Saint-Jory

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Saint-Jory
Saint-Jory
L'hôtel de ville.
Blason de Saint-Jory
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Victor Denouvion
2023-2026
Code postal 31790
Code commune 31490
Démographie
Gentilé Saint-Joryen, Saint-Joryenne
Population
municipale
7 346 hab. (2021 en augmentation de 27,93 % par rapport à 2015)
Densité 385 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 44′ 35″ nord, 1° 22′ 14″ est
Altitude Min. 105 m
Max. 125 m
Superficie 19,1 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Castelginest
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Saint-Jory est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Frontonnais, un pays entre Garonne et Tarn constitué d'une succession de terrasses caillouteuses qui ont donné naissance à de riches terroirs, réputés pour leus vins et leurs fruits. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal latéral à la Garonne, la Garonne, le Girou, l'Hers-Mort et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Muret à Moissac » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), deux espaces protégés (le « cours inférieur de la Garonne » et le « Ramier de Bigorre ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Jory est une commune rurale qui compte 7 346 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Joryens ou Saint-Joryennes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château, inscrit en 1927.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Jory se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Saint-Jory fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[1].

Elle se situe à 17 km à vol d'oiseau de Toulouse[2], préfecture du département, et à 7 km de Castelginest[3], bureau centralisateur du canton de Castelginest dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Sauveur (2,6 km), Bruguières (3,9 km), Lespinasse (4,0 km), Castelnau-d'Estrétefonds (4,6 km), Gagnac-sur-Garonne (4,8 km), Cépet (5,0 km), Bouloc (5,1 km), Seilh (5,4 km).

Saint-Jory est limitrophe de sept autres communes.

Communes limitrophes de Saint-Jory[5]
Grenade Castelnau-d'Estrétefonds
L'Hers, Le Girou
L'Hers Saint-Sauveur
Merville La Garonne Saint-Jory[5] Bruguières
Gagnac-sur-Garonne Lespinasse

La Garonne sépare la commune de celle de Merville, en rive gauche ; l'Hers sépare la commune de celle de Saint-Sauveur, en rive droite, et Le Girou puis l'Hers séparent la commune de celle de Castelnau-d'Estrétefonds, en rive droite.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Jory est établie sur la première terrasse de la Garonne, dans la plaine toulousaine de la Garonne.

La superficie de la commune est de 1 910 hectares ; son altitude varie de 105 à 125 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Garonne, le Girou, l'Hers Mort, le ruisseau de nauze geaune et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].

Le Girou, d'une longueur totale de 64,5 km, prend sa source dans la commune de Puylaurens (81) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il se jette dans l'Hers-Mort sur le territoire communal, après avoir traversé 31 communes[10].

La commune est traversée par le canal latéral à la Garonne avec une écluse (Ecluse N° 6).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 708 mm, avec 9,1 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 12 km à vol d'oiseau[13], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].

Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[22] :

  • « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[23]

et un au titre de la directive oiseaux[22] :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 1 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[25] : les « gravières de Saint-Caprais et de la Gravette » (233 ha), couvrant 3 communes du département[26] et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[27] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[25] : « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[28].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jory est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[29],[I 2],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[I 3] et 1 063 235 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,4 %), zones urbanisées (20,1 %), terres arables (15,1 %), eaux continentales[Note 7] (7,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,1 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Accès par l'autoroute A62, sortie Sortie 11 Saint-Jory-Grenade.

Transports[modifier | modifier le code]

Voir aussi Triage de Saint-Jory.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Jory est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, et le risque industriel et la rupture d'un barrage[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Toulouse, regroupant 15 communes concernées par un risque de débordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[34]. Les événements significatifs passés sont la crue généralisée sur le bassin de la Garonne des 23 et 24 juin 1875 (7 500 m3/s à Toulouse), qui a fait 208 morts et détruit 1 219 maisons, et la crue des 1er au (3 300 m3/s) à Toulouse, qui a fait 7 victimes. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[35]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2000, 2009 et 2022[36],[32].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jory.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 873 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 873 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[37],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[38].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2006, 2015, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[39].

