Liste d'aliments, de boissons et de substances de fiction
Cette liste recense les différents aliments, boissons et substances de fiction provenant de la mythologie et des religions, de la littérature et des contes, ou encore des arts, les substances étant des aliments, des boissons, des drogues, des potions ou des médicaments imaginaires.
Ne pas confondre avec les objets de fiction et les matériaux de fiction qui ont leur propres articles détaillés :
Dans les religions et la mythologie
Mythologie grecque
- Le Nectar et l'Ambroisie constituaient l'alimentation des Divinités olympiennes.
Hindouisme
- L'Amrita est, selon les religions dharmiques, un nectar d'immortalité des devas, les dieux de l'hindouisme[1].
Mythologie nordique
- Dans la mythologie nordique, les pommes magiques de jouvence, sous la garde d'Idunn, l'épouse de Bragi.
Bible et Coran
- La pomme d'Ève ou d'Adam, fruit symbolique représentant l'arbre de la connaissance du bien et du mal. La représentation par une pomme pourrait venir d'un jeu de mot autour du mot latin Malus (le Mal), car au féminin Mala signifie la « pomme ».
- Note : Dans les textes bibliques, il n'est fait mention que du « fruit de la connaissance du bien et du mal »[2].
- La manne était la nourriture donnée par Yahvé aux Hébreux dans le désert, d'après l'Ancien Testament et le Coran (Al Manna).
-
Le repas des dieux de l'Olympe. Assiette peinte attribuée à Nicola da Urbino, vers 1530.
-
The garden of Eden with the fall of man : le péché originel d'Adam et Eve. Peinture de Jan Brueghel l'Ancien et Pierre Paul Rubens, vers 1615.
Dans la littérature
Littérature grecque ancienne
- Le Lopadotemakhoselakhogaleokranioleipsanodrimypotrimmatosilphiokarabomelitokatakekhymenokikhlepikossyphophattoperisteralektryonoptekephalliokinklopeleiolagōiosiraiobaphētraganopterygṓn est un plat fictif mentionné dans la comédie d’Aristophane L’Assemblée des femmes.
- Dans l’Odyssée d'Homère, les Lotophages sont un peuple imaginaire qui se nourrissent du lotos.
Littérature anglo-saxonne
Science-fiction et fantasy
- Dans la science-fiction et la fantasy :
- Selon Jean-Claude Dunyach,
« L’alimentation est … très présente dans la science-fiction … Mais celle-ci est abordée d’une curieuse façon. Du fait que nous inventons des races extra-terrestres, nous nous posons très rapidement la question de savoir comment ces gens mangent, et à travers elle, puisque manger revient à absorber une partie de son environnement sous une forme à la fois plaisante et nourrissante, quel est leur rapport à la nature. Dans cette perspective, certains auteurs de science-fiction se sont spécialisés sur les questions alimentaires, à l’instar de Peter F. Hamilton, qui décrit 50 façons de faire des œufs au bacon selon la planète sur laquelle on se trouve »
— Jean-Claude Dunyach, Alimentation et société. SF: À la table des matières[3]
- Dans l'univers du Cycle de Dune, la saga écrite par le romancier Frank Herbert :
- l’épice, est une substance qui donne à son utilisateur une espérance de vie augmentée ; elle permet aussi à certains individus de développer et amplifier leurs dons de prescience (voir l'avenir) ; dans ce but elle est notamment utilisée par les navigateurs de la Guilde spatiale. L'épice se trouve uniquement sur la planète Dune (Arrakis). Son utilisation prolongée provoque une accoutumance sévère et colore en bleu sombre l'iris des yeux de l'utilisateur (on dit que ses yeux ont le « bleu de l’Ibad »).
- le jus de sapho est une boisson fictive, un liquide hautement énergétique, utilisée par les Mentats pour accroitre leurs perceptions cognitives. Le jus de sapho colore les lèvres de l’utilisateur en un rouge rubis caractéristique[4].
