Saint-Baldoph

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Saint-Baldoph
Saint-Baldoph
Saint-Baldoph vu depuis Chignin au petit matin.
Blason de Saint-Baldoph
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire Valentin Hachet (par intérim)
Code postal 73190
Code commune 73225
Démographie
Gentilé Saint-Bardolains
Population
municipale
2 706 hab. (2021 en diminution de 5,71 % par rapport à 2015)
Densité 434 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 32′ 10″ nord, 5° 57′ 11″ est
Altitude Min. 291 m
Max. 881 m
Superficie 6,24 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chambéry
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Ravoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Baldoph
Liens
Site web saintbaldoph.fr

Saint-Baldoph est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. C'est une des trois communes du vignoble d'Apremont.

Géographie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée dans Saint-Baldoph à proximité des vignobles (et panonceau du logo du parc naturel régional de Chartreuse).

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Baldoph est située dans le département de la Savoie, à 4 km de Chambéry sa préfecture. D'une superficie de 624 hectares, elle s'étend sur les premières hauteurs nord du massif de la Chartreuse et fait partie du parc naturel régional de la Chartreuse. Son altitude varie donc de 291 mètres à 881 mètres au plus haut, soit près de 600 mètres de dénivelé total. Le chef-lieu de la commune se situe pour sa part à 320 m.

Saint-Baldoph est en outre principalement traversée par la rivière Albanne, venant du Mont Granier et se jetant dans la Leysse quelques kilomètres plus loin à Chambéry. Le mont Granier surplombe la commune de son versant nord. Les pentes sont douces et orientées est/sud-est ce qui les rend propices à la viticulture. Saint-Baldoph possède ainsi plusieurs hectares de vignobles.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint-Baldoph est entourée par les communes de Barberaz et La Ravoire au nord, Myans à l'est, Apremont au sud et Montagnole à l'ouest. Apremont et Myans possèdent elles aussi des vignobles sur leur territoire.

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Baldoph n'est traversée par aucun axe routier majeur. Toutefois la route nationale 201, 2 x 3 voies faisant suite à l'autoroute A43 venant de Lyon traversant l’agglomération de Chambéry, redevient A 43 en direction des vallées alpines peu avant la commune, qu'elle longe à moins d'un kilomètre sur son côté est. La sortie no 20 « Saint-Baldoph » permet par ailleurs de rejoindre le chef-lieu directement.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La ligne ferroviaire de Culoz à Modane dite ligne de la Maurienne passe à quelques centaines de mètres de la limite est de Saint-Baldoph, sans toutefois la traverser. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Chambéry-Challes-les-Eaux située à Chambéry à environ cinq kilomètres, permettant des liaisons vers Paris par TGV, et Lyon, Grenoble, Annecy, Genève et les vallées alpines par TER.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Saint-Baldoph faisant partie de l’agglomération chambérienne, la commune est ainsi desservie par les bus de Synchro (réseau de transport) gérée par Keolis pour Chambéry. Les liaisons entre Chambéry et Saint-Baldoph en passant par Barberaz ont par ailleurs été renforcées à l'automne 2011.

Transport aérien[modifier | modifier le code]

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Chambéry - Savoie situé sur la commune de Voglans au nord de Chambéry à une quinzaine de kilomètres de Saint-Baldoph. Plus proche, à Challes-les-Eaux se trouve également l'aérodrome de Chambéry - Challes-les-Eaux.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Baldoph est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry, une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes[4] et 190 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[7],[8].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (42,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,2 %), zones agricoles hétérogènes (26,2 %), zones urbanisées (18,4 %), cultures permanentes (6,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5 %), prairies (1,5 %)[9].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première mention de la localité remonte à la fin du XIIe siècle où l'on trouve les formes Ecclesia Sancti Badulphi ou encore Ecclesia Sancti Baldulfi (1191)[10]. Le prieuré est mentionné au XIVe siècle, Prioratus Sancti Bardolii (1340) et Prioratus Sancti Bardulphi (1356)[10]. On trouve la forme Saint Bardoph en 1575 et Prieuré de Saint Bardot en 1664[10].

Selon la légende, la commune tiendrait son nom d'un certain Badulphus ou Badulphe, un personnage qui aurait vécu au IVe siècle dans les environs de Lyon. Il aurait dédié sa vie à rassembler les reliques des martyrs de Lyon pour en organiser une véritable vénération, alors permise après 313 par l'édit de Milan. La légende voudrait que ce soit ce même Badulphe qui soit à l'origine de la fondation de l'Abbaye d'Ainay[11],[12].

