Saint-Lys

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Saint-Lys
Saint-Lys
De haut en bas et de gauche à droite :
L'église, la halle, la mairie, la médiathèque et le moulin.
Blason de Saint-Lys
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Le Muretain Agglo
Maire
Mandat
Serge Deuilhé
2020-2026
Code postal 31470
Code commune 31499
Démographie
Gentilé Saint-Lysiens
Population
municipale
9 686 hab. (2021 en augmentation de 5,09 % par rapport à 2015)
Densité 455 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 30′ 54″ nord, 1° 10′ 42″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 220 m
Superficie 21,3 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Lys
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plaisance-du-Touch
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Saint-Lys
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Saint-Lys
Liens
Site web www.ville-saint-lys.fr/

Saint-Lys (prononcé [sɛ̃ lis] ; Sent Lis en Gascon) est une commune française située dans le nord du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est en Gascogne toulousaine, et dans le Pays toulousain en termes de région naturelle, qui s’étend autour de Toulouse le long de la vallée de la Garonne, bordé à l’ouest par les coteaux du Savès, à l’est par ceux du Lauragais et au sud par ceux de la vallée de l’Ariège et du Volvestre. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Touch, le ruisseau de la Saudrune, le ruisseau l'Aiguebelle, le Trujol, le ruisseau de Bajoly, le ruisseau de Mescurt et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Lys est une commune urbaine qui compte 9 686 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'unité urbaine de Saint-Lys et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Lysiens ou Saint-Lysiennes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : la halle de Saint-Lys, inscrite en 2004.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Lys se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 24 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 13 km de Muret[2], sous-préfecture, et à 11 km de Plaisance-du-Touch[3], bureau centralisateur du canton de Plaisance-du-Touch dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune est par ailleurs ville-centre du bassin de vie de Saint-Lys[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saiguède (3,2 km), Sainte-Foy-de-Peyrolières (3,5 km), Bonrepos-sur-Aussonnelle (4,2 km), Cambernard (4,4 km), Fontenilles (4,5 km), Fonsorbes (5,0 km), Saint-Clar-de-Rivière (6,2 km), Lias (6,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Lys fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[5].

Saint-Lys est limitrophe de sept autres communes qui sont Fontenilles, Fonsorbes, Lamasquère, Saiguède, Saint-Clar-de-Rivière, Sainte-Foy-de-Peyrolières, et Seysses.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 2 130 hectares ; son altitude varie de 175 à 220 mètres[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Lys.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Touch, le ruisseau de la Saudrune, le ruisseau l'Aiguebelle, le Trujol, le ruisseau de Bajoly, le ruisseau de Mescurt, l'Aigue Nègre, le ruisseau de Goudourg, le ruisseau du Gaillard et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 26 km de longueur totale[9],[Carte 1].

Le Touch, d'une longueur totale de 74,5 km, prend sa source dans la commune de Lilhac et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Blagnac, après avoir traversé 29 communes[10].

Le ruisseau de la Saudrune, d'une longueur totale de 18,5 km, prend sa source dans la commune de Muret et s'écoule vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Toulouse, après avoir traversé 7 communes[11].

Le ruisseau l'Aiguebelle, d'une longueur totale de 16,3 km, prend sa source dans la commune de Saint-Thomas et s'écoule d'ouest en est. Il se jette dans le Touch sur le territoire communal, après avoir traversé 4 communes[12].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 691 mm, avec 9 jours de précipitations en janvier et 5,4 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lherm à 10 km à vol d'oiseau[15], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 620,4 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[19] : « le Touch et milieux riverains en aval de Fonsorbes » (870 ha), couvrant 7 communes du département[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Lys est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[21],[I 2],[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Lys, une unité urbaine monocommunale[I 3] de 9 686 habitants en 2021, constituant une ville isolée[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46 %), zones urbanisées (24,3 %), zones agricoles hétérogènes (23,5 %), forêts (6,2 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Le Rousset, Guiraoudéou, Mathieu, Barthas, La Poque, Le Gavachon, Lasbroues et le hameau Mingecèbes, célèbre à cause de Charles Mouly, dépendent de la commune.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est accessible par l'autoroute A64 (sortie no 35 (via la D12)) et la route nationale 124 (sorties no 9 (via la D37) et 11 (via la D12)), et la départementale 632 (ancienne nationale 632).

