La Motte-en-Bauges

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La Motte-en-Bauges
La Motte-en-Bauges
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire
Mandat
Damien Regairaz
2020-2026
Code postal 73340
Code commune 73178
Démographie
Gentilé Mottands
Population
municipale
509 hab. (2021 en augmentation de 4,73 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 10″ nord, 6° 07′ 49″ est
Altitude Min. 598 m
Max. 1 474 m
Superficie 9,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Annecy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-Leysse
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web la-motte-en-bauges.com

La Motte-en-Bauges est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de La Motte-en-Bauges est située dans les Alpes, plus précisément le massif des Bauges, dans le département de la Savoie.

À mi-chemin entre Chambéry, Aix-les-Bains et Annecy (Haute-Savoie), la commune s'étend sur un territoire de 9,96 km2 compris entre 598 à 1 474 mètres d'altitude et est longée par le Chéran, principale rivière du massif, sur sa limite ouest la séparant du Châtelard et de Lescheraines.

Elle fait en outre partie du parc naturel régional du massif des Bauges[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le "Nant d'Enfer" est un cours d'eau qui prend sa source au-dessus du château pour se jeter dans le Chéran. D'autres rivières sillonnent la commune: le " Ruisseau de la Montagne", le "Nant d'Orange" et le "Nant de Bellecombe"[2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

Les transports scolaires sont gérés par le Grand Chambéry. Les bus amènent les enfants à l'école du Châtelard. Ces derniers, sont également accessibles aux autres usagers en fonction des places disponibles[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 553 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lescheraines », sur la commune de Lescheraines à 2 km à vol d'oiseau[6], est de 9,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 363,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Motte-en-Bauges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Annecy, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Depuis , la compétence de l'urbanisme a été transférée à la Communauté de Communes du Cœur des Bauges[15] puis au Grand Chambéry.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (53,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,2 %), forêts (42,2 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones urbanisées (3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,5 %)[16].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La Motte-en-Bauges est un associe l'ancien nom de la commune, « La Motte », au syntagme « -les-Bauges », en lien avec le massif des Bauges. Le nom de La Motte désigne une « tertre fortifié », il peut avoir ensuite évolué en un « lieu de campagne, terre labourée »[17].

Le nom du village va évoluer au fil des siècles : Mota (v. 1344)[17], Mote, Motte, Lamotte (1793)[18], La Mote (1801)[18], La Mothe pour enfin devenir "La Motte-en-Bauges" au cours du XXe siècle[19].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit La Môta, selon la graphie de Conflans[20].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le chef-lieu de la commune est installé sur un promontoire molassique, au nord de la colline du Mollard où se situe l'église. Il s'agit de l'un des lieux d'habitat les plus anciens des Bauges[21]. Un site gallo-romain (bâtiments et nécropole) a été découvert au XIXe siècle, puis une villa en 1987.

Au Moyen Âge existaient deux résidences d'importance : la maison forte de la Frénière (antérieure au XVe siècle) et le château de Cerise, près de l'église[21].

Le lieu est dénommé ad Motam en 1090, puis subtus Motam en 1657, Parrochia Mote en 1432 avant de se fixer au XXe siècle sous sa forme actuelle.

Au XVIe siècle, 485 habitants sont dénombrés, puis 936 en 1848. Depuis, la population a fortement diminué, bien que remontant de 211 à 431 habitants entre 1982 et 2009.

Le territoire communal de près de 1 000 ha s’étage depuis « l’île » du Chéran à 615 m, jusqu’au sommet boisé du Mont-Chabert, à 1 475 m[21].

Le village comptait neuf hameaux de part et d'autre du chef-lieu.

Un évènement marquant de la fin du siècle sont les inondations du causées par des pluies diluviennes[19].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

A la fin du XIXe siècle, le Chef-lieu est transformé, une école est construite en 1891-1892 et l'église dédiée à saint Victor est reconstruite (1862-1872). Le château de Cerise, une ancienne demeure seigneuriale, est acheté et restauré par Jacques Chauland du Rocher. La maison de la dîme se situe du côté sud de l'église. Les paysans devaient, jusqu'à l'invasion du duché de Savoie, par les troupes révolutionnaires françaises, y verser une taxe. Ils remplissaient une pierre ronde creusée de céréales. La quantité variait en fonction des récoltes de l'année. À cette époque, presque tous les habitants de la commune vivent de l'agriculture (élevage et polyculture traditionnels). Ce sont principalement le travail dans les champs, des grands champs de pommes de terre notamment, et le soin des vaches qui occupent leurs journées. Les paysans vont se mettre à construire des fruitières communes afin de fabriquer le fromage[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 En cours
(au 4 octobre 2023)
Damien Regairaz ... ...
mars 1989 mars 2014 Marisie Moine DVG ...
1977 1989 Lucien Neyret    
1965 1977 Albert Pavy    
1959 1965 Marcel Binvignat    
1939 1959 Joanny Mazin    
1934 1939 M.Lehne    
1929 1934 Joseph Crouau    
1920 1929 François Dalphin    
1900 1919 Jean-Marie Gallice    
1889 1900 Pierre Chappuis    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 509 habitants[Note 3], en augmentation de 4,73 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
647627666831892936744755678
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
633660607599553525501502505
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
426418410374333297264238218
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
211287310399422431475505509
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de La Motte-en-Bauges est située dans l'académie de Grenoble. L'école maternelle de la Motte-en-Bauges se trouve sur la commune du Châtelard, dans le cadre du Regroupement Pédagogique entre les deux communes. L'école primaire, quant à elle, est gérée par la commune du Châtelard[25].