L'arrivée du nom de Baldoph en Savoie serait alors l'oeuvre des moines du prieuré de Lémenc à Chambéry, dépendant d'Ainay depuis le Haut Moyen-Âge. Une hyptohèse plausible voudrait que les religieux aient décidé d'honorer Baldoph en lui dédiant l'église nouvellement édifiée sur la colline du Mollard[13].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Sè Bardo, selon la graphie de Conflans[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Dans l’Antiquité, le territoire de la commune de Saint-Baldoph a révélé une présence romaine non localisée. En effet divers objets retrouvés peuvent l'attester :

  • une statuette de Mercure nu (disparue aujourd’hui mais précédemment au musée Savoisien) ;
  • une lampe à huile ;
  • un buste de satyre en bronze.

Ce sont les traces les plus anciennes que connaissent ce territoire.

La première mention attestée du nom de la paroisse provient d'une bulle du pape Clément III en 1191, plaçant l’Ecclesia parochialis Sancti Badulphi[10], sous le contrôle de l'Abbaye de St-Rambert en Bugey[13].

En 1248, le mont Granier connaît un éboulement spectaculaire qui détruit plusieurs villages de la cluse de Chambéry et fait de nombreuses victimes. Après l’éboulement, le prieuré de Notre-Dame-du-Granier est alors transféré à Saint-Baldoph, épargnée. La commune accueille alors une communauté de moines mais sa population décline peu à peu.

En décembre 1742, un moine sacristain de la commune a vu les Espagnols venir en Savoie par Chaparaillan (au sud) en longeant le pied du Granier par les Abîmes et Apremont.

Les Espagnols occupèrent en 1742 la Savoie afin d'en tirer profit. Toutes les maisons de Saint-Baldoph furent pillées ainsi que l'église. « Ils entrèrent dans la maison presbytéral du révérend Joseph Bouvier, curé pour lors de ladite paroisse, d’où ils enlevèrent tous les registres de baptême, mariage, sépulture, et autres titres. » À la paix, en 1749, les habitants demandèrent une aide financière afin de relever les ruines[15].

À l’époque de l’Ancien Régime, le village appartenait à la seigneurie et la baronnie d’Apremont. La seigneurie passe alors dans différentes mains et revient au XVIIe siècle à la famille Coudrée d’Allinges, de même la famille Milliet d’Arvillard détient un important territoire à Saint-Baldoph[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Saint-Bardolains et les Saint-Bardolaines puisque par le passé la commune s’est fait appeler « Saint-Bardoph » puis « Saint-Bardot ».

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Saint-Badolph se compose du maire, de cinq adjoints et de 17 conseillers municipaux.

Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal[17] :

Groupe Président Effectif Statut
Agir pour Saint-Badolph Christophe Richel 19 Majorité
Saint-Baldoph Demain Odile Grumel 3 Opposition
Indépendant Rémi Garnier 1 Opposition

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Résultats des derniers scrutins électoraux
1er score 2e score Participation
Élections européennes de 2014 23,10 % pour Jean-Marie Le Pen (FN) 22,82 % pour Renaud Muselier (UMP) 48,17 %
Élections municipales de 2014 56,93 % pour Christophe Richel (SE) 26,26 % pour Jean-Jacques Fresko (SE) 68,10 %
Élections législatives de 2012 52,16 % pour Béatrice Santais (PS) 47,84 % pour Pierre-Marie Charvoz (DVD) 61,52 %
Élection présidentielle de 2012 51,48 % pour Nicolas Sarkozy (UMP) 48,52 % pour François Hollande (PS) 87,03 %
Élections régionales de 2010 51,91 % pour Jean-Jack Queyranne (PS) 32,74 % pour Françoise Grossetête (UMP) 57,87 %
Élections cantonales de 2011 54,99 % pour Robert Gardette (PS) 45,01 % pour Jean-Marc Léoutre (DVD) 41,51 %

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1919 1925 Maurice Jacquier    
Les données manquantes sont à compléter.
2002 mars 2008 Henri Albert   Vice-président de Chambéry métropole - Cœur des Bauges
mars 2008 mars 2014 Olivier Fayn    
mars 2014 mars 2024[18]
(démission)
Christophe Richel SE Vigneron
Réélu pour le mandat 2020-2026[19]
mars 2024[20] En cours
(au 26 mars 2024)
Valentin Hachet   Premier adjoint (2020 → 2024)
Maire par intérim puis élu par le conseil municipal[21]

Henri Albert a contribué au développement de Saint-Baldoph pendant plus de 30 ans. Son successeur a fait de l'environnement une priorité centrale.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 2 706 habitants[Note 3], en diminution de 5,71 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
6826576371 0091 0251 0131 009955911
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
838821816788749680634649576
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
5065305374945185457769111 153
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
1 3582 2272 8432 9242 9482 8882 7782 706-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 1901[26], la population de Saint-Baldoph était de 634 habitants. Elle est passée en un siècle à 2 843 habitants. Elle a donc été multipliée par quatre en 100 ans. Depuis 1999, la population de Saint-Baldoph a continué d'augmenter. En 2008, il y avait 2 948 habitants. La densité de la population est de 472,4 habitants par kilomètre carré. En 2010, le taux de natalité est supérieur au taux de mortalité (33 naissances pour 32 décès).