Transports[modifier | modifier le code]

La ligne 116 du réseau Tisséo relie l'arrêt Saint-Lys–Rossignols et le centre de la commune au lycée de Tournefeuille, en correspondance avec le Linéo L3 vers la station Arènes du métro de Toulouse, la ligne 315 relie l'arrêt Saint-Lys–ZA du Boutet et le centre de la commune à la gare de Muret, la ligne 305 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la station Arènes, la ligne 321 relie la commune à la gare de Muret depuis Fonsorbes, et la ligne 365 relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Boulogne-sur-Gesse.

La gare la plus proche est la gare de Muret, desservie par le réseau TER Occitanie sur la ligne Toulouse - Bayonne et par les trains urbains de Toulouse par la ligne D.

L'aéroport le plus proche de Saint-Lys est l'aéroport Toulouse-Blagnac.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare de Saint-Lys sur l'embranchement vers Sainte-Foy-de-Peyrolières de la ligne de Toulouse à Boulogne-sur-Gesse.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Lys est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Saudrune et le ruisseau l'Aiguebelle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2000, 2003, 2004, 2009 et 2017[26],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Lys.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 057 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 057 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1996, 2003, 2011, 2015, 2016 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune a été baptisée Saint-Lys, gasconisé en Sent Lis, lors de sa création au Moyen Âge (1280) par référence au roi de France. Eustache de Beaumarché, un des fondateurs de la bastide, avait sûrement l'objectif de marquer l'appartenance de ce territoire au royaume de France, car il se situait aux confins du Comminges et du Comté toulousain. Le lys était le symbole des rois de France.

Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Eaubelle[29] (Aigabèra en gascon[30]). Ce nom était sûrement le nom de ce territoire avant la fondation de la bastide en 1280.

En gascon, le nom de la commune est Sent Lis.

Ses habitants sont appelés les Saint-Lysiens.

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Cette bastide a été fondée par paréage entre le représentant du roi de France, Eustache de Beaumarchès, et l'abbaye de Planselve, à Gimont, qui possédait les terres de la grange d'Eaubelle.

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

La bastide est restée une modeste bourgade, chef-lieu de canton, jusqu'au XIXe siècle, où elle se trouve sur la ligne de chemin de fer reliant Toulouse à Boulogne-sur-Gesse, aujourd'hui démantelée.

Seconde Guerre mondiale (1939-1945)[modifier | modifier le code]

Le , vers la fin de la seconde Guerre mondiale, des unités de la IIe panzerdivision SS « Das Reich » tuent neuf maquisards et exécutent douze civils à Saint-Lys, Bonrepos-sur-Aussonnelle et Saiguède. Des odonymes locaux rappellent cet événement (cf. Square du 12-Juin-1944 à Saint-Lys.)

Après-guerre[modifier | modifier le code]

Saint-Lys connaît une rapide croissance démographique au cours de la deuxième moitié du XXe siècle, grâce à l'installation de Saint-Lys Radio, puis à l'arrivée des rapatriés d'Algérie et surtout du fait de la proximité de Toulouse ; la ville passe ainsi de 1 000 habitants en 1950 à plus de 8 500 en 2010.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Saint-Lys

Blason azur aux deux anges d'argent tenant une cloche du même, accompagnée de cinq fleurs de lys d'or, deux en chef et trois en pointe ordonnées 2 et 1. On retrouve trace de ce blason sur la couleuvrine datant de 1589 exposée en mairie. À l’origine, les anges étaient nus.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 5 000 habitants et 9 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de vingt-neuf[31],[32].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Commune faisant partie de la sixième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté d'agglomération du Muretain et du canton de Plaisance-du-Touch (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Lys était le chef-lieu de l'ex-canton de Saint-Lys).

