Anderlecht
Anderlecht | |
![]() hôtel communal d'Anderlecht |
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![]() Héraldique |
![]() Drapeau |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | ![]() |
Communauté | ![]() ![]() |
Arrondissement | Bruxelles-Capitale |
Bourgmestre | Éric Tomas ![]() |
Majorité | ![]() |
Sièges |
47 (2012-2018)
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Section | Code postal |
Anderlecht | 1070 |
Code INS | 21001 |
Zone téléphonique | 02 |
Démographie | |
Gentilé | Anderlechtois(e)[1] |
Population – Hommes – Femmes Densité |
118 241 () 49,73 % 50,27 % 6 664 hab./km2 |
Pyramide des âges – 0–17 ans – 18–64 ans – 65 ans et + |
() 23,86 % 60,30 % 15,84 % |
Étrangers | 24,46 % () |
Taux de chômage | 25,44 % (octobre 2013) |
Revenu annuel moyen | 10 570 €/hab. (2011) |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 50′ 00″ nord, 4° 18′ 00″ est |
Superficie – Surface agricole – Bois – Terrains bâtis – Divers |
17,74 km2 (2005) 20,78 % 0,21 % 76,44 % 2,57 % |
Localisation | |
![]() Situation de la commune au sein de la région de Bruxelles-Capitale |
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Liens | |
Site officiel | www.anderlecht.be |
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Anderlecht /ɑ̃.dœʁ.lɛkt/ est l'une des 589 communes de Belgique et une des 19 communes de la Région de Bruxelles-Capitale. Comme toutes les communes de Bruxelles, elle est officiellement bilingue.
Le 1ermai 2017, elle comptait 118 785 habitants (8e commune la plus peuplée de Belgique)[2] (59 050 hommes et 59 735 femmes), appelés Anderlechtois, pour une superficie de 17,74 km2 soit une densité de 6 695,89 habitants/km².
Elle est située dans le sud-ouest de l'agglomération bruxelloise et limitrophe aux communes de Bruxelles-ville, Dilbeek, Forest, Molenbeek-Saint-Jean, Leeuw-Saint-Pierre et Saint-Gilles.
Sommaire
- 1 Étymologie
- 2 Histoire
- 3 Armoiries communales
- 4 Quartiers d'Anderlecht
- 5 Mobilité
- 6 Vie politique
- 7 Lieux culturels, tourisme et curiosités
- 8 Économie
- 9 Santé
- 10 Jumelages
- 11 Sport
- 12 Personnalités de la commune
- 13 Anderlecht au cinéma
- 14 Voir aussi
- 15 Notes et références
Étymologie[modifier | modifier le code]
La première mention du nom « Anderlecht » figure dans le diplôme de l’an 1046 de Gerard premier, évêque de Cambrai[3]. Il semble être composé d’un mot celtique dont la signification s’est perdue (And ou ander que l’on retrouve dans Andenne, Anderlues, Andernach), et d'un mot allemand « lach » ou cours d’eau[3]. Anderlecht s'écrit Anrelech (acte de 1047), Andrelet (1111), Andreler (1148) ou Anderlech (1186). Les étymologistes ont émis au sujet de l’origine de ce nom diverses hypothèses. Il est en tout cas difficile de rapprocher ce nom de « lake », fossé rempli d’eau. Quant à Ander, on y a vu « andor » du néerlandais « andoren », marube (sorte de labiée). On a proposé « la basse terre » avec les gens qui habitent près de l’eau car on y voit « legede » (dépression) et ahan-warja, de aha « eau », en pensant à Aa[3]. Enfin, de récentes recherches semblent pouvoir établir avec pertinence l’origine indo-européenne du vocable Anderlecht
Histoire[modifier | modifier le code]
Premières occupations connues[modifier | modifier le code]
Dès l'âge de pierre, l'homme choisit pour s'y fixer la rive droite de la Senne, c'est-à-dire la parcelle du territoire d'Anderlecht incluse dans l'éperon de sable situé entre la Senne et le Maelbeek. C'est à la présence des eaux qu'il faut attribuer l'établissement d’habitations humaines, des huttes en bois sur pilotis (palaffites), à cet endroit.
La mise au jour de fragments de vases et de poteries attestent de l'occupation d'Anderlecht à l'âge du bronze.
Pour ce qui concerne l'âge du fer, on peut citer la découverte de vases et d'une crémaillère articulée.
Antiquité[modifier | modifier le code]
À la fin du Ier siècle de notre ère, une villa, siège d'une importante exploitation agricole, fut construite à Anderlecht sur l'emplacement du Champ de Sainte-Anne. Une chaussée romaine secondaire (diverticulum) s'étendait alors sur la crête de partage des vallées de la Vlese[Quoi ?] et de la Pède ; la villa romaine se trouvait non loin de cette voie. Les fouilles mirent au jour des murailles enduites de plâtras multicolore, des débris de tuiles (tegulae), des carreaux céramiques, des poteries et des objets métalliques.
Au milieu du Ve siècle, la région est occupée par les Francs. Au VIe siècle, il y établissent un cimetière sur les rives de la Senne à l’emplacement des ruines de la villa romaine, sur les ruines des vaincus, selon leurs usages. Cette nécropole comprenait plus de 400 sépultures contenant des armes, des bijoux et des instruments de travail.
