Jarrie

Jarrie | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Isère |
Arrondissement | Grenoble |
Canton | Le Pont-de-Claix |
Intercommunalité | Grenoble-Alpes Métropole |
Maire Mandat |
Raphaël Guerrero 2014-2020 |
Code postal | 38560 |
Code commune | 38200 |
Démographie | |
Gentilé | Jarrois(e) |
Population municipale |
3 734 hab. (2016 ![]() |
Densité | 282 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 06′ 43″ nord, 5° 45′ 39″ est |
Altitude | Min. 259 m Max. 733 m |
Superficie | 13,26 km2 |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-jarrie.fr |
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Jarrie est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes. Les habitants de Jarrie se nomment les Jarriards et les Jarrois.
Sommaire
Géographie[modifier | modifier le code]
La commune de Jarrie est proche de Vizille, Grenoble et Champ-sur-Drac.
La commune est divisée en trois parties : Haute-Jarrie, Basse-Jarrie et les Chaberts. Chaque partie à une école et une église paroissiale. La mairie et le musée de la chimie se trouvent à Basse-Jarrie.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Transports[modifier | modifier le code]
Jarrie est desservie par la gare de Jarrie-Vizille sur la ligne SNCF Grenoble-Veynes-Gap-Briançon. L'usine possède également un embranchement particulier.
Toponymie[modifier | modifier le code]
Le nom de la localité est attesté sous la forme Jarria au XIe siècle[1].
Jarrie (de garrica, chêne) est un mot d'origine préceltique passé en langue gauloise, et son emploi a persisté à l'époque gallo-romaine et même à des époques postérieures[2], comme en témoignent les formes avec l'article défini du type la Jarrie, à partir du XIIe siècle.
On ne peut donc pas rattacher à une occupation prélatine les lieux portant ce nom[2], ni d'ailleurs, antérieure au Moyen Âge dans le cas précis de Jarrie.
- Les Chaberts :
- Haute-Jarrie :
- Basse-Jarrie :
- Les Charbonnaux :
- l'Aragna : Arène, carrière de sable
- Les Thevenets :
- Les Simianes :
- Bon Repos :
- Le Plâtre :
- Les Vernets :
- La Combe :
- Les Envers :
Histoire[modifier | modifier le code]
Un village antique[modifier | modifier le code]
Jarrie se trouve sur la route commerciale alpine depuis l'antiquité, route qui deviendra ensuite voie romaine[3].
Les plus anciennes traces d'occupation du village actuel remontent au Ier siècle av. J.-C..
Par rapport à la présence gauloise, un Peron d'Avalon se trouve sur la carte de Cassini, et Abalo indique la pomme en langue gauloise[3].
Les archéologues ont établi que la voie romaine passait par Haute-Jarrie et les Chaberts au Ier siècle de notre ère, grâce à l'expertise et à l'authentification de pièces et de tuiles par le Musée dauphinois[4],[Note 1],[Note 2].
Le Moyen Âge jarrois[modifier | modifier le code]
Au cours de la période féodale, les traces de vie humaine témoignent d’une sédentarisation des populations qui investissent le plateau de Haute Jarrie et le hameau des Chaberts. La communauté villageoise se constitue alors au Xe siècle autour de deux pôles centraux : l’église Saint-Étienne récemment édifiée, au cours de la période de christianisation du territoire français tout entier, et le Seigneur local, qui serait à l’origine de l’édification d’un bâtiment défensif, notamment une motte castrale au Rampeau, déjà évoqué dans des textes antérieurs au Xe siècle[4][Note 3].
Au cours de la première moitié du IIe millénaire, les villes dauphinoises, telles que Grenoble, Gap ou La Mure se développent rapidement, grâce à l’essor du commerce inter-cité, qui dynamise l’ensemble du territoire français. Jarrie devient ainsi un lieu de passage privilégié pour ces flux commerciaux. Le village connaît alors un renouvellement de sa population, et par conséquent, un essor démographique important. D'un petit regroupement de fermes qu’il était jusque présent, il devient un véritable conglomérat de maisons de commerçants et de paysans.