Les TAP (temps d'activités périscolaires) sont un temps de sieste ou de garderie après le repas du midi et en fin d'après-midi. Les coûts sont pris en charge par la commune de la Motte-en-Bauges et des goûters sont organisés[26].

Sports[modifier | modifier le code]

Le milieu naturel de la commune est propice aux balades à pied, notamment autour du plan d'eau de la Motte-en-Bauges.

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de la Motte-en-Bauges se concentre sur certaines activités . Dans le domaine de l'agriculture, de nombreux GAEC proposent des ventes à la ferme. Le tourisme est également facteur du dynamisme économique: location d'ânes, gîtes, bar-restaurant. Il y a aussi des entreprises individuelles dans le domaine de l'artisanat par exemple[27].

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2012, le revenu médian de la population de la Motte-en-Bauges était de 19 296 euros par an. En 2011, ce dernier était de 17 826 euros[28].

L'impôt moyen prélevé sur le revenu des habitants est estimé, en 2016, à 753 euros. Au total, c'est 102 000 euros d'impôts locaux qui sont prélevés sur la commune[29].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2014, la part des habitants actifs étaient de 47,26 %, tandis que les chômeurs représentaient 6,5 % des Mottands (contre une moyenne française de 10,4 %)[28].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Façade de l'église Saint-Victor de La Motte-en-Bauges.
  • Le chef-lieu est le hameau central du village. Il comprend l'église, l'école, ainsi que le château de Cerise[30].
  • Le rocher est un village construit le long de la départementale. Il a été ravagé par un incendie le . Un quartier, le quartier du Cordava, a été épargné par ce dernier grâce à l'action des villageois qui couvraient les toits de chaume de couvertures mouillées[30].
  • Les hameaux sont multiples. Le nom de certains hameaux rappellent l'environnement naturel du village: la Frénière (les frênes), les Fresses, le Noiray (les noyers), les Blaches (marais)... D'autres tirent leur nom des familles qui y habitaient: les Brunods, les Frénods, les Dalphins[30]...
  • Église placée sous le patronage de saint Victor. Le nouvel édifice, de style néogothique, est construit selon les plans de l'architecte Duverney, en 1862[31].
Manoir des Cerises.
  • Manoir dit château des Cerises, restauré au XIXe siècle, construit sur l'ancien emplacement du château de la famille de Cerise[32],[33].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

La bibliothèque de la commune se trouve dans le bâtiment de la mairie. Elle est ouverte aux habitants de la commune mais également aux habitants des communes alentour. Les livres sont prêtés pour deux semaines et l'inscription est gratuite. Au niveau de la collection, la bibliothèque de la Motte-en-Bauges possède environ 1 400 livres auquel on peut ajouter les livres de la bibliothèque départementale de Savoie. Des livres sont à destination des adultes tandis que d'autres sont destinés aux enfants[34].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • André Gallice, écrivain. Paysan en activité, il va remporter le prix Meynot pour son engagement au service des structures agricoles du massif des Bauges. Il publie en 1990, Le loup n'a jamais mangé l'hiver, premier ouvrage d'une série de six qui retracent les anecdotes de la Motte-en-Bauges de manière poétique[19].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 142-143. ([PDF] lire en ligne)
  • Marisie Moine, La Motte-en-Bauges, La légende du siècle, 1900-2000 - Montmélian, La Fontaine de Siloé, 2001, 239 p. (ISBN 2-84206-176-4).
  • Laurent Morand, Les Bauges : histoire et documents : Peuple et Clergé (IIIe volume), Chambéry, Imprimerie savoisienne, , 684 p. (lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Parc Naturel Régional du Massif des Bauges, « Les 65 Communes du Parc », sur parcdesbauges.com (consulté le ).
  2. Secrétariat, « Histoire - Géographie », sur la-motte-en-bauges.com (consulté le ).
  3. Renoir Marion, « Les transports scolaires », sur la-motte-en-bauges.com (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre La Motte-en-Bauges et Lescheraines », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lescheraines », sur la commune de Lescheraines - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Lescheraines », sur la commune de Lescheraines - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Annecy », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Secrétariat, « Urbanisme », sur la-motte-en-bauges.com (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. a et b Henry Suter, « Coux », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009).
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. a b c et d La Motte-en-Bauges, La légende du siècle, 1900-2000, Montmélian, La fontaine de Siloé, , 239 p. (ISBN 2-84206-176-4), p. 11-93.
  20. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 21
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  21. a b et c « Histoire » sur le site de la commune.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Secrétariat, « Vie scolaire », sur la-motte-en-bauges.com (consulté le ).
  26. Renoir Marion, « Les temps d’activités périscolaires (TAP) », sur la-motte-en-bauges.com (consulté le ).
  27. Renoir Marion, « Activités économiques », sur la-motte-en-bauges.com (consulté le ).
  28. a et b « La Motte-en-Bauges - 73340 », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  29. « Données fiscales et impôts pour La Motte-en-Bauges | Le Monde.fr », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  30. a b et c Secrétariat, « Lieux remarquables, activités touristiques », sur la-motte-en-bauges.com (consulté le ).
  31. Françoise Dantzer, Les Bauges : Terre d'art sacré, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 251 p. (ISBN 978-2-84206-272-9, lire en ligne), p. 80.
  32. Histoire des communes savoyardes 1984, p. 142.
  33. Henri Bouvier, Histoire du Châtelard-en-Bauges, Les Marches, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 257 p. (ISBN 978-2-84206-050-3, lire en ligne), p. 241.
  34. Secrétariat, « Bibliothèque », sur www.la-motte-en-bauges.com (consulté le ).