Anicet Le Pors
Anicet Le Pors | |
Anicet Le Pors en 2020. | |
Fonctions | |
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Conseiller général des Hauts-de-Seine | |
– (13 ans et 5 jours) |
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Élection | 17 mars 1985 |
Réélection | 29 mars 1992 |
Circonscription | Canton de Nanterre-Sud-Est |
Prédécesseur | Canton créé |
Successeur | Nadine Garcia |
Secrétaire d'État chargé de la Fonction publique et des Réformes administratives | |
– (1 an, 3 mois et 23 jours) |
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Président | François Mitterrand |
Premier ministre | Pierre Mauroy |
Gouvernement | Mauroy III |
Prédécesseur | Lui-même (ministre délégué) |
Successeur | Jean Le Garrec |
Ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Fonction publique et des Réformes administratives | |
– (1 an, 8 mois et 27 jours) |
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Président | François Mitterrand |
Premier ministre | Pierre Mauroy |
Gouvernement | Mauroy II |
Prédécesseur | Catherine Lalumière (secrétaire d'État) |
Successeur | Lui-même (secrétaire d'État) |
Sénateur français | |
– (3 ans, 9 mois et 28 jours) |
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Élection | 25 septembre 1977 |
Circonscription | Hauts-de-Seine |
Groupe politique | COM |
Successeur | Monique Midy |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Paris 13e (France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PCF (1958-1994) |
Syndicat | CFTC CGT |
Diplômé de | École nationale de la météorologie |
Profession | Ingénieur, économiste et conseiller d'État |
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Anicet Le Pors, né le dans le 13e arrondissement de Paris, est un homme politique et conseiller d'État français.
Ingénieur de la Météorologie nationale et économiste de formation, Anicet Le Pors est docteur d'État en sciences économiques et diplômé du Centre d’étude des programmes économiques[1].
Il est l'un des quatre ministres communistes des deuxième et troisième gouvernements de Pierre Mauroy de 1981 à 1984. Détenteur du portefeuille de la Fonction publique et des Réformes administratives, il engage une réforme comprenant un nouveau statut des fonctionnaires, tendant à unifier les trois fonctions publiques (d'État, territoriale et hospitalière) et privilégiant l'accès aux emplois publics par la voie du concours. Il est conseiller d’État honoraire.
Biographie
[modifier | modifier le code]Carrière professionnelle
[modifier | modifier le code]Ancien élève de l'École nationale de la météorologie, promotion 1950[2], sa vie professionnelle débute en 1953 : ingénieur à la Météorologie nationale à Marrakech, puis à Casablanca, de 1957 à 1965, il effectue l’essentiel de sa carrière au service central de la Météorologie, quai Branly à Paris.
En 1953, il adhère à la CFTC, puis en 1955 prend sa carte à la CGT. En 1960, il représente l'Organisation météorologique mondiale (OMM) à Léopoldville (ex-Congo belge).
De 1965 à 1977, il est chargé de mission à la direction de la prévision du ministère de l’Économie et des Finances, chef du bureau de l’Industrie et en 1975 et 1976, chef de la mission interministérielle Immigration et développement économique et social (La Documentation française). En 1976 et 1977, il est chargé de cours à l’Université de Paris XIII, puis de 1978 à 1980, chargé de cours à l’École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC).
En 1985, il est nommé Conseiller d’État, membre de la section du contentieux et de la section des travaux publics. Il le reste jusqu'en 2000.
Carrière politique
[modifier | modifier le code]De 1953 à 1954, il est membre de Jeune République avant d’adhérer en 1958 au Parti communiste français (PCF) au lendemain du référendum du 28 septembre 1958. Pendant son séjour au Maroc, il milite au sein du mouvement Conscience française favorable à l'indépendance.
Élu au comité central du PCF en 1979, il en démissionne en 1993 et quitte le PCF en 1994. Il participe en 1990 au mouvement « Refondation » tendant à la transformation du Parti communiste français. Il se présente aux élections européennes de 1994 sur la liste « L'autre politique ». Cette liste conduite par Jean-Pierre Chevènement, Gisèle Halimi et Anicet Le Pors, se réclame de l'opposition de gauche au traité de Maastricht. Elle obtient 2,54 % (494 986 voix).