Dans le même temps, l’Église assoira encore davantage son aura sur la communauté, influencée par l’ordre des Templiers, récemment établi à proximité, qui entreprend d’exploiter les atouts géographique du village. Les terres encore inoccupées seront alors défrichées et réservées à l’agriculture. L'étang de Haute-Jarrie sera utilisé pour l’irrigation des champs et l’approvisionnement des foyers. Par ailleurs, ils établiront également une commanderie chargée de régulier les flux commerciaux et de personnes sur les routes du village, et construiront un édifice imposant sur le plateau de Haute-Jarrie, que l’on appellera ensuite « Châteauneuf ».
De lourdes questions politiques et religieuses à l'aube de l'Époque moderne[modifier | modifier le code]
Au cours des XIVe siècle et XVe siècle, le village n’est pas épargné par les fléaux qui déciment le pays tout entier. La peste noire et la guerre de Cent Ans laisseront en effet, une empreinte indélébile dans les esprits des membres de cette petite communauté villageoise. Néanmoins, le milieu du IIe millénaire sera tout de même celui de l’édification des bâtiments les plus emblématiques de Jarrie : le château de Bon Repos[6], construit dans un style médiéval, et qui aujourd’hui encore, donne un caractère un peu moyenâgeux à cette partie du village. De nos jours, le château est animé chaque année par plusieurs compagnies de théâtre, ainsi que des groupes de musique[7]. Ce fut à cette époque que la maison Jouvin vit le jour dans la plaine de Basse-Jarrie ; autrefois dénommée « tour d’Avalon », ce bâtiment accueille actuellement depuis de nombreuses années la Mairie du village, dans le parc du même nom : le « Clos Jouvin ».

Malgré la modestie de sa taille, la commune de Jarrie fut particulièrement impliquée dans les guerres de religion qui ensanglantèrent la France au cours du XVIe siècle. Le Dauphiné fut en effet, une région particulièrement touchée par les affrontements entre catholiques et protestants. À cette époque, François de Bonne de Lesdiguières était le chef de file des Huguenots (nom donné aux protestants), qui cherchaient à négocier la fin des conflits avec les représentants locaux, et notamment Louis Armuet, le propriétaire du château de Bon Repos. Cependant, alors que leurs discussions permirent la rédaction d’un traité de paix, Henri III, qui eut vent des revendications huguenotes, refusa catégoriquement les conditions imposées par les protestants, et fit échouer les « accords de Jarrie ». L’année 1587 fut alors le théâtre d’affrontements violents entre catholiques et protestants, au cours desquels, ces derniers seront lourdement décimés. La bataille de Jarrie du 19 août 1587 comptera 1500 morts, presque tous Suisses[8]. En représailles[réf. nécessaire], Lesdiguières traversera la commune et pilla la commanderie d’Échirolles dans sa marche sur Grenoble en 1590. Il faudra alors attendre l’Edit de Nantes, promulgué par Henri IV en 1598, pour rétablir la paix au village et dans tout le Dauphiné.
La commune connue également une réorganisation de son découpage paroissial. En effet, à partir du XVIe siècle, Jarrie fut administrée par trois paroisses différentes : celle de Saint-Étienne, celle de Notre-Dame de Jarrie et celle de Saint-Jacques d’Échirolles. Par la suite, lors de la venue au pouvoir de Louis XIV, la commune se verra assez curieusement retirer l’administration de la communauté d’Isabeau Marnais sur ordre du Sieur Champigny, intendant du Dauphiné.
