Presles (Val-d'Oise)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Presles
Presles (Val-d'Oise)
La mairie.
Blason de Presles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-d'Oise
Arrondissement Pontoise
Intercommunalité CC de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts
(siège)
Maire
Mandat
Céline Caudron
2023-2026
Code postal 95590
Code commune 95504
Démographie
Gentilé Preslois, Presloises
Population
municipale
3 970 hab. (2021 en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015)
Densité 399 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 00″ nord, 2° 18′ 00″ est
Altitude Min. 26 m
Max. 210 m
Superficie 9,95 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de L'Isle-Adam
Législatives 2e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Presles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Presles
Géolocalisation sur la carte : Val-d'Oise
Voir sur la carte topographique du Val-d'Oise
Presles
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Presles
Liens
Site web http://www.ville-presles.fr

Presles est une commune du Val-d'Oise située à environ 30 km au nord de Paris.

Ses habitants sont les Preslois(es).

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le vallon du ru de Presles, à flanc de coteau, entre les forêts de Carnelle et de L'Isle-Adam.

Paysage urbain.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Presles est limitrophe de L'Isle-Adam, Mours, Nointel, Beaumont-sur-Oise, Saint-Martin-du-Tertre, Maffliers et Nerville-la-Forêt.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la gare de Presles-Courcelles, située sur la ligne d'Épinay - Villetaneuse au Tréport - Mers, desservie par les trains de la ligne H du Transilien de la branche de Paris-Nord à Persan - Beaumont par Montsoult - Maffliers.

Le sentier de grande randonnée GR1 traverse le territoire de la commune, il se prolonge vers Nerville-la-Forêt au sud et Saint-Martin-du-Tertre à l'est.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 679 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontoise à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 666,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Presles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu est attesté sous les formes Prataria et Pretarium en 862, de Pratariis en 1110, de Praeris en 1184, de Praeres en 1210, Pratellas 1223[13].

Il s'agit d'un toponyme médiéval issu de l'ancien français proiere, praiere « grande étendue de prés » confondu plus tard avec le vieux français praël « petit pré » et peut-être « espace découvert entouré de bâtiments » (attesté vers 1165) > préau (issu du pluriel préaux, le singulier s'étant aligné sur le pluriel en francien) qui a fini par désigner tout autre chose au XIXe siècle[14].

Le passage d'un terme à l'autre s'observe bien dans les formes latinisées entre 1210 : Praeres et 1223 : Pratellas. L'un comme l'autre de ces deux mots remontent au gallo-roman, *prataria pour le premier et pratellu pour le second.

La même confusion s'est opérée pour Presles-en-Brie (Praeres vers 1222, Praesles 1276).

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune possède sur son territoire plusieurs sépultures néolithiques, témoignages d'une occupation fort ancienne. La première mention écrite du village date de 862, comme indiqué précédemment.

Au Moyen Âge, la seigneurie située sur la route des Flandres appartient à la famille de Presles. Le fief passe ensuite en 1580 à la famille Baillet, conseillers au Parlement, puis en 1707 appartient à la famille de Turmenyes, enfin, par alliance, Presles est devenu possession du prince de Conti.

Dès 1756, la commune est sur la route de voitures publiques cheminant de Paris à Beauvais.

Au XVIIIe siècle, le territoire est partagé en plusieurs fiefs : Nantouillet (longtemps propriété des Nicolay), Remi, Rouvray, Prerolles, Courcelles, Valpendant, de Montbray.

Lors de la Révolution française, Presles est érigée en commune en 1790. La plupart des châteaux sont reconstruits durant le XIXe siècle.

La commune possédait jadis de nombreux moulins. Elle conserve aujourd'hui son caractère rural.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du [15], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise et à son arrondissement de Pontoise, après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de L'Isle-Adam[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

La commune fait partie de la juridiction d’instance, de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[17],[18].

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de L'Isle-Adam.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la communauté de communes de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2003.

