Eymet
Eymet | |||||
Les arcades de la place Gambetta à Eymet. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Portes Sud Périgord (siège) |
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Maire Mandat |
Jérôme Bétaille 2020-2026 |
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Code postal | 24500 | ||||
Code commune | 24167 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 535 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 81 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 40′ 07″ nord, 0° 23′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 41 m Max. 133 m |
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Superficie | 31,25 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Eymet (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Sud-Bergeracois (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | eymet-dordogne.fr | ||||
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Eymet (occitan: Aimet, [ɛjˈme][1]) est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Chef-lieu du canton d'Eymet de 1790 à 2015, la commune est devenue à cette date le bureau centralisateur du canton du Sud-Bergeracois.
Géographie
Située dans le Périgord pourpre, à l'extrême sud-sud-ouest du département de la Dordogne, la commune d'Eymet est traversée d'est au sud-ouest par le Dropt, un affluent de la Garonne. À l'ouest, elle est bordée par un affluent du Dropt, l'Escourou et par le lac de l'Escourou. Elle est limitrophe de cinq communes du département de Lot-et-Garonne.
La ville d'Eymet, implantée au croisement des routes départementales 18, 25 et 933 (l'ancienne route nationale 133), se situe, en distances orthodromiques, 22 kilomètres au sud-sud-ouest de Bergerac et 25 kilomètres au nord-est de Marmande.
Communes limitrophes
Sur les huit communes limitrophes d'Eymet, cinq se trouvent dans le département de Lot-et-Garonne. Au sud-est, Bourgougnague n'est limitrophe que sur 25 mètres.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Douzains », sur la commune de Douzains, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de précipitations de 757,2 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 21 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Eymet est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Eymet, une unité urbaine monocommunale[18] de 2 614 habitants en 2018, constituant une ville isolée[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,6 %), terres arables (37,4 %), zones urbanisées (8,2 %), prairies (8,1 %), cultures permanentes (5 %), forêts (2,2 %), eaux continentales[Note 6] (1,5 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2015 pour le Dropt — qui traverse la commune de l'est au sud-ouest — à Eymet, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant dépasser 450 mètres au lieu-dit Sabana, ainsi que la partie aval de son affluent le ruisseau de l'Escoussou (les 500 derniers mètres)[24],[25].
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu, Aymetum, date de l'an 1308, et la bastide est ensuite indiquée en 1360 sous la forme Bastida Emeti[26]. Les graphies évoluent en Aymet au XVIe siècle puis au XVIIIe siècle en Emez en 1714[26] et de nouveau Aymet en 1751[27].
Le nom se réfère à °Ametus, un personnage d'origine germanique[27].
En occitan, la commune porte le nom d'Aimet[1].
Histoire
De nombreux vestiges gallo-romains ont été découverts à Eymet et ses environs. Les vestiges d'un rempart gaulois ont notamment été mis au jour en 2021 au sud de la bastide, sur le plateau de Blis[28]. Dès l'époque gauloise, la situation géographique, en bordure du Dropt, juste à la limite du territoire des Pétrocores, a donné à cette cité une importance stratégique. Alphonse de Poitiers, comte de Toulouse et frère de Saint Louis, avait détecté cette qualité, lorsqu'il décida de fonder en 1270 une bastide en ce lieu. Ce passage obligé devenait ainsi au XIIIe siècle un verrou entre les territoires français et anglais.
Lors de la guerre de Cent Ans, Eymet était une place anglaise commandée par Thomas Felton, assisté par bon nombre de chevaliers gascons, comme le seigneur de Duras, de Mussidan, Bérard d'Albret, seigneur de Langoiran, ainsi que le seigneur de Rauzan. Elle fut assiégée et prise le 1er septembre 1377 par les troupes de Bertrand Du Guesclin[29].
Eymet, comme la plupart des cités entre Castillon-la-Bataille et Bergerac, choisit la réforme protestante en 1561. Les huguenots forment la majorité de la population au XVIe siècle. En 1854, près d'une centaine de foyers de la bastide sont protestants. Ils sont desservis par un temple toujours en activité au XXIe siècle.
Eymet est une étape sur la via Lemovicensis, chemin du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.
De 1899 à 1987, une ligne de chemin de fer relie Eymet à Bordeaux.
En 1971, les anciennes communes de Cogulot, Rouquette et Saint-Sulpice-d'Eymet fusionnent avec Eymet[30].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Dès 1790, la commune d'Eymet a été le chef-lieu du canton d'Eymet qui dépendait du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Bergerac[31].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[32]. La commune est alors rattachée au canton du Sud-Bergeracois, dont elle devient le bureau centralisateur.
