :

  • Ross McInnes, président du Conseil
  • Olivier Andriès, directeur général de Safran
  • Patrick Pélata (indépendant),
  • Fabienne Lecorvaisier (indépendante),
  • Monique Cohen (indépendant),
  • Anne Aubert (administrateur représentant les salariés actionnaires),
  • Hélène Auriol Potier (indépendant),
  • Jean-Lou Chameau (indépendant),
  • Robert Peugeot (représentant de Société foncière financière et de participation),
  • Stéphanie Besnier (administrateur représentante de l’État),
  • Hervé Chaillou (administrateur représentant les salariés),
  • Vincent Imbert (nommé sur proposition de l’État),
  • Sophie Zurquiyah (indépendant),
  • Daniel Mazaltarim (administrateur représentant les salariés),
  • Marc Aubry (administrateur représentant les salariés actionnaires).
  • Laurent Guillot (indépendant)
  • Patricia Bellinger (indépendant)

Dirigeants historiques[modifier | modifier le code]

Succession des dirigeants

Les concurrents[modifier | modifier le code]

Sur le segment des moteurs pour avions civils et militaires et pour hélicoptères, Safran rencontre quatre acteurs : General Electric (États-Unis), Rolls-Royce (Royaume-Uni), Pratt & Whitney (États-Unis & Canada) et Honeywell (États-Unis). Dans l’activité équipements, la concurrence est plus nombreuse et diversifiée :

Dans la défense et l’avionique, le principal concurrent est le groupe français Thales.

Safran ayant également repris le développement de drones tactiques (Sagem Sperwer et Patroller), ses principaux concurrents sont AAI Corp (États-Unis), IAI (Israël) et Thales.

Communication[modifier | modifier le code]

Mécénat et sponsoring[modifier | modifier le code]

Safran II.

Depuis sa création jusqu’en 2017, Safran a soutenu les navigateurs Marc Guillemot à bord de Safran puis Morgan Lagravière à bord de Safran II. Ce mécénat était pensé pour accompagner la fusion de Snecma/Sagem et rassembler les salariés du groupe autour d’un projet fédérateur[51].

Activité de lobbying[modifier | modifier le code]

Auprès de l'Assemblée nationale[modifier | modifier le code]

Safran est inscrit comme représentant d'intérêts auprès de l'Assemblée nationale. L'entreprise ne déclare cependant en 2013, aucune dépense liée aux activités directes de représentation d'intérêts auprès du Parlement[52]. Elle déclare en 2017, un montant de 150 000 euros[53].

Auprès des institutions de l'Union européenne[modifier | modifier le code]

Safran est inscrit depuis 2009 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. Il déclare en 2015 pour cette activité 5 collaborateurs à temps plein et des dépenses d'un montant de 495 000 euros. L'entreprise indique également avoir perçu sur le même exercice 20 millions d'euros de subventions de la part des institutions de l'Union européenne[54].

Auprès des institutions des États-Unis[modifier | modifier le code]

