Allassac
Allassac | |||||
Vue générale du bourg d'Allassac. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Brive-la-Gaillarde | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Bassin de Brive | ||||
Maire Mandat |
Jean-Louis Lascaux 2020-2026 |
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Code postal | 19240 | ||||
Code commune | 19005 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Allassacois | ||||
Population municipale |
4 019 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 103 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
5 903 hab. (2021) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 15′ 25″ nord, 1° 28′ 32″ est | ||||
Altitude | Min. 103 m Max. 387 m |
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Superficie | 39,01 km2 | ||||
Unité urbaine | Allassac (ville-centre) | ||||
Aire d'attraction | Brive-la-Gaillarde (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Allassac (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | allassac-correze.com | ||||
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Allassac est une commune française située dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Située dans le bassin de Brive, la commune d'Allassac est irriguée par trois cours d'eau principaux : la Vézère, son affluent la Loyre, et le Clan, un sous-affluent de la Corrèze.
La ville d'Allassac est implantée au croisement des routes départementales 9, 25, 34 et 134. Elle est desservie en gare d'Allassac par la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon. Elle est située, en distances orthodromiques, six kilomètres à l'est d'Objat et douze kilomètres au nord-nord-ouest de Brive-la-Gaillarde.
La commune est également desservie par les routes départementales 57, 148 et 901.
À quatre kilomètres au sud-est, l'autoroute A20 permet par l'échangeur no 48 d'arriver directement à Allassac.
Communes limitrophes
La commune d'Allassac est limitrophe de dix communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Brive », sur la commune de Brive-la-Gaillarde, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 12,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,0 °C pour 1991-2020[11].
Urbanisme
Typologie
Allassac est une commune rurale[Note 5],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Allassac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[15] et 5 756 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[16],[17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brive-la-Gaillarde, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (79,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (50,5 %), prairies (22 %), forêts (16 %), zones urbanisées (7,9 %), cultures permanentes (1,9 %), terres arables (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux
Abattoirs, Bardoux, la Barrière-de-la-Borie, la Barrière de Saint-Laurent, la Bessière, la Blondinerie, Bois-Communal, le Bois-du-Roi, Bois-la-Pleuge, la Borde, les Borderies, le Bos-Delpy, le Bouchailloux, Bridal, Brochat, le Buffalou, les Caneaus, les Carrières, la Chapelle, la Chartroulle, les Chartrous, Chaves-de-Brochas, le Cheyral, Chez-Gauthier, Chez-le-Forgeron, Colombier, la Côte, la Côte-Reynie, la Crois-des-Masredons, Croix-Saint-Joseph, les Escures-de-Gorsas, les Escures-de-la-Chapelle, l'Escurotte, Etang-de-la-Roche, Eyzac, la Faurie, les Fosses, Fouysse, Freygemouche, les Galubes, Garatins, Garavet, les Gardelles, Gau, Gauch, le Gaucher, la Geneste, Giriges, Gorsas, les Gouttes, Grande-Fontaine, les Granetties, Lacombe, Lacomborne, Lajugie, Laprade, Lascaux, Lasteyrie, Laugerie, Laujour, Laval, Lavergne, Maison-Bounie, Maison-Dumas, Maison-Garde, Maison-Meyer, Maison-Soudrie, Mas-Redon, la Meyranie, Montaural, les Mosredons, Moulin-de-Bridal, le Moulin-du-Verdier-Bas, Petit-Garavet, la Pialeporcherie, la Pialeporchie, Pic-de-Corsat, les Pierres-Blanches, la Pissotte, les Placeaux, la Pleuge, Pont-Salomon, le Poulverel, les Prades, Pradel, la Prise-d'Eau, le Puy, Puy-de-Brochat, le Puy-l'Epine, les Rebières-Blanches, la Reygnie, le Roc, la Roche, le Saillant, le Saillant-Vieux, Saint-Laurent, la Sudrie, le Temple, Usines-Chaux, Le Verdier, Verdier-Bas, Verdier-Haut, Vinzelas, Virolles, Virols.
En latin aqua saliens qui désignait une eau bondissante. Ce nom évoque des rapides et une cascade dans une gorge profonde. Il est appelé ad illo Salente en 904.