Le tournant révolutionnaire et l'entrée dans l'Époque contemporaine[modifier | modifier le code]
En vue de la préparation des États généraux de mai 1789, une assemblée préalable se réunie le 21 juillet 1788 à Vizille, une petite commune située à une demi-douzaine de kilomètres de Jarrie. Lors de cette assemblée, ce fut Charles Renauldon, propriétaire du Château de Saint-Jacques à Échirolles et futur maire de Grenoble, qui défendit les doléances des Jarrois. Malgré l’implication du village dans la vie politique du pays, la Grande Peur et les troubles de l’été 1789 ne trouvèrent pas vraiment d’écho à Jarrie. Les châteaux et domaines seigneuriaux du village n’eurent pas à subir la colère des révolutionnaires et ne connurent aucune forme de pillage.
Le XIXe siècle fut, quant à lui, une période beaucoup plus dynamique pour la commune. Sa population augmenta grâce à l’arrivée de nouveaux paysans et de riches bourgeois grenoblois, attirés par cadre de vie qu’offre le village, à la fois calme et rural, tout en étant proche de la ville. De plus, l’artisanat industriel se développe assez rapidement : la création de la gare communale en 1878 et d’une ligne de chemin de fer, reliant Grenoble à Veynes, attire les meuniers, les plâtriers et les scieurs de la région. C'est ainsi que l'on vit progressivement apparaître de plus en plus d'ateliers de toutes sortes dans le village.
Par la suite, ce seront ces mêmes attributs ferroviaires qui conduiront à une des transformations majeures de la commune : la création d’une usine de chlore à Basse-Jarrie, la SECEMAEU, qui draine alors une importante population ouvrière. En effet, durant la Première Guerre mondiale, la gare de Jarrie permet l’acheminement aussi bien de matériel militaire, que le ravitaillement alimentaire des hommes et du bétail. Le site de Jarrie, isolé de la ville et loin du front allemand, est l’endroit idéal pour développer des usines chimiques où l’on peut créer des produits capables de rivaliser avec les technologies allemandes.
Lorsque éclate la Seconde Guerre mondiale contre l’Allemagne en septembre 1939, l’usine est alors au cœur de la vie économique de Jarrie. Pourtant, plus d’une centaine de salariés seront réquisitionnés pour le combat, et seulement vingt en reviendront. Face à ce bouleversement démographique, les membres de l’usine vont alors entamer une forme de résistance plus ou moins active contre les forces d’occupation allemandes. Ainsi, ils obtiendront le retour de certains salariés prisonniers, ils aideront les maquisards en leur permettant de s’approvisionner en matériel, et l’un des ingénieurs de l'usine fera en sorte de diminuer la quantité de fournitures dédiés aux Allemands en sabotant régulièrement les machines de l’usine. Peu de temps avant la chute du IIIe Reich, les Allemands occupant la Maison Jouvin, située à quelques centaines de mètres de l’usine, incendient la scierie Pillet et fusillent un des ouvriers de l’usine, en représailles des actes de résistances réalisés par les salariés.
Les mutations du village depuis 1945[modifier | modifier le code]
De nos jours, la commune de Jarrie est bien sûr toujours existante, mais elle a bien changé depuis 1945. Passée d’à peine 2000 habitants à presque 4000, elle est devenue une des plus dynamiques de l’agglomération sud-grenobloise.
En 40 ans, outre le rachat du Château de Bon Repos aux descendants de la famille Jouvin par la Mairie de Jarrie, de nombreux services publics et associations culturelles ont été créés par les différents maires successifs. Il y eut par exemple : le Stade Pillet, les écoles primaires de Haute et Basse-Jarrie, la salle polyvalente Malraux, le collège du clos Jouvin, et juste à côté : la piscine et la bibliothèque municipales.
De plus, la Mairie s'installe dans la Maison Jouvin, où l'on constitue un Musée de la chimie, toujours en place actuellement. La halte-garderie est municipalisée, l’étang de Haute-Jarrie classé "Réserve naturelle", et de nombreux hameaux comme les Terrasses, les Simianes, les Auriards, les Plâtrières et les Envers, sont construits afin d'accueillir les nouveaux habitants du village, arrivés au cours des "Trente Glorieuses".