Mandats politiques
[modifier | modifier le code]En 1977, il est élu sénateur des Hauts-de-Seine (Groupe Communiste). Membre de la commission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la Nation, il prend part activement au travail de la commission d'enquête sur le naufrage de l’Amoco Cadiz en 1978[3].
Le , il est nommé ministre de la Fonction publique et des Réformes administratives, délégué auprès du Premier ministre. Il quitte le gouvernement le . En 1985, il est élu conseiller général des Hauts-de-Seine, élu dans le canton de Nanterre-Sud-Est. Réélu en 1992, il ne se représente pas en 1998.
Fonctions gouvernementales
[modifier | modifier le code]Anicet Le Pors est Ministre délégué auprès du Premier ministre, chargé de la Fonction publique et des Réformes administratives du gouvernement Pierre Mauroy II (du au ), puis Secrétaire d’État auprès du Premier ministre, chargé de la Fonction publique et des Réformes administratives du gouvernement Pierre Mauroy III (du au ).
Engagé dans la protection juridique contre les discriminations des personnes LGBT, il donne en 1983 son nom à la loi portant droits et obligations des fonctionnaires supprime les notions de « bonne moralité »[4] et de « bonnes mœurs » du statut général des fonctionnaires[5].
Autres fonctions officielles et missions
[modifier | modifier le code]De 2000 à 2013, il est président de section à la Cour nationale du droit d'asile[6], anciennement Commission des recours des réfugiés[7], où selon l'hebdomadaire Télérama il est « surnommé «Annulator» car il annule fréquemment les refus de l'OFPRA »[8].
Travaux actuels
[modifier | modifier le code]Depuis plusieurs années, Anicet Le Pors mène des réflexions sur les questions du service public[9] et la Fonction publique[10], des collectivités locales[11],[12], institutionnelles[13], la laïcité et sur le droit d’asile[14].
En 2017, Il annonce qu'il votera blanc au second tour de l'élection présidentielle de 2017 estimant qu'Emmanuel Macron constitue : « le produit politique fabriqué par les efforts combinés de l’oligarchie financière, du MEDEF, des gouvernements Hollande, de la technostructure administrative, des opportunistes de tous bords, de la totalité des médias »[15].
Activités associatives
[modifier | modifier le code]Anicet Le Pors est adhérent de nombreuses associations très variées. C’est ce qu’il dénomme son « génome de citoyenneté ».
Il est pendant de longues années membre de l'Institut français des sciences administratives[16] association reconnue d'utilité publique dont l'objectif est de promouvoir les sciences administratives en France et le modèle français de droit administratif à l'étranger.
De 1990 à 1995, il est vice-président de l'association française des juristes démocrates.
Il est membre du conseil d’administration de l’Association des membres du Conseil d'État de 2002 à 2011.
De 2011 à 2013, il est président de l’Association française des juges de l’asile (AFJA)[17],[18].
Il est également membre du Comité scientifique du Service social d’aide aux émigrants (SSAÉ), du Comité de soutien de l’Association Primo Levi[19], de Handicap International[20], du Secours populaire français[21] et de l’Institut International des Droits de l'Homme[22].
Par ailleurs, il est membre de l’association des amis de la Commune de Paris (1871)[23], de l’Association des amis de l’Institut François-Mitterrand[24], de l’Institut du Tout-Monde[25] et de ATTAC[26].
Il est Président d’honneur de l’Union des sociétés bretonnes de l’Ile de France (USBIF)[27] et membre de la présidence d’honneur de l’Association républicaine des anciens combattants (ARAC)[28].
Enfin, il est membre de l’Association des anciens de la météorologie[29], du Cercle généalogique du Finistère[30] et de la Société des amis du Louvre[31].
Distinctions
[modifier | modifier le code]- Commandeur de la Légion d'honneur[32]
- Officier de l'ordre national du Mérite
- Grand Cordon d'argent de la République d'Autriche.
