Bassens (Savoie)

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Bassens
Bassens (Savoie)
Vue sur Bassens près du chef-lieu,
au pied des Monts.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Grand Chambéry
Maire
Mandat
Alain Thieffenat
2020-2026
Code postal 73000
Code commune 73031
Démographie
Gentilé Bassinots
Population
municipale
5 136 hab. (2021 en augmentation de 28,46 % par rapport à 2015)
Densité 1 651 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 34′ 32″ nord, 5° 56′ 24″ est
Altitude Min. 280 m
Max. 810 m
Superficie 3,11 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Chambéry
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Alban-Leysse
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bassens
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Bassens
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Bassens
Liens
Site web bassens-savoie.fr

Bassens [basɛ̃] est une commune française située dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'agglomération chambérienne et du Grand Chambéry.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Avenue venant de Chambéry traversant le centre commercial de Bassens, avec le mont Peney (Bauges) en arrière-plan.

Bassens se trouve à l'est de la ville de Chambéry dans le département de la Savoie, sur les contreforts sud de la chaîne du Revard (massif des Bauges).

La commune est proche du parc naturel régional des Bauges situé a environ 3 km en allant vers Saint-Jean-d'Arvey.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Bassens est commune limitrophe de Chambéry, avec laquelle elle partage sa limite ouest. De par sa relativement faible superficie, la commune ne possède que deux autres communes limitrophes : Barberaz au sud et Saint-Alban-Leysse à l'est. La commune de La Ravoire est située au sud-est de Bassens mais n’a pas véritablement de limite commune car « coincée entre » Barberaz et Saint-Alban-Leysse.

Communes limitrophes de Bassens
Saint-Alban-Leysse
Chambéry Bassens
Barberaz

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 311 hectares ; son altitude varie de 280 à 564 mètres[1].

Le point le plus haut est au niveau des Monts en allant vers Verel-Pragondran.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

En termes d'hydrographie, la rivière Leysse longe la commune dont elle marque par ailleurs la limite sud qu'elle partage avec Barberaz.

Voies de communication et transport[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune de Bassens voit passer à l'extrême sud-ouest de son territoire la route nationale 201 (N 201, la Voie Rapide Urbaine (VRU) de Chambéry) à sa sortie du tunnel des Monts en direction de l’A41 pour Grenoble et de l’A43 pour les vallées et l’Italie.

La D 1006 (ex-nationale 6), reliant Paris à l'Italie par le col du Mont-Cenis, passe également au sud de la commune, dont elle marque par ailleurs la limite avec la commune de Barberaz.

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Chambéry-Challes-les-Eaux située à 2 kilomètres et située sur la ligne de la Maurienne passant non loin au sud-ouest de Bassens. Des correspondances TGV existent pour relier notamment Paris mais aussi Turin et Milan en Italie. Les liaisons régionales (TER) pour leur part permettent de relier les communes de Lyon, Grenoble, Annecy, Genève et les vallées savoyardes que sont la Tarentaise et la Maurienne.

Transport aérien[modifier | modifier le code]

L'aéroport le plus proche est l’aéroport de Chambéry-Savoie situé à 8 kilomètres au nord de Chambéry[2]. Un aérodrome, l'aérodrome de Chambéry - Challes-les-Eaux, est également située sur la commune de Challes-les-Eaux à moins d'une dizaine de kilomètres au sud-est de Bassens.

Bus[modifier | modifier le code]

Un bus du réseau STAC, en direction de Bassens, à Saint-Baldoph en août 2017.

