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Racing Club de Lens

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Racing Club de Lens
Fichier:RC-Lens.png
Club fondé en 1906
Surnom Les Sang et Or
Statut professionnel 1934 - 1969
puis depuis juillet 1970
Couleurs Rouge et Jaune
Stade Stade Félix-Bollaert
(41 649 places)
Affluence record 48 912 spectateurs
(15 février 1992, Marseille)
Siège Centre Technique et Sportif
de la Gaillette
33, rue Arthur Lamendin
62210 Avion
Joueur le plus Capé Eric Sikora : 497 matchs
Meilleurs buteurs Ahmed Oudjani et
Maryan Wisnieski : 93 Buts
Équipementier Nike
Site Web http://www.rclens.fr

Domicile

Extérieur

Le Racing Club de Lens est un club français de football fondé en 1906. Le club est présidé par Gervais Martel depuis 1988 et entraîné par Jean-Pierre Papin qui s'engage le 25 août 2007 en remplacement de Guy Roux. Celui-ci a proposé sa démission le 23 août au président Martel qui l'accepte le 25 à la mi-temps du match contre le Racing Club de Strasbourg[1].

Palmarès

Fichier:Localisation Lens.jpg

Records

Classement UEFA

Anecdote

Aussi incroyable que cela puisse parraître, depuis sa création en 1906, le club n'a eu dans son effectif qu'un seul et unique joueur natif de Lens : il s'agit de Chérif Oudjani, lensois de 1983 à 1985 et de 1986 à 1989 et accessoirement fils d'Ahmed Oudjani, co-détenteur du nombre de buts inscrits sous la tunique Sang et Or.

Repères historiques

Naissance d'un club

Modèle:Sport en cours 1905, Lens. Sur la place Verte (actuelle place de la République), des lycéens jouent au football. Ils ne savent pas encore qu’ils sont en train d’écrire les premières lignes de l’histoire du Racing Club de Lens. Pourquoi ce nom ? Le football a été inventé en Angleterre, et il était donc de bon goût d’avoir un nom de club à consonance anglo-saxonne. De plus, les jeunes de l’époque vibraient au gré des exploits du Racing Club de France et du Racing Club de Roubaix.

Le premier comité est formé par les parents de ces adolescents sous le nom de Racing club lensois, avant que le club soit officiellement enregistré en 1906 sous son nom définitif de Racing Club de Lens. Les couleurs du maillot sont le vert, en référence à la naissance du club sur la place Verte, et le noir, inéluctable dans une ville où la mine est omniprésente.

Entre 1907 et 1912, les joueurs lensois sont forcés de changer plusieurs fois de terrain de jeu : ils évolueront à la pâture Mercier au niveau de la fosse 2, puis sur le terrain de la gendarmerie, rue de Béthune, avant de s’installer à l’actuel parc des Glissoires, entre Avion et Lens.

Durant la Première Guerre mondiale, le club disparaît puis renaît de ses cendres sous l’impulsion du Comité de secours américain. Le maillot des Lensois vire alors au bleu ciel bordé de blanc.

De sang et d'or

De 1906 à 1910, les couleurs du club sont le vert et le noir. Jusqu'en 1924, ils passent ensuite au noir uni.

C’est en 1924 qu’apparaissent les couleurs Rouge et Jaune. La légende raconte que Mr Moglia, président du club depuis 1923, choisit ces couleurs en référence au drapeau espagnol. Cette idée lui serait venue en passant devant l'église de la ville, vestige de l'occupation espagnole de 1648. On dit aussi que ces couleurs viendraient des mines. Le sang pour le sang versé par les mineurs et l'or pour le charbon récupéré qui avait une valeur d'or à l'époque.

Toujours en 1924, le club reçoit l'autorisation d'évoluer au stade municipal Raoul Briquet (aujourd'hui Léo Lagrange) nouvellement aménagé. Pour son ouverture, les Lensois arborent leur nouvelle tunique Sang et Or.

