Hondainville
Hondainville | |||||
L'église Saint-Aignan, façade sud. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Clermont | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Thelloise | ||||
Maire Mandat |
Michèle Brichez 2020-2026 |
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Code postal | 60250 | ||||
Code commune | 60317 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hondainvillois, Hondainvilloises | ||||
Population municipale |
727 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 121 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 20′ 27″ nord, 2° 18′ 05″ est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 131 m |
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Superficie | 6 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Mouy | ||||
Législatives | Septième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-hondainville.fr | ||||
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Hondainville est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Ses habitants sont appelés les Hondainvillois et les Hondainvilloises[1].
Géographie
La commune est un village rural picard de l'Oise.
Localisation
La commune se situe à 62 kilomètres au sud d'Amiens, à 19 kilomètres à l'est de Beauvais, à 39 kilomètres à l'ouest de Compiègne et à 53 kilomètres au nord de Paris[2].
Communes limitrophes
Topographie
La commune s'étend entre 38 mètres sur les bords du Thérain et 131 mètres d'altitude à la limite est du territoire. Son étendue s'étire au croisement des vallées du Thérain et du ruisseau de Lombardie, délimitées à l'est et au nord par des plateaux qui les surplombent. L'église paroissiale et la mairie se situent à 45 mètres d'altitude, la chapelle Sainte-Antoine-de-Padoue à 46 mètres d'altitude et le hameau de Butteaux se situe à 60 mètres au-dessus du niveau de la mer[3]. La commune se situe en zone de sismicité 1[4].
Hydrographie
La commune d'Hondainville se trouve sur la rive gauche du Thérain, sous-affluent la Seine, naissant à Grumesnil et jetant dans l'Oise à Saint-Leu-d'Esserent. Son cours constitue une courte partie de la limite communale, au sud.
Le ru de Lombardie[5], naissant dans la forêt de Hez-Froidmont, constitue une partie de la limite communale nord-est, passe entre Thury-sous-Clermont et le hameau de Butteaux puis se jette dans le Thérain après s'être écoulé à l'ouest du village.
Plusieurs étangs ont été aménagés à l'ouest du chef-lieu, et quelques mares se trouvent dans les jardins du village. Un autre étang se situe près du territoire d'Angy. Une station d'épuration se trouve à l'ouest du village[3].
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Lavoir à l'entrée sud du village, face à la chapelle Sainte-Antoine-de-Padoue.
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Lavoir, à l'angle de la rue Bail et de la rue de l'Eglise.
Voies de communications
La commune est desservie par trois routes départementales, la D 12, la D 89 et la D 512E.
La route départementale 12, de Therdonne à Saint-Leu-d'Esserent, évite aujourd'hui le village par l'est avant de rejoindre Saint-Félix. Elle le traversait autrefois par la rue de la Mairie, la place de l’Église et la rue de Beauvais.
La route départementale 89 se détache de la route départementale 12 entre le village et Saint-Félix pour traverser le hameau de Butteaux par la rue de la Forêt avant de prendre la direction de Thury-sous-Clermont.
La route départementale 512E se sépare de la route départementale 12 entre le village et Angy pour rejoindre Coincourt (commune de Mouy)[3].
Transports en commun
Située à un 2,5 km à l'ouest, la gare d'Heilles-Mouchy, établie sur la ligne de Creil à Beauvais, est la gare ferroviaire la plus proche de la commune. La gare de Mouy-Bury, sur la même ligne, se trouve à 3 km au sud-est[2]. Une partie du tracé de cette ligne traverse le sud du territoire[3].
La commune est également desservie par les autobus du réseau Kéolis Oise du Département par la ligne 35C (Heilles-Beauvais) ainsi plusieurs lignes de transports scolaires rejoignant les collèges de Mouy, Cauffry, les établissements scolaires de l'agglomération de Clermont ainsi que par une navette destinée au lycée du Saint-Esprit de Beauvais[6].
Une navette de regroupement pédagogique intercommunal a été mise en place avec la commune voisine de Thury-sous-Clermont[7].
Les habitants peuvent bénéficier du service de transport à la demande Pass'Thelle Bus, géré par la communauté de communes Thelloise depuis la gare de Mouy-Bury[8].
L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 19 km à l'ouest de la commune et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se trouve à 40,5 km au sud-est[2]. Il n'existe aucune liaison entre la commune et ces aéroports par des transports en commun.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Airion », sur la commune d'Airion, mise en service en 1989[15] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 663,5 mm pour la période 1981-2010[17]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Beauvais-Tillé », sur la commune de Tillé, mise en service en 1944 et à 19 km[18], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[19] à 10,6 °C pour 1981-2010[20], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[21].