L'entreprise déclare avoir exercé des activités de lobbying auprès des institutions des États-Unis pour un montant de 990 000 dollars en 2017[53].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.safran-group.com/group/profile
  2. Système national d'identification et du répertoire des entreprises et de leurs établissements, (base de données)Voir et modifier les données sur Wikidata
  3. https://www.safran-group.com/fr/espace-presse/safran-publie-ses-resultats-annuels-2022-2023-02-17#:~:text=Chiffre%20d'affaires,-La%20capacit%C3%A9%20globale&text=En%202022%2C%20elle%20atteignait%2082,repr%C3%A9sente%20%2D9%20M%E2%82%AC1
  4. https://www.safran-group.com/fr/espace-presse/safran-publie-ses-resultats-2021-2022-02-24#:~:text=En%202021%2C%20elle%20atteignait%2063,repr%C3%A9sente%20%2D27%20M%E2%82%AC3.
  5. Groupe Safran, sur safran-group.com (consulté le 23 mai 2019).
  6. « Safran publie ses résultats 2021 », sur Safran, (consulté le )
  7. D'après (en) Defense News Top 100 Liste pour 2023
  8. « SNECMA », sur www.journal-officiel.gouv.fr (consulté le )
  9. « Fusion surprise de Snecma et Sagem » [archive], sur www.usinenouvelle.com,
  10. « Quand Snecma et Sagem s'unissent pour devenir Safran », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  11. « Du poivre chez Safran », sur www.lepoint.fr
  12. « Béchat fait le ménage », sur www.lepoint.fr
  13. a et b « SOS Francis Mer », sur www.lepoint.fr,
  14. « Safran lâche les mobiles Sagem au fonds Sofinnova », sur www.usinenouvelle.com
  15. « Areva lance la vente de la majorité de ses actions Safran », sur www.usinenouvelle.com
  16. Rémy Maucourt, « Safran entre dans le CAC40 », sur usinenouvelle.com,
  17. Airbus et Safran unissent leurs forces dans les lanceurs spatiaux, le Monde - 03/12/2014
  18. Michel Cabirol, « Airbus et Safran lancent une OPA sur les activités spatiales de l'État », sur www.latribune.fr,
  19. Bruno Trévidic, « Philippe Petitcolin : « Toutes les sociétés du groupe s’appelleront Safran » », sur www.lesechos.fr,
  20. « Safran a-t-il raison de vendre sa pépite Morpho? », sur Challenges (consulté le )
  21. Isabelle Chaperon et Guy Dutheil, « Safran vend sa filiale biométrie à Oberthur », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  22. Safran et Zodiac Aerospace, un nouveau leader mondial de l’aéronautique, communiqué officiel de Safran et Zodiac Aerospace, 19 janvier 2017
  23. Bruno Trevidic, Anne Bauer, « Pourquoi le rachat de Zodiac par Safran était écrit », Les Échos,‎ (lire en ligne)
  24. Véronique Guillermard, « Safran-Zodiac : les dessous d'un rachat éclair », Le Figaro,‎ (lire en ligne)
  25. Fabrice Gliszczynski, « Safran-Zodiac : ce qui peut faitre capoter le deal », La Tribune,‎ (lire en ligne)
  26. Vincent Lamigeon, « L’histoire secrète de la fusion Safran-Zodiac Aerospace », sur www.challenges.fr,
  27. Guy Dutheil, « Aéronautique : Safran avalise l’absorption de l’équipementier Zodiac », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  28. Zone Bourse, « Safran a vu son chiffre d'affaires divisé par deux en avril | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )
  29. Le Figaro avec AFP, « Safran a vu son chiffre d'affaires divisé par deux en avril », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  30. « Safran a vu son chiffre d'affaires divisé par deux en avril », sur Boursorama, (consulté le )
  31. « Safran dégage un bénéfice net de 352 millions d'euros en 2020 malgré la pandémie », sur LEFIGARO (consulté le )
  32. « Partenariat entre TotalEnergies et Safran sur les carburants d'aviation durables », sur LEFIGARO (consulté le )
  33. « TotalEnergies et Safran s'unissent dans la "décarbonation" de l'aérien », sur Capital.fr, (consulté le )
  34. « Safran: chiffre d'affaires en hausse de 10,4% au troisième trimestre avec la reprise du trafic aérien », sur LEFIGARO, (consulté le )
  35. « Pots-de-vin en Chine : amende salée pour Safran aux Etats-Unis », sur MSN (consulté le )
  36. Challenges.fr, « Avec Air Liquide, Safran veut renforcer sa présence dans le domaine militaire », sur Challenges, (consulté le )
  37. Rapport annuel 2007
  38. Rapport annuel 2009
  39. Rapport annuel 2011
  40. Rapport annuel 2013
  41. Rapport annuel 2015
  42. Rapport annuel 2016
  43. Communiqué financier - résultats 2017
  44. « Structure du capital et des droits de vote », sur Safran, (consulté le )
  45. Safran modifie le pilotage opérationnel de ses activités d’équipements.
  46. Zone Bourse, « SAFRAN : Actionnaires Dirigeants et Profil Société | SAF | FR0000073272 | Zone bourse », sur www.zonebourse.com (consulté le )
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  48. « Jean-Paul Herteman prend la tête de Safran », sur usinenouvelle.com,
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  50. « Olivier Andriès prend les commandes de Safran », sur LEFIGARO (consulté le )
  51. « Safran se retire du sponsoring nautique », sur www.courseaularge.com,
  52. « Tableau des représentants d'intérêts », sur Assemblée nationale (consulté le )
  53. a et b Olivier Petitjean, « De Paris à Washington, les sociétés du CAC 40 ont dépensé au moins 60 millions d’euros pour influencer les politiques », sur Bastamag (consulté le )
  54. « Registre de transparence », sur Service communication de la commission européenne (consulté le )