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[33]
Période Identité Étiquette Qualité
Pierre Verdier[34] SFIO puis
MRG
Notaire
Conseiller général de Saint-Lys (1964-1988)
Jacques Troyes[35] DVG Principal adjoint de collège, ancien professeur d'anglais
Patrick Lasseube[36] Centriste Retraité SNCF, maire honoraire
Vice-président de la CC du Muretain (2001-2008)
Jacques Tène[37] PS Ancien directeur d'établissements spécialisés
Vice-président du Muretain Agglo (jusqu'en 2016)
Mandat écourté à la suite de la démission de plus de la moitié du conseil municipal
En cours
(au 26 janvier 2022)
Serge Deuilhé PS diss. Informaticien, ancien adjoint
Conseiller départemental de Plaisance-du-Touch (depuis 2021)
Vice-président du Muretain Agglo (depuis 2016)
Élu à la suite d'une élection municipale partielle[38]
Réélu pour le mandat 2020-2026

Conseils[modifier | modifier le code]

Conseil municipal des Jeunes de la ville de Saint-Lys[39]

Conseil d'Administration, propre au collège Léo Férré

Conseil de la Vie Collégienne, propre au collège Léo Férré

Le Conseil de Sages est composé de 15 membres ayant pour mission la consultation et la proposition de thèmes à voir, revoir ou abandonner, selon des secteurs définis. Ils sont affiliés à La Fédération des Villes et Conseil de Sages de France[40].

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

  • Coulée Verte de l'Ayguebelle : « lac des pêcheurs », espace de promenade, aire de pique-nique et parcours de santé qui s'étend sur une centaine d'hectares.
  • Boulodrome d'été : arborant des platanes centenaires et annexant un skate park type "bowl" et une aire de jeux pour enfants.

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté d'agglomération du Muretain[41].

  • Déchetterie sur la commune qui permet aux particuliers d'évacuer leurs déchets dans de bonnes conditions, éviter les dépôts sauvages sur le territoire et économiser les matières premières en recyclant certains déchets.
  • Espaces verts[42].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44]. En 2021, la commune comptait 9 686 habitants[Note 5], en augmentation de 5,09 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9169981 0471 2091 2231 2231 2931 4161 445
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4711 5331 5691 4511 4431 4911 4831 3431 245
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2831 1881 1169981 0531 0241 0401 0071 238
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 4261 7942 8203 5034 5655 4557 4637 7418 537
2015 2020 2021 - - - - - -
9 2179 5559 686------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[46] 1975[46] 1982[46] 1990[46] 1999[46] 2006[47] 2009[48] 2013[49]
Rang de la commune dans le département 32 27 28 25 28 21 22 21
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • Collège Léo-Ferré[50].
  • École maternelle et élémentaire Éric-Tabarly (quartier de Moulin de la Jalousie).
  • La commune a la particularité d'avoir accueilli la première section bilingue français / occitan de l'Éducation nationale dans la Haute-Garonne en . En 2014, plus de 160 enfants saint-lysiens bénéficient donc d'un enseignement, à parité horaire, en français et en occitan de la maternelle à la classe de 3e.

Inauguration - Rebaptisation pour les Ecoles primaires et élémentaires[modifier | modifier le code]

Le 27 mai 2016, le groupe scolaire Gazailla et Ayguebelle de Saint-Lys a été rebaptisé "Florence Arthaud". Le maire de Saint-Lys, Jacques Tene, et le directeur des 2 établissements ont dévoilé ensemble les 2 plaques "Groupe scolaire Florence Arthaud" sous les applaudissements des 370 élèves, réunis pour l'occasion[51],[52].

