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Tortequesne

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Tortequesne
Tortequesne
La mairie derrière le monument aux morts
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC Osartis Marquion
Maire
Mandat
Jean-Paul Pont
2020-2026
Code postal 62490
Code commune 62825
Démographie
Population
municipale
861 hab. (2021 en évolution de +8,71 % par rapport à 2015)
Densité 255 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 17′ 24″ nord, 3° 02′ 23″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 71 m
Superficie 3,37 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Lécluse
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brebières
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Tortequesne
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Tortequesne
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Tortequesne
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Tortequesne
Liens
Site web http://www.tortequesne.fr

Tortequesne est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

Géographie

Description

La commune de Tortequesne se situe sur la D 956 entre Douai et Bapaume, dans le triangle Arras, Cambrai, Douai, dans la vallée de la Sensée.

Elle est traversée par le Sentier de grande randonnée GR 121.

Communes limitrophes

Hydrographie

La Sensée est une rivière qui a été détournée en 1963 dans la Marche Navire dont le lit délimite la frontière entre le Nord et le Pas-de-Calais. Elle traverse un décanteur créé dans l'étang de Tortequesne, pour rejoindre ensuite les étangs de Ecourt, Palluel et Arleux (confluence). Elle se jette dans le canal du Nord à Arleux.

Urbanisme

Typologie

Tortequesne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle fait partie intégrante de la communauté de communes OSARTIS-MARQUION, qui regroupe 49 communes et dont le siège est implanté à Vitry en Artois.

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[4],[5].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (68,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,6 %), zones urbanisées (17,2 %), zones humides intérieures (11,4 %), prairies (6,8 %), forêts (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[6].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

Toponymie

Le nom du village, Tortequesne, est parfois orthographié Tortequenne[8].

Tortequesne ou Tortequenne ?

Pourquoi connaissons-nous deux orthographes différentes pour désigner cette localité ? Quelle est l'origine de cette dualité ?

Comme tous les villages et villes de France, le patronyme du village de Tortequesne (ou Tortequenne ?) a constamment évolué au cours de ces derniers siècles.

Les traces les plus lointaines que l'on connaisse relatent d'un « chevalier François de Torteken qui figure au tournoi d’Anchin en 1096 » ou encore du « village de Torken, ou Torquenne » en 1722[9].

Cependant, l'orthographe actuelle « Tortequesne » existait dès le XIVe siècle, non pas pour désigner la localité, mais pour qualifier la famille de Tortequesne, propriétaire de la seigneurie d’Hamel. La famille de Tortequesne s’éteindra en 1533 avec la mort de Philippe de Tortequesne. Ses armoiries constituent aujourd'hui celles de la commune d'Hamel[10].

Les cahiers de doléances de la Révolution française témoignent de l'orthographe « Tortequesne » en 1789, mais Tortequenne prenait déjà 2 « n » sur les cartes de Cassini en 1745.

Les deux orthographes ont ensuite coexisté jusque notre période contemporaine, même si l'usage voulait que Tortequenne soit généralement ainsi orthographié jusqu’aux années 1980.

Mais cette liberté de choix devint incompatible avec la révolution informatique naissante dans les années 1980. Le secrétaire de mairie M. Christian Debert essuya donc les plâtres sur l'écran de son minitel flambant neuf.

Quelle n’était pas sa stupéfaction quand la machine refusait de valider des dossiers de Tortequenne sous prétexte que la commune n’existait pas. Pourquoi ce refus ? S'étant enquis auprès du ministère de l'Intérieur, les différents services du minitel, système embryonnaire de notre internet, avaient opté pour « Tortequesne » dans leur programmation.

La rigueur et le système binaire de l'informatique allaient mettre un terme à plus de 200 ans de coexistence orthographique. C'est ainsi que « Tortequesne » devint l'orthographe officielle[8]

« Torteken, Torquenne dans les chartes. Ce nom semble indiquer un lieu consacré à Thor ou Teutates, dieu de la guerre chez les Gaulois, au temps où le culte druidrique florissait en cette contrée. Le chevalier Frémin de Torteken figure au tournoi d’Anchin en 1096. Au XIIe siècle, ce village dépendit de la châtellerie de Lécluse. »[11] Le nom est également issu du gaulois cassanos signifiant chêne[12].