Le stade Félix Bollaert un soir de match


1926 est une année faste pour le RCL : l’anglais Kid Fenton est la première vedette à jouer à Lens, il restera huit saisons. De plus, le Racing voit naître son premier club du supporter. Et enfin, il finit l’année en fanfare puisqu’il remporte pour la première fois le Championnat d’Artois.

La ville de Lens s’intéresse de plus en plus à son club de foot et lui offre sa première subvention (8 400 F, soit 1300 Euros). Le club prend alors possession du stade Raoul Briquet.

En 1929, le Racing est champion du Nord promotion B accédant ainsi pour la première fois en Division d'Honneur de la Ligue du Nord. Afin de bien se comporter face à l'Olympique Lillois, R.C. Roubaix, Excelsior Athlétic Club de Roubaix et autres A.C. Amiens, deux Tchèques rejoignent le R.C.L. en Division d'Honneur.

Dans la Ligue Artois, le club devient de plus en plus connu. On envisage alors la construction d'un grand stade, en 1930. Le premier janvier 1932, le Conseil National adopte le statut pro et c'est cette même année que le club inaugure le stade Félix Bollaert, devenu "stade officiel".

Premiers faits d'armes

En 1937, le RC Lens accède en première division terminant premier de la D2 avec des joueurs tels que Stanis et Spechtl. Lens réussit à atteindre les huitièmes de finale de la Coupe de France mais l'équipe est éliminée par le Red Star 3 buts à 2.

Avec un meneur de jeu incroyable nommé Siklo, le Racing fera de très bonnes prestations. En 1943, Stanis refait parler de lui, il marque 43 buts en 30 match et son équipe terminera première de D1 zone Nord.

Après la Seconde Guerre mondiale, en saison 45/46, Lens termine 6ème mais descend en D2 la saison suivante. En 1948, l’équipe va jusqu’en finale de la Coupe de France et est battu par le LOSC.

Puis, Lens remonte en D1 et recrute Maryan Wisnieski qui fera le bonheur de l'équipe. Malheureusement, des problèmes avec les dirigeants l'oblige à quitter le club pour le UC Sampdoria Gênes sans grand succès.

En 1962, les mines ferment, et s’annonce la probable fin du Racing dont la majorité des joueurs étaient mineurs. De 1956 à 1968, le Racing a du mal à survivre. Pourtant, en 1964, Lens termine troisième et le meilleur buteur du championnat se nomme Ahmed Oudjani (30 buts). Un autre joueur encore va venir s'incruster dans l'équipe, il s’agit de Georges Lech. La relégation intervient néanmoins en 1968.

Dès l'année suivante, les dirigeants des Houillères décident de lâcher le club et de stopper le football professionnel à Bollaert. Lens redevient amateur un an après sa descente en D2.

Henry Trannin, directeur sportif du club, et Arnold Sowinski restent fidèles en attendant des jours meilleurs et jouent les hommes à tout faire…

Les années fastes et la chute

Et les jours meilleurs arrivent en 1969 : la mairie parie sur le Racing. Le maire de Lens, André Delelis, désire voir ce club continuer à faire vibrer le public de Bollaert. Accompagné du futur président lensois, Jean Bondoux, le premier magistrat rassemble bénévoles et souscriptions afin de faire survivre le club. Le Racing sort la tête de l'eau et la mairie récupère le stade Bollaert dans le cadre du transfert du patrimoine minier.

En 1972, le Racing arrive en demi-finale de la Coupe de France face à Bastia. L'arrivée de deux Polonais, Faber et Gregorczik, permet ensuite au club de remonter en D1.

En 1975, Lens atteint encore une fois la finale de la Coupe de France face à l'AS Saint-Etienne. Mais les Verts s'imposent (2-0), notamment grâce à une reprise de volée d’anthologie de Jean-Michel Larqué.

