Le Champ-près-Froges

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Le Champ-près-Froges
Le Champ-près-Froges
Champ le Haut depuis la tour du Châtelard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Mylène Jacquin
2020-2026
Code postal 38190[1]
Code commune 38070
Démographie
Gentilé Champiots
Population
municipale
1 346 hab. (2021 en augmentation de 10,33 % par rapport à 2015)
Densité 269 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 54″ nord, 5° 56′ 22″ est
Altitude Min. 220 m
Max. 826 m
Superficie km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Grenoble
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web lechamppresfroges.fr

Le Champ-près-Froges[gm 1] est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

La commune est adhérente à la communauté de communes Le Grésivaudan. Les habitants sont dénommés les Champiots.

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan de la commune et des communes limitrophes

Le Champ-près-Froges est un village situé à environ 20 km, au nord-est de Grenoble[2], entre la rivière Isère et la chaîne de Belledonne dans les Alpes françaises. C'est l'une des portes d’accès à deux des trois stations de sports d'hiver des Sept Laux, en venant de la vallée : Prapoutel et Pipay.

La limite entre les communes de Froges et Le Champ-près-Froges est marquée par le ruisseau des Adrets.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Lumbin[a] La Pierre[b] Hurtières[c] Rose des vents
Crolles[a] N
O    Le Champ-près-Froges    E
S
Froges[b] Les Adrets[d]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 395 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pipay_sapc », sur la commune de Theys à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 6,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 545,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est bordé, à l'ouest, par l'Isère.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

L'accès au village se fait notamment par diverses voies routières, dont notamment :

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La gare de voyageurs la plus proche est la gare de Brignoud, située à environ 3 km du hameau de Champ-le-Bas, accessible en bus en utilisant la ligne TouGo G4.

Transport routier[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservie par le réseau Transisère (ligne « Express 2 »).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Champ-près-Froges est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Grenoble, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[12] et 450 501 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,5 %), zones urbanisées (16,1 %), terres arables (15,9 %), eaux continentales[Note 3] (7,4 %), prairies (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (2,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux, Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Le Champ-près-Froges comporte plusieurs hameaux, dont :

  • dans la vallée de l’Isère (220 mètres d'altitude) :
Champ-le-Bas
où se situent les commerces, la mairie annexe, l’école primaire et l’école maternelle. En suivant la « rue de la République » (D 523) vers Grenoble, le « ruisseau des Adrets »[18] marque la limite de la commune avec celle de Froges ;
Champalud
où se trouve la zone d'activité de la commune[g] ainsi que la majorité des entreprises, dont Airstar[19],[gm 2], numéro un mondial du ballon éclairant[20]. On y accède en suivant la « route de Savoie » (D 523) en allant vers Tencin.
Le Truffat
sur la D 250A entre la D 250 et La Pierre[gm 3] ;
Le Chatelard
où se trouve la tour du XIIe siècle[gm 4]  ;
Les Eymins
où se situent la mairie[21], l'église[i] et le cimetière et par où passe la route menant à deux (Prapoutel et Pipay) des trois stations des Sept Laux.
Le Feylet
à l'ouest de la route qui monte des Eymins vers Tignieux.
Tignieux[gm 5].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

La totalité du territoire de la commune de du Champs-près-Froges est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[22].

Terminologie des zones sismiques[23].
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Le bas de la commune est historiquement une zone inondable qui est protégée par une digue géré par le Symbhi[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Moyen Âge et Temps modernes[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2001 Henri Garcin SE  
2001 2014 Robert Colliat SE  
2014 En cours Gilbert Reymond UMP-LR[25] Retraité Fonction publique
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 346 habitants[Note 4], en augmentation de 10,33 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
600538425286555533567538530
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
487510517504508502434423387
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
376386405403411453358397470
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5775567019241 0081 1581 2011 2141 219
2018 2021 - - - - - - -
1 1861 346-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

La répartition de la population des habitants de la commune au est disponible sur le site de l'Insee[30].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble. Les écoles (maternelle et primaire) sont situées dans le hameau champ le bas.

Économie[modifier | modifier le code]

Airstar à droite et la carrière silico-calcaire d’origine fluviale de SMAG à gauche, au Grand Pré.