Tendances politiques[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2020, la liste menée par le maire sortant, Pierre Bemels, était seule en lice, et a remporté l'élection, lors d'un scrutin marqué par 70,90 % d'abstention[19].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1925 ? Henri Potron    
         
mars 1983 mars 2008[20] Régis Humbert UDF-PR
puis DL
puis UMP
Ancien directeur des ressources humaines
Conseiller régional d'Ile-de-France (1992 → 2004)
mars 2008[21] février 2023[22] Pierre Bemels[23] UMPLR
puis SE
Retraité de la Société générale depuis 2009
Vice-président (2014 → 2019 et 2020 → 2023) ou président (2019 → 2020)
de la CC de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts ( ? → )
Président du syndicat du Rû de Presles
Démissionnaire
2023 En cours Céline Caudron SE Graphiste

Jumelages[modifier | modifier le code]

Plaque de jumelage.

La commune est jumelée avec la ville allemande Thaleischweiler-Fröschen, située dans l'arrondissement du Palatinat-Sud-Ouest.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 3 970 habitants[Note 3], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2681 2981 3031 3381 5411 5751 6631 6501 586
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5841 6381 2411 2031 1801 1611 2511 1791 307
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2381 2271 3191 5231 6151 6421 5391 6351 959
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 0762 4502 9273 1173 5663 7283 8153 8273 701
2017 2021 - - - - - - -
3 9043 970-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Presles compte trois monuments historiques sur son territoire ;

Elle a été bâtie à partir du XIIe siècle mais reconstruite à partir de 1480.
Le chœur gothique est flanqué au nord d'un double collatéral voûté d'arêtes avec une colonne centrale romane, vestige de l'édifice primitif. Le clocher date du XVIe siècle. Les vingt-deux stalles du XVIIe siècle furent achetées par l'abbé Galet et proviennent de l'église abbatiale de Saint-Cloud (détruite en 1778). Les miséricordes Renaissance des stalles sont sculptées de sujets satiriques et de scènes de métiers[28].
  • Allée couverte du Blanc Val, en écart, entre les dernières maisons du village et la RD 64e, chemin rural no 8 dit du Blanc-Val (classée monument historique par arrêté du [29])
Ce monument funéraire est une allée couverte enterrée de 6 m de longueur, découverte en 1949. Il s'agissait d'une sépulture collective, où cinquante corps furent retrouvées[30].
Cette allée couverte de 12 m sur 2,30 m fut restaurée en 1974. Elle est composée de trois tables de couverture. L'accès au vestibule se fait à travers une dalle perforée. Les restes humains d'une centaine d'individus ainsi que le mobilier funéraire dégagés en 1926 sont exposés au musée départemental de Préhistoire d'Île-de-France, à Nemours[30].

On peut également signaler :