En 1976, Saint-Étienne vainqueur de la Coupe et à la fois Champion de France ne peut participer à deux compétitions européennes différentes. Le RC Lens, en tant que finaliste de la Coupe de France, participe à sa première Coupe d'Europe, celle des vainqueurs de Coupe (aujourd’hui disparue) mais se fait vite éliminer par le club néerlandais de La Haye.

Lens continue sa progression et après avoir terminé deuxième du championnat derrière Nantes, se qualifie pour la Coupe UEFA. Il élimine Malmö FF, et surtout la Lazio de Rome, après une défaite 2 à 0 en Italie, et un match retour de légende : 6 à 0 après prolongation !. Malheureusement, après cet exploit rare pour un club français, Lens se fait éliminer par les Est-Allemands Magdebourg. Pire, le club redescend une nouvelle fois en D2 en 1978.

Le retour parmi l'élite se fait en 1979 avec Roger Lemerre aux commandes de l'équipe. Dans les années 1980, Gérard Houllier et Joachim Marx lui succèderont. Lens est une équipe moyenne de première division, qui réalise quelques exploits mais qui vit avec peu de moyens.

En Coupe UEFA, en 1984, le club affronte les uns après les autres les trois clubs belges engagés. Après avoir éliminé plus ou moins facilement La Gantoise et Anvers, le Racing bute sur Anderlecht, tenant de cette coupe, malgré un but à Bollaert marqué grâce au lancé d'un projectile sur le ballon lors d'une passe en retrait vers le gardien belge Munaron. Au retour, les Lensois s'inclinent 1-0 et laissent les Bruxellois filer vers la finale. En 1987, la Coupe UEFA s'achève dès le premier tour, après une défaite (0-2) face à Dundee United (finaliste de la même coupe la même année)

Lens n'a pas les moyens de ses ambitions, alors que la région doit gérer la fin de l'extraction du charbon. À la fin de cette décennie, les grands noms comme Huard, Sénac, Vercruysse ou Catalano s'exilent. Les finances, tout comme l'équipe, sont mal en point.

Le club de son cœur

Arrivent alors à la tête du Racing Gervais Martel, un homme d'affaires de la région, secondé par Serge Doré. Le club va peu à peu se muer en entreprise et s'ouvrir aux investisseurs. Le public se mobilise derrière le projet, et même si les résultats sportifs ne sont pas encore ceux des plus grandes années, on sent le club sur la pente ascendante.

En 1988, l'arrivée au poste d'entraîneur d'Arnaud Dos Santos va enfin redonner des couleurs aux Sang et Or. Le club remontera en D1 en 1991, réussissant à faire stade comble lors des barrages pour l'accession à l'élite, et gagnant sa place finalement sur tapis vert.

En 1993, Lens est en position de reléguable mais réussit à rester en D1. En 1994 le club joue le haut de tableau et se qualifie, deux fois de suite en coupe d'Europe. Il atteint la demi-finale de la Coupe de France après avoir éliminé le PSG au Parc des Princes. Mais l’équipe échoue face à Montpellier.

En 1996, les arrivées de futurs grands comme Tony Vairelles, Titi Camara, Vladimír Šmicer et Marc-Vivien Foé donnent un nouvel allant au club.

En 1998, Les Sang et Or vont écrire la plus belle page de leur histoire sous la direction de Daniel Leclercq. Champion de France, demi finaliste de la coupe de la ligue et finaliste de la coupe de France face au Paris SG (défaite 2-1), le club signe de belle manière son premier titre. La génération dorée des Warmuz, Déhu, Wallemme, Sikora et Magnier obtient enfin une récompense à la hauteur de son talent. Comme un symbole, c’est un pur produit du RCL, Yoann Lachor, qui inscrit à Auxerre le but permettant à Lens de devancer Metz au classement général.