Histoire

Le village de Tortequesne représenté dans l'album De Croy.

Données historiques :

1297 : en juin, le roi de France Philippe le Bel, entrant en Flandre, s'empare du château de Tortequesne[13].

1304 : la garnison française de Douai prend le château et le brûle...tordam caudam ceperuntnet castellum combusserunt[14]....

1597 : mention de...Jeban Desmaretz, sieur du chastel lèz Tortequenne[15]...

1632 : sentence de la gouvernance de Douai...un vieux chasteau, dongeon, fossetz et singles[16]....

1694 : relief de Lécluse, au profit de Louis Crule ...le chastelet de Tortequesne, et autrement Mont-Héricourt, se consistant en un chasteau, cense, enclos et fossetz[C'est-à-dire ?][17]....

1722 : dénombrement servi par le sieur Crulle... un donjon...au village de Torquesne, que l'on dit de Montéricourt et vulgairement du châtelet, la bassecourt...entourés de fossetz[18]….

1785 : dénombrement servi par Louis Cresle:...fief du châtelet, sans seigneurie, etc. donjon et châtelet enclos d'eau, maisons, édifices, granges, étables, maréchaussées, colombiers, manoirs...fief de Montericourt et vulgairement du châtelet, tenant deux sens à la chaussée de Lécluse à Douay, canal appelé le Buironneau, rendant eau auxdits fossés[19]...

Le châtelet de Tortequesne, qui commandait le passage de la Sensée sur la route de Douai à Bapaume par Lécluse, était semble-t-il une dépendance du château de Lécluse.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Vitry-en-Artois[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Brebières

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Intercommunalité

Tortequesne était membre de la communauté de communes Osartis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1999 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet du Pas-de-Calais le [21], cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Osartis Marquion dont est désormais membre la commune.

Liste des maires

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1796 1814 Charles-Joseph Dagniaux    
1813 1816 Pierre-François Barree    
1816 1833 Louis Dubois    
1833 1841 Charles Ricq    
1841 1869 Louis Lefebvre    
1869 1870 François Rigomont    
1870 1871 Charles Lefebvre    
1872 1876 Aimable Richard    
1876 1878 Aimé Lefebvre    
1878 1884 Aimable Richard    
1884 1904 Nicolas Rigomont    
1904   Charles Lefebvre    
1904 1908 Charles-Henri Vauchez    
1908 1911 Nicolas Rigomont    
1911 1912 Louis Richard    
1912 1925 René Lefebvre    
1925 1929 Gustave Pennequin    
1929 1945 Raymond Stienne    
1945 1967 Jules Godin    
1967 1977 Léon Waymel[Note 3]   Agriculteur
1977 1980 Jean Fauveaux    
1980 1989 André martin    
1989 2001 Jean Caron    
2001 2014 André Martin   Retraité de Stora Enzo
2014 mai 2020[23] Bernard Mayeux   Retraité de Stora Enzo
mai 2020[24],[25] En cours
(au 2 décembre 2020)
Jean-Paul Pont   Retraité Usine Renault Douai

Distinctions et labels

En 2010, la commune de Tortequesne est récompensée par le label « Ville Internet @ »[26].

Équipements et services publics

  • Salle polyvalente du Mont Bédu inaugurée sous le mandat du Maire Bernard Mayeux.
    La salle polyvalente du Mont-Bédu construite au cours du mandat du Maire Bernard Mayeux est inaugurée le samedi 8 septembre 2018.
L'école Léon-Waymel, vue de la rue de Bellonne.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[28].