XIe siècle[modifier | modifier le code]
C'est du XIe siècle que date l'essor d'Anderlecht - la plus ancienne mention connue du nom d’Anderlecht se trouve d'ailleurs dans un acte de 1046 ou 1047[réf. nécessaire] -, en particulier autour de la vie religieuse. À l'époque, quatre villages occupent le territoire de l'actuelle commune : Anderlecht et Aa, liées à deux puissantes seigneuries foncières des bords de la Senne, Cureghem et Neerpede.
- En 1046, Reinelde d’Aa fonde un chapitre canonial au sein de la paroisse de l’église Saint-Pierre, alors église principale d’Anderlecht qui acquiert ainsi le titre de collégiale. La communauté formera bientôt un noyau culturel, particulièrement rayonnant aux XVe et XVIe siècles.
- Une église romane est également construite - qui deviendra la Saints-Pierre-et-Guidon.
- La mort de Saint Guidon est située vers 1012. La collégiale prit le nom de Saints Pierre-et-Guidon lorsque, un siècle après la mort du saint, une Vita Guidonis écrite par un des chanoines le fit mieux connaître. Son tombeau commença à attirer un grand nombre de pèlerins.
Bas Moyen Âge[modifier | modifier le code]
En 1252 est fondé le béguinage d'Anderlecht.
Dès la fin du XIIIe siècle, la Famille d'Aa perd de son influence ; une partie de leur seigneurie passe aux mains de la famille de Walcourt, une autre à Sweder d'Abcoude au début du XVe.
De 1350 à 1527, la modeste église romane est agrandie et acquiert un style gothique brabançon. Elle prend alors son apparence actuelle, mais elle sera encore fortement restaurée et transformée au XIXe siècle.
En 1356, la plaine de Scheut fut le théâtre de la Bataille de Scheut.
En 1393, Jeanne de Brabant incorpore Anderlecht à la Cuve de Bruxelles. Ce rattachement marqua de manière indélébile la vie sociale, politique et économique du village pendant quatre siècles.
XVe siècle[modifier | modifier le code]
Des miracles et une appartition de la Vierge font affluer les pèlerins et permettent le développement d'un nouveau centre religieux : les fondations d'une chapelle sont jetées en 1450 à Scheut, bientôt complétées par un monastère chartreux (1453), une église et un grand cloître (1469).
Renaissance[modifier | modifier le code]
En 1521, Érasme passe quelques mois à Anderlecht, dans ce qui deviendra la Maison d'Erasme. En 1525, la population d'Anderlecht est évaluée à 970 habitants[4]. En 1576 puis en 1579, la chartreuse de Scheut, à son apogée, est envahie, pillée et brûlée. Le couvent détruit, les Chartreux s'aménagent un refuge à Bruxelles intra muros en 1585.
XVIIe siècle[modifier | modifier le code]
Les archiducs Albert et Isabelle, gouverneurs des Pays-Bas espagnols, autorisent les Minimes à venir s'installer à Bruxelles en 1616. À partir de 1624, et avant de s'installer au centre de Bruxelles, l'ordre fait donc bâtir un premier couvent, avec le soutien du duc d'Aumale - alors en exil au château d’Aumale.
Joséphisme[modifier | modifier le code]
Les mesures prises par Joseph II contre les institutions religieuses frappent directement Anderlecht. En 1783, les chartreux doivent définitivement quitter la chartreuse de Scheut. Douze ans plus tard, la chapelle et la ferme (le Scheuthof), sont vendus comme biens nationaux. La chapelle resistera jusqu'en 1974, avant d'être déétruite en toute illégalité. Le collège de chanoines fut dissout en 1796.
Période française[modifier | modifier le code]
Quant à cette époque, voir l'impression que l'on pouvait avoir d'Anderlecht à la fin du XVIIIe siècle dans Charles Oudiette, Le Département de la Dyle, ou Première partie du dictionnaire géographique et topographique, des neuf départemens de la Belgique, Bruxelles, Armand Gaborria, an VII (1798), p. 4-7.
Le , la commune est le théâtre du Combat d'Anderlecht qui voit s'opposer la France et le Saint-Empire germanique.
Canton d'Anderlecht[modifier | modifier le code]
Le décret du [5], fait d'Anderlecht le chef-lieu du 24e canton du Département de la Dyle. Ce canton d'Anderlecht regroupait 11 municipalités - Anderlecht (chef-lieu), Berchem-Sainte-Agathe, Jette, Laeken, Dilbeek, Meulebeek (sic), Grand-Bigard, Itterbeek, Sint-Martens-Bodegem, Vlezenbeek et Wambeek et comptait 11 400 âmes. La Cuve de Bruxelles est supprimée par l'administration française.
La situation avantageuse de ces communes en rend les productions principales abondantes en grains tels que froment, seigle, orge, avoine, et colza. Les prairies et pâturages y sont d'une grande étendue, surtout à Anderlecht, Meulebeek et Laeken où ils sont fertilisés par les fréquentes inondations de la Senne. On a donc l'avantage d'y faire deux récoltes par an et celui d'y entretenir quantité de bestiaux de toutes espèces. Il se cultive à Grand-Bigard et Saint-Martin beaucoup de houblon et à Meulebeek les fruits et les légumes sont également abondants. Il résulte de ces productions auxquelles il faut ajouter les bois, quoique peu considérables, que possédaient les abbayes d'Affligem et Grand-Bigard, que ce canton est l'un des plus fertiles du département.