Toujours sous la direction du Druide, Lens va en 1999 remporter le second titre majeur de son histoire : au terme d’un excellent parcours en Coupe de la Ligue, le Racing bat Metz en finale grâce à Daniel Moreira et offre à ses supporters un des plus beaux cadeaux : un deuxième titre national en 2 ans. Notons également un parcours probant en Ligue des Champions. Lens est le premier club français à gagner dans le mythique stade de Wembley, puisque grâce à Mickaël Debève, le RCL bat Arsenal 1 à 0. Certes, Lens a été éliminé à la fin de la première phase, mais il faut dire que les adversaires étaient d’un calibre bien supérieur : outre Arsenal, le Dynamo Kiev et le Panathinaïkos d’Athènes composaient ce groupe.

La saison 1999/2000 est marquée par l'éviction de Daniel Leclercq mais également par l'excellent parcours lensois en Coupe UEFA. En effet, les hommes de François Brisson n'ont été éliminés qu'en demi-finale par le club anglais d'Arsenal. Le Racing s'est distingué en éliminant Kaiserslautern (victoire 4-1 en Allemagne), l'Atlético de Madrid et le Celta Vigo.

En 2000/2001, c'est un ancien de la maison, Georges Tournay, qui évite au club d'être relégué en seconde division, redressant le parcours chaotique de l'équipe entraînée par Rolland Courbis.

Joël Muller fut alors appelé aux commande de l'effectif Sang et Or. Son bilan est plutôt mitigé avec une première saison réussie : Lens a terminé deuxième et s'est ainsi qualifié pour la Ligue des Champions pour la deuxième fois de son histoire. En revanche les deux saisons suivantes ont été assez ternes (8e par deux fois).

Il sera remplacé au cours de sa quatrième saison par Francis Gillot qui entame là sa carrière d'entraîneur de haut niveau. Après avoir accroché la qualification en Coupe Intertoto malgré une première partie de saison difficile, Gillot conduit le club à la 4ème place en 2005/2006, synonyme de qualification en Coupe UEFA.

Lors de la saison 2006/2007, les Sang et Or terminent la première partie de saison à la 2ème place. La suite est moins réussie, et l'avance obtenue précédemment est vite diminuée. Et lors de la dernière journée, alors que le Racing a toutes les cartes en main concernant la qualification en Ligue des Champions, les hommes de Gillot échouent à Troyes, reléguant le club à la 5ème place, synonyme de Coupe Intertoto, et provoquant la colère des nombreux supporters qui avaient fait le déplacement.

Quelques jours plus tard, Gervais Martel annonce la démission de Francis Gillot, sous doute accélérée suite à la non-participation du club à la Ligue des Champions.

Le 5 juin 2007 dans la matinée, la signature de Guy Roux est annoncée pour remplacer cette démission.

Le 27 juin 2007, la LFP refuse ce contrat. Le Racing Club de Lens fait appel mais prépare peut-être le choix d'un nouvel entraîneur si cette décision est entérinée. Le 11 juillet finalement, le CNOSF a confirmé que Guy Roux pourra bien entraîner Lens, la saison prochaine. Mais après un début de saison médiocre (2 points en 4 matches), Roux propose sa démission le 23 août 2007 au président Martel, qui l'accepte le 25 août à la mi-temps de la rencontre RC Strasbourg-RC Lens[1].

C'est alors Jean-Pierre Papin qui prend le relais d'entraîneur et qui commença avec un net succès 5-1 contre les Young Boys de Berne en Coupe UEFA le 30 août 2007. Mais la joie sera de courte durée et Lens se fera éliminer au premier tour de la coupe UEFA contre le FC Copenhague 2 buts à 1 au match retour. Suite à cela, le club sera en difficulté et enchaînera défaites et matches nuls, mais se relancera par la suite grâce à la qualification pour les quarts de finale de la Coupe de la Ligue où Lens recevra l'AS Nancy-Lorraine, et grâce aux victoires importantes obtenues face à St-Etienne (3-2) et à Metz (2-1) en championnat, qui aideront le club à quitter la zone rouge de relégable. Mais à la mi-saison, le Racing est 18ème et relégable avec un match retard, le dernier match de l'année face au rival lillois ayant été reporté.