Par ailleurs, dans les années 1960, l'usine de chlore est rachetée par le groupe AREVA et devient un site de fabrication de zirconium, qui exporte aujourd'hui dans le monde entier[9].
Ainsi, en quelques décennies, la petite commune paysanne et ouvrière s’est fortement développée et peu à peu gentrifiée, comportant aujourd’hui toutes les structures d’une ville de taille moyenne.
Héraldique[modifier | modifier le code]
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Blason | De gueules à un chêne arraché d'argent, au chef d'azur chargé de trois haumes d'argent taré de profil[10]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[12].
En 2016, la commune comptait 3 734 habitants[Note 4], en diminution de 2,89 % par rapport à 2011 (Isère : +3,1 %, France hors Mayotte : +2,44 %).
Économie[modifier | modifier le code]
Le commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[15].
Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 39 792 €, ce qui plaçait Jarrie au 2 589e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[16].
En 2012, la part des ménages fiscaux imposés était de 81,3 %[17].
Emploi[modifier | modifier le code]
Le taux de chômage, en 2013, pour la commune s'élève à 8,8 %[17], un chiffre inférieur à la moyenne nationale (10,4 %)[18].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Le château de Bon Repos, du XVe siècle[19], propriété de la commune qui l'a entièrement restauré, est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 8 octobre 1986[20].
- Le Château des Rollands ou manoir de Teyssier[19], à Haute-Jarrie, qui date du XVIIIe siècle et du XIXe siècle, est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 12 décembre 2006[21].
- Le Châteauneuf à Haute-Jarrie, du XIIIe siècle[19]
- Le clos Jouvin, qui date de XVIe au XIXe siècle[19], ancienne tour d'Avalon, demeure dans un parc paysager occupée par la mairie, bâtiment autrefois propriété de la famille de gantiers Jouvin. Le parc du Clos Jouvin a été créé vers 1880 par l'architecte paysagiste Gabriel Luizet, réalisateur de plusieurs parcs reconnus monuments historiques[22]
- Le château des Simianes[19]
- La presumée motte castrale de Rampeau, du XIe siècle[19]
- L'usine chimique de Basse-Jarrie
- L'église Saint-Étienne à Haute-Jarrie
- L'église Notre-Dame des Charbonnaux (ou Charbonnots[23]), partie de l'ancien prieuré bénédictin du XIe siècle
- La Croix de la Vue, entre Basse-Jarrie et Montchabaud
Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]
Le musée de la chimie et la bibliothèque Yvette Virot se trouvent au Clos Jouvin.
Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]
Personnalités de la commune[modifier | modifier le code]
- Patrick Rolland : ancien joueur de hockey sur glace à Grenoble et de l'équipe de France. Aujourd'hui, il est entraîneur adjoint de l'équipe junior de France et entraîneur adjoint des Brûleurs de loups de Grenoble. L'été, il a son école de hockey.
- Yvette Virot (née Goddard) : ancien maire de la commune et fondatrice du musée de la Chimie à Jarrie. Une salle lui est dédiée et la bibliothèque municipale porte son nom.
- Christian Boujet joueur de rugby au FC Grenoble et international de Rugby à XV (3 sélections avec le XV de France en 1968).
- Francois Gachet Champion du monde descente VTT 1994
- Pierre Ostian (1944-2015), journaliste et documentariste professionnel de télévision et créateur magazine Montagne.
Jumelages[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- La « petite voie » romaine menait à Turin et passait par Haute-Jarrie et le col du Lautaret, alternative fréquentée à la voie passante par La Mure et Grenoble. On traversait l'Isère à Grenoble, pour poursuivre en rive droite de la Romanche et du Drac. Voir le panneau SIPAVAG.
