Brangues

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Brangues
Brangues
Brangues en août 2019.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement La Tour-du-Pin
Intercommunalité Communauté de communes Les Balcons du Dauphiné
Maire
Mandat
Sylvain Granger
2020-2026
Code postal 38510
Code commune 38055
Démographie
Population
municipale
627 hab. (2021 en augmentation de 1,79 % par rapport à 2015)
Densité 54 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 38″ nord, 5° 31′ 55″ est
Altitude 207 m
Min. 204 m
Max. 236 m
Superficie 11,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Morestel
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Brangues
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Brangues
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Brangues
Liens
Site web www.brangues.fr

Brangues est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Village membre de l'ancienne communauté de communes du Pays des Couleurs, la commune a rejoint le la communauté de communes Les Balcons du Dauphiné, dont le territoire occupe la pointe septentrionale du département de l'Isère, ses habitants sont dénommés les Branguois[1].

Le château de la commune est connu pour avoir été la propriété du dramaturge, poète et diplomate français, Paul Claudel, de 1927, jusqu'à sa mort en 1955.

Géographie[modifier | modifier le code]

Plan de la commune et des communes limitrophes.

Situation et description[modifier | modifier le code]

Situé dans la région naturelle du Bas-Dauphiné, également dénommé Nord-Isère, le petit village de Brangues, à l'aspect essentiellement rural avec son vieux bourg et son château, se positionne dans une plaine alluviale bordée au nord et à l'est par le fleuve Rhône, à l'ouest de la ville médiévale de Morestel, non loin des collines du Bugey.

Le village est distant (par la route) de 67 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et de 88 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, d'une centaine de km de Genève ainsi que de 363 km de Marseille et de 505 km de Paris.

Géologie[modifier | modifier le code]

Le bourg central s'est développé sur une éminence géographique dénommé mole, un socle rocheux dominant les marais. Cet emplacement permet aux habitations d'être protégées en cas de crue du Rhône.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est limitrophe de quatre communes, dont deux situées dans le département de l'Ain (depuis la fusion de Groslée et de Saint-Benoit) et les deux autres situées dans le département de l'Isère.

Rose des vents Lhuis (Ain) Rose des vents
Saint-Victor-de-Morestel N Groslée-Saint-Benoit (Ain)
O    Brangues    E
S
Le Bouchage

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 079 mm, avec 9,8 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montagnieu », sur la commune de Montagnieu à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 099,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Pont de Groslée sur le Rhône en 2011.

Le territoire communal est bordé par le Rhône, un des principaux fleuves français et européen long de 812 kilomètres. Le territoire est également sillonné par d'autres cours d'eau dont :

  • la Save, d'une longueur de 12,5 km et qui rejoint le Rhône à Brangues[8] ;
  • le ruisseau de Reynieu, affluent du Rhône.

Une particularité hydrographique distingue le territoire communal : l'ancien méandre du Saugey est une enclave iséroise dans le département de l'Ain. Jusqu'à la fin du XVIIe siècle, le cours du fleuve formait un méandre qui contournait le hameau du Saugey. Le cours du fleuve s'est ensuite modifié et adopta un tracé plus direct qui désolidarisa le Saugey du reste du territoire communal.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Entrée de Brangues depuis la route du Bouchage.

Le territoire de la commune de Brangues est situé à l'écart des voies de grande circulation. L'autoroute la plus proche est l'A43 qui relie L'agglomération lyonnaise à celles de Chambéry et d'Annecy.

Le territoire est cependant traversé par des routes départementales d'importance secondaire dont :

  • la RD60 qui franchit le Rhône et permet de relier le bourg à la commune de Groslée-Saint-Benoit ;
  • la RD60a qui permet de relier le bourg à la commune voisine de Saint-Victor-de-Morestel ;
  • la RD33C qui permet de relier le bourg à la commune voisine du Bouchage.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Brangues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (49,4 %), terres arables (25,1 %), prairies (8,4 %), forêts (5,4 %), zones urbanisées (4,3 %), eaux continentales[Note 2] (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Hameaux, lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux, ainsi que les écarts qui composent le territoire de la commune de Brangues présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[15].