Ouvrages et publications
[modifier | modifier le code]Publications d’Anicet Le Pors
[modifier | modifier le code]- Nationalisations démocratiques et réformes de structures, sous le pseudonyme d’Alexis Cousin, Hors série d’Économie et politique, 1968.
- Les Transferts État-industrie en France et dans les pays occidentaux, La Documentation française, 1976.
- Immigration et développement économique et social (Rapport officiel de la mission interministérielle de rationalisation des choix budgétaires concernant l’immigration), La Documentation française, 1976.
- Les Béquilles du capital, Éditions du Seuil, 1977 (ISBN 2-02-004707-1).
- Marianne à l’encan, stratégie du déclin et autogestion nationale, Éditions sociales, 1980 (ISBN 2-209-05384-6).
- Contradictions (entretien avec Jean-Marie Colombani), Éditions Messidor, 1984 (ISBN 2-209-05643-8).
- L’État efficace, Éditions Robert Laffont, Collection « Franc-Parler », 1985 (ISBN 2-221-04621-8).
- Pendant la mue le serpent est aveugle, chronique d’une différence, Éditions Albin Michel, 1993 (ISBN 2-226-06735-3).
- Le Nouvel Âge de la citoyenneté, Éditions de l'Atelier, 1997 (ISBN 2-7082-3264-9). La seconde partie de ce livre comprend des contributions de Laurent Fabius, Robert Hue et Philippe Séguin.
- Éloge de l'échec, Le Temps des Cerises, 2001 (ISBN 2-84109-285-2).
- Service Public, Fonction et Justice Administrative, Éditions A.C.I., collection H.A.U.T, 2007. Cette brochure publie l’intervention d’Anicet Le Pors lors d’un séminaire sur la fonction publique et la justice administrative à Vientiane, Laos du au . Elle est préfacée par le ministre de la justice du Laos et par l’ambassadeur de France. La particularité de ce livre est que l’intervention d’Anicet Le Pors est traduite en Lao.
- Juge de l'asile, Michel Houdiard Editeur, collection Le sens du droit, 2010 (ISBN 978-2-35692-023-2)[33].
- Les Racines et les Rêves (entretien avec Jean-François Bège), Éditions Le Télégramme, 2010 (ISBN 978-2-84833-242-0)[34],[35],[36].
- La Citoyenneté, PUF, coll. « Que sais-je ? », 2011 (4e éd.) (ISBN 978-2-13-058534-3).
- Le Droit d'asile, PUF, coll. « Que sais-je ? », 2011 (4e éd.) (ISBN 978-2-13-059011-8).
- Regards sur la Vie de François Le Pors & de Gabrielle Croguennec, , Édition privée hors commerce[37]
Dans ce livre, qui répond à un souci de mémoire, Anicet Le Pors raconte la vie de ses parents, François Le Pors et Gabrielle Croguennec.
- Moments d'histoire de la Fonction publique, , Édition privée hors commerce[38]
Pour marquer l'anniversaire du 70e anniversaire du statut général des fonctionnaires, Anicet Le Pors s'interroge sur les pratiques et les mentalités de 2016 et trace des perspectives pour le futur de la Fonction publique.
- La Trace, Éditions La Dispute septembre 2020.
Publications avec la collaboration ou une contribution d'Anicet Le Pors
[modifier | modifier le code]- Les Entreprises publiques (en collaboration, sous la direction de Henri Sègre), Éditions sociales, 1975 (ISBN 2-209-05162-2).
- Changer l’économie, trois clefs et un calendrier (en collaboration), Éditions sociales, 1977 (ISBN 2-209-05267-X)
Entretiens de Louisette Blanquart, journaliste à L'Humanité avec Anicet Le Pors, Paul Boccara, Claude Quin et Philippe Herzog. L’entretien d’Anicet Le Pors est intitulé « Une gestion démocratique et des nationalisations ».
- L’Appropriation sociale (en collaboration), Éditions Syllepse et Fondation Copernic, 2002 (ISBN 2-913165-84-2).