Toponymie
Allassac serait dérivé du mot gallo-romain Alaciacus (le domaine d’Alacius). Une première mention de la forme Allassac est transcrite dans le testament d'Aredius (saint Yrieix). Il s'est appelé Alaciaco en 947.
Ses habitants sont appelés les Allassacois.
Le village est identifié sous le nom d’Alassac sur le Grand atlas du royaume de France établi par Johannes Blaeu au XVIIe siècle puis sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789. On trouve ensuite Allassat, au début de la Révolution française avant l'apparition définitive du nom actuel en 1801.
En occitan, la commune se nomme Alaçac.
Histoire
-
Demeures anciennes… -
…dans le bourg.
Déjà au Mésolithique, le site de la Roche était habité, comme en témoignent les racloirs, et pointes lithiques retrouvés sur les lieux.
Antiquité
Occupée par les Romains, Allassac possède déjà plusieurs carrières d'ardoise qui permettront le développement rapide de la ville.
Moyen Âge
En 572, saint Yrieix et sa mère font don d'une exploitation agricole et de forges à Allassac, qui faisait alors partie du pays d'Yssandon. À la période carolingienne existe déjà un ensemble fortifié abritant une église et une habitation appartenant aux abbés de Limoges, ainsi qu'une habitation seigneuriale.
En 864 on transporta à Allassac les reliques des saints Innocents pour les protéger des envahisseurs normands.
Au Moyen Âge, Allassac devient une seigneurie de l'abbaye de Saint-Martial de Limoges. Elle est ensuite une co-seigneurie appartenant entre autres à la famille Roffignac surnommée « premiers chrétiens du Limousin ».
Au XIVe siècle, la ville se dote d'une deuxième enceinte avec 17 tours, 8 portes et 6 châteaux. L'évêque lutte pour garder son territoire.
Temps modernes
Les XVIe et XVIIe siècles sont propices à l'expansion grâce aux carrières d'ardoise et aux salaisons, malgré plusieurs sièges. En 1569, Henri d’Anjou y passe quelques jours avec ses armées. En 1580, Allassac est la quatrième ville du Bas Limousin (la Corrèze actuelle). Les maisons nobles à tourelles se multiplient.
En 1790, Allassac est brièvement chef-lieu de canton avant de céder la place à Donzenac en 1801[21]. Dans les premières années de la Révolution française, la commune de Saint-Laurent fusionne avec Allassac[21].
Époque contemporaine
En 1870 la population est de 4 200 habitants et, depuis plus d'un siècle, l'exploitation de l'ardoise est une industrie importante. Le paysan est aussi ardoisier, mais le phylloxera mettra fin à cette double économie. Le paysan devra alors se tourner vers la culture fruitière et celle du tabac tout en développant les exploitations de l'ardoise, les débouchés s'effectuant vers la région parisienne grâce au train.
Le 15 décembre 1908 en fin d'après-midi, le train omnibus no 742 de Brive à Limoges, au départ de la gare d'Allassac, est percuté par le train de marchandises no 2320 dans le tunnel de Pouch, causant la mort de 15 personnes.
Le , à la suite d'un violent orage, la commune subit de graves inondations et coulées de boue en provenance des hauteurs, notamment à cause du ruisseau de la Grande Fontaine[22].
Politique et administration
Intercommunalité
Allassac adhère à la communauté d'agglomération du Bassin de Brive[23].
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
Allassac relève du tribunal d'instance de Brive-la-Gaillarde, du tribunal de grande instance de Brive-la-Gaillarde, de la cour d'appel de Limoges, du tribunal pour enfants de Brive-la-Gaillarde, du conseil de prud'hommes de Brive-la-Gaillarde, du tribunal de commerce de Brive-la-Gaillarde, du tribunal administratif de Limoges et de la cour administrative d'appel de Bordeaux[24].
La commune accueille la brigade de proximité de la circonscription de gendarmerie, une recette-perception des impôts et un bureau de poste.
Jumelages
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris a attribué deux fleurs à la commune[25].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[27].