  • Pierre Brune
  • Tours
  • les Combes
  • Ferme de Château Gaillard
  • le Grand Sablon
  • la Garenne
  • En Nièvre
  • le Pré du Flachet
  • le Trémolay
  • le Gipet
  • les Charmes
  • le Moiroud
  • le Sauget (rive droite)
  • Chalaries (rive droite)
  • Île de la sauge
  • Île du Grand Brotteau
  • Île Gabriel
  • les Rochettes
  • le Clos Doré
  • Brieux
  • le Martin
  • Le communal du Graveyron
  • Île des Chêvres
  • la Forêt du Gravier
  • les Boides
  • Pré Riond
  • les Aymes
  • la Terre du Piardet
  • la Tuilère
  • la Pomatière
  • Messin
  • En l'Île

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Brangues est situé en zone de sismicité n°3, comme la plupart des communes de son secteur géographique[16].

Terminologie des zones sismiques[17]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

La commune est soumise à un Plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPRN) Inondations, approuvé le 26 février 1993 par la préfecture de l'Isère[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Brangues pourrait dériver de l'altération du mot gaulois Branos signifiant « corbeau » (Bran en breton et en gaélique)[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité et Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La région de Brangues se situe dans la partie occidentale du territoire antique des Allobroges, ensemble de tribus gauloises occupant l'ancienne Savoie, ainsi que la partie du Dauphiné, située au nord de la rivière Isère.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La place du village en 1918.

Un fait divers inspira à l'écrivain grenoblois Stendhal son roman Le Rouge et le Noir : en juillet 1827 un jeune séminariste tira deux coups de pistolet sur madame Michoud, la femme du maire, avant de retourner l’arme contre lui. Il rata sa cible et son suicide. Jugé en décembre 1827, il fut guillotiné le . Le scandale fut tel que l'église de Brangues fut rasée et reconstruite, sur ordre de M. Michoud de la Tour[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie de Brangues.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790   Luc Michoud   Négociant
Les données manquantes sont à compléter.
  1971 Juppet    
1971 1989 Max Bataillon    
1989 2007 Bernard Michoud    
2007 2020 Didier Louvet SE Chef d'entreprise
2020 En cours Sylvain Granger    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 627 habitants[Note 3], en augmentation de 1,79 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
692719750775883946972968919
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
886884887843849758734676658
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
639644629543539490514501467
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
395363348369388469554566600
2017 2021 - - - - - - -
626627-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune qui compte une école primaire, située place Paul Claudel, est rattachée à l'académie de Grenoble (Zone A)[25].

Équipement sportif et culturel[modifier | modifier le code]

La commune compte une installation sportive, un terrain de Boules.

Manifestations culturelles[modifier | modifier le code]

Chaque année au mois de juin, a lieu au château de la famille Claudel, des rencontres portant sur l'action et l'œuvre de l'écrivain.

  • Rencontres de Brangues 2009 : du 26 au 28 juin avec Laurent Terzieff. Selon Armelle Héliot du journal : Le Figaro « Rien ne peut donner idée de la haute beauté de l'esprit qui enveloppe chacun dans la maison de Paul Claudel, là où se déroulent jusqu'à dimanche soir 28 juin, les Rencontres ».
  • Rencontres de Brangues 2010 : du 25 au 27 juin avec Jean-Louis Barrault (« Il faut que tout ait l'air provisoire, en marche, bâclé, incohérent, improvisé dans l'enthousiasme. Avec des réussites si possible de temps en temps, car même dans le désordre il faut éviter la monotonie. L'ordre est le plaisir de la raison : mais le désordre est le délice de l'imagination.» - Paul Claudel - Morceau choisi pour illustrer ces journées 2010)

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère, un ou plusieurs articles à l'actualité à la communauté de communes, quelquefois à la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église de Brangues (propriété de la commune) sont desservies par la paroisse de Saint Pierre du Pays des Couleurs, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[26].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Allée du château de Brangues.
Intérieur de l'Église de Brangues.

