Fruit en pâte d'amande
| Fruit en pâte d'amande | |
 َPomme et pêche en pâte d'amande, gâteau algérien. | |
| Autre(s) nom(s) | Fruit en pâte d'amande, فاكهة اللوز, حلوة الفاكية |
|---|---|
| Lieu d’origine | Alger Algérie
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| Créateur | femmes algéroise |
| Date | XVe siècle |
| Ingrédients | Amande, Œuf, |
| Accompagnement | Café, Thé à la menthe |
| Classification | confiserie |
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Les fruits en pâte d'amande ou (en arabe : فاكهة اللوز) ou ( حلوة الفاكية) dans le dialecte algérien est une très ancienne Pâtisserie algérienne[1],[2].
Description[modifier | modifier le code]
Les gâteaux en pâtes d'amandes sont une sorte de trompe-l'œil en forme de fruit, pas trop sucré et d'une douce texture. Ce gâteau est constitué d'une garniture, enrobée de pâte d'amande, faite d'une génoise traditionnelle Mouskoutchou mélangée avec la confiture ou de pâte de fruits el fakya prend quatre forme traditionnelle (elkhouka) pêche, (el bakoura), (el tfaha)pomme, (el lenjasa) poire , aujourd'hui il y a plusieurs modèle [3],[4]. Pour la préparation de pâte d'amande, plusieurs techniques de cuisson traditionnelles existent : technique de préparation de la pâte d'amande cuite [5] et celle de la pâte d'amande à froid[6]. La technique de la pâte d'amande cuite reste la plus difficile à réaliser et demande un savoir faire particulier.
Ce gâteau, qui peut accompagner le café ou le thé, a pris diverses formes telles que les fraises, les figues, pommes, citrons, dattes, raisin etc[3].
Références[modifier | modifier le code]
- Zineb Sekelli, L'Art culinaire à travers l'Algérie, Alger, SNED, , p. 367
- (ar) دسبارمي المدرس, كتاب الفوايد في العوايد و القواعد و العقائد, Blida, Imprimerie Mauguin, , p. 97
- Saida Benberim, Gâteaux modernes 5 spécial pâte d'amandes, Alger, Dar-El-Hana, , p. 63
- Assia, « Fruits en Pâte d’Amande Fraise Citron et Figue », sur gourmandiseassia.fr, (consulté le ).
- Mokhtaria Rezki, Le secret de la cuisine algérienne moderne, Alger, ENAG, , p. 118
- Mokhtaria Rezki, Le secret de la cuisine algérienne moderne, Alger, ENAG, , p. 120