- Quelle VIe République, (contribution) Le Temps des cerises, 2007 (ISBN 2-84109-161-9). Contribution d’Anicet Le Pors à côté de celles de François Hollande (PS) ; Nicole Borvo (PCF) ; Jean-Luc Mélenchon (PS - PRS) ; Christian Picquet (LCR); Arlette Laguiller (LO); José Bové (La Charte antilibérale), Georges Séguy (militant syndical), Roland Weyl (avocat) et Roger Bordier (écrivain).
- Les Lois Auroux, 25 ans après (1982-2007) : où en est la démocratie participative ?, Presses universitaires de Rennes[39], 2008. (ISBN 978-2-7535-0581-0). Sous la direction de Jacques Le Goff en collaboration avec Anicet Le Pors et Jean Auroux.
- La Déontologie des cadres publics pour un service public responsable, ouvrage collectif sous la direction de Jacky Simon, , Collection « Profession cadre service public » (ISBN 978-2-240-03327-7). Ce recueil publie la contribution d'Anicet Le Pors intitulée La déontologie des fonctionnaires : le plein exercice de leur citoyenneté[40],[41].
- L'Aviation civile, une administration dans Paris 1919-2009 sous la direction de Pierre Lauroua. 2012, Mission mémoire de l'aviation civile (hors commerce). Ce livre contient deux contributions d'Anicet Le Pors Un météo au tournant des années 1950-1960 et La question du statut.
- La Fonction publique du XXIe siècle, coécrit avec Gérard Aschieri, , Éditions de l'Atelier (ISBN 978-2-7082-4298-2). Après un rappel historique et juridique, Anicet Le Pors et Gérard Aschieri proposent leur vision de la fonction publique française pour le XXIe siècle[42],[43],[44],[45]
Publications préfacées par Anicet Le Pors
[modifier | modifier le code]- 72 jours qui changèrent la cité – La Commune de Paris dans l’histoire des services publics de René Bidouze, Le Temps des cerises, 2001 (ISBN 2-84109-267-4).
- C’était un temps déraisonnable de Jean Fabre, Le Temps des cerises, 2006 (ISBN 2-84109-632-7).
- Fonctionnaire, quelle idée !, Éditions Syllepse, collection Nouveaux Regards, 2009 (ISBN 978-2-84950-210-5).
- Rapport sur l'état des services, Éditions des Équateurs, coll. « Documents », 2024 (ISBN 978-2-38284-707-7).
Publication postfacée par Anicet Le Pors
[modifier | modifier le code]- Administration portes ouvertes : la bureaucratie en question. Livre blanc sur la campagne gouvernementale de l'automne 1983, La Documentation française, 1984 (ISBN 2-11-001256-0).
Publication sur Anicet Le Pors
[modifier | modifier le code]Philippe Lefait, journaliste à France 2, dans son livre Quatre ministres et puis s’en vont… Éditions de l'Atelier, 1995, (ISBN 2-7082-3105-7), revient sur l'itinéraire d'Anicet Le Pors et des 3 autres ministres communistes de 1981 à 1984 Charles Fiterman, Jack Ralite et Marcel Rigout pendant la période ministérielle et celle qui l'a suivie.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Site du Centre d’étude des programmes économiques.
- « L'ENM fête ses 100 ans | Météo-France », sur meteofrance.fr (consulté le ).
- « proposition de résolution tendant à la création d'une Commission d’enquête parlementaire sur les circonstances dans lesquelles a eu lieu l’échouement de l’Amoco-Cadiz et ses conséquences pour la population et la région concernée », sur senat.fr.
- Article 16 de l'ordonnance no 59-244 du relative au statut général des fonctionnaires.
- Loi no 83-634 du portant droits et obligations des fonctionnaires. Loi dite loi Le Pors.
- Site de la Cour Nationale du Droit d’Asile.
- « Arrêté du 31 octobre 2000 portant nomination de présidents de section à la commission de recours des réfugiés », Légifrance.
- Télérama 26 mars 2014 p. 49.
- Émission sur France-culture de l’Union rationaliste sur Le démantèlement du Service public 23 mars 2008 (durée : 18 minutes).