Le territoire communal est desservi par trois lignes du réseau de bus Synchro (réseau de transport), géré conjointement par Grand Chambéry et Keolis. Les lignes concernées sont :

  • la ligne   B  , qui traverse le centre commercial qui relie Sonnaz à Barby.
  • la ligne   D  , qui traverse Bassens d’est en ouest, relie Saint-Alban-Leysse au quartier de Bissy (plus précisément à Chamoux). Elle dessert quatre arrêts dans la commune (“Boulodrome”, “Bassens Centre”, “Hôpital Bassens” et “Gonrat”).
  • la ligne  6 , qui arrive sur le territoire depuis l’est et dispose de son terminus à Bassens, relie la commune à Saint-Baldoph. Outre son terminus (“Galion”), elle dessert quatre arrêts dans la commune (“Boulodrome”, “Bassens Centre”, “Hôpital Bassens” et “Longefand”).
  • la ligne  11 , qui entre sur le territoire communal à l’est et en sort au nord, relie le collège de Maistre, dans la commune voisine de Saint-Alban-Leysse, à Verel-Pragondran. Elle dessert deux arrêts sur le territoire bassinot (“Boulodrome” et “Praz du Nant”) ainsi qu’un situé à la limite avec Verel-Pragondran (“Bémaz”). En heures creuses, cette ligne est assurée en transport à la demande, ce qui permet, en réservant son trajet jusqu’à deux heures avant l’heure souhaitée, d’être récupéré par un bus et déposé à l’arrêt Boulodrome, d’où la ligne D assure des départs vers le centre-ville de Chambéry.

Le dimanche et les jours fériés, seules les lignes   B   et   D   circulent. Le réseau de nuit ayant été supprimé dans le cadre du nouveau réseau, la commune ne voit plus de bus traverser son territoire après 22 ou 23 heures, selon les jours.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 234 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 147,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Statistiques 1991-2020 et records CHALLES LES EAUX (73) - alt : 298m, lat : 45°33'54"N, lon : 5°58'13"E
Records établis sur la période du 01-02-1946 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −1,8 −1,5 1,7 5,1 9,5 13,2 15 14,6 11 7,2 2,3 −1 6,3
Température moyenne (°C) 2,3 3,6 7,8 11,4 15,6 19,4 21,5 21,1 16,9 12,3 6,5 2,9 11,8
Température maximale moyenne (°C) 6,4 8,7 13,9 17,7 21,7 25,6 28,1 27,7 22,8 17,4 10,8 6,8 17,3
Record de froid (°C)
date du record
−23
14.01.1960
−22,1
15.02.1956
−16,1
07.03.1970
−8,1
08.04.1956
−4
02.05.1962
0,3
03.06.1962
3,1
07.07.1962
3,9
21.08.1972
−1,2
27.09.1972
−6
30.10.1950
−12,8
30.11.1973
−19,9
03.12.1973
−23
1960
Record de chaleur (°C)
date du record
17,9
15.01.1975
21,9
28.02.1960
27,1
22.03.1990
29,5
21.04.18
33,7
24.05.09
37,5
19.06.22
39,8
31.07.20
40,9
24.08.23
33,7
10.09.23
30,6
04.10.1966
25,3
12.11.18
23,3
18.12.1989
40,9
2023
Précipitations (mm) 95,1 74 86,5 83,4 99,7 97,2 93,3 100,2 97,1 101,3 107,6 112,2 1 147,6
Source : « Fiche 73064001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bassens est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry, une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes[12] et 190 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (58,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (52 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48,4 %), zones agricoles hétérogènes (30 %), forêts (11,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %)[17].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

  • D´origine burgonde, selon Perrenot d´un primitif Bassingos, dérivé du nom propre Basso.
  • Baisinis ou Basinis vers 1100, Basins en 1164, Baisins au XIIe siècle, Bacins en 1224, Bassinum en 1234, Bacinum en 1479, Bassin en 1675, Bassins en 1732.

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Bassè (graphie de Conflans) ou Bassens (ORB)[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Durant la Première Guerre mondiale, de nombreux soldats belges blessés, en particulier par les gaz, ont été soignés dans l'hôpital de la commune. Une centaine d'entre eux sont morts de leurs blessures, et sont enterrés dans le cimetière de la commune, dans un carré militaire belge.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Bassens se compose du maire, de huit adjoints, de 4 conseillers municipaux délégués et de 14 conseillers municipaux.