Santé[modifier | modifier le code]

La commune possède un centre communal d'action sociale, des maisons de retraite (Les Rossignols, La Joie de Vivre et Maréchal Leclerc (EHPAD)), un laboratoire d'analyse médicale, un service d'ambulances, des infirmiers, une sage-femme, des médecins généralistes, des professionnels de la rééducation, de l'appareillage, des pédicures-podologues, des dentistes ainsi que deux pharmacies. La commune dispose aussi de vétérinaires.

Ainsi qu'une maison d’accueil spécialisée Rosine BET[53].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Troupe de théâtre amateur.

Associations[modifier | modifier le code]

  • Envol donnons-leur des ailes, association coordinatrice du Téléthon.
  • AMAP d'Ulysse, Association pour le maintien d'une agriculture paysanne, en association avec Les Jardins de Mesples.
  • Asparel, association des représentants d'élèves, des écoles : Maternelle (Petit Prince), Primaire et Elémentaire (Florence Arthaud), et du Collège Léo Férré de Saint-Lys.
  • Tabarlys, association des représentants d'élèves, des écoles Maternelles et Elementaire Eric Tabarly.

Sports[modifier | modifier le code]

  • L'USCSL Rugby Séniors en Promotion Honneur de rugby à XV (saison 2012/2013). L’USCSL est champion Midi-Pyrénées en Promotion Honneur lors de la saison 2017-2018. L’USCSL est champion du terroir Haute-Garonne en Régional 1 lors de la saison 2023-2024.
  • SLO Omnisports composé de 21 sections représentant environ 2000 licenciés[54].
  • Le SLO Basket (faisant partit du SLO Omnisports) est le club de basket-ball de la ville. Il existe depuis plus de 80 ans.

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Julien, de culte catholique, propose des offices tous les dimanches matin à partir de 10 h 30 mais reste ouverte toute la semaine.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 855 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 9 486 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 22 970 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 53 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 7] (55,3 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 7,5 % 9,8 % 7,3 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 5 968 personnes, parmi lesquelles on compte 79,1 % d'actifs (71,8 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 20,9 % d'inactifs[Note 8],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 1 927 emplois en 2018, contre 1 998 en 2013 et 1 846 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 4 316, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 62,5 %[I 14].

Sur ces 4 316 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 783 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 88,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,3 % les transports en commun, 6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

609 établissements[Note 9] sont implantés à Saint-Lys au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 609 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
37 6,1 % (5,7 %)
Construction 100 16,4 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
156 25,6 % (25,9 %)
Information et communication 8 1,3 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 16 2,6 % (3,8 %)
Activités immobilières 21 3,4 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
90 14,8 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
119 19,5 % (16,6 %)
Autres activités de services 62 10,2 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25,6 % du nombre total d'établissements de la commune (156 sur les 609 entreprises implantées à Saint-Lys), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[55] :

  • Opale, hypermarchés (25 934 k€) ;
  • Saint-Lys La Joie De Vivre, hébergement médicalisé pour personnes âgées (4 594 k€) ;
  • Saint-Lys Les Rossignols, hébergement médicalisé pour personnes âgées (4 567 k€) ;
  • Societe De Montage Et D'etude Electro-Mecanique (S.m.e.e.) - Smee, fabrication de matériel de distribution et de commande électrique (3 765 k€) ;
  • Sadrelien, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m2 et plus) (3 598 k€).

L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque Saint-Lys se trouve dans son aire urbaine. L'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant une partie nord-ouest du département de la Haute-Garonne, caractérisée par une succession de coteaux peu accidentés, les surfaces cultivées étant entièrement dévolues aux grandes cultures[56]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 47 19 22 15
SAU[Note 12] (ha) 1 627 1 660 1 488 1 297

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 47 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 19 en 2000 puis à 22 en 2010[58] et enfin à 15 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 68 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[59],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 627 ha en 1988 à 1 297 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 86 ha[58].

Industrie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[57].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Lys » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Saint-Lys » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Lys » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
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  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
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Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Lys et Muret », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Lys et Plaisance-du-Touch », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Saint-Lys », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  8. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  11. Sandre, « le ruisseau de la Saudrune »
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  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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