Intercommunalité
Fin 2001, Eymet intègre dès sa création la communauté de communes Val et Coteaux d'Eymet dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes des Portes sud Périgord dont le siège reste à Eymet.
Tendances politiques et résultats
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[33],[34].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Eymet relève[40] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Jumelages
- Grumello del Monte (Italie) depuis 2006
- North Hatley (Canada) depuis 2008
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2021, la commune comptait 2 535 habitants[Note 7], en diminution de 4,77 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Remarques
La brutale chute démographique constatée en 1800 correspond à la création de trois communes indépendantes : Cogulot, Rouquette et Saint-Sulpice-d'Eymet, qui se séparent d'Eymet.
En 1971, l'opération inverse se produit, ces trois communes fusionnent avec Eymet, entraînant une hausse soudaine du nombre d'habitants révélée lors du recensement de 1975.
Sports
Eymet est la ville-départ de la 11e étape du Tour de France 2017.
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants d'Eymet ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2015[44], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 939 personnes, soit 35,3 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (148) a fortement augmenté par rapport à 2010 (98) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,8 %.
L'emploi sur la commune
En 2012, la commune offre 962 emplois pour une population de 26 167 habitants[45]. Le secteur tertiaire prédomine avec 39,5 % des emplois mais le secteur administratif est également très présent avec 36,8 %.
Au , la commune offre 1 013 emplois pour une population de 2 662 habitants[45]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) prédomine avec 38,5 % des emplois mais le secteur tertiaire est également très présent avec 38,2 %.
Répartition des emplois par domaines d'activité
Agriculture, sylviculture ou pêche | Industrie | Construction | Commerce, transports et services | Administration publique, enseignement, santé, action sociale | Total | |
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Nombre d'emplois | 39 | 114 | 83 | 390 | 387 | 1 013 |
Pourcentage | 3,9 % | 11,3 % | 8,2 % | 38,5 % | 38,2 % | 100 % |
Source des données[45]. |
Établissements
Au , la commune compte 380 établissements[46], dont 230 au niveau des commerces, transports ou services, cinquante relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trente-neuf dans la construction, trente-trois dans l'industrie, et vingt-huit dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche [47].
Entreprises
Dans le secteur agroalimentaire, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Lou Gascoun » (préparation industrielle de produits à base de viande) implantée à Eymet se classe en 14e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 9 160 k€[48].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Patrimoine civil
- La bastide d'Eymet avec ses rues qui se croisent à angles droits, sa place centrale, ses arcades, ses nombreuses maisons à colombages représente depuis 1968 un site inscrit sur 16 hectares[49],
- Château d'Eymet ou château de la Bastide, du XIIIe siècle dont le logis a été rebâti au XIXe siècle, inscrit aux monuments historiques depuis 1994[50], aujourd'hui consacré à un musée
- Château de Pouthet, XVIIIe et XIXe siècles, inscrit aux monuments historiques depuis 2006[51], visitable en été[52],
- Dolmen d'Eylias daté du Néolithique, inscrit depuis 1981[53],
- Pont médiéval du Bretou sur le Dropt, inscrit depuis 1995[54],
- Pigeonnier de la Garenne du XVIIIe siècle, inscrit depuis 1974[55],
-
Les arcades
de la place Gambetta. -
Porte sud et tour Monseigneur, château d'Eymet. -
Le château de Pouthet. -
Le dolmen d'Eylias. -
Le pont du Bretou.
Patrimoine religieux
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption, XIXe siècle, de style néogothique, qui a remplacé l'ancienne église médiévale.
- Église Sainte-Madeleine de Cogulot, d'origine romane, remaniée au XIXe siècle.
- Église Saint-Martin, à Rouquette, du XIIe siècle.
- Église de Saint-Sulpice, d'origine romane.
- Temple protestant de l'Église réformée de France, reconstruit au début du XIXe siècle après la destruction du temple précédent à la fin du XVIIe siècle, à la suite de la révocation de l'Édit de Nantes[56].
-
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption. -
L'église de Cogulot. -
L'église de Rouquette. -
L'église de Saint-Sulpice. -
Le temple protestant.
Patrimoine naturel
À l'ouest, le lac de l'Escourou borde le territoire communal sur environ trois kilomètres. Cette retenue et ses rives font partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I, devenu un lieu de passage ou d'hivernage pour de nombreuses espèces d'oiseaux[57],[58]. De plus, ses rives « sont constituées […] de pelouses calcaires mésophiles et de boisements thermophiles à chêne pubescent »[57].
Le Touron, grotte située en bordure du bourg de Saint-Sulpice-d'Eymet, fait partie de cette même ZNIEFF, car elle sert de lieu de reproduction à deux espèces menacées de chauves-souris : le murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus) et le rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[57]. Pour les mêmes raisons, la grotte est également protégée au titre du réseau Natura 2000[59].
