Lisbourg
Lisbourg | |||||
L'église. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Arras | ||||
Intercommunalité | CC du Ternois | ||||
Code postal | 62134 | ||||
Code commune | 62519 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
600 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 30′ 27″ nord, 2° 13′ 04″ est | ||||
Altitude | Min. 103 m Max. 184 m |
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Superficie | 17,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Fruges (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise | ||||
Législatives | 6e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
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Lisbourg [lisbuʁ] est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Géographie
Description
Lisbourg est située dans le département du Pas-de-Calais, dans la région Nord-Pas-de-Calais (au nord de la France).
Au nord-est de la commune, on peut observer des dolines, phénomène géomorphologique relativement rare dans le nord de la France, souvent associé à la présence de creuses.
Communes limitrophes
Hydrographie
À une altitude de 114,7 mètres, la Lys prend sa source dans la commune.
Dans la nuit du , au bénéfice d'éboulements souterrains la Lys abandonne sa source historique pour jaillir sous une route communale en formant un geyser de quelques dizaines de centimètres de haut. Depuis cette nouvelle source a été aménagée par la communauté de communes et de l’association Lys sans frontières[1].
Urbanisme
Typologie
Lisbourg est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,8 %), prairies (30,7 %), zones urbanisées (4,7 %), forêts (0,9 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Toponymie
- De Lys + geboorte : "source de la lys", francisé en -bourg[9]. Liegesborth en 877.
- Liegesboort en flamand[10].
Histoire
Lisbourg est le cadre d'un épisode curieux au IXe siècle : Hugues l'Abbé, fils de Charlemagne, abbé de plusieurs abbayes, conçoit l'idée de ramener à l'abbaye du Mont Saint-Quentin, les restes de saint Omer (Audomar de Thérouanne) conservés à Saint-Omer. Cette action provoque une vive réaction de saint Folquin (Folquin de Thérouanne) alors évêque de Thérouanne, qui envoie une troupe armée pour récupérer la relique. Les ravisseurs sont rattrapés à Lisbourg, ils fuient en abandonnant les saints restes. Folquin organise alors le retour en grande pompe de la relique à Saint-Omer[11].
Baugeois de Gribauval, Gilbert de Gribauval, le Ploutre de Gribauval, tous trois sur la commune actuelle de Lisbourg, combattent et trouvent la mort lors de la bataille d'Azincourt en 1415[12].
Le 20 décembre 1634, la seigneurie de Lisbourg-en-Artois est érigée en marquisat, par lettres données à Madrid[13].
En septembre 1694, par lettres données à Versailles, la terre de Lisbourg, située au comté de Saint-Pol est de nouveau érigée en marquisat. Elle possède toute la justice seigneuriale, elle consiste en censives (terres concédées contre paiement d'un cens) foncières et seigneuriales, bois, moulins, prairies , etc. En dépendent plusieurs terres à clocher comme Verchin, Radinghem, Tilly, Capelle, (sans doute Tilly-Capelle) (Senlis, Ambricourt, Crepy et Surplois, et quarante beaux fiefs. Elle a toujours eu entrée aux États d'Artois. Elle est également châtellenie en septembre 1694[14].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.
Elle faisait partie du canton d'Heuchin[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la petite communauté de communes du pays d'Heuchin créée fin 1993.
Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [16] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.
Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[17]. À l'initiative des intercommunalités concernées[18], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[19] ;
- la communauté de communes de la Région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le Schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [20],[21].
La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [22].
Liste des maires
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].
En 2021, la commune comptait 600 habitants[Note 3], en évolution de +2,74 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 304 hommes pour 296 femmes, soit un taux de 50,67 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
Contrairement à la plupart de ses voisines, la commune a pu sauvegarder son école de trois classes, qui scolarise en 2016 76 élèves, de la maternelle au CM2, dont une trentaine déjeunent à la cantine[39].
Équipements municipaux
La commune a aménagé une salle multifonctions dans l'ancien presbytère, qui se révèle trop exigu. Une nouvelle salle, d'environ 350 m2, doit être construite au même emplacement. Son ouverture est escomptée fin 2017[39].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Motte féodale et basse-cour : inscription Monument historique par arrêté du [40].
Personnalités liées à la commune
- Le 20 décembre 1634, Jacques de Noyelles, comte de Croix, vicomte de Noyelles, gouverneur du château de la Motte-au-Bois, chef des finances, commissaire au renouvellement des lois du comté de Flandre, qui s'est acquitté de ses fonctions à l'entière satisfaction du roi, est fait marquis de Lisbourg-en-Artois par lettres données à Madrid[13]. Jacques de Noyelles est ainsi chevalier, marquis et châtelain de Lisbourg, comte de Croix, vicomte de Nielle, baron de Maldeghem, trésorier et commissaire du roi pour le changement des magistrats de Flandre[41].