Milieux naturels
Hormis les 45 hectares d'espaces bâtis (7,4 % du territoire), la commune se compose majoritairement de surfaces boisées à 56,2 % sur 350 hectares. Elles sont situées dans le fond des vallées du Thérain et du ruisseau de Lombardie ainsi que sur leurs coteaux tel que le Parc de Saint-Aignan et les Grande et Petite Garenne.
Le territoire communal comprend également 26,9 % de cultures sur 167 hectares, 25 hectares de vergers et prairies ainsi que 22 hectares de zones marécageuses, situées près de la chapelle Saint-Antoine-de-Padoue. Ces derniers représentent à eux seuls plus de 3 hectares de la superficie. En outre, on comptabilise 4,5 hectares de délaissés urbains et ruraux, 2 hectares de jardins et espaces verts et un hectare de landes[22],[3].
La diversité des écosystèmes permet à la commune de posséder 3 Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF), dont deux ensembles dans la vallée du Thérain : les prairies humides des Halgreux et les étangs et milieux alluviaux du Thérain[23],[24]. Une partie des espaces boisés, situés à la périphérie de la Forêt de Hez-Froidmont située au nord, constituent la troisième zone de ce type[25].
Les zones boisées du parc de Saint-Aignan et de la Grande Garenne, une partie de la vallée du ruisseau de Lombardie et certains coteaux de la vallée du Thérain constituent des corridors écologiques potentiels[26].
Risques naturels
Une partie de la commune se situe en zone inondable[4]. Les zones les plus basses du territoire se trouvent au-dessus de plusieurs nappes phréatiques[27].
Urbanisme
Typologie
Hondainville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[28],[29],[30].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[31],[32].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,2 %), terres arables (30,7 %), zones urbanisées (5,8 %), eaux continentales[Note 8] (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %), prairies (0,1 %)[33].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[34].
Hameaux et lieux-dits
En dehors du chef-lieu, la commune ne possède qu'un seul hameau, Butteaux au nord-est. On compte plusieurs écarts : le château de la Garenne et le moulin à eau communal au sud-est[3].
Morphologie urbaine
Toponymie
Hondainville s'est appelé anciennement Undanisvilla en 974, Hondenvilla en 1202 puis Odonis Villa[1].
Histoire
Des sarcophages de pierre et de nombreux objets anciens ont été découverts sur la colline Saint-Aignan, attestant ainsi l'ancienneté de l'occupation du lieu. Le village aurait existé autrefois à l’endroit où se trouve aujourd’hui le cimetière et où on a retrouvé les traces d’une ancienne église[1].
La terre d'Hondainville est achetée en 1780 par Charles Paul Jean Baptiste de Bourgevin Vialart de Saint-Morys. Il fait construire un manoir à la place de l'ancien château où il installe son cabinet d'histoire naturelle et sa collection de tableaux.
Ayant fait partie de l'émigration française en 1790, sa collection est saisie et le château transformé en prison. Ayant divorcé en 1794, la propriété est divisée en deux. Sa femme, Éléonore Élisabeth de Beauterne de Jauville, est propriétaire de la moitié, l'autre est achetée par le colonel Guillaume-Michel Barbier-Dufay et fait détruire le château. Son fils, Charles Étienne de Bourgevin Vialart de Saint-Morys, revient en France. Après la chute du Premier Empire, il est maréchal de camp, lieutenant-général des armées, lieutenant des gardes du corps de Louis XVIII. Il est nommé maire d'Hondainville. Il est tué au cours d'un duel par le colonel Barbier-Dufay, le .
En 1900, le village comptait deux briqueteries, deux moulins à foulon, une fabrique de lacets et deux cafés[1].
De 1825 à 1832, la commune, instituée lors de la Révolution française, a été fugacement absorbée de 1825 à 1832 par celle de Saint-Félix avant de retrouver son autonomie[35].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1793 du canton de Mouy[35]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont dépend toujours la commune, est modifié et s'étend de 11 à 35 communes.
Intercommunalité
La commune faisait partie de la c de communes du Pays de Thelle,, créée en 1996.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[36], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités, et en particulier de la communauté de communes du Pays de Thelle et de la communauté de communes la Ruraloise, formant ainsi une intercommunalité de 42 communes et de 59 626 habitants[37],[38].