Les présidents

Les entraîneurs

Cette section présente les entraîneurs du Racing club de Lens depuis 1934:

Effectif actuel

Cette section présente la liste des joueurs actuels du Racing Club de Lens, classés par poste.[3]

Gardiens de but

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[4] Sélections
1 Vedran Runje Gardien 9 février 1976 à Split Drapeau de la Croatie Croatie Croatie A
16 Ronan Le Crom Gardien 13 juillet 1974 à Lorient (56) Drapeau de la France France
40 Arnaud Brocard Gardien 19 août 1986 à Dijon (21) Drapeau de la France France

Défenseurs

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[4] Sélections
2 Marco Ramos Arrière gauche 26 avril 1983 à Levallois-Perret (92) Drapeau du Portugal Portugal[4] Portugal -19 ans
3 Vitorino Hilton Défenseur central 13 septembre 1977 à Brasilia Drapeau du Brésil Brésil
4 Adama Coulibaly Défenseur central 9 octobre 1980 à Bamako Drapeau du Mali Mali Mali A
15 Fabien Laurenti Arrière droit 6 janvier 1983 à Marseille (13) Drapeau de la France France France Espoirs
19 Lucien Aubey Arrière gauche 24 avril 1984 à Brazzaville (Congo) Drapeau de la France France France Espoirs
25 Milan Biševac Défenseur central/Arrière droit 31 août 1983 à Mitrovica Drapeau de la Serbie Serbie Serbie A
26 Yohan Demont (cap) Arrière droit/Milieu droit 15 mai 1978 à Valenciennes (59) Drapeau de la France France

Milieux de terrain

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[4] Sélections
5 Mounir Diane Milieu offensif 16 mai 1982 à Oulad Abbou Drapeau du Maroc Maroc Maroc A
6 Abdou Kader Mangane Milieu défensif 23 mars 1983 à Thiès (Sénégal) Drapeau du Sénégal Sénégal Sénégal A
7 Abdoulrazak Boukari Milieu offensif 25 avril 1987 à Lomé (Togo) Drapeau de la France France France Espoirs
10 Éric Carrière Milieu offensif 24 mai 1973 à Foix (09) Drapeau de la France France France A
18 Olivier Monterrubio Milieu gauche/Ailier gauche 8 août 1976 à Gaillac (81) Drapeau de la France France France A'
20 Adil Hermach Milieu défensif 27 juin 1986 à Nîmes (30) Drapeau de la France France Maroc Jeunes
21 Sidi Yaya Keita Milieu défensif 20 mars 1985 à Bamako Drapeau du Mali Mali Mali A
22 Jonathan Lacourt Milieu défensif 17 août 1986 à Avignon (84) Drapeau de la France France France Espoirs
23 Nenad Kovačević Milieu défensif 11 novembre 1980 à Kraljevo Drapeau de la Serbie Serbie Serbie A
24 Bedsenté Gomis Milieu offensif 14/04/88 à Mont-Saint-Aignan (76) Drapeau de la France France
28 Julien Sablé Milieu défensif/Milieu offensif 11 septembre 1980 à Marseille (13) Drapeau de la France France France Espoirs
38 Simon Feindouno Milieu offensif 15 août 1985 à Conakry (Guinée) Drapeau de la France France