- Eugène de Noyelles, sans doute un de ses descendants, est après lui marquis de Lisbourg, comte de Marle, vicomte de Nielle, baron de Rossignol, seigneur de divers lieux, et gouverneur, comme Jacques avant lui, du château de La Motte-au-Bois[41].
- En septembre 1694, Jean-François Volant de Berville, chevalier de justice de l'ordre royal de Notre-Dame du Mont-Carmel et de Saint-Lazare de Jérusalem, seigneur de Berville, de la terre, bourg et châtellenie de Lisbourg, Grosilliers, Derghinheuze, La Vallée, Le Breuil, Grincourt, Courcelles-le-Leu en partie, est fait marquis de Lisbourg[14].
- Le Père Anthime Caron (1931-2022), prêtre et scientifique. Supérieur provincial des Pères missionnaires de la Compagnie de Marie. Vice-recteur de l'Institut catholique de Paris. Aumônier des médecins au pèlerinage montfortain de Lourdes. Docteur en physique[42].
Héraldique
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : |
Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- http://www.echo62.com/article.asp?num_art=1923
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Toponymie générale de la France - Ernest Nègre
- Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
- Mr Bergerot, « Vie de Saint-Folquin », dans Mémoire de la Société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, 1855, p 90 à 131, lire en ligne.
- « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 247, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 59, lire en ligne.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du nord, (lire en ligne).
- Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques - « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
- « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069, , p. 37-39 (lire en ligne).
- David Derieux, « Lisbourg: le chef d’entreprise et ancien maire Daniel Baude est décédé : Les habitants du village et les élus du conseil municipal ont appris avec tristesse et émotion la disparition de l’ancien maire Daniel Baude, survenue ce jeudi à l’âge de 81 ans », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Décès de trois maires et d'un ancien maire : En ce dernier trimestre de 2011, quatre figures du Ternois nous ont quitté », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « La nouvelle équipe va travailler dans la continuité des actions entreprises auparavant par l'ancien maire Jean-Marie Guilbert : Quelques semaines après le décès de Jean-Marie Guilbert, c'est à une cérémonie émouvante que les habitants ont assisté dimanche », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Lisbourg : le maire Bernard Crohem ne sera pas candidat au second tour », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal depuis 1989 et maire depuis 2011 à la suite du décès de Jean-Marie Guibert, dont il était le premier adjoint, Bernard Crohen ne sera pas candidat ce dimanche ».
- : Aline Chartrel, « À Lisbourg, deux années de mandat « dans la continuité » de l’ancien maire : Bernard Crohem a connu vingt-deux douces années en tant que conseiller avant d’être propulsé sur le fauteuil de maire en décembre 2011. C’était au décès du premier magistrat, Jean-Marie Guilbert. Ayant pris goût à la fonction, il envisage aujourd’hui de se représenter. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Lisbourg: Bernard Crohem entame un nouveau mandat de maire », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Aline Chartrel, « Lisbourg – Aux prémices d’un projet éolien, le premier dans la commune : Les projets des maires. Bernard Crohem avait pris la tête de la commune en décembre 2011, à la suite du décès de son prédécesseur. L’ancien premier adjoint a fait ses preuves, et obtenu la confiance de l’électorat en mars. Pour ce mandat, il misera sur l’éclairage public et l’implantation d’un parc éolien. », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- David Derieux, « Le conseiller régional Olivier Delbé élu maire de Lisbourg : Grand vainqueur des élections municipales dès le premier tour le 15 mars, le conseiller régional est devenu maire de son village », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Sophie Morlans, « Le maire de Lisbourg meurt dans un accident de la route : Le maire de Lisbourg dans le ternois est mort mercredi soir dans un accident de la route.Olivier Delbé avait 53 ans », France Bleu Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- David Derieux, « Lisbourg : Olivier Delbé, le conseiller régional devenu maire de son village natal : Conseiller régional depuis dix ans, et élu local depuis vingt-cinq ans, Olivier Delbé a été élu maire de son village de cœur, qu’il n’a quitté que très temporairement en plus d’un demi-siècle », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- David Derieux, « Willy Gallet succède à Olivier Delbé dans les fonctions de maire de Lisbourg : Le conseil municipal s’est réuni jeudi soir à l’espace multifonctions pour procéder à l’élection du nouveau maire et de ses adjoints », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lisbourg (62519) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
- Anthony Hoyer, « Une salle multifonctionnelle avant des éoliennes », L'Abeille de la Ternoise, nos 8594-1643, , p. 24.
- « La Motte féodale », notice no PA00108337, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Louis de Backer, Château de la Motte-au-Bois, Douai,1843, in-4° ,71 pp. avec 2 lith., p. 35, lire en ligne
- « Lisbourg: décès du père Anthime Caron, homme d’Église et scientifique, un personnage «hors norme» », sur lavoixdunord.fr (consulté le ).