- Dans la série de romans d'heroic-fantasy Le Seigneur des anneaux :
- le lembas, ou « pain de voyage » des elfes ; similaire au cram des habitants du Val (Esgaroth le Long Lac), est un biscuit de voyage ou une gaufrette dure qui se conserve très longtemps dans son emballage de feuilles. Similaire dans son esprit au biscuit de mer utilisé de nos jours.
- la boisson revigorante des Ents, tirée du fleuve Entalluve dans la forêt de Fangorn, améliore la croissance des êtres et nourrit comme un aliment traditionnel. Meriadoc et Peregrin grandissent de plusieurs centimètres grâce à cette boisson merveilleuse.
- Dans l'univers de Harry Potter :
- les Chocogrenouilles, les Dragées Surprise de Bertie Crochue, les Pralines Longue Langue, les Crèmes Canari, les Fizwizbiz, les Bulles Baveuses, les Fils dentaires à la menthe, les Ggnomes au poivre, les Souris glacées, les Pâtes à la menthe en forme de crapaud, les Plumes en sucre, les Sucettes parfumées au sang, les Nids de cafards, les Gommes de limace, les Suçacides et les Bonbons explosifs.
- la Bièraubeurre.
- L’Omnidrène, dans la nouvelle de science-fiction Subjectivité de l'écrivain Norman Spinrad, est un hallucinogène de synthèse que les voyageurs spatiaux utilisent pour « tenir le coup ». Les hallucinations dont ils sont victimes finissent pas devenir réalité, y compris lorsqu’ils décident de revenir sur Terre[5].
- Le Soma est, dans le roman dystopique Le Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley, une drogue artificielle de synthèse présentée au peuple comme étant un simple médicament.
- La Potion magique de Georges Bouillon, roman de Roald Dahl, paru en 1981.
- Dans la nouvelle The Cremation (« La Crémation »), présente dans le recueil The Dream Archipelago de l'écrivain britannique Christopher Priest, paru en 1999[6], le protagoniste est conduit par ruse à manger un fruit exotique imaginaire, mi-mangue, mi-pastèque, dont les pépins sont en réalité des larves d’insectes qui vont se développer en lui et le tuer dans d'atroces souffrances.
Littérature française
- Dans le roman Vingt mille lieues sous les mers (1869-1870) de Jules Vernes, lorsque le professeur Aronnax interroge le Capitaine Nemo au sujet du menu qui vient de lui être servi par son hôte, celui-ci l'informe que :
« — Ce que vous croyez être de la viande, monsieur le professeur, n’est autre chose que du filet de tortue de mer. Voici également quelques foies de dauphin que vous prendriez pour un ragoût de porc. Mon cuisinier est un habile préparateur, qui excelle à conserver ces produits variés de l’océan. Goûtez à tous ces mets. Voici une conserve d’holothuries qu’un Malais déclarerait sans rivale au monde, voilà une crème dont le lait a été fourni par la mamelle des cétacés, et le sucre par les grands fucus de la mer du Nord, et enfin, permettez-moi de vous offrir des confitures d’anémones qui valent celles des fruits les plus savoureux[7]. »
- Dans sa nouvelle Irish stew, tirée du recueil Les Derniers Contes de Canterbury, l'écrivain gantois Jean Ray met en scène un aubergiste qui sert à ses clients de succulents mets à prix réduits confectionnés à base de chair humaine.
- Mais,
« quand on leur apprend que la base de ce plat était de la chair humaine, ils expriment avant toute chose leur déception : "Nous n’aurons plus jamais autant à manger pour trois marks, murmura‑t-il d’une pauvre voix de désespoir" »
— Arnaud Huftier, sur le site textyles.revues.org[8].
- Dans le roman de science-fiction La Face cachée du désir de Philippe Curval, « piéger » l’envahisseur terrien grâce à des recettes sophistiquées d’aliments extraterrestres est le moyen de lutte employé par la résistance autochtone de la planète Chula[9].
- Dans la nouvelle Magma mia !, présente dans le recueil Des nouvelles du Tibbar de Timothée Rey (éd. Les Moutons électriques, 2010), « la fricassée d’abats d’enfants à la sauce magma » est une recette pour accommoder le dragon qui joue un rôle majeur dans le récit et sa chute.
