Montembœuf
Montembœuf | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Confolens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Charente Limousine | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Trapateau 2020-2026 |
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Code postal | 16310 | ||||
Code commune | 16225 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montembelviens | ||||
Population municipale |
656 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 41 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 46′ 44″ nord, 0° 33′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 181 m Max. 342 m |
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Superficie | 16,05 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Charente-Bonnieure | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.montemboeuf.fr | ||||
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Montembœuf (Montembuòu en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Ses habitants sont les Montembelviens et les Montembelviennes[1].
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation et accès
[modifier | modifier le code]Montembœuf est une commune située en Charente limousine, à 34 km à l'est d'Angoulême, 14 km à l'est de La Rochefoucauld, 13 km au nord-est de Montbron, 22 km à l'ouest de Rochechouart et 28 km de Confolens[2].
C'est le chef-lieu de son canton.
Les routes principales traversant la commune sont la D 13, axe est-ouest de La Rochefoucauld (puis Angoulême) à Rochechouart qui fait la limite de commune au sud, et la D 16, route de Montmoreau à Confolens, qui va de la Belle Étoile (D 13) à Cherves-Châtelars et La Péruse en traversant le bourg.
D'autres routes départementales moins importantes passent dans la commune ; en particulier la D 27 à l'extrême nord qui bifurque de la D 16 et va à Chasseneuil, la D 162 qui traverse le bourg et va vers Saint-Adjutory et Taponnat vers le nord-ouest et Mouzon vers l'est, la D 173 sud-nord qui passe à l'ouest, qui va de Mazerolles (et l'Arbre) à Chasseneuil par Vitrac[3].
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]La commune compte de nombreux hameaux. On peut citer les Labourières au sud-est du bourg, Beaussac au sud-ouest, Jayat à l'ouest, sans oublier la Belle Étoile situé au carrefour de la D 13 et de la D 16 au sud.
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Géologie et relief
[modifier | modifier le code]Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune appartient géologiquement à la partie occidentale du Massif central, composée de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne.
La moitié ouest de la commune est du micaschiste, et la moitié est du gneiss. Seule l'extrême nord vers l'Ennui, sur la crête, on trouve le terrain tertiaire détritique composé d'argile sableuse à silex qui marque la fin du massif, ainsi qu'au nord-ouest de Jayat[4],[5],[6].
La commune de Montembœuf se trouve sur une crête secondaire qui descend vers le nord du Massif de l'Arbre, premier mont du Massif central en venant de l'océan. L'altitude y est relativement élevée car on dépasse couramment les 250 m d'altitude.
Les points culminants de la commune se situent donc au sud sur la crête principale, en limite avec la commune du Lindois. La Belle Étoile est à 324 m d'altitude, mais le point culminant de 342 m se trouve sur la limite sud-ouest en direction de l'Arbre.
Le bourg est à 270 m d'altitude, juché sur ce promontoire d'où on a constamment une vue immense vers le nord. Le carrefour de la D 16 et D 27 marquant la limite nord de la commune et prolongeant cette même crête est à 242 m d'altitude.
Le point le plus bas, 181 m, se trouve sur le Rivaillon, ruisseau quittant la commune au nord-ouest.
De nombreux ruisseaux prennent aussi naissance dans la commune et creusent des vallées plus encaissées en s'écoulant vers le nord.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Rivaillon, la Croutelle, la Gane, le ruisseau de la Michelie, le ruisseau des Maschevreaux et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La nature imperméable du sol et le relief favorisent la naissance de multiples ruisseaux, qui descendent vers le nord-ouest et se jettent dans la Bonnieure, dans le bassin de la Charente.
On peut citer la Croutelle qui passe à l'est du bourg et à Cherves-Châtelars, et le Rivaillon à l'ouest de la commune, qui passe à Vitrac-Saint-Vincent.
De nombreuses petites retenues d'eau parsèment aussi ces vallées, utiles à l'agriculture.
Gestion des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
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La commune bénéficie d’un « climat océanique altéré », selon la typologie des climats en France définie en 2010, comme 294 autres communes de la Charente soit 73 % du département[Note 2]. Ce type de climat constitue une transition entre le climat océanique franc et le climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est assez élevée (12,5 °C) avec un nombre de jours froids faible (entre 4 et 8 par an) et chauds soutenu (entre 15 et 23 par an)[11]. La dénomination régionale utilisée pour les communes de Charente limousine est « climat océanique limousin ». Plus arrosé et plus frais que le reste de la Charente qui est de type aquitain, ce climat reste tempéré avec des printemps tièdes et des étés assez chauds, avec des variations dues à l’altitude. L’ensoleillement annuel atteint en moyenne 1 850 heures [12].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[13]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[11].
Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales[14]. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1990 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[15]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 2,8 | 2,9 | 5,1 | 6,8 | 10,4 | 13,4 | 15 | 15,2 | 12,3 | 10 | 5,5 | 3 | 8,6 |
Température moyenne (°C) | 5,5 | 6,2 | 9,1 | 11,1 | 15,1 | 18,3 | 20,1 | 20,4 | 16,8 | 13,5 | 8,4 | 5,6 | 12,5 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,2 | 9,5 | 13,1 | 15,5 | 19,7 | 23,3 | 25,2 | 25,6 | 21,4 | 17 | 11,3 | 8,2 | 16,5 |
Record de froid (°C) date du record |
−10 08.01.09 |
−12,9 09.02.12 |
−10,1 01.03.05 |
−2,2 04.04.1996 |
0,6 05.05.19 |
5,8 01.06.11 |
7,4 12.07.00 |
7,4 28.08.1998 |
3,3 25.09.02 |
−2,8 30.10.1997 |
−7 22.11.1998 |
−9,9 30.12.1996 |
−12,9 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,6 01.01.22 |
23,8 27.02.19 |
26,1 20.03.05 |
30 30.04.05 |
32,5 30.05.01 |
37,2 27.06.11 |
38 23.07.19 |
39,2 05.08.03 |
34,1 12.09.16 |
29,2 02.10.11 |
23,4 08.11.15 |
17,7 07.12.00 |
39,2 2003 |
Précipitations (mm) | 93,2 | 77 | 72,7 | 79,2 | 82,4 | 76,8 | 69,6 | 78,7 | 82,1 | 86,6 | 108 | 101,6 | 1 007,9 |
Végétation
[modifier | modifier le code]La commune est boisée à 40 %, et les bois se retrouvent principalement sur les flancs des vallons. On trouve principalement du châtaignier et des résineux (épicéas, douglas).
Les sommets des plateaux sont consacrés à l'agriculture.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Montembœuf est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (71,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (39,3 %), forêts (25,4 %), prairies (21,6 %), terres arables (10,4 %), zones urbanisées (2,7 %), cultures permanentes (0,5 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Montembœuf est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 431 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 16 sont en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[21].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Montembœuf est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Une forme ancienne est Monte Bovis au XIIIe siècle[26].
L'origine du nom de Montembœuf remonterait au latin mons signifiant « colline » ou « montagne » et à un nom de personne germanique Bovo peut-être précédé de la particule nobiliaire en[27]. La forme a été latinisée en monte bovis, « mont au bœuf », et francisée. Toutefois le gentilice est montembelvien.
Langues
[modifier | modifier le code]La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[28]. Elle se nomme Montembuòu en occitan[29].
Histoire
[modifier | modifier le code]Avant la Révolution et la formation du département de la Charente, Montembœuf a été une enclave du Poitou en Angoumois et Limousin[30].
Des souterrains-refuges d'époque indéterminée existaient au nord du bourg et avaient été mis au jour lors de la construction de la route de Chasseneuil.
Les pépinières ont été créées en 1888 par M. Gâteau, puis tenues par son gendre, M.Duparc-Gâteau, maire de la commune, grâce à qui les bâtiments publics comme l'église et la gendarmerie ont été reconstruits. Ces pépinières étaient au début du XXe siècle une des plus vastes du sud-ouest de la France, et leurs produits s'exportaient déjà en Espagne et en Italie.
Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était aussi desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat[31].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]Évolution démographique
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].
En 2021, la commune comptait 656 habitants[Note 3], en évolution de −0,91 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
[modifier | modifier le code]La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,8 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 314 hommes pour 337 femmes, soit un taux de 51,77 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
[modifier | modifier le code]Agriculture
[modifier | modifier le code]Montembœuf est connu dans la région et depuis la fin du XIXe siècle pour ses pépinières. Elles concernent principalement les arbres fruitiers ou de décoration (feuillus ou résineux).
Elles occupaient en 1983 130 ha et 70 salariés[38].
Le reste des terres agricoles concerne principalement l'élevage, en particulier celui de la vache limousine.
Commerces
[modifier | modifier le code]- Boucherie, crèmerie
- Alimentation
- Boulangerie
- Garagiste
- Électricité, plomberie, chauffage
- Coiffure
- Café
- Restaurant
- Vétérinaire
Tourisme
[modifier | modifier le code]Équipements, services et vie locale
[modifier | modifier le code]Enseignement
[modifier | modifier le code]- Le collège d'enseignement général public accueille les enfants de la 6e à la 3e en huit classes et 172 élèves en 2011[39].
- L'école est un RPI entre Montembœuf, Vitrac-Saint-Vincent, Cherves, Massignac et Mazerolles. Montembœuf accueille les élèves du CP au CM2, avec cinq classes, Vitrac et Mazerolles sont des écoles maternelles[40]. Cherves accueille les élèves du CP au CE2, Massignac accueille les élèves de maternelle et de CP.
Sports et activités
[modifier | modifier le code]- Festival de l'Imprévu, chaque début septembre.
Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- L'église, de style néo-gothique, construite en 1906
- La chapelle, sur la route de Saint-Adjutory
- Fontaine de l'Étang rompu : à Villemaneau, au bout d'un petit chemin de terre. Ce serait une ancienne fontaine de dévotion…
- Le lac de Puyravaud, en limite avec la commune de Vitrac-Saint-Vincent.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Nombre de communes pour un climat donné et pourcentage par département sont définis sur la base du découpage territorial de 2009, qui a servi de canevas pour l’élaboration de la typologie climatique de 2010.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Montembœuf » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- Carte du BRGM sous Géoportail
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Montembœuf », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- [PDF]« ORACLE Nouvelle-Aquitaine - État des lieux sur le changement climatique et ses incidences agricoles en région Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr (consulté le ).
- « Définition d’une normale climatologique », sur meteofrance.fr (consulté le ).
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche du Poste 16225001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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- « Les risques près de chez moi - commune de Montembœuf », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 59,149,186
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 470.
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- Cartes de la sénéchaussée d'Angoulême et de la Généralité de Limoges, in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 153-154
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 246-247
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montembœuf (16225) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- Les pépinières charentaises, l'Expansion, 1983
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Collèges » (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Montembœuf sur le site du Pays Charente Limousine
- Catillus Carol, « Montembœuf », (consulté le )