- Quel avenir pour le statut et les fonctionnaires ? Face à face Le Pors - Sauvadet la gazette.fr - 15 décembre 2014.
- Vidéo sur Dailymotion - colloque du CIDEFE, collectivité, quel sera ton avenir ? - 29 octobre 2009 (durée : 27 minutes).
- Vidéo sur Dailymotion - colloque du CIDEFE, collectivité, quel sera ton avenir ? - 29 octobre 2009 (durée : 18 minutes).
- Agora de L'Humanité 30 janvier 2016.
- Nos frontières doivent protéger les demandeurs d'asile, pas les exclure Interview sur le site de l'Humanité.fr - 15 décembre 2014 (durée : 13 minutes).
- « Emmanuel Macron : cet homme est dangereux », sur Le Monde (consulté le ).
- Site de l'Institut français des sciences administratives.
- Communiqué de presse de l’AFJA.
- Les juges de l’asile s’organisent - L'Humanité, 29 juin 2011.
- Organigramme de l'Association Primo Levi.
- Site de Handicap International.
- Site du Secours populaire français.
- Site de l’Institut International des Droits de l'Homme.
- Site de l’Association des Amis de la Commune de Paris.
- Site de l’Association des amis de l’Institut François Mitterrand.
- Site de l’Institut du Tout-Monde.
- Site de ATTAC France.
- Site de l’Union des sociétés bretonnes de l’Ile de France.
- Site de l’Association républicaine des anciens combattants.
- Site de l’Association des anciens de la météorologie.
- Site du cercle généalogique du Finistère.
- Site de la Société des amis du Louvre.
- Décret du 13 juillet 2016.
- Vidéo sur You Tube – 5 questions à Anicet Le Pors, Librairies dialogues.fr – Brest 7 mai 2010 (durée : 6 minutes)].
- Analyse de Jacques Fournier, haut fonctionnaire, ancien secrétaire général du gouvernement.
- Emission sur France-culture de l’Union rationaliste sur Les racines et les rêves 27 juin 2010 (durée : 18 minutes).
- Critique de Libération du 12 août 2010.
- Téléchargeable sur le site d'Anicet Le Pors.
- Consultable sur le site d'Anicet Le Pors.
- Site des Presses Universitaires de Rennes.
- Téléchargeable sur le site d'Anicet Le Pors.
- Présentation du recueil sur le site de l'École supérieure de l'éducation nationale, de l'enseignement supérieur et de la recherche.
- La fonction publique du XXIe siècle Site des Éditions de l'Atelier.
- ,LaGazette.fr 14 janvier 2015.
- L'Humanité.fr 23 janvier 2015.
- Présentation du livre sur BFM-TV, émission La parole aux auteurs, 6 février 2015.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Article connexe
[modifier | modifier le code]- Liste des ministres français de la Fonction publique
- Gouvernement Pierre Mauroy (2)
- Gouvernement Pierre Mauroy (3)
- Liste des sénateurs des Hauts-de-Seine
- Liste des conseillers généraux des Hauts-de-Seine
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la vie publique :
- Ressource relative à la recherche :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Sa fiche sur le site des PUF
- Commandeur de la Légion d'honneur promu en 2016
- Officier de l'ordre national du Mérite
- Ministre de la Cinquième République
- Ministre français de la Fonction publique
- Sénateur des Hauts-de-Seine
- Sénateur de la Cinquième République française
- Sénateur membre du Parti communiste français
- Personnalité ayant donné son nom à une loi
- Président de section à la CRR ou la CNDA
- Conseiller d'État français
- Conseiller général des Hauts-de-Seine
- Personnalité de la Jeune République
- Syndicaliste de la CGT
- Syndicaliste de la CFTC
- Personnalité liée à Nanterre
- Économiste français du XXe siècle
- Ingénieur français du XXe siècle
- Enseignant à l'université Sorbonne-Paris-Nord
- Enseignant à l'ESSEC Business School
- Personnel de Météo-France
- Naissance en avril 1931
- Naissance dans le 13e arrondissement de Paris