  • Le château de Bellevue, sur un grand domaine boisé immédiatement à l'ouest du bourg
Il fut édifié au XIXe siècle par un tailleur de Paris. Ce château de brique et pierre remplace un pavillon de chasse du prince de Condé. Ce fut la propriété et le lieu de décès de l'entrepreneur et fondeur d'art Antoine Durenne, mort en 1895[32]. Le général Jacquin y ajoute deux ailes en 1912[33]. Sans illustration.
  • Le château de Courcelles, au hameau du même nom, rue Alexandre-Prachay
De style néo-classique, il fut édifié à partir de 1709. Acheté par le prince de Conti, seigneur de L'Isle-Adam à Marie de Turmenyes, il est ensuite revendu à Pierre-François Bergeret puis vendu à M. Perrot, président de la chambre des comptes guillotiné en 1794. Les aménagements intérieurs du château datent de la fin du XIXe siècle et furent remodelés dans les années 1930. Son parc, vraisemblablement l'œuvre de Louis-Sulpice Varé, compte parmi les plus beaux ensembles paysagers du Val-d'Oise. Il s'étend sur 30 hectares et comprend plusieurs pièces d'eau alimentées par des sources et par le ru de Presles ainsi que plusieurs fabriques, notamment une passerelle, une fausse ruine, un embarcadère, un belvédère et un kiosque. On trouve sur le domaine une grange, un ancien chenil et l'hôpital de Courcelles, aujourd'hui maison d'accueil de la DDASS[34].
  • Les Grands Moulins de Presles, en écart, 112 rue Pierre-Brossolette (RD 78)
Cette minoterie industrielle est implantée sur un site utilisé dès le XVIe siècle[33].
Situé sur le domaine du château de Bellevue. Cette allée couverte est une petite sépulture collective, composée de quatre dalles de calcaire. Elle fut découverte en 1901 et contenait les restes de huit individus ainsi que quatre objets[30].
  • La ferme fortifiée de Valpendant, au bout d'un chemin d'exploitation partant du carrefour de la Libération, RD 64e
Elle domine le hameau de Courcelles. Cette ancienne forteresse donnée par Louis IX à l'abbaye de Royaumont en 1249 devient la propriété au XIVe siècle de la puissante famille de Chambly qui en fait le chef-lieu du comté de Beaumont. Le donjon de 16 m de hauteur fut érigé au XIIIe siècle, on peut encore y voir les meurtrières ; sa partie supérieure fut transformée en colombier au XVIIe siècle. Le logis seigneurial comprenant plusieurs fenêtres à meneaux date lui du XVIe siècle. Les douves en partie comblées remontent au XIIe siècle. La grange, d'une longueur de 47 m, remonte au XIIe siècle, mais ses ouvertures ont été remaniées au XIXe siècle et sa charpente médiévale a malheureusement disparue au cours d'un incendie en 1992[35].
  • La ferme de la Cave, RD 64 / carrefour de la Libération
Elle est installée dans un ancien relais de poste décrit par Balzac, qui résidait alors à L'Isle-Adam dans son roman « Un début dans la vie ». Le chenil du prince Murat est installé dans un ancien relais de chasse du prince de Conti[36].
Alimenté par une source, il est situé en contrebas de la rue. Il a été restauré en 1990[33].
  • Le moulin de Montbray, rue du bois Belle-Fille
Il ne reste que des ruines de ce moulin à eau médiéval[28].
  • La route forestière du bois Belle-Fille de la forêt de Carnelle date du XVIIIe siècle.
  • Insolite, une maison du village, la maison Notre-Dame, présente des sculptures en bois (porche, salle à manger) d'inspiration indonésienne achetées par Louis Hayaux du Tilly. Elles ornaient le pavillon indonésien de l'exposition universelle de 1900. Sans illustration.

Fête de Lutte ouvrière[modifier | modifier le code]

La fête annuelle de Lutte ouvrière se déroule le week-end de la Pentecôte dans un parc boisé situé sur la commune de Presles, dans le château de Bellevue[37], accueillant environ 40 000 visiteurs. En plus des nombreuses attractions non politiques, cette fête constitue un des principaux rassemblements de l'extrême-gauche en France, où sont invités des militants de tendances diverses ainsi que la majorité des Preslois[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Plaque commémorative de François Le Cam
  • Charles Aznavour, auteur-compositeur-interprète, acteur et écrivain franco-arménien, a fait l'un de ses premiers concerts dans la commune[39].
  • Honoré de Balzac y séjourne plusieurs fois[40].
  • François Le Cam, résistant du réseau Résistance, mort en déportation à Neuengamme en 1945. Une plaque honore sa mémoire.