En 2021, la commune comptait 4 019 habitants[Note 8], en évolution de +3,16 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Sports
Volley-ball : 3 équipes inscrites en UFOLEP (mixte).
Football : depuis 1940, le Club sportif allassacois.
Cultes
- Culte catholique
La paroisse catholique d'Allassac fait partie de l'ensemble paroissial d'Allassac, Estivaux et Saint-Viance dans le doyenné de moyenne Vézère et du bassin de Brive (Diocèse de Tulle).
Économie
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Entreprises et commerces
Secteur primaire
Agriculture
L'arboriculture se développe sur la commune, en particulier la pomme du Limousin (AOP), la pêche, la prune ou le kiwi.
-
Culture de la nectarine et de la pêche.
-
Verger de pommiers.
-
Coteaux du Saillant-Vézère vers la Chartroulle.
-
La cave des Coteaux du Saillant-Vézère au lieu-dit la Jugie.
Un vignoble « les Coteaux du Saillant-Vézère » vient d’être replanté sur 17 hectares sur un sol schisteux. Allassac était célèbre jusqu'à la fin du XIXe siècle pour ses vignes, d'où la cave viticole du Saillant ; les cépage choisis sont chenin, sauvignon gris, chardonnay, merlot et cabernet franc.
L'élevage concerne les veaux de race limousine élevés sous la mère.
-
Taureau de race limousine.
-
Des limousines au repos.
Gastronomie
La tomme des ardoisiers est une spécialité locale, fromage fermier au lait cru de vache fabriqué à la Prade[29].
Activités extractives
Allassac abrite une ardoisière remise en activité.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Lieux
- Le Saillant, village traversé par la Vézère et partagé entre les communes d'Allassac (Le Saillant d'Allassac en rive gauche) et de Voutezac (rive droite).
- Les gorges et cascades du Clan, à proximité des Trois-Villages
- Le site de la Roche, où affleurent des roches du Mésolithique, possède une table d'orientation et offre un large panorama sur le cirque du Saillant.
- Garavet, baignade et pêche dans la Vézère.
- Monuments
- Vestiges du château de la Motte Roffignac XIVe et XVe siècles[30].
- La tour César, XIIe et XIVe siècles, d'une hauteur de 30 mètres, seul vestige de l'enceinte fortifiée, inscrite aux monuments historiques en 1949[31]. Elle est faite d'ardoise et de gneiss. Les mâchicoulis furent rajoutés au XVe siècle. C'est une des rares tours rondes du Moyen Âge en Limousin.
- Le manoir des Tours, XVe et XVIe siècles, inscrit aux monuments historiques en 1993[32], abrite les bureaux du Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise[33].
- Le château de Lasteyrie, maison noble du XIXe siècle, au Saillant.
- Le pont gothique à becs du Saillant, XVIe siècle, classé monument historique en 1969[34]. En 1962, y fut tournée une scène du film Le Chevalier de Pardaillan de Bernard Borderie.
- L'église de la Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste, XIIe et XIVe siècles, classée monument historique en 1914[35]. Le clocher fut fortifié au XIVe siècle lors de la guerre de Cent Ans. Elle possède un remarquable mobilier baroque composé de trois retables et d'une chaire ; ces œuvres auraient été réalisées par les frères Duhamel autour de l'an 1680. Le retable central (1679) est dédié au « Cœur sacré de Jésus ». Le fait qu'il présente sur une face le Christ montrant son Cœur Sacré le rend exceptionnel, cette dévotion n'étant activée que quatre ans avant la création du retable, à la suite de l'apparition du Christ à Marguerite-Marie Alacoque à Paray le Monial en 1675.
-
La tour César. -
Le manoir des Tours. -
L'église Saint-Jean-Baptiste. -
La chaire de l'église. -
Détail de la chaire :
Saint-Luc avec le taureau
et le portrait de la Vierge. -
Vitrail représentant
l'Annonce à Marie. -
La nef de l'église,
vue vers le portail ouest. -
Détail du portail sud de l'église.
- La chapelle Saint-Nicolas de Tolentine, construite en 1894, au village de Brochat.
- La robuste chapelle Sainte-Marguerite, bâtie en grès rouge, du XIIIe au XVIIIe siècle, au village de la Chapelle.