Les objets d'industrie et commerce dans ce canton sont les manufactures et imprimeries de coton, manufactures de faïence, fabriques de tabac, potasse, salins, blanc de céruse et poudre à tirer, avec deux tanneries, le tout sur les communes d'Anderlecht, Meulebeek et Koekelberg - alors une dépendance de Berchem-Sainte-Agathe. Il y a aussi une fonderie de fer à Jette et deux tanneries à Laeken.
La qualité du beurre d'Anderlecht, que lui donne la nature des pâturages qui alimentent les bestiaux, fait qu'il a la préférence sur tout autre des environs. Le canton compte environ quinze brasseries et dix genièvreries.
Le canton d'Anderlercht comptait, avant la suppression du clergé, dix paroisses et deux annexes avec une collégiale au chef-lieu, le Couvent des Minimes, le béguinage d'Anderlecht, l'Abbaye de Dieleghem (Prémontrés) à Jette, l'abbaye Sainte-Wivine à Grand-Bigard.
La commune à la fin du XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]
Sa population est d'environ 2 000 âmes, y compris ses dépendances, qui s'étendaient jusqu'aux remparts de Bruxelles, à savoir : les hameaux de Cureghem, Veeweyde, Straete van Aa (où il y a un moulin à eau[6]), Biestebrock, Neerpede[7], Vlaesendael, Broeck, Mylenmeersch et Moortebeek en partie, les fermes isolées de Scheut, Elishout, Vlest et le moulin à eau de Speekaert[8] et quelques maisons isolées de cultivateurs, qui ne sont connues que par les noms de ceux qui les habitent. Près de la ferme de Scheut, à l'emplacement de l'église du couvent des Chartreux, se trouvait une chapelle nommée Notre-Dame de Scheut dont la situation agréable, au milieu d'un bocage, rendait ce lieu très fréquenté. Les productions principales d'Anderlecht sont le froment, le seigle, le colza, les fruits et légumes de toutes espères. Les prairies et pâturages y sont très abondants. On y trouve également 4 imprimeries de coton, 2 moulins à huile, deux fabriques d'amidon, une foulerie en laines, un moulin à tan et une genièvrerie. C'est à cette importante tradition maraichère et horticole que la commune doit l'Institut Redouté-Peiffer, héritier de l'école provinciale d'horticulture[9].
XIXe siècle[modifier | modifier le code]
Urbanisation[modifier | modifier le code]
Au XIXe siècle la commune s'urbanise et se peuple, en réponse à l'industrialisation des abords du canal ; la chaussée de Ninove est tracée en 1828, à travers l’ancienne propriété des chartreux.
La population est multipliée par 10 entre 1830 et 1890 et encore doublée entre 1890 et 1910. Le long de la chaussée de Mons, une série de quartiers industriels et ouvriers rejoignent d'abord le centre d'Anderlecht par Cureghem, puis s'étendent au-delà, avec notamment l'établissement, au début du XXe siècle, de la cité ouvrière de La Roue.
Année | 1830 | 1846 | 1856 | 1866 | 1876 | 1880 | 1890 | 1900 | 1910 | 1920 | 1930 | 1947 | 1961 | 1970 | 1980 | 1990 | 2000 | 2010 | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | 2016 | 2017 | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Habitants | 3.426 | 5.966 | 7.465 | 11.580 | 18.615 | 22.812 | 32.311 | 47.929 | 64.137 | 67.038 | 80.046 | 86.412 | 94.677 | 103.796 | 95.969 | 89.231 | 87.812 | 104.647 | 107.912 | 111.279 | 113.462 | 115.178 | 116.332 | 117.412 | 118.241 | |
Index | 100 | 174 | 218 | 338 | 543 | 666 | 943 | 1.399 | 1.872 | 1.957 | 2.336 | 2.522 | 2.763 | 3.030 | 2.801 | 2.605 | 2.563 | 3.054 | 3.150 | 3.248 | 3.312 | 3.3362 | 3.396 | 3.427 | 3.451 | |
chiffres INS - 1830 = Index 100 |
Gestion de l'eau[modifier | modifier le code]
Anderlecht est traversée par la Senne et, à partir de 1832, par le canal, sillonnée de cours d'eau (dont la Pede et le Vogelenzang) et ponctuée de moulins à eau et de marais. L'hydrographie naturelle des lieux et ses fréquents débordements[10] deviennent donc rapidement une entrave à son urbanisation qui ne manque pas, depuis, d'interpeler les pouvoirs publics.
- Le sol et l'eau, in : Daniel Van Damme, Promenades archéologiques à Anderlecht, préface de Joseph Bracops, illustrations d’Eugène Narcisse, Bruxelles 1958, p. 81-90 (en ligne).
- Ministère des travaux publics, Inondations de la vallée de la Senne, aux abords de Bruxelles, Bruxelles, Rémy, 1840.