La nouvelle intercommunalité, dont est membre la commune et dénommée provisoirement communauté de communes du Pays de Thelle et Ruraloise, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [39].
Liste des maires
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].
En 2021, la commune comptait 727 habitants[Note 9], en évolution de +5,52 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 348 hommes pour 370 femmes, soit un taux de 51,53 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Enseignement
La commune dispose d'une école de deux classes en 2016, qui scolarise les enfants du regroupement pédagogique intercommunal constitué avec Thury-sous-Clermont[1].
Économie
La commune s'est dotée d'une petite zone d’activités comprenant notamment en 2016 une société de conditionnement de produits de beauté (Mavala), une imprimerie, un garage de caravanes (JECO) et une société de transports (SANPICARL).
On note également deux campings et des étangs de pêche[1].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Hondainville ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire, l'Église Saint-Aignan (inscrite monument historique par arrêté du [46]) : Elle date des XIe et XVe siècles et possède une abside carrée et percée de trois fenêtres. Située sur une vaste pelouse, elle est adossée à un espace boisé.
On peut également noter :
- Château d'Hondainville : reconstruit après avoir été bâti en 1780 par Charles Paul Jean Baptiste de Bourgevin Vialart de Saint-Morys à l'emplacement d'un château plus ancien. Près du château, dans le bois au lieu-dit Élysée, on a réuni des monuments funéraires de divers époques.
- Jardins de Lombardie, propriété privée rarement ouverte au public, comprenant plus de mille charmes taillés en topiaire et des érables du Japon autour de l'hôtel presbytéral de 1770[47].
- Chapelle Saint-Antoine-de-Padoue, à l'entrée sud du village par la RD 12 : les fidèles venaient prier pour obtenir la guérison de la fièvre et pour retrouver les objets perdus.
- Grand lavoir couvert.
- Lavoir couvert près de l'église, à l'entrée de la rue du Bail : Il est établi sur un ruisseau et date de 1866.
- Calvaire, place de l'Eglise.
- Village fleuri : trois fleurs attribuées en 2004 par le Conseil des Villes et Villages Fleuris de France au Concours Régional des villes et villages fleuris[48].
-
Chapelle Saint-Antoine-de-Padoue.
-
Lavoir face à la chapelle Saint-Antoine.
-
Lavoir, rue du Bail - rue de l’Église.
-
Calvaire, place de l’Église.
Héraldique
Les armes de Hondainville se blasonnent ainsi : |
Personnalités liées à la commune
- Vialart de Saint Morys (1772-1817) : colonel et agronome, il devient propriétaire en 1780 du domaine d'Hondainville qui fut habité au XVIIe par Dupérier, président au Parlement de Paris.
- M. Schillings : officier sous la Restauration et gendre de M. de Saint-Morys, il a continué les travaux de son beau-père, terminé la construction de la maison gothique et embelli le domaine.
Voir aussi
Bibliographie
- Antoine-Joseph Warmé, Mouy et ses environs : Hondainville, Beauvais, Impr. de D. Père, , 520 p. (lire en ligne), p. 391-418
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[11].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[12].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
- Philippe Delattre, « Un joli bourg au bord du Thérain : Tout savoir sur le village d’Hondainville : Dix-septième opus de notre série d’articles consacrés aux villages de la Communauté de communes du Pays de Thelle et de la Ruraloise qui vont fusionner », L'Observateur de Beauvais, no 969, , p. 2.
- « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
- « Carte 1/15 000e » sur Géoportail..
- « Risques potentiels majeurs de la commune d'Hondainvile », sur macommune.prim.net (consulté le ).
- « Le rû de Lombardie », sur www.services.sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Transports en commun à Hondainville (carte et lignes) », sur www.oise-mobilité.fr (consulté le ).
- « Navette de regroupement pédagogique intercommunal », sur www.oise-mobilité.fr (consulté le ).
- « Dessertes du réseau Pass'Thelle Bus », sur www.passthellebus.com (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
- « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
- D. L., « Oise : six collectivités fusionnent », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « CC du Pays de Thelle et Ruraloise (N° SIREN : 200067973) », Fiche BANATIC, Ministère de l'intérieur, .
- « Michèle Brichez nouvelle maire : Robert Ros, maire depuis 1995, vient de quitter son fauteuil de premier magistrat pour se consacrer entièrement au syndicat des eaux récemment créé entre la commune et Thury-sous-Clermont », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Hondainville (60317) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Notice no PA00114717, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Débauche de couleurs aux jardins de Lombardie », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne).
- « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise, .