- La chapelle Saint-Ferréol, XVIIe ou XVIIIe siècle, partie intégrante du cimetière, au village de la Chartroulle.
-
La chapelle Saint-Nicolas de Tolentine. -
L'intérieur de la chapelle Saint-Nicolas de Tolentine. -
La chapelle Sainte-Marguerite. -
La chapelle Saint-Ferréol.
- La chapelle Saint-Roch, XVIe et XIXe siècles, au village de Gauch.
- La minuscule chapelle Saint-Laurent, XIIIe et XVIIIe siècles, au village de Saint-Laurent, avec son portail qui ouvre directement sur le cimetière.
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La chapelle Saint-Roch. -
L'intérieur de la chapelle Saint-Roch. -
La chapelle Saint-Laurent. -
L'intérieur de la chapelle Saint-Laurent.
-
Le pont du Saillant, à droite les 2 arches côté Allassac.
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Becs du vieux pont.
-
Le château de Lasteyrie du Saillant (maison bourgeoise du XIXe siècle).
Patrimoine culturel
Allassac, comme nombre de communes alentour, fait partie du Pays de Vézère-Ardoise bénéficiant, depuis 2001, du label pays d'art et d'histoire[36].
Personnalités liées à la commune
- Raynaud de La Porte (†1325), cardinal évêque d'Ostie .
- Bertrand de Chanac (†1401), cardinal.
- Aymard de Foucauld (1824-1863), officier de l'armée française,
- Lasteyrie du Saillant.
- Charles Philibert de Lasteyrie (1759-1849), agronome.
- Ferdinand Charles Léon de Lasteyrie, (1810-1879), érudit et homme politique.
- Robert Charles de Lasteyrie (1849-1921), historien.
- Charles de Lasteyrie (1877-1936), inspecteur des finances, banquier et homme politique.
- Georges Mamy (1921-1997), journaliste et écrivain, est né à Allassac.
- Pierre Maurice Restoueix (1920-2005), résistant arrêté au Saillant le 15 avril 1944 et déporté au camp de Neuengamme. Le groupe scolaire porte son nom.
- Aurélien Béco (1986-), joueur de rugby à XV originaire d'Allassac
Héraldique
Blason | ||
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Détails | Blason adopté par le conseil municipal le , représentant : à gauche, le blason de la famille « de Lasteyrie du Saillant », et à droite celui de la famille « de Roffignac ». |
Voir aussi
Bibliographie
- Jean-Louis Lascaux, Allassac en Bas-Limousin un pays... une histoire, Allassac, 2006 (ISBN 9782952591904)
- Chanoine Blaise-Adolphe Marche, Le Passé glorieux d'Allassac et de ses cinq annexes, Brive, 1909 ; Paris, 2004
Articles connexes
Liens externes
- Site de la mairie
- Allassac sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Le pays de Vézère-Ardoise sur le site des Villes et pays d'art et d'histoire
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- démissionnaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
Insee
- Dossier relatif à la commune, [lire en ligne]
Autres sources
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station météofrance Brive - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Allassac et Brive-la-Gaillarde », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Brive - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 d'Allassac », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Une expo sur la catastrophe du 1er août 1963, La Montagne, 5 décembre 2013, consulté le 16 décembre 2019.
- « Les communes de l'Agglo de Brive », sur le site de la communauté d'agglomération du bassin de Brive (consulté le ).
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et des libertés (consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 31 janvier 2021.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- La Prade
- Château de la Motte Roffignac, sur le site de la mairie d'Allassac
- « Tour César », notice no PA00099648, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 juin 2011.
- « Manoir des Tours », notice no PA00125504, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 juin 2011.
- « Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise », sur Pays d'art et d'histoire Vézère Ardoise (consulté le )
- « Vieux pont du Saillant sur la Vézère », notice no PA00099647, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 juin 2011.
- « Église de la Décollation de Saint-Jean-Baptiste », notice no PA00099646, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 11 juin 2011.
- « Pays de Vézère-Ardoise », sur le site de l'association Pays de Vézère-Ardoise (consulté le ).