- Dans Les Nourritures extraterrestres de Dona et René Sussan[10], l'ouvrage se présente comme un mélange de roman — puisque narrant les aventures de Taillevent le Marmiton sur la planète Apicius — et de recueil de recettes, une centaine en tout, tirées de nombreux ouvrages de science-fiction. Si les ingrédients et aliments décrits dans les recettes originelles sont imaginaires, les auteurs en présentent des adaptations terriennes, sous forme de « fiches-cuisine » (la quatrième de couverture précise que, ces recettes adaptées, « les auteurs les ont toutes testées, et [qu'] ils sont encore vivants »).
Contes
Les contes pour enfants offrent également de nombreux exemples de nourriture ou de mets imaginaires :
- les sorcières, personnages récurrents de ces récits, hérités d'antiques superstitions, sont censées concocter pour leur consommation personnelle ou leurs envoûtements et sorts, des brouets à base d'herbes non comestibles, d'insectes, d'araignées, de chauve-souris et d'autres ingrédients peu ragoutants comme de la bave de crapaud.
- dans le conte Hansel et Gretel, la sorcière habite une maison construite en pain d'épice et friandises destinée à piéger les enfants.
- La Soupe de pierres est un conte qui montre comment la débrouillardise, l'initiative et la coopération permettent de sortir de l'embarras. Il illustre le proverbe « Aide-toi et le ciel t'aidera. »
Au cinéma
Le père Noël est une ordure
- Le dobitchu de Sofia est une spécialité bulgare fictive présente dans le film Le père Noël est une ordure (1982), adapté de la pièce éponyme, interprété par la troupe du Splendid. Preskovitch (Bruno Moynot), voisin envahissant des protagonistes, leur apporte, croyant leur faire plaisir, des pâtisseries de son pays, qui s'avèrent totalement immangeables. Le dobitchu ressemble à une truffe au chocolat : son nom ressemble au mot roumain « dobitoci » (prononcé dobitotch), signifiant « imbéciles ». Dans la pièce antérieure au film, ce nom n'est pas employé, mais le gag est le même, ces « friandises » étant désignées comme des « spotsis d'Osijek ». Selon Preskovitch, le dobitchu est une spécialité bulgare très prisée, réservée aux grandes occasions et « roulée à la main sous les aisselles ». Le dobitchu est en fait une garniture d'un plat encore plus douteux : le kloug aux marrons. Les ingrédients du dobitchu sont : du cacao de synthèse, de la margarine, de la saccharose et du bromure (évoqué uniquement dans la pièce), ce dernier permettant une meilleure conservation durant les voyages, mais masquant cependant le goût de la margarine, à la consternation de M. Preskovitch…
- Le kloug aux marrons, autre pâtisserie amenée par Preskovitch, ressemble à une bûche de Noël. Aussi immangeable que le dobitchu, le kloug dégage en outre une odeur nauséabonde.
- Notes
- Dans le film Les Clefs de bagnole, de Laurent Baffie, un clin-d'œil est fait au dobitchu, avec l'apparition du personnage de Monsieur Preskovitch (là aussi joué par Bruno Moynot), traversant l'écran en disant « Vous voulez un dobitchu ? ».
- Ces scènes et appréciations culinaires ont fait dire à des connaisseurs de la culture bulgare, comme Jean-Marie Martin, consul honoraire de Bulgarie[réf. souhaitée], que :
« ne pouvant pas, légalement, se moquer des pays voisins de la France et encore moins des africains, des arabes ou des juifs, certains humoristes comme la troupe du Splendid se sont engouffrés dans le vide juridique qui leur permet de véhiculer les pires clichés sur les Européens de l'Est, et ces comédiens ne sont pas les seuls, loin de là[11][source insuffisante]. »
Les Bronzés font du ski
- La foune (ou goune) est un fromage fort imaginaire apparaissant dans le film Les Bronzés font du ski. Cette préparation fromagère est constituée de tous les restes de fromage de l'année, que l'on fait macérer avec du gras, des couennes, et de l'alcool de bois pendant deux ou trois saisons. Des vers apparaissant dans la préparation (uniquement dans le film), le plat n'est pas conseillé aux végétariens.