La commune est en outre située en aval des barrages de Cap de Long sur la Neste de Couplan (Hautes-Pyrénées) et de l'Estrade sur la Ganguise (Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[40].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1603, Henri IV érige la châtellenie en baronnie[Laquelle ?].

Avant 1222, Saint-Jory se trouve sous la domination des comtes de Toulouse. Mais leurs vassaux pillent l'église.

Au XIIIe siècle, Hugues, sénéchal de l'Agenais, prend position pour les Albigeois : il défend Toulouse et Penne-d'Agenais, sous la conduite du comte de Lancastre, et dévaste Saint-Jory en se rendant à Toulouse.

Le XVe siècle voit le début d'une série de luttes et de procès entre le village et la famille des Garrigia de Villeneuve. Les villageois se révoltent contre Jean de Garrigia, et ce n'est qu'au XIXe siècle que cessent les procès.

Sous la domination des Du Faur, un château de la Renaissance est construit. En 1569, les guerres de religion le ruinent, lui et l'église.

Ensuite vient la Révolution française, et avec le XIXe siècle ses transformations, ses plans d'aménagements.

Territoire communal[modifier | modifier le code]

Le territoire de l'ancienne commune de Novital-Viguerie, supprimée en 1846, est partagé entre Saint-Jory et Lespinasse[41]. Le lieu-dit « la Viguerie » est rattaché à Lespinasse tandis que « Novital » et son château se rattachent à Saint-Jory.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Villiers-le-Bel

Les armes de Saint-Jory se blasonnent ainsi : « D'or au croissant de sinople ».

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[42],[43].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la cinquième circonscription de la Haute-Garonne de Toulouse Métropole et du canton de Castelginest (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Jory faisait partie de l'ex-canton de Fronton).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1977 Julien Vidal PS  
1983 Jean-Pierre Gaychet PS  
1995 Henry Chotel PS  
2000 Ivan Thiébaut DVD Médecin généraliste
Démissionnaire[44]
2014 Henri Miguel PS Ingénieur BTP
Président de la CC Hers Garonne [Quand ?]
Réélu en 2001, 2008 et 2013
Thierry Fourcassier UMPLR Professeur de physique-chimie
Réélu en 2020
Elections anticipées pour cause d'affaire judiciaire pour corruption[45]
[46] En cours Victor Denouvion PS Fonctionnaire territorial
Conseiller départemental de Castelginest (2015 → )
Président du SMO Haute-Garonne Numérique (2021 → )

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[48]. En 2021, la commune comptait 7 346 habitants[Note 8], en augmentation de 27,93 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6628138969631 0021 0341 0821 1201 137
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1031 0521 0941 0701 1101 1121 1161 0861 025
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0451 0261 0199089509269979961 310
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 5282 1122 5332 7603 2444 0694 8155 0265 637
2018 2021 - - - - - - -
5 9027 346-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[51] 1975[51] 1982[51] 1990[51] 1999[51] 2006[52] 2009[53] 2013[54]
Rang de la commune dans le département 28 35 40 43 38 37 40 39
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 469 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 6 078 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 370 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 53 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (55,3 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 4,6 % 7,6 % 8,4 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 3 962 personnes, parmi lesquelles on compte 80,5 % d'actifs (72,1 % ayant un emploi et 8,4 % de chômeurs) et 19,5 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 2 185 emplois en 2018, contre 1 897 en 2013 et 1 674 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 874, soit un indicateur de concentration d'emploi de 76 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 68,1 %[I 14].