Presles dans les arts[modifier | modifier le code]

Honoré de Balzac a évoqué Presles dans Un début dans la vie.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Presles (Val-d'Oise) Blason
D'argent fretté de huit pièces de sinople.
Détails

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Communes limitrophes de Presles (Val-d'Oise) » sur Géoportail..
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Presles et Pontoise », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pontoise -Ville » (commune de Pontoise) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Commune hors attraction des villes », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 1, Librairie Droz 1991. p. 348
  14. Site du CNRTL : étymologie de préau
  15. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Site du Conseil général - Administration du Val-d'Oise
  18. Ministère de la justice - Conseil départemental de l'accès au droit du Val-d'Oise
  19. « Presles 95590 », Résultats aux municipales 2020, sur lemonde.fr (consulté le ).
  20. Alexandre Porcu, « Presles : Régis Humbert laisse la place à son premier-adjoint », L’Écho le Régional,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après plus de 25 ans de vie politique, le maire de Presles raccroche. Il l’avait déjà annoncé à ses habitants en mars dernier, présentant alors son successeur, Pierre Bemels jusque-là premier adjoint ( ».
  21. « Pierre Bemels - Le Maire », Ma mairie, sur ville-presles.fr (consulté le ) {{Conseiller Municipal depuis 1989 puis Premier Adjoint de 1995 à 2007. Maire de la Commune de Presles depuis 2008. Vice-Président de la Communauté de la Vallée de l'Oise et des Trois Forêts, chargé de l'aménagement du territoire. Président du Syndicat Intercommunal de la Vallée du Rû de Presles. Conseiller communautaire de la Vallée de l'Oise et des trois forêts}}.
  22. Anne Collin, « Val-d’Oise : des maires rendent leur écharpe à mi-mandat par lassitude ou volonté de changer de vie : Réélu lors des élections de 2020, l’édile de Presles quittera par exemple son fauteuil ce mardi pour se consacrer à la musique ou à la randonnée, ses deux passions. Dans le département, il n’est pas le seul à avoir pris cette décision anticipée de rendre l’écharpe tricolore », Le Parisien,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après quinze ans à la tête de la commune de 3 800 habitants et trente-cinq ans depuis sa première élection en tant qu’adjoint, ce dernier présentera officiellement sa démission ce mardi (...) Il cédera son fauteuil ce mardi soir, lors du conseil municipal, à sa première adjointe Céline Caudron ».
  23. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Compte-rendu du conseil municipal du 26 mai 2020 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], Comptes rendus, Mairie de Presles (consulté le ).
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « Église Saint-Germain-l'Auxerrois », notice no PA00080177, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. a et b René Botto, Stéphane Gasser et Christophe Gicquelay, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Presles », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 439-445 (ISBN 2-84234-056-6) ; p. 440.
  29. « Allée couverte du Blanc Val », notice no PA00080175, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. a b et c Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Presles, op. cit., p. 439.
  31. « Dolmen de la Pierre Plate », notice no PA00080176, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Georges Rosenberger in Revue Arts et Métiers, n° 608[réf. incomplète].
  33. a b et c Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Presles, op. cit., p. 445.
  34. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Presles, op. cit., p. 442-444.
  35. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Presles, op. cit., p. 439-440.
  36. Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Presles, op. cit., p. 442.
  37. « Presles : le château dans le giron de LO depuis les années 1980 », sur Le Parisien, .
  38. Site de la fête de Lutte ouvrière
  39. Par Romain Chiron et Marie Persidat Le 2 octobre 2018 à 20h30, « Presles et Arnouville n’ont pas oublié Charles Aznavour », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  40. L'Echo Régional, supplément gratuit au N°3106 du 12 septembre 2008 - Guide du Val d'Oise 2008-2009 : Sur la trace des écrivains

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d’historiens, Le Patrimoine des Communes du Val-d'Oise - tome 1, Paris, Éditions Flohic, , 1054 p. (ISBN 2-84234-056-6), « Presles », p. 439–445
  • Jean Aubert, La Grande Histoire du Val d'Oise - Toutes les communes de Ableiges à Wy-dit-Joli-Village, Edijac, (ISBN 2-904-675-17-5)[réf. incomplète]
  • René Botto, Stéphane Gasser et Christophe Gicquelay, « Le patrimoine des communes du Val-d’Oise : Presles », Collection Le Patrimoine des Communes de France, Paris, Flohic Éditions, vol. I,‎ , p. 439-445 (ISBN 2-84234-056-6)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]