Personnalités liées à la commune
- Pierre Théophile Delbetz (1818-1881), homme politique, est né et mort à Eymet.
- Dominique Erbani, (1956-), joueur de rugby à XV du international français, est né à Eymet.
- Gabriel Forestier (1889-1969), est un sculpteur né à Eymet le .
- Jean Milhet-Fontarabie (1828-1890), homme politique, est né à Eymet et mort à Paris.
- Pierre Morand du Puch cadet (1742-1822), général des armées de la République, est né à Eymet.
- Jean-Baptiste Moyne, (1751-1796), compositeur d'opéras, est né à Eymet.
- Pierre Thomas (1761-1821), est né à Eymet d'une famille patricienne huguenote. Pasteur à Sainte-Foy-la-Grande, acquis aux idées nouvelles, il devient révolutionnaire. Il est nommé maire de Bordeaux du 9 juillet au 16 novembre 1794. Il est administrateur du département de la Gironde puis commissaire du Directoire, et pasteur à La Roche-Chalais et Montcaret jusqu'à sa mort en 1821.
Héraldique
Les armes d'Eymet se blasonnent ainsi : « Écartelé, au 1 et 4, d'or à trois pals de gueules, au 2 et 3 d'or à deux vaches de gueules passant l'une sur l'autre. » |
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Garrigou Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XIVe siècles, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999, p. 47-71, Société française d'archéologie, Paris, 1999
- J.-P. Capdeville, Carte géologique de la France à 1/50 000 - Eymet, Éditions du BRGM Service géologique national, Orléans, 1991, (ISBN 2-7159-1830-5) (lire en ligne)
Articles connexes
- Liste des communes de la Dordogne
- Anciennes communes de la Dordogne
- Communauté de communes des Portes Sud Périgord
- Liste des châteaux et demeures de la Dordogne
- Dordogne (département)
- Périgord
Liens externes
- Site officiel de la ville d'Eymet
- Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord, août 2000
- Eymet sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Eymet sur l'office du tourisme du pays de Bergerac
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Le nom occitan des communes du Périgord - Aimet sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Douzains - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Eymet et Douzains », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Douzains - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Eymet et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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- [PDF] Rivière le Dropt - Eymet - Plan de prévention du risque inondation, p. 1, DREAL Aquitaine, consulté le 15 avril 2019.
- Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « EYMET », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 6 août 2016.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 150-151.
- Muriel Weiner, « La mise au jour d'un rempart gaulois », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 20b.
- Mairie d'Eymet sur le site du Pays de Bergerac, consulté le 10 janvier 2012.
- Code officiel géographique d'Eymet sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2013
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 2 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
- Notice JARRY Raoul, Jean par Gilles Morin, version mise en ligne le 25 avril 2010, dernière modification le 25 avril 2010
- Muriel Weiner, « L’ancienne maire s’est éteinte », Sud Ouest, (lire en ligne).
- Fiche de M. Jean-Michel MAGNAC, sur lesbiographies.com
- Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 18 août 2014.
- « Jérôme Bétaille espère des « débats constructifs » », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Dossier complet - Commune d'Eymet (24167) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 octobre 2018.
- Chiffres-clés - Emploi - Population active - tableaux POP T0 et EMP T8 sur le site de l'Insee, consulté le 29 octobre 2015.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune d'Eymet (24167) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 octobre 2018.
- « Agroalimentaire », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 34.
- Site inscrit de la bastide d'Eymet
- « Inscription du château de la Bastide d'Eymet », notice no PA00132928, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du château de Pouthet », notice no PA24000051, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- Pouthet sur Comité des Parcs et Jardins de France. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du dolmen d'Eylias », notice no PA00082530, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du pont médiéval du Bretou », notice no PA00135165, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- « Inscription du pigeonnier de la Garenne », notice no PA00135165, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 28 août 2009
- Panneau apposé sur le temple (Balade patrimoine en pays des bastides et cités médiévales). Vu le 23 août 2009
- [PDF] Étang de l'Escourou et Grotte de Saint-Sulpice-d'Eymet, INPN, consulté le 17 octobre 2018.
- Carte de la ZNIEFF 720014267, INPN, consulté le 17 octobre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
- Carte de la zone FR7200675, DREAL Aquitaine, consulté le 17 octobre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
- Commune en Dordogne
- Commune dans l'arrondissement de Bergerac
- Commune dans la communauté de communes des Portes Sud Périgord
- Ville nouvelle du XIIIe siècle en France
- Bastide médiévale en Dordogne
- Ancien chef-lieu de canton en Dordogne
- Commune touristique en France
- Ville-étape du Tour de France en Dordogne
- Fondation en 1270
- Via Lemovicensis