XXe siècle[modifier | modifier le code]
Le Parc du Meir[modifier | modifier le code]
Football[modifier | modifier le code]
Le Sporting Club Anderlechtois est fondé le . En 1917, il investit le Parc Astrid - alors parc du Meir - inauguré en 1911, et y installe une première tribune en 1920. Le club intègre l'élite du football belge dès 1935. En 1980, le club de football RSCA rénove et agrandit ses installations sportives dans le parc - il en occupe actuellement près d'un quart. En février 2010, la commune d'Anderlecht signe un accord cadre avec le RSCA qui vise à soutenir les projets d’agrandissement du stade et à limiter les futures taxes communales qui seront dues par le club.
Armoiries communales[modifier | modifier le code]
Un arrêté royal du confirma la décision du Grand Conseil héraldique du d’octroyer à la Commune pour armoiries un Saint Guidon à genoux. Le personnage représenté sur le blason lève une main vers le ciel et tient de l’autre un bâton orné d’une petite bannière; derrière lui on voit une charrue et deux chevaux attelés : les chevaux et le personnage sont d’or sur fond d’azur. Ce n’est point un hasard si le sceau communal témoigne officiellement de la continuité folklorique d’Anderlecht et rappelle que ce vaste territoire de 1.784 hectares de superficie constituait l’un des centres agricoles les plus anciens du pays. Actuellement la continuité est assurée par l’organisation, depuis 1825, du marché annuel.
Quartiers d'Anderlecht[modifier | modifier le code]
- Centre historique
- Birmingham
- Biestebroeck
- Veeweyde
- Meir
- Scherdemael
- Broeck
- Moortebeek
- Peterbos
- Scheutveld
- Scheut
- Cureghem
- Petite Île
- Zoning industriel
- La Roue
- Trèfles
- Quartier des étangs
- Vogelenzang
- Neerpede
- Bon Air
Mobilité[modifier | modifier le code]
Anderlecht est desservi par de nombreuses lignes de transport public
Réseau STIB
Ligne | Station | Quartier(s) desservis |
---|---|---|
![]() |
Jacques Brel | Birmingham / Scheut |
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Aumale | Centre |
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Saint-Guidon | Centre |
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Veeweyde | Veeweyde |
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Bizet | La Roue |
![]() |
La Roue | La Roue |
![]() |
CERIA | La Roue |
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Eddy Merckx | Vogelenzang |
![]() |
Erasme | Vogelenzang |
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Clemenceau | Cureghem |
![]() ![]() |
Delacroix | Birmingham |
Ligne | Nombres d'arrêts | Quartier(s) desservis |
---|---|---|
![]() |
17 | Cureghem, Centre, Meir, Scherdemael, Bon Air, Broeck, Moortebeek |
![]() |
13/15 | Zoning industriel, Veeweyde, Meir, Centre, Scheutveld |
![]() |
13 | Bon Air, Broeck, Scherdemael, Meir, Veeweyde, La Roue |
![]() |
10 | Cureghem, Petite Île, Zoning industriel |
![]() |
8 | Birmingham, Scheut, Scheutveld, Broeck |
![]() |
2 | Zoning industriel, La Roue |
Ligne | Nombres d'arrêts | Quartier(s) desservis |
---|---|---|
![]() |
14 | Cureghem, Centre, Meir, Quartier des étangs |
Ligne | Départ | Destination | --- |
---|---|---|---|
116 | Bruxelles-Midi | Ternat | |
117 | Bruxelles-Midi | Dilbeek (Rondenbos) | |
118 | Bruxelles-Midi | Schepdaal | |
126 | Bruxelles-Nord | Ninove centre | |
127 | Bruxelles-Nord | Ninove centre | |
128 | Bruxelles-Nord | Ninove centre | |
129 | Bruxelles-Nord | Dilbeek (Zuurweide) | |
136 | Bruxelles-Nord | Alsemberg | |
137 | Bruxelles-Nord | Alsemberg | |
140 | Bruxelles-Midi | Gooik (Leerbeek stelplaats) | |
141 | Bruxelles-Midi | Gooik (Leerbeek stelplaats) | |
142 | Bruxelles-Midi | Gooik (Leerbeek stelplaats) | |
144 | Bruxelles-Midi | Gooik (Leerbeek stelplaats) | |
145 | Bruxelles-Midi | Gooik (Leerbeek stelplaats) | |
153 | Anderlecht (La Roue) | Ninove via Alsemberg | |
154 | Anderlecht (La Roue) | Halle AZ St-Maria ziekenhuis | |
155 | Anderlecht (La Roue) | Halle AZ St-Maria ziekenhuis | |
170 | Bruxelles-Midi | Halle station | |
171 | Bruxelles-Midi | Halle station | |
810 | Dilbeek (Moermanslaan) | Halle station |
Vie politique[modifier | modifier le code]
Résultats des élections communales depuis 1976[modifier | modifier le code]