Le château de Brangues[modifier | modifier le code]

L'édifice qui a connu de nombreuses modifications date du (XIVe et XVIIIe siècles), acheté par Paul Claudel en 1927 ; sa tombe est dans le parc du château, avec cette épitaphe du poète : « Ici reposent les cendres et la semence de Paul Claudel ». Le château et son parc, ouverts au public, font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques par arrêté du 11 mars 1964[27].

L'Église Saint-Pierre-ès-Liens de Brangues[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale date de 1847. L'ancien édifice fut démoli puis remplacé par cette nouvelle église la suite du fait divers (l'affaire Berthet) qui inspira à Stendhal son roman Le Rouge et le Noir. Sur la façade figurent les statues de sainte Jeanne d’Arc et de Saint Pierre, offertes par Eugène Berthet, petit-neveu d’Antoine Berthet en expiation du sacrilège lié à cette affaire. L’une des cloches provient de l’ancienne église et l’autre fut installée après de grandes inondations du Rhône, en 1860[28].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La commune compte plusieurs ZNIEFF de type I :

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • L'Espace d’exposition : ouvert en 1998 et initialement pleinement dédié aux deux auteurs liés à la commune, Stendhal et Paul Claudel, l'espace d'exposition ouvre ses portes à la belle saison. C'est l'occasion de découvrir les artistes plasticiens contemporains, sans oublier l'espace dédié au patrimoine littéraire de la commune[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Tombe de Paul Claudel à Brangues.
  • Luc Michoud (1752-1825) homme politique, député (1791) et maire de Brangues.
  • Paul Claudel : La tombe de l'écrivain est située dans le domaine du château de Brangues. Les rencontres de Brangues ont été créées en 1972 par Renée Nantet, fille de Paul Claudel, Jean-Louis Barrault et Jacqueline Veinstein. Elles se déroulent maintenant chaque année après quelques saisons d'interruption.
  • Alexandre Émeric de Durfort-Civrac (1770-1835), militaire et homme politique français des XVIIIe et XIXe siècles.
  • Stendhal , originaire de Grenoble, visitait sa sœur à Morestel. Son roman Le Rouge et le Noir est inspiré d'un fait divers qui se déroula à Brangues. Le personnage de Julien Sorel transpose dans un milieu plus bourgeois le profil d'Antoine-Marie Berthet, né le 4/3/1801 à Brangues, renvoyé du séminaire, exécuté en 1828 place Grenette sous les fenêtres de la famille Beyle.

Brangues dans les arts[modifier | modifier le code]

Intérieur de l'église de Brangues et maquette du château.

Le visiteur de l'église peut découvrir dans une chapelle adjacente de l'édifice, face à la statue de la Sainte Vierge à l'Enfant, une maquette du château de Brangues.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Brangues possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 17 août 2019.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Brangues et Montagnieu », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montagnieu », sur la commune de Montagnieu - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Montagnieu », sur la commune de Montagnieu - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. site http://la.save.de.morestel.free.fr, présentation de la rivière, consulté le 17 août 2019.
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Site géoportail, page des cartes IGN.
  16. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
  17. [1].
  18. Site georisques.gouv.fr, Rapport, fiche de Brangues, consulté le 16 août 2019.
  19. André Planck, L'origine du nom des communes du département de l'Isère, édition L'atelier, (ISBN 2-84424-043-7), p. 66.
  20. « Les deux églises de Brangues », sur claudel-stendhal.com.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Site education.gouv.fr, page sur Brangues.
  26. Site messes.info.fr, page sur l'église de Brangues, consulté le 2 mai 2021.
  27. Notice no PA00117128, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Site isere-tourisme.com, page sur l'église de Brangues, consulté le 17 août 2019.
  29. « Le méandre du Saugey », sur isere.fr (consulté le ).
  30. Espace d’Exposition Claudel Stendhal.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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