- Cette préparation fromagère est inspirée de la recette du fromage fort[note 1]. Confectionnée par des montagnards accueillant les personnages principaux du film, elle se sert traditionnellement « à l'étalée », c'est-à-dire sur une tranche de pain de campagne. D'après l'un des montagnards, il n'y a rien de tel pour se refaire une bonne santé.
Soleil Vert
Dans le film Soleil vert, de Richard Fleischer, sorti en 1973, l'alimentation du futur sur une planète Terre dévastée par la pollution, constitue le fil conducteur.
L'action du film se déroule en l'an 2022. Écrasée sous une chaleur accablante et permanente, New York baigne dans une lumière jaune. La faune et la flore ont disparu, l'eau est rare. Très peu de terres sont encore cultivables et les habitants qui n'ont pas les moyens d'acheter des aliments naturels, à cause de prix exorbitants, mangent un aliment de synthèse, produit par la multinationale Soylent : le soylent green. Le meurtre d'un des dirigeants de la multinationale amènera à la découverte que ce produit est fabriqué à partir de cadavres humains, alors que, dans le discours officiel, il est censé être fabriqué à partir du plancton.
Les tontons flingueurs
Dans le film Les tontons flingueurs, la scène mémorable dans la cuisine met en scène Lino Ventura, Bernard Blier et leurs comparses se saoulant avec un alcool artisanal frelaté, appelé « l'alcool du Mexicain » (surnommé « le vitriol » par le Majordome de la maison) et dont la fabrication a été arrêtée car, selon Maître Folace, le notaire du Mexicain, sa consommation rendait certains clients aveugles[12]. Les protagonistes affirment que cet alcool a pour base de la pomme et de la betterave.
À la télévision
Séries et émissions
- Les moukraines à la glaviouse sont la spécialité culinaire de Zeitoun, le personnage interprété par Bruno Carette, dans la série télévisée Objectif Nul, diffusée sur Canal+ en 1987. À défaut de moukraines à la glaviouse, Zeitoun propose également ses sfinktouzes à la crème.
- Le gibolin, un matériau intervenant dans de nombreux produits de grande consommation chez Les Deschiens, mais surtout dans des produits à boire.
- Le gloubi-boulga est la nourriture préférée de Casimir, le dinosaure de l'émission de divertissement L'Île aux enfants. Il s'agit d'un gâteau, réputé immangeable et dont seul l'espèce des Casimirus est friande.
- Dans la série Star Trek :
- le gagh, un mets particulièrement prisé des Klingons.
- la soupe au plomik (en vulcain Shur t'plomik), un mets traditionnel vulcain, préparé à base d'un légume, le plomik.
Dessins animés
Les Simpson
- La bière Duff est la boisson préférée d'Homer Simpson et des habitants de Springfield. À Shelbyville, ville rivale de Springfield, la marque locale de bière s'appelle Fudd. La bière Duff est devenue réelle depuis 2006 aux États-Unis et depuis 2009 en Europe, malgré l'opposition de Matt Groening, créateur de la série.
- Le tomacco est un légume hybride à base de 50 % de tomates et 50 % de tabac. Apparu dans l'épisode Une récolte d'enfer de la onzième saison, la culture de ce légume nécessite de l'engrais à base de plutonium.
Autre
- La gummiboise est la potion magique des Gummi ;
- Le tubbydélice, boisson des Télétubbies.
Dans la bande dessinée
Astérix
Dans Astérix, de René Goscinny et Albert Uderzo :
- la potion magique est un breuvage imaginaire qui donne une force surhumaine à quiconque la boit. C'est aussi le nom donné dans le langage populaire aux produits dopants utilisés par les sportifs.
- Cette potion n'est pas la seule à faire son apparition dans les aventures d'Astérix. Dans l'album Le Combat des chefs, le druide Panoramix devenu amnésique à la suite d'une tentative d'enlèvement par les Romains, concocte une série de potions farfelues en mélangeant sans discernement divers ingrédients issus de sa réserve. Dans Les lauriers de César, Astérix improvise une concoction à base de confiture, de poivre, de savon de Massilia et d'une poule non plumée, entre autres ingrédients, se révélant en fin de compte une potion aux effets revigorants inattendus.