Partis | 10-10-1976[11] | 10-10-1982 | 9-10-1988 | 9-10-1994 | 8-10-2000 | 8-10-2006[12] | 14-10-2012[13] | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Votes / Sièges | % | 47 | % | 45 | % | 45 | % | 43 | % | 43 | % | 63 | % | 47 |
PS-SP | 44,79 | 25 | 36,46 | 22 | - | - | 27,67 | 14 | - | - | ||||
PS-Sp.a-cdH | - | - | - | - | - | 33,44 | 17 | 36,77 | 21 | |||||
PSD | - | - | 2,23 | 0 | - | - | - | - | ||||||
LB | - | - | 37,29 | 20 | 23,31 | 13 | - | 34,86 | 18 | 26,14 | 14 | |||
CVP | - | 7,1 | 3 | - | - | - | - | - | ||||||
N-VA | - | - | - | - | - | - | 5,07 | 2 | ||||||
VU | - | 4,2 | 1 | - | 1,39 | 0 | - | - | - | |||||
PSC | 4,5 | 1 | - | 8,24 | 3 | 7,91 | 3 | 4,29 | 1 | - | - | |||
ECOLO | - | 6,3 | 2 | 10,87 | 5 | 8,39 | 4 | 16,16 | 7 | 10,68 | 4 | - | ||
PRL | 12,4 | 6 | 15,63 | 8 | - | 14,61 | 7 | - | - | - | ||||
PRL-FDF | - | - | 25,69 | 14 | - | 30,02 | 15 | - | - | |||||
FDF | 18,09 | 9 | 13,86 | 7 | - | 11,18 | 5 | - | - | 7,85 | 3 | |||
UDRT-RAD | - | 4,63 | 1 | - | - | - | - | - | ||||||
Vlaams Blok1/Vlaams Belang2 | - | - | 2,551 | 0 | 4,471 | 1 | 7,871 | 3 | 7,942 | 3 | 3,662 | 1 | ||
PCB-KPB/KP | 3,57 | 1 | 1,78 | 0 | - | - | - | - | - | |||||
Divers 76 | 2,43 | 0 | - | - | - | - | - | - | ||||||
VL Belang | 6,6 | 2 | - | - | - | - | - | - | ||||||
CVP-SC | 7,06 | 3 | - | - | - | - | - | - | ||||||
FNK | - | 2 | 0 | - | - | - | - | - | ||||||
SC | - | 3,42 | 1 | - | - | - | - | - | ||||||
PVV | - | 2,35 | 0 | - | - | - | - | - | ||||||
FN NFN | - | - | 3,05 | 0 | - | - | - | - | ||||||
KARTEL | - | - | 7,73 | 3 | - | - | - | - | ||||||
FN | - | - | - | 13,2 | 6 | 3,31 | 0 | 3,92 | 1 | - | ||||
ANDERL | - | - | - | 8,94 | 4 | 7,42 | 3 | - | - | |||||
AC-AK | - | - | - | 3,17 | 0 | - | - | - | ||||||
LLD | - | - | - | 2,59 | 0 | - | - | - | ||||||
Anderl'2007 | - | - | - | - | - | 6,07 | 2 | - | ||||||
PJM | - | - | - | - | - | 2,7 | 0 | - | ||||||
Ecolo-Groen | - | - | - | - | - | - | 11,35 | 5 | ||||||
ISLAM | - | - | - | - | - | - | 4,13 | 1 | ||||||
Autres(*) | 0,58 | 2,27 | 2,35 | 0,84 | 1,22 | 0,38 | 5,03 | |||||||
Total des votes | 62663 | 55010 | 49615 | 45425 | 43792 | 49038 | 48509 | |||||||
Participation % | 84,28 | 86,31 | 84,23 | 86,57 | 82,23 | |||||||||
Votes blancs ou nuls % | 5,6 | 7,54 | 8,28 | 6,46 | 5,39 | 6,02 | 8,14 |
(*)1976: PTB*PVDA+ 1982: ICC, MIRZA, PNP-NPG, PTB*PVDA+, UDB 1988: EVA, PFN, PTB*PVDA+ 1994: PCN-NCP, PTB*PVDA+ 2000: EUR 2006: UNIE 2012: Belg-Unie, Egalite, Gauches Communes, PTB*PVDA+
Le collège des bourgmestre et échevins est composé de 6 membres du (groupe PS - SP A - CDH) et de 5 membres (de l'ancienne LdB)
Législature actuelle (2012 - 2018)[modifier | modifier le code]
Fonction | Nom | Compétence(s) |
---|---|---|
Bourgmestre | Éric Tomas ![]() |
Affaires générales, Protocole, Police, Accueil Population, Affaires juridiques, Participation, Information, Fêtes et Cérémonies, Musées, Patrimoine, Tourisme. |
Premier échevin | Gaëtan Van Goidsenhoven ![]() |
Urbanisme, Développement urbain, Permis d'urbanisme, Permis d'environnement, Développement durable |
Deuxième échevin | Fabrice Cumps ![]() |
Finances, Enseignement, Crèches, Culture (Secteur francophone), Economat, GRH, informatique |
Troisième échevin | Monique Cassart ![]() |
État civil, Population, Culte |
Quatrième échevin | Mustapha Akouz ![]() |
Prévention, Travaux publics, Espaces verts, Vie associative (Secteur francophone) |
Cinquième échevin | Françoise Carlier ![]() |
Mobilité |
Sixième échevin | Elke Roex (SP A) | Enseignement, crèches, Culture, Jeunesse, Vie associative (Secteur néerlandophone), Propreté, Transport |
Septième échevin | Jean-Jacques Boelpaepe ![]() |
Action sociale, Tutelle administrative du CPAS, Santé, Hygiène, Égalité des chances, Unité sociale du Logement |
Huitième échevin | Fatiha El Ikdimi (CDH) | Logement, Infrastructures communales, Jeunesse |
Neuvième échevin | Sofia Bennani (CDH) | SIPPT, Solidarité Internationale, Sport |
Dixième échevin | Christophe Dielis ![]() |
Économie, Classes moyennes, Emploi, Marchés, Rénovation urbaine |
Lieux culturels, tourisme et curiosités[modifier | modifier le code]
Voir aussi : Patrimoine d'Anderlecht, Liste des monuments classés d'Anderlecht.