- Voir le parcours sur les cartes de la voie romaine par Eric Tasset : Voie Grenoble (Cularo) - Turin (Taurini) / Tronçon Echirolles - Jarrie et Voie Grenoble (Cularo) - Turin (Taurini) / Tronçon Jarrie - Vizille
- Selon Isabelle Vanoli et Pierre-Yves Carron, la butte du Rampeau correspond probablement à une motte castrale, mais il y a « peu d'indices […] pour confirmer l'hypothèse d'une motte castrale à Jarrie : seul le profil de cette butte présente les caractéristiques d'une fortification de terre. Une investigation archéologique légère permettait peut-être de le vérifier[5]. »
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
Références[modifier | modifier le code]
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, DENLF, 1979.
- Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976.
- Aimé Bocquet, Le passé de l'Oisans et la voie Grenoble -le Col du Lautaret, accès le 4 mai 2016.
- Ville de Jarrie, « Histoire | Ville de Jarrie », sur www.ville-jarrie.fr (consulté le 16 mars 2016)
- Isabelle Vanoli (ill. Pierre-Yves Carron), « La motte de Rampeau à Jarrie », dans Annick Ménard (dir.) et Collectif, Patrimoine en Isère : Pays de Vizille, Grenoble, Département de l'Isère, coll. « Inventaire du patrimoine », , 112 p., 21 cm x 29.7 cm (OCLC 33933847), p. 20.
- « Château de Bon Repos », sur château de Bon Repos.com (consulté en 10 mas 2015)
- « Page d'accueil », sur www.chateaudebonrepos.com (consulté le 16 mars 2016)
- La Bataille de Jarrie, le 19 août 1587 sur www.sudgrenoblois-tourisme.com (accès le 24 avril 2016).
- « Jarrie : historique et faits marquants depuis 1962 - AREVA », sur www.areva.com (consulté le 16 mars 2016)
- Visages de Jarrie, Cyril LEHEMBRE, page 30.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015 et 2016.
- Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
- « Revenus localisés des ménages-Année 2010 », sur site de l'Insee, (consulté le 16 septembre 2016)
- « Insee - Chiffres clés : Commune de Jarrie (38200) », sur www.insee.fr (consulté le 18 septembre 2016)
- « Insee - Indicateur - Estimation du taux de chômage au sens du BIT pour le 1er trimestre 2013 », sur www.insee.fr (consulté le 18 septembre 2016)
- Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, (ISBN 2911148665), pp. 324-331
- « Château de Bon Repos », notice no PA00117208, base Mérimée, ministère français de la Culture
- « Domaine des Rollands de Haute-Jarrie », notice no PA38000024, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Base Mérimée. Patrimoine architectural > Auteur(s) : Luizet Gabriel.
- Pierre Coing-Boyat, « Notre-Dame de Jarrie : essai d'histoire de l'église de Basse-Jarrie aux Charbonnaux (ou Charbonnots) », Mémoire, le bulletin des amis de l'histoire du pays vizillois, vol. 41, novembre 2011, p. 35-46.
- Annuaire des Villes Jumelées > Pays : _ > Région : RHONE-ALPES > Collectivité : ISERE, sur le site de l'AFCCRE, consulté le 15 novembre 2014.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Le Clos Jouvin : Jarrie, Grenoble, Musée dauphinois,
- Pierre Coing-Boyat, Le Château des Simianes à Haute-Jarrie : personnages et demeures de Jarrie, in Mémoire : le bulletin des amis de l'histoire du pays vizillois, vol. 35, novembre 2008, pp. 36-49.
- La Chimie de Jarrie, le sel de la vie : quatre vingtième anniversaire de l'usine de Jarrie, Jarrie, Elf Atochem,
- Château de Bon Repos : Jarrie, Isère, Grenoble, Prestoprint, 198.?
- Le Château de Bon Repos : Jarrie : à partir des recherches de Pierre Coing-Boyat, Grenoble, Conseil général de l'Isère, coll. « Patrimoine en Isère »,
- La maison Jouvin: de la Tour d'Avallon à la mairie de Jarrie
- Robert Aillaud, La Bataille de Jarrie : 19 août 1587, Robert Aillaud,
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel .
- Jarrie sur le site de l'Institut géographique national
- Site web du château de Bon Repos .