Voici ci-dessous le partage des sièges au sein du conseil municipal :

Groupe Président Effectif Statut
SE Alain Thieffenat 21 Majorité
DVG Jean-Pierre Burdin 6 Opposition

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Résultats des derniers scrutins électoraux
1er score 2e score Participation
Élections européennes de 2014 23,33 % pour Renaud Muselier (UMP) 21,34 % pour Jean-Marie Le Pen (FN) 45,88 %
Élections municipales de 2014 50,15 % pour Alain Thieffenat (SE) 49,84 % pour Jean-Pierre Burdin (DVG) 63,56 %
Élection présidentielle de 2012 55,75 % pour Nicolas Sarkozy (UMP) 44,25 % pour François Hollande (PS) 82,31 %
Élections législatives de 2012 53,27 % pour Bernadette Laclais (PS) 46,73 % pour Christiane Brunet (DVD) 55,09 %
Élections régionales de 2010 51,74 % pour Jean-Jack Queyranne (PS) 35,97 % pour Françoise Grossetête (UMP) 52,94 %
Élections cantonales de 2008 65,92 % pour Jean-Pierre Burdin (PRG) (élu au 1er tour) 23,02 % pour Christiane Nantois (DVD 62,02 %

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 mars 2014 Jean-Pierre Burdin[19] PRG Architecte
Conseiller général du canton de Saint-Alban-Leysse (2001 → 2015)
Vice-président de Chambéry métropole
mars 2014 En cours
(au 30 juin 2020)
Alain Thieffenat[20] DVD Chef d'entreprise retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de la France Bassens (Gironde) (France).

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

En 2021, la commune comptait 5 136 habitants[Note 3], en augmentation de 28,46 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
285426418435453426443765462
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
9191 0351 0281 0301 0901 1841 1941 1951 313
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 4371 5261 7151 9702 0872 8333 0093 5484 016
1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021
3 6253 5773 5033 9203 8663 7094 0124 7855 136
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Santé[modifier | modifier le code]

Le centre hospitalier spécialisé départemental est installé à Bassens.

Économie[modifier | modifier le code]

La commune de Bassens accueille l'une des deux grandes unités commerciales de l’agglomération de Chambéry. Appelé Centre commercial de Bassens, le lieu regroupe diverses enseignes parmi lesquelles notamment celle du groupe Carrefour, ou encore Saint-Maclou, BUT ou Darty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vue aérienne du CHS d'origine devant les grandes surfaces de la zone commerciale.

À Bassens on peut encore remarquer des traces du passé.

Le plus imposant est le château de Bressieux daté de 1527, aujourd’hui intégré au centre hospitalier spécialisé (CHS) installé depuis le XIXe siècle. On y voit une belle façade du XVIIIe siècle, œuvre du maçon Jean Petet, ainsi que la maison forte de Lambert datée de 1314, située sous l'église, avec sa tour ronde et sa porte en accolade du XVIe siècle, et la Maison Pointet ou château La Thieppaz du XVIe siècle également, mais très remaniée.

Il y a également l’église Sainte-Thérése dont la façade date du XIXe siècle, avec de belles pièces à l’intérieur (christ en croix de bois naturel, statue de saint Barthélemy)[2].

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune de Bassens a été récompensée par le « Concours des villes et villages fleuris » avec « une fleur »[25],[26].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  2. a et b Bassens Savoie [en ligne]. Mairie, [consulté le 8 décembre 2010]. Disponible sur : http://www.bassens-savoie.fr/fr/présentation_ville.php.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Bassens et Challes-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 20
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  19. Extrait de la fiche de M. Jean-Pierre BURDIN, sur lesbiographies.com
  20. « Qui sont les 38 maires des communes de Grand Chambéry ? », Le Dauphiné libéré, édition Savoie, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  26. Musée de l'Ordre de la Libération