- Le Musée de la Chine, musée qui rassemble de nombreux documents et objets que la congrégation de Scheut ramena de leur action en Chine, dont un Bouddha en bronze datant du XVe siècle, et de très nombreux portraits de missionnaires. Ce musée est établi dans l'actuel couvent et retrace les aspects de la vie culturelle, artistique de la Chine ancienne.
- Le Musée bruxellois de la gueuze, installé dans la dernière brasserie artisanale bruxelloise (créée en 1900) encore en activité : la brasserie Cantillon[14]. Musée, brassins publics et dégustation.
- Le béguinage hébergeant un musée sur l'histoire d'Anderlecht.
- La Maison d'Érasme aujourd'hui transformée en musée érasmien.
- Le musée de la Résistance.
- Le musée de la Médecine[15], qui se trouve sur le campus ULB-Erasme.
- Le musée Maurice Carême permet au visiteur de découvrir le cadre où le poète vécut et écrivit. Les œuvres exposées témoignent des liens qu'il noua avec des artistes comme Paul Delvaux, Felix De Boeck, Henri-Victor Wolvens, Luc De Decker, Léon Navez, Devi Tuszynski, Rodolphe Strebelle, Marcel Delmotte, Roger Somville, Jules Lismonde…
- Le Luizenmolen, reconstitution moderne (1999) d'un ancien moulin à vent.
- Ouvertes au public, les Archives de l'État à Bruxelles (Anderlecht) se situent au Quai Demets no 7 à Anderlecht, à environ 2 km de la gare du Midi. Elles conservent plusieurs kilomètres d’archives liées au territoire de l’arrondissement administratif de Bruxelles-Capitale. Ce dépôt a ouvert ses portes au public en 2002, à la suite de la scission de la province de Brabant et à la création, en 1995, de l'arrondissement administratif de Bruxelles-Capitale.
Économie[modifier | modifier le code]
- Abattoirs d'Anderlecht
- La confiserie Leonidas S.A. a son siège au Boulevard Jules Graindor, numéro 43 (en face de la Clinique Sainte-Anne Saint-Rémi)
- Coca-Cola Benelux[16] a son siège au 1424, Chaussée de Mons. Distribution pour le Benelux et deuxième plus grand centre d’innovation de Coca-Cola.
- Play It Again, Sam, aussi connu sous le nom de Pias, a eu son siège au 100, rue de Veeweyde, avant qu'il ne déménage au Royaume-Uni en 2016.
- Radionomy, leader mondial de la radio en ligne [17], est basé au 55, boulevard international.
Commerces et établissements anciens[modifier | modifier le code]
- Droguerie Wotquenne (rue Edmond Delcourt, 30)
- Le Chapeau blanc, restaurant (rue Wayez, 200)
- Au flan renommé, boulangerie (rue Wayez, 21)
- Friture René, restaurant (place de la Résistance, 14)
- In den Appelboom, restaurant (rue du Pommier, 401)
Sur l'histoire des commerces (disparus) de la rue Wayez, on peut consulter la page qui lui est consacrée sur le blog de Sophie Peeters.
Santé[modifier | modifier le code]
Jumelages[modifier | modifier le code]
La ville d'Anderlecht est jumelée avec [21]:
Boulogne-Billancourt (France) depuis le , 117 000 habitants.
Neukölln (Allemagne) depuis le , district berlinois le plus peuplé, 350 000 habitants.
Hammersmith (Royaume-Uni) depuis le .
Zaandam (Pays-Bas) depuis le .
Marino (Italie) depuis le , 30 000 habitants.
D’autre part la commune d’Anderlecht a signé un pacte d’amitié avec [21]:
Sainte-Maxime (France) depuis le .
Sport[modifier | modifier le code]
La commune d'Anderlecht est renommée principalement pour ses équipes de football, de rugby et d'aviron qui sont les équipes les plus titrées en Belgique dans leurs disciplines respectives.
- Adeps : la commune propose un Centre Adeps[22]
- Athlétisme : RSC Anderlech-Athlétisme[23] qui occupe la piste Jesse Owens à Neerpede
- Football : le RSC Anderlecht est l'équipe belge la plus titrée au niveau national
- Football américain : les Brussels Black Angels s'entrainent sur le terrain synthétique du Vogelenzang et jouent leurs matches sur le terrain central du stade Jesse Owens
- Golf : le Royal Amicale Golf Club d'Anderlecht[24] est le seul club de la région Bruxelles-Capitale à proposer un parcours 18 trous
- Hippisme : la commune abrite différents manèges dont le Pony Paradise[25] et l'Amazone.