Économie[modifier | modifier le code]

  • Saint-Baldoph est une des trois communes du vignoble d'Apremont, et la seule qui en fasse partie en totalité.
  • Le commune fait partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[27],[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vignes à Saint-Baldoph.
Vignobles et église de Saint-Baldoph à l'opposé du massif des Bauges.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Baldoph et ancien prieuré

Plusieurs fois remaniée, l’église faisait partie du prieuré, depuis disparu.

  • Chapelle Saint-Anthelme, située route des clarine et de type moderne, elle est dédiée à saint Anthelme de Chignin; en son sein est pratiqué le rite tridentin. Elle appartient au Prieuré Saint-Pierre-Julien-Eymard, lui-même dépendant de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X.
  • Autres chapelles

Existait en 1730 mais n’était déjà plus figurée en 1862. Deux autres chapelles auraient existé également à la même époque mais n’est pas vérifiable.

  • Cimetière

Délimité par un muret, le cimetière se situe à l’est de l’église. Il présente des tombes de manière classique pour la plupart, les plus âgées présentent des décors plus particuliers et des croix en ferronnerie ou en fonte moulée.

Patrimoine public[modifier | modifier le code]

  • Écoles

Dans les années 1940, l’école se trouvait à côté de l’église. Il y avait trois instituteurs. Il s’agissait de la maison communale, aujourd’hui abattue, qui abritait à la fois l’école et la mairie ; une plaque informative rappelle ce morceau de l’histoire du village. Au XIXe siècle, ces établissements scolaires étaient appelés « maison d’école ».

  • Mairie

En 1984, la mairie est bâtie sur son emplacement présent. Le bâtiment, qui abritait alors aussi l’école, n’a pas été modifié.

  • Monument aux morts

Situé devant la mairie, sur un espace dominant récemment réaménagé. Ce monument aux morts adopte la forme classique de l’obélisque, souvent utilisé pour ce type de monument commémoratif[16].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Baldoph Blason
Parti: au 1er de gueules à la croix d'argent, au 2e d'azur à la crosse contournée d'or senestrée d'une tour du même ouverte et ajourée de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  10. a b c et d Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne).. édition 2021, p. 296.
  11. Abbé Florent Dumas, Les traditions d'Ainay, Paris, Delhomme et Briguet, , 429 p. (lire en ligne), p. 167
  12. St Baldolph, « Présentation de la commune », sur www.saintbaldoph.fr (consulté le )
  13. a et b Jean-Claude Gotteland, « EGLISE DE ST BALDOPH - Présentation descriptive et Historiographie », Réalisé à partir des archives de la commune et de la paroisse, disponible au format PDF sur le site de la commune. http://www.saintbaldoph.fr/cms_viewFile.php?idtf=26039&path=histoire-Eglise-St-Baldoph-JC-Gotteland.pdf
  14. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 22.
  15. Perrousse,Gabriel André, Les environs de Chambéry, La fontaine de siloé, 1993, p.391, (ISBN 2-908697-47-5).
  16. a et b Site du parc de la Chartreuse. Saint-Baldoph. 2005/2006. Disponible sur : http://www.parc-chartreuse.net/culture/pdf/Haut_Gr%C3%A9sivaudan/SaintBaldoph.pdf
  17. Mairie, « Bulletin municipal 2020 », Bulletin minicipal,‎ (lire en ligne [jpg])
  18. « Le maire de Saint-Baldoph, Christophe Richel, démissionne », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
  19. « Qui sont les 38 maires des communes de Grand Chambéry ? », Le Dauphiné libéré, édition Savoie, (consulté le ).
  20. Mairie de Saint-Baldoph, « Valentin Hachet, élu nouveau maire de Saint-Baldoph », sur saintbaldoph.fr, (consulté le ).
  21. « Valentin Hachet, nouveau maire de Saint-Baldoph », Le Dauphiné libéré,‎ (lire en ligne).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. recensement du 1er décembre 2008. Insee
  27. Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
  28. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).