Sur ces 2 874 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 525 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 87,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,7 % les transports en commun, 4,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

552 établissements[Note 12] sont implantés à Saint-Jory au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 552 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
33 6 % (5,7 %)
Construction 84 15,2 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
170 30,8 % (25,9 %)
Information et communication 11 2 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 25 4,5 % (3,8 %)
Activités immobilières 17 3,1 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
94 17 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
70 12,7 % (16,6 %)
Autres activités de services 48 8,7 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30,8 % du nombre total d'établissements de la commune (170 sur les 552 entreprises implantées à Saint-Jory), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :

  • Jardel Services, location de camions avec chauffeur (142 090 k€)
  • Bessac - CSM Bessac, construction et entretien de tunnels (64 227 k€)
  • Transports Pech, transports routiers de fret interurbains (27 940 k€)
  • DDS, affrètement et organisation des transports (22 677 k€)
  • M D Transports, transports routiers de fret interurbains (21 811 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 154 89 54 39
SAU[Note 15] (ha) 956 673 859 1 010

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 154 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 89 en 2000 puis à 54 en 2010[58] et enfin à 39 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 75 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[59],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 956 ha en 1988 à 1 010 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 6 à 26 ha[58].

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Saint-Jory fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par les écoles maternelles du Lac, et du Canal des deux mers, par les écoles élémentaires Georges Brassens et Jean de la fontaine, par un collège public, ainsi que par l’établissement privé Sainte-Geneviève.

Sports[modifier | modifier le code]

Football[modifier | modifier le code]

Le premier club de football de la commune fut créé en 1923 par Charles Sire, ce qui en fait une des plus anciennes formations de la Ligue de Midi-Pyrénées de football. Dans les années cinquante, apparaissent deux clubs de football, le Sporting et L’Étoile. Ils s’affrontèrent des années durant pour être chacun à leur tour les meilleurs, avant de fusionner en 1968 et donner naissance à l’Entente Sporting Étoile de Saint-Jory. Le club devint une pépinière de jeunes footballeurs qui évolueront au niveau régional en glanant plusieurs titres : champion des Pyrénées en 1953, champion junior en 1970, champion d'Excellence en 1982-1983 (et montée en Ligue régionale)[60].

Judo[modifier | modifier le code]

Le Judo club de Saint-Jory a formé plus d'une dizaine de ceintures noires depuis sa création, Le club représente la ville de Saint-Jory au niveau national avec des participations aux championnats de France de judo. Ce club formateur, propose multitudes d'activités, comme le ju jitsu, le renforcement musculaire, taiso, arbitrage et culture judo[61].

Tennis[modifier | modifier le code]

Le Tennis Club Saint-Jory dispose de 2 terrains couverts et 2 terrains extérieurs.

Rugby à XV[modifier | modifier le code]

Rugby à XIII fauteuil[modifier | modifier le code]

La ville possède un club de rugby à XIII fauteuil : le club dispute le championnat de première division de la discipline. Surnommés « les Toros », ils font le doublé coupe de France- championnat en 2017[62] La commune est parfois le lieu de matchs exhibitions de l'équipe de France : elle accueille ainsi un match au gymnase municipal au mois de [63].

Basket-ball[modifier | modifier le code]

Le club de basket-ball, fondé en mai 1958, évolue en championnat de régionale 2 en 2023[64].

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté urbaine de Toulouse Métropole et de l'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie[65].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Jory » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Jory » (consulté le ).
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  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Jory » (consulté le ).
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Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jory et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Jory et Castelginest », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Saint-Jory », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Saint-Jory », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
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  10. Sandre, « le Girou »
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  15. « Station Météo-France « Toulouse-Blagnac » (commune de Blagnac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  20. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  61. « Judo club Saint Jory », sur judosaintjory.sportsregions.fr (consulté le ).
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  66. « Horaires », sur Eglise info (consulté le ).
  67. Eglise Saint-Georges - Eglises et patrimoine religieux de France
  68. « Accueil - Ville de Saint-Jory »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Ville de Saint-Jory (consulté le ).
  69. « Fiche Mérimée PA00094463 », sur Ministère de la Culture (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Guilhamot, Saint-Jory, monographie communale par Guilhamot, , 78 p. (lire en ligne).
    Inventaire « Monographies communales de la Haute-Garonne » (Cote : BH br 4° 268).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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