Au fil de ses pérégrinations dans le monde antique, Astérix fait régulièrement la découverte de recettes de cuisine antique ou exotique imaginaires :
- dans Astérix Gladiateur, le maître des gladiateurs Caius Obtus lui fait déguster des pâtés de « langues de rossignol importés du Nord de la Gaule, œufs d'esturgeon venus du fin fond des pays barbares, gencives de cancrelats de Mongolie. »[13]
- le sanglier bouilli à la menthe constitue la nourriture préférée des Britonniques dans Astérix chez les Bretons. Mais « (...) le sanglier n'est pas l'apanage des Gaulois : les Romains en consomment également, sous forme de tripes frites dans la graisse d'Urus au début d’Astérix chez les Helvètes au cours d'orgies mémorables, aux menus desquelles on trouve aussi boudin d'ours, cous farcis de girafe… avec du miel ! …C'est autour d'une table lutécienne où l'on découvre les queues de castor aux framboises et le sabot de bœuf à la crème que commence l'aventure Les Lauriers de César. »[14]
Autres
- La morue aux fraises est une spécialité de Gaston Lagaffe dont la recette, est donnée en page de garde de l'album 8: « Je vous fignole ma fameuse morue aux fraises avec mayonnaise chantilly aux câpres et je la flambe au pastis ».
Dans les arts graphiques
-
Fruit imaginaire, détail du Jardin des délices de Jérôme Bosch.
-
Un souper chimique en l'an 2000, chromolithographie de 1910.
Dans la chanson
- Le sirop Typhon dans la chanson de Richard Anthony est une sorte de médicament universel qui n'est pas sans rappeler les « médications » que vendaient les charlatans et rebouteux au temps de la Conquête de l'Ouest, le Coca-Cola rentrant au départ dans cette catégorie de produits.
Notes et références
Notes
- Cette authentique préparation est appelée « foujou » dans la région de la Drôme, département voisin de celui des Hautes-Alpes, d'où est originaire Marie-Anne Chazel (coscénariste des Bronzés font du ski).
Références
- Encyclopedia of Hinduism par C.A. Jones et J.D. Ryan publié par Checkmark Books, page 25, ISBN 0816073368
- Genèse 2.
- Voir Liens externes
- Dune, tome 2, éditions Robert Laffont, « Lexique de l'Imperium », lettre « S », p. 406.
- Le Livre d'or de la science-fiction : Norman Spinrad.
- Christopher Priest, L'Archipel du rêve, trad. Michelle Charrier, éd. Denoël, coll. Lunes d’encre, 2004
- Chapitre 10 de Vingt mille lieues sous les mers sur Wikisource.
- Jean Ray / John Flanders et la littérature alimentaire : l’essence en sommeil.
- Philippe Curval, La Face cachée du désir, éd. Calmann-Lévy, coll. « Dimensions SF » n° 43, 2ème trim. 1980, éd. de poche : J’ai lu, 1991.
- Dona et René Sussan, Les Nourritures extraterrestres, éd. Denoël, coll. « Présence du futur » n° 550, mai 1994 – Grand prix de l'Imaginaire, prix spécial, 1995.
- Jean-Marie Martin, sur www.bulgaria-france.net[source insuffisante]
- Jean-Luc Denat et Pierre Guingamp (préf. Georges Lautner), Les tontons flingueurs et Les barbouzes : toute une époque!, Harmattan, , 190 p. (présentation en ligne, lire en ligne), p. 173
- Astérix Gladiateur, page 30 de l'édition originale.
- « La Gastronomie Gauloise », sur www.asterix.com, le site officiel d'Astérix.
Annexes
Articles connexes
- Liste d'objets de fiction
- Liste de matériaux de fiction
- Anthropophagie et vampirisme dans les mythes et la fiction
Liens externes
- La recette des Moukraines à la glaviouse en images sur le site www.lesnuls.net.
- Astérix - site officiel: Dossier thématique: Gastronomie