- Hockey : le Royal Sporting Hockey Club d'Anderlecht[26] est issu de la fusion (en 1974) entre l'ancienne section Hockey du RSCA et le l'Amicale
- Korfbal: le Royal Olympia Anderlecht Korfbal[27] est le seul club de la région de Bruxelles-Capitale à pratiquer ce sport mixte.
- Nautisme : le Cercle des Régates de Bruxelles[28] a été créé en 1878
- Rugby : le RSC Anderlecht-Rugby est le doyen des clubs Belges et fut aussi un des quatre membres fondateurs de la Fédération belge de rugby à XV.
- Ski : le Yéti Ski[29] propose une piste de ski synthétique de 140 mètres
- Tennis de table : le Royal Cercle de Tennis de Table Anderlechtois[30]
- Tir à l'arc : Société Royale de Tir à l'Arc la Flêche d'Or d'Anderlecht[31]
- Volley-Ball : le Best Friends Volley Club[32]
Personnalités de la commune[modifier | modifier le code]
Voir aussi le pierres tombales présentes à la Collégiale Saints-Pierre-et-Guidon d'Anderlecht.
Arts[modifier | modifier le code]
- Dick Annegarn, auteur-compositeur-interprète, habitant d'Anderlecht.
- Greg Avau, membre du groupe Joshua, et membre du jury 2012 de The Voice Belgique, né à Anderlecht.
- Jacques Brel, chanteur. Il a vécu de 1942 à 1951 au 7, rue Jacques Manne, et a travaillé de 1946 à 1953 dans la cartonnerie familiale Vanneste & Brel (aujourd'hui SCA Packaging) au 18, rue Verheyden.
- Maurice Carême, poète, habitant d'Anderlecht.
- Henri Vergé-Sarrat (1880-1966), artiste peintre et graveur né à Anderlecht.
- Hippolyte De Kempeneer (1876-1944), producteur et réalisateur, grande figure des premiers temps du cinéma belge, né à Anderlecht.
- André Jacqmain (1921-...), architecte, né à Anderlecht.
- Ivan Paduart (1966-...), jazzman, né à Anderlecht.
- Régine (1929-...), chanteuse, née à Anderlecht.
- William Vance (1935-...), dessinateur et scénariste de bande dessinée, né à Anderlecht.
- Zidrou, scénariste, né à Anderlecht.
- Jean Hayet, acteur et professeur de diction à l'académie d'Anderlecht, vécut à Anderlecht.
- Albert Huybrechts, musicien, vécut à Anderlecht.
- Toots Thielemans, musicien de Jazz, vécut à Anderlecht.
- Abel et Gordon, artistes et coréalisateur du film Rumba (2008), vécut à Anderlecht.
- Joseph De Gryse, architecte-paysagiste et urbaniste, Président de l'Association Belge des Architectes de Jardins et du Paysage, vécut à Anderlecht.
- Gos, scénariste et dessinateur de bande dessinée (Scrameustache), vécut à Anderlecht.
- N'Faly Kouyaté, koraïste guinéen (Afro Celt Sound System), vécut à Anderlecht.
- Guy Vandevoorde, illustrateur, vécut à Anderlecht.
- Marcel Spittael (1899-1981), architecte né à Anderlecht.
Religieux[modifier | modifier le code]
- Adrien VI, pape, théologien, recteur à l'Université de Louvain, chanoine au Chapitre d'Anderlecht, vécut à Anderlecht.
- Érasme, philosophe, humaniste, vécut à Anderlecht.
- Jan Gooris, chanoine qui a écrit sur la vie et les miracles de Guidon d'Anderlecht, vécut à Anderlecht.
- Saint Guidon (+ 1012), vécut à Anderlecht.
Politiques[modifier | modifier le code]
- Élisabeth de Belgique (2001-), les princes Gabriel et Emmanuel, la princesse Éléonore, respectivement 1er, 2e, 3e et 4e dans l'ordre de succession au trône de Belgique (en 2015), sont nés à Anderlecht.
- Xavier Mabille (1933-2012), politologue né à Anderlecht.
- Joseph Bracops, bourgmestre de la commune, vécut à Anderlecht.
- Henri Simonet bourgmestre de la commune, ancien ministre des affaires étrangères et vice-président de la commission européenne, vécut à Anderlecht.
- Jacques Simonet bourgmestre de la commune, ancien ministre-président de la région bruxelloise et secrétaire d'État aux affaires européennes et étrangères, vécut à Anderlecht.
Sportifs[modifier | modifier le code]
- Jean Bourgeois, alpiniste (himalayiste et membre du GHM), ethnographe et astronome belge, vécut à Anderlecht.
- Désiré Keteleer (1920-1970), cycliste professionnel, né à Anderlecht.
- Philippe Thys (1890-1971), cycliste, né à Anderlecht.
- Félix Week, ancien joueur du RSC Anderlecht, tenait un café rue de Veeweyde.