En 2021, la commune comptait 861 habitants[Note 4], en évolution de +8,71 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
422469509572567557578584567
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
573629648661674653613591537
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
514487464348387392387401403
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
415489504578719686713716724
2017 2021 - - - - - - -
826861-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 422 hommes pour 414 femmes, soit un taux de 50,48 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,0 
3,6 
75-89 ans
5,6 
14,6 
60-74 ans
16,2 
19,2 
45-59 ans
19,6 
25,4 
30-44 ans
24,7 
12,2 
15-29 ans
13,2 
24,2 
0-14 ans
19,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,6 
75-89 ans
8,9 
16,7 
60-74 ans
18,1 
20,2 
45-59 ans
19,2 
18,9 
30-44 ans
18,1 
18,2 
15-29 ans
16,2 
19,9 
0-14 ans
17,9 

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Le monument aux morts du cimetière est érigé en 1928 pour honorer la mémoire des Poilus de Tortequesne morts pour la France lors de la Première Guerre mondiale.
    e lundi 19 avril 1928, Fernand Lefebvre, Charles Richard, François Lefebvre et Antoine Dhorme, tous les quatre anciens combattants de la grande guerre, créent le comité de construction du monument.
    Le 22 avril, une souscription à laquelle répond la quasi totalité du village, récolte la somme de 1675,50 francs pour l'érection de ce monument.
    La marbrerie Lefebvre- Hanard de Vitry en Artois et l'entreprise de maçonnerie Norbert Lefranc Fauveaux de Estrées se voient confier les travaux.
    L'inauguration eu lieu le avec le concours de la municipalité, de la compagnie des sapeurs pompiers de Tortequesne, de la musique municipale de Lécluse, et avec la présence de presque toute la population de Tortequesne[32].
  • Le monumnt aux morts devant la mairie, qui a perdu dans les années 1980 la statue édifiée à son sommet[33]
  • L'église actuelle, paroisse Saint-Martin, fut bâtie en 1827, aux frais de la commune et grâce à la générosité de madame la marquise de la Rianderie. Partiellement détruite lors des bombardements de 1917, elle fut dotée de son clocher actuel au sortir de la grande guerre. Initialement, le clocher abritait deux cloches. La plus petite des deux est disparue dans les années 1960. Elle fut vendue pour financer les travaux d'électrification de la sonnerie.
En 1923, la cloche Jeanne Juliette fut érigée dans le clocher et baptisée en présence du curé de la paroisse, Jules Corroyer, et de René Lefebvre, maire de la commune de Tortequenne. Sur la cloche, on peut lire l'inscription suivante :
« Je fus baptisée à Tortequenne en 1923 par Jules Corroyer, curé et en présence de René Lefebvre, maire.
Je me nomme Jeanne Juliette. J'ai pour parrain, Jean Baptiste Pecqueur et pour marraine, Juliette Cayet. La victoire des poilus m’a mise dans ce clocher pour tenir la place d’une sœur morte au Champ d’Honneur. Symbole de la résurrection du village, je veux éternellement chanter la paix pour les vivants et pour les morts ».
  • Les plaques de cocher de Tortequesne :
    En 1835, à la suite d'une circulaire des préfets et de l'administration des Ponts et Chaussées, l'ensemble des routes de France est équipé de plaques indicatrices. Ces plaques de fonte étaient situées aux entrées, sorties et carrefours des villes et villages, à une hauteur de 2,30 m pour être visibles des cavaliers et des cochers.
    Ces plaques, devenues rares aujourd'hui, de par les destructions des dernières guerres doivent être préservées et sont propriétés de la commune. Il en subsiste deux à Tortequesne, visibles sur les axes anciennement nommés « chemin de grande communication n°10 » et « chemin de grande communication n°43 ».