L'activité industrielle de la commune se situe dans la vallée, dans la zone industrielle au lieu-dit Champalut. On y trouve, entre autres la société Airstar pionnier du ballon éclairant.

Les quelques commerçants de la commune se trouve dans la vallée (boulangerie, coiffeur, bureau de tabac, pharmacie, etc.). Une autre partie des commerçants se trouve dans la commune voisine Froges, dont un supermarché.

Le commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[31].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame.
chapelle privée de Sainte-Croix ;
presbytère.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • maison forte dite la tour du Châtelard, des XIIe et XVIIe siècles[33] :
pour sa morphologie, la butte de terrain où se trouve la tour peut cacher une motte castrale de l'an Mille[33] ;
  • la mairie ;
  • le pont du Bruyant ;
  • la fontaine et le bassin du Truffat ;
  • l'ancienne cuve à raisin du Truffat ;
  • la salle de dégrisement (ou ancienne prison) ;
  • l'atelier du forgeron de Bas Champ ;
  • la carrière au Grand Pré ;
  • le lavoir de Bas Champ (rénové en 2003)[38] ;
  • le lavoir de Champ le Haut.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • La bibliothèque située à côté de la mairie annexe ;
  • les écoles (maternelle et primaire).

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Notes[modifier | modifier le code]

  1. a et b En traversant l'Isère
  2. a et b En suivant la D523 dans la vallée
  3. dans la montagne.
  4. En montant la D250 vers l'Est
  5. au rond-point prendre direction Albertville par RN.
  6. Par cette sortie il faut traverser l’Isère direction Brignoud, puis Chambéry par RN
  7. Z.A. de Champalud
  8. En utilisant la "rue de Prapoutel (D 530) à partir de la D 523 dans la vallée
  9. Où se trouve le vitrail du 12e mais où aucune cérémonie n'est célébrée
  10. Ce lieu de culte est rarement utilisé et les portes en sont fermées, cependant le vitrail peut être vu en demandant les clefs a la mairie située à 20 mde l’église.

Localisation[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Le code postal 38190 correspond à douze communes situées de part et d'autre de l'Isère, sur le site code.postal.fr
  2. changer d'échelle si Grenoble n'est pas visible, sur le site GoogleMap, consulté le 20 aout 2015
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Le Champ-près-Froges et Theys », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Grenoble », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Taper "le champ près Froges" dans la case commune à droite et "rau des Adrets" est l’abréviation de "ruisseau des Adrets, sur le site sandre.eaufrance.fr
  19. (fr + en) Airstar - Inventeur et leader mondial du ballon éclairant Sur le site airstar-light.com
  20. Voir le chiffre du mois - EGI no 214, juin 2010
  21. Mairie, sur le site le-gresivaudan
  22. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
  23. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
  24. SYMBHI : Projet Isère amont, sur lechamppresfroges.fr, consulté le 25 juillet 2016.
  25. Voir "Les élus", sur lemonde.fr, consulté le 12 octobre 2016.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. [PDF] Le Champ-près-Froges (38070 - Commune) - Page 2/2, sur le site de l'INSEE, consulté le 24 juillet 2013
  31. [PDF]Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du publié au JORF du , Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, no 2018-46.
  32. [Notre-Dame de Champ-près-Froges Le Champ-près-Froges : L'église Notre-Dame]
  33. a b et c Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 204-206.
  34. Vitrail XIIe siècle - Trois médaillons : Ascension et Pentecôte, sur le site culturegouv.fr
  35. Le recensement du vitrail ancien de la France, « et spécialement » en Rhône-Alpes, inventaire-rra.hypotheses.org, 29 juin 2016 (accès le 23 septembre 2017). (ISSN 2262-5720).
  36. « verrière figurée : Ascension, Pentecôte (baie 109) », notice no IM38000041, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. « verrière : Pentecôte (la), l'Ascension, Christ dans une gloire soutenue par deux anges », notice no PM38000031, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  38. [PDF]Parcours patrimoine. Table global, sur lechamppresfroges.fr, accès le 26 septembre 2016

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]