Autres personnalités[modifier | modifier le code]
- Herman Dedapper, restaurateur[33], Premier Sommelier de Belgique (1981) et médaillé de bronze au concours mondiaux, vécut à Anderlecht.
Anderlecht au cinéma[modifier | modifier le code]
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- Le film Potiche, sorti en 2010, a été largement tourné dans les rues de la commune d'Anderlecht.
- Des scènes du film Les Profs 2, sorti en 2015, avec Kev Adams, Didier Bourdon et Isabelle Nanty, ont été tournées à la Place De La Résistance en février 2015.
- Les scènes scolaires du film Tamara ont été tourné à l'Institut Des Soeurs De Notre Dame.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des bourgmestres d'Anderlecht
- Liste des rues d'Anderlecht
- Cité-jardin à Bruxelles à Anderlecht : les Cités de la Roue, Bon Air et de Moortebeek
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site officiel de la commune d'Anderlecht
- Bertrand Terlinden, Études d'architecture, blog personnel partiellement consacré à la découverte d'Anderlecht (architecture, espaces verts, histoire...), en ligne.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jean Germain, Guide des gentilés : Les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 20.
- SPF Interieur - Population
- Ameeuw, Bruxelles au fil des jours et des saisons La Ville- La Région - La Périphérie., LASNE, Édition de l'ARC, , 30e éd., 404 p.
- A. Hubert, 'Anderlecht : 'ssai d'histoire populaire, 1927.
- Histoire d'une maison communale, Bulletin du Crédit communal, janvier 1977, no 119.
- Encore signalé dans Inondations de la vallée de la Senne, aux abords de Bruxelles, Bruxelles, 1840, p. 15.
- Les quartiers homonymes actuels d'Anderlecht ne recouvrent pas nécessairement le même territoire que ces hameaux.
- « Nous nous sommes rendus ensuite au moulin dit de Speeckaert à Cureghem. Ce moulin n a pas de déversoir et sa ventillerie n'offre qu'une ouverture d'un mètre 65, dont les vannes ne peuvent s'élever au-dessus du niveau des eaux ordinaires. Cette ventillerie devra être nécessairement modifiée. Ce moulin est établi sur une branche de la Senne de beaucoup moins d'importance que la 1ere qui alimente le moulin qui se trouve près de la route. », Inondations de la vallée de la Senne, aux abords de Bruxelles, Bruxelles, 1840, p. 15.
- Voir sur Reflexcity, en ligne.
- Agence de presse Mondial Photo-Presse. Agence photographique, « Les inondations de Belgique : une ferme d'Anderlecht inondée par la Senne : [photographie de presse] / Agence Mondial », Europeana (consulté le 19 février 2015) ; Anne-Cécile Huwart, Pluies et inondations Boulevard Industriel : grosses files sur le ring, L'Avenir, , en ligne ; 2000. A.-C. H., Deux zones de calamité naturelle [dont Neerpede] : les victimes des pluies indemnisées, Le Soir, , p. 19.
- 1976-2000:Verkiezingsdatabase Binnenlandse Zaken
- Gegevens 2006: www.bruxelleselections2006.irisnet.be
- Gegevens 2012: [http://bru2012.irisnet.be « http://bru2012.irisnet.be »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) (consulté le 20 février 2015)]« http://bru2012.irisnet.be » (Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), consulté le 2015-02-20
- Brasserie Cantillon
- Musée de la Médecine
- Coca-Cola Benelux
- Article du soir.be sur Radionomy
- Hôpital Érasme
- Hôpital Joseph Bracops
- Clinique Sainte-Anne Saint-Rémi
- Projets européens
- Centre Adeps
- RSC Anderlecht-Athlétisme
- Royal Amicale Golf Club d'Anderlecht
- Pony Paradise
- Royal Sporting Hockey Club d'Anderlecht
- Royal Olympia Anderlecht Korfbal
- Cercle des Régates de Bruxelles
- Yéti Ski
- Royal Cercle de Tennis de Table Anderlechtois
- Flêche d'Or d'Anderlecht
- Best Friends Volley Club
- http://www.labrouette.be/
- Jean Van Audenhove, Anderlecht au fil des siècles et Les rues d'Anderlecht, Cercle d'Archéologie, Folklore et Histoire d'Anderlecht, 1996-1997, 2 vol. (668 p.).
- Michel de Waha, Recherches sur la vie rurale à Anderlecht au Moyen Âge, Crédit Communal de Belgique, 1979.
- Josse et Jean-Claude Haenen, Anderlecht, un regard vers le passé, Ed. Het Streekboek, 2004-2007. 4 tomes.
- I, Le Centre et le quartier du Broeck
- II, Quartiers Veeweyde, de la Petite île, de l'Aa, de la Roue et de Paepsem)
- III, Bon Air, Neerpede, Biestebroeck)
- IV, Cureghem et Scheut.
- Marcel Jacobs, Anderlecht au passé et au présent, éd. Het Streekboek, 1999.
- Daniel Vandamme, Promenades archéologiques à Anderlecht, Presses de Willy Godenne, 1958, 98 pages.
- Bruxelles, Ville d'Art et d'Histoire. Anderlecht, la Collégiale, le Béguinage, la Maison d'Erasme, Région de Bruxelles-Capitale, 1999, 32 p.