Modèle:Message galerie

Personnalités liées à la commune

  • Louis Thbaut, né à Aniche, le , 1er au concours général de dissertation française en 1943, devient instituteur puis professeur de collège ; il reprend des études universitaires en 1969 ; il obtient le titre de docteur de 3e cycle avec une thèse sur Pierre-Joseph Laurent ; cofondateur de la Société d'histoire d'Aniche ; il décède le en Lozère et est inhumé dans le carré des pauvres à Tortequesne[réf. nécessaire].
  • Louis Dubois : grognard de Napoléon. Dubois Louis est mort en 1874 à l'âge de 84 ans, cultivateur à Tortequesne, rue de Sailly (habitation actuelle de M. et Mme Jean Caron) ; il serait donc né en 1790 pendant la Révolution. C'est son frère plus âgé qui a été appelé par Napoléon à l'âge de 20 ans, vers 1809 ; mais c'est Louis, plus jeune frère qui est parti à sa place. Il n'aurait pas donné signe de vie à sa famille pendant sept ans ; pourtant il savait lire et écrire puisqu'il était caporal au 67e Régiment de ligne dont il a suivi les campagnes. Il serait revenu de Russie à pied en faisant des petits boulots pour survivre sur la route Napoléon Ier à l'île d'Elbe, Louis XVIII devenu roi de France le décora de la Fleur de Lys à Nîmes le où le 67e régiment de ligne était cantonné.
    Napoléon III, honorant le vœu de son illustre oncle décora Louis Dubois de la médaille de Sainte-Hélène (décret du [34]).

Héraldique

Blason de Tortequesne Blason
D'argent à la champagne du même chargée de huit vergettes de sable, au chêne tordu arraché de sinople au tronc aussi de sable brochant sur le tout.
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Avant 1985, la commune ne possédait pas de blason officiel. A la demande de la municipalité, Francis Détournay, un dessinateur local a créé ce blason au chêne tordu, en référence à l'étymologie du nom de Tortequesne.

Pour approfondir

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Articles connexes

Liens externes

  • « Tortequesne », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

Notes et références

Notes

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. L'école de la commune porte le nom de ce maire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  8. a et b « Alors, Tortequesne ou Tortequenne? : Pourquoi existe-t-il deux orthographes différentes pour désigner cette localité : Tortequesne et Tortequenne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  9. Sources : Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais de Louis Joseph Harbaville. 1842
  10. Sources : Serge Dormard, Hamel, histoire d’un village du Douaisis
  11. (fr) Mémorial historique et archéologique du département du Pas-de-Calais par Louis Joseph Harbaville (1842), page 277
  12. Henriette Walter, L'Aventure des mots français venus d'ailleurs, Robert Laffont, p. 44
  13. Le Glay, 1843, II, p. 180
  14. Lettenhove, histoire, I, p. 484, cité par B.M.D, Mn, 1695
  15. B.M.D. Mn 1695 p. 260
  16. B.M.D. Mn 1695 p. 173
  17. B.M.D. Mn 1695 p. 1265
  18. B.M.D. Mn 1695 p. 269
  19. B.M.D. Mn 1695
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Arrêté préfectoral portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ), p. 10.
  22. Ces données sont issues des archives municipales.
  23. Nathalie Labreigne, « Premier et dernier mandat de maire pour Bernard Mayeux à Tortequesne : En six ans, il a réalisé d'avantage que ce qu'il avait prévu pour la commune. Mais l'élu veut désormais réserver du temps pour sa famille. En mars, il passera la main », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Tortequesne : le premier adjoint Jean-Pierre Pont se présente aux municipales : Le premier adjoint entend poursuivre le travail qu'il a commencé aux côtés du maire, Bernard Mayeux », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Jean-Pierre Pont élu maire à Tortequesne : Ancien premier adjoint de Bernard Mayeux, Jean-Pierre Pont prend sa succession à la mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Palmarès 2010 des Villes Internet sur le site officiel de l'association. Consulté le 19 décembre 2009.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tortequesne (62825) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  32. source compte rendu écrit par Fernand Lefebvre
  33. « Tortequesne: le monument aux morts se situe devant la mairie : Initialement surmonté de son célèbre poilu, une tempête survenue dans les années 80, a littéralement déboulonné la vaillante sentinelle du haut de son socle. La statue n’a pas résisté à cette chute fatale. Seule la colonne pyramidale reste identique à l’état d’origine. Elle est ornée de la croix de guerre attribuée à la commune de Tortequesne le 23 septembre 1920 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Pages histoire du site de la commune de Tortequesne