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Les Pins

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Les Pins
Les Pins
Le château des Pins.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Didier Sellier
2020-2026
Code postal 16260
Code commune 16261
Démographie
Gentilé Pinusiens
Population
municipale
490 hab. (2021 en évolution de +7,46 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 49′ 14″ nord, 0° 23′ 28″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 137 m
Superficie 21,06 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Les Pins
Géolocalisation sur la carte : France
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Les Pins
Géolocalisation sur la carte : Charente
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Les Pins
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Les Pins

Les Pins est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Pinusiens et les Pinusiennes[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Les Pins est une commune située dans la vallée de la Bonnieure, à 4,5 km à l'ouest de Chasseneuil, dans le canton de Saint-Claud et 26 km au nord-est d'Angoulême.

La commune est située entre la forêt de Quatre Vaux au sud, qui est dans la commune, et celles de Bel-Air et de Chasseneuil au nord.

Le bourg est aussi à 10 km au sud-ouest de Saint-Claud, 9 km au nord de La Rochefoucauld et 18 km à l'est de Mansle[2].

Le village est sur le flanc sud de la vallée, et à l'écart des grandes routes. La D 45, route de Chasseneuil à Coulgens passe au sud, et la D 27, route de Chasseneuil à Mansle passe au nord, à Saint-Mary. La D 36 de Cellefrouin à Taponnat dessert le bourg[3].

La gare la plus proche est celle de Chasseneuil, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Limoges. L'aéroport d'Angoulême est à 17 km.

Hameaux et lieux-dits

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La commune comporte de nombreux hameaux :

  • Quatre Vaux
  • Vaure (manoir)
  • le Soudet
  • Chez Mouchet, etc.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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Le terrain est calcaire et date du Jurassique (Callovien, et Oxfordien à l'ouest). La commune est sur le karst de La Rochefoucauld, mais les hauteurs sont recouvertes d'altérite et d'argile à silex provenant du Massif central tout proche (10 km à l'est) et déposé pendant l'ère tertiaire[4],[5],[6],[7]. Ce terrain est recouvert en grande partie par la forêt de Quatre Vaux.

Le relief de la commune est celui d'un plateau d'une altitude moyenne de 125 m, coupé au nord par la vallée de la Bonnieure. Le point culminant de la commune est à une altitude de 137 m, situé dans la forêt de Quatre Vaux. Le point le plus bas est à 72 m, situé le long de la Bonnieure en limite ouest. Le bourg est à environ 120 m d'altitude et surplombe la vallée de la Bonnieure d'une trentaine de mètres[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier des Pins.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Bonnieure, la Bonnieure et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 9 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La Bonnieure forme la limite nord de la commune. Le bourg est situé sur le flanc sud de sa vallée. De par la nature karstique du sol, la commune n'est traversée par aucun autre cours d'eau.

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Au , Les Pins est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,9 %), forêts (34 %), terres arables (10,5 %), prairies (8,3 %), zones urbanisées (1,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune des Pins est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux des Pins.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 278 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 267 sont en aléa moyen ou fort, soit 96 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Une forme ancienne latinisée est de Pinibus en 1319[21].

L'origine du nom des Pins remonte au latin pinus, pin en français[22]. La forêt de Quatre Vaux a encore de hautes futaies de pins[23].

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est marchois[24],[25]. Elle se nomme Los Pins en occitan[26].

La voie d'Agrippa, ancienne voie romaine de Saintes à Lyon par Limoges, traversait la commune d'est en ouest. C'est l'actuelle route départementale 45[3].

Le château datant du XVe siècle était autrefois le siège d'une seigneurie.

Le village de La Vaure était le siège d'une paroisse différente, qui dépendait du prieuré de Saint-Florent de La Rochefoucauld. De son église Sainte-Agathe déjà en ruine au milieu du XVIIe siècle, il ne reste que quelques pans de murs dans un pré, situés près d'une source jadis fontaine de dévotion. Des traditions locales disent que cette église était un monument remarquable[27],[Note 1].

Au début du XXe siècle, en dehors de l'élevage et de la culture des céréales, la commune produisait des pommes de terre, des haricots, des châtaignes et des noix. La Bonnieure alimentait trois moulins en activité[28].

Politique et administration

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La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2014 Jean-Pierre Barraud SE Agriculteur retraité
2014 2020 Didier Pressac SE Retraité Fonction publique
2020 En cours Didier Sellier    

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[30].

En 2021, la commune comptait 490 habitants[Note 2], en évolution de +7,46 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
7507365851 1501 1151 1201 1691 1651 136
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
955936871917964911828813857
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
834829687648626587576502464
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
403413411359400420446464490
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 238 hommes pour 231 femmes, soit un taux de 50,75 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,7 
90 ou +
3,1 
7,8 
75-89 ans
12,4 
16,4 
60-74 ans
17,7 
26,5 
45-59 ans
23,7 
20,8 
30-44 ans
16,4 
11,8 
15-29 ans
10,8 
15,0 
0-14 ans
15,9 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 
Poids public.

Équipements, services et vie locale

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Lieux et monuments

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Le château.
  • L'église paroissiale Saint-Pierre date du XIIe siècle, mais a été remaniée aux XVIIe et XIXe siècles.

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Comme l'église de Lussac ou de Négret.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  3. Du nom de l'église disparue à cet endroit.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique des Pins » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale des Pins », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune des Pins », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune des Pins », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 148
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 531.
  23. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  24. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  25. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  26. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  27. a et b Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 268
  28. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 271
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune des Pins (16261) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  35. « Château des Pins », notice no PA00104455, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  36. Véronique Dujardin, « Les Renardières aux Pins (Charente) », (consulté le ).

Articles connexes

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Liens externes

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