Attaquants

Nom Poste Naissance Nationalité sportive[4] Sélections
8 Toifilou Maoulida Avant centre 8 juin 1979 à Dzaoudzi (Mayotte) Drapeau de la France France France Espoirs
9 Luigi Pieroni Avant centre 8 septembre 1980 à Liège Drapeau de la Belgique Belgique Belgique A
14 Kévin Monnet-Paquet Avant centre 19/08/1988 à Bourgoin-Jallieu (38) Drapeau de la France France France -19 ans
27 Aruna Dindane Avant centre/Ailier droit 26 novembre 1980 à Abidjan Drapeau de la Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire Côte d'Ivoire A
29 Seïd Khiter Avant centre 19 janvier 1985 à Roubaix (59) Drapeau de la France France France -19 ans
41 David Pollet Avant centre 21 août 1988 à La Bassée (59) Drapeau de la Belgique Belgique[4] Belgique Espoirs

Joueurs emblématiques

Internationaux français

Clast. Nom Poste Sél. à Lens Sél. au total
1 Maryan Wisnieski Attaquant 33 33
2 Georges Lech Attaquant 16 35
3 Xercès Louis Milieu 12 12
4 Didier Six Attaquant 11 52
5 Alou Diarra * Milieu 11 12
6 Guillaume Bieganski Défenseur 5 9
7 Philippe Vercruysse Milieu 4 12
8 Ladislas Siklo 4 4
9 Tony Vairelles * Attaquant 3 8
10 Daniel Xuereb Attaquant 3 8
11 Pierre Laigle Milieu 2 8
12 Daniel Moreira * Attaquant 2 3
13 Didier Sénac Défenseur 2 3
14 François Brisson Attaquant 2 2
15 Edmond Novicki Attaquant 2 2
16 Michel Stievenard 2 2
17 Frédéric Déhu * Défenseur 1 5
18 Farès Bousdira Milieu 1 1
19 Paul Courtin Attaquant 1 1
20 Jean Desgranges 1 1
21 Raymond François Milieu 1 1
22 Richard Krawczyk Milieu 1 1
23 Marcel Ourdouillié Milieu 1 1

* Encore en activité.

Joueurs français

Joueurs étrangers

Bilan saison par saison

Division Saisons Titres* Matchs Joués Victoires Nuls Défaites Buts marqués Buts encaissés Différence
D1/L1 54 1 1968 735 525 708 2822 2796 +26
D2 12 3 402 205 106 91 776 452 +324
D3/CFA 1 - - - - - - - -
DH 5 - - - - - - - -
PH 3 - - - - - - - -
Regional 5 - - - - - - - -

Historique du Racing Club de Lens

Staff technique (2007-2008)

Nom Poste Naissance Lieu de naissance Nationalité
Jean-Pierre Papin Entraîneur 05-11-1963 Boulogne-sur-Mer (France) Drapeau de la France France
Colbert Marlot Entraîneur adjoint 04-03-1963 Liévin (France) Drapeau de la France France
Daniel Krawczyk Entraîneur adjoint 07-01-1961 Sains-en-Gohelle (France) Drapeau de la France France
Sébastien Migné Entraîneur adjoint 30-08-1972 La Roche-sur-Yon (France) Drapeau de la France France
Jean-Pierre Lauricella Entraîneur adjoint (gardiens) 04-02-1965 Charbonnier-les-Mines (France) Drapeau de la France France

Supporters du Racing Club de Lens

Les supporters du RC Lens figurent parmi les plus actifs de France. Le premier club de supporters du club est fondé en 1926 .

Dominique Regia-Corte est le responsable des relations entre le clubs et les nombreux groupes de supporters

Voir aussi

Liens internes

Liens externes

Références

  1. a et b Lens - Guy Roux « n'aurait pas dû » L'Équipe du 25 août 2007.
  2. Le championnat 1944 a en fait été remporté par l'équipe de Lens-Artois, la compétition réunissant des équipes fédérales régionales.
  3. Effectif en date du 3 juillet 2007.
  4. a b c d e et f Certains joueurs comme Marco Ramos, par exemple, ont une double nationalité (française et autre), mais un même joueur ne peut jouer que pour une seule sélection nationale. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « nationalité sportive » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.

Modèle:RC Lens navigation

Modèle:Équipes du championnat de France de football D1 Modèle:CFA-A Modèle:Football français