Mundolsheim

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Mundolsheim
Mundolsheim
Blason de Mundolsheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Strasbourg
Intercommunalité Eurométropole de Strasbourg
Maire
Mandat
Béatrice Bulou
2020-2026
Code postal 67450
Code commune 67309
Démographie
Gentilé Mundolsheimois
Population
municipale
5 074 hab. (2021 en augmentation de 6,46 % par rapport à 2015)
Densité 1 208 hab./km2
Population
agglomération
487 063 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 38′ 40″ nord, 7° 42′ 54″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 184 m
Superficie 4,2 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Strasbourg (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Strasbourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Hœnheim
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://www.mundolsheim.fr/

Mundolsheim (prononcé [mundɔlsaɪm] ; Mundelse en alsacien) est une commune française de Strasbourg Eurométropole située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Mundolsheim se situe à 8 kilomètres au nord de Strasbourg (latitude 48,65 ; longitude 7,7), dans l’arrondissement de Strasbourg, à une altitude comprise entre 137 mètres (au niveau de la Souffel) et 185 mètres (au lieu-dit du Holderberg) et s’étend sur 412 hectares.

Par sa situation géographique, elle est rapidement passée du statut de commune rurale à celui de petite ville dynamique, puisqu’elle compte sur son territoire de nombreuses entreprises réparties sur trois espaces : les zones d’activités des Maréchaux et des Floralies et le parc des Découvertes. Elle est également desservie par de nombreux axes de communication : le chemin de fer, l’autoroute A4 et la route de Brumath.


Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 673 mm, avec 8,6 jours de précipitations en janvier et 10,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −23,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mundolsheim est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Strasbourg (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 23 communes[11] et 487 063 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 268 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (50,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (52,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (35 %), terres arables (32,5 %), zones agricoles hétérogènes (16,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par plusieurs moyens de transport.

Bus[modifier | modifier le code]

  • La ligne 75 de la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS) dessert la commune (départ de l'arrêt Les Halles - Sébastopol) aux arrêts Collège, Petite, Berlioz, Mundolsheim Parc, et Spesbourg.
  • La ligne 73 dessert les arrêts Collège, Petite, Saules, Mundolsheim Mairie et Anémones.
  • La ligne 60 dessert les arrêts Mundolsheim Découverte, Électricité, Anémones, Mundolsheim Mairie, Saules, Berlioz, Mundolsheim Parc, et ZAC des Maréchaux.
  • La ligne C9 dessert l’arrêt Anémones.

Vélo[modifier | modifier le code]

L'itinéraire cyclable franco-allemand de la piste des forts, qui épouse l'ancienne ceinture de la place fortifiée de Strasbourg sur 85 kilomètres, passe notamment par Mundolsheim.

Voiture[modifier | modifier le code]

Accès autoroute A4 – sortie no 49.

Voies ferrées[modifier | modifier le code]

La gare de Mundolsheim, située sur la ligne Paris - Strasbourg, est desservie par les trains TER Alsace en direction de Strasbourg, Haguenau et Wissembourg[17].

Une partie du triage de Hausbergen est située sur le territoire de Mundolsheim.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Munholtesheim en 1120, Munoltzheim en 1381[réf. nécessaire].

Semble formé sur un nom de personne mun-holt « à la pensée fidèle » et Heim, terme germanique équivalent des mots français foyer, maison et village[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Les vestiges les plus anciens qui ont été retrouvés remontent à 5 000 ans av. J.-C. À cette époque, trois villages d’agriculteurs existaient à l’emplacement du village actuel. Par la suite, la présence de population sur le secteur reste toujours très importante.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le nom du village est cité pour la première fois en 1120. La première mention d’un château fortifié qu’on pense pouvoir situer sur le Glœckelsberg, à l’emplacement de l’actuel site botanique apparait en 1198.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Du XIIe au XVIIIe siècle, le village fut le théâtre de plusieurs batailles. Il a particulièrement souffert lors du XVIIe siècle. Durant la guerre de Trente Ans, le village fut pillé, détruit, épuisé par les cantonnements et la population dut payer de lourdes contributions de guerre. De plus, en 1644, le village fut mis à sac par les Croates. Durant la guerre de Hollande (1673-1679), des soldats prirent leurs quartiers dans le village. On exigea des habitants du pain, du vin, de la viande, du foin et de l’avoine pour les chevaux. Durant la même période, un orage d’une rare violence ravagea toute la région et détruisit la moitié des céréales d’hiver et la totalité des récoltes d’été. Enfin, en février 1675, arrivèrent les armées impériales qui firent beaucoup plus de dégâts que la guerre de Trente Ans. L’hiver 1788-89 fut d’une extraordinaire rigueur et ce fut la disette.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Le , le village perdit en une seule nuit 39 maisons et 84 autres bâtiments dans la bataille de La Souffel que livra le général Rapp pour protéger Strasbourg. Le reste des maisons fut fortement endommagé. En tout, 168 familles sont touchées. En 1818, toutes les communes d’Alsace, connurent une période de disette et de grande pauvreté. De plus, la commune dut faire face à sa reconstruction quasi totale.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

De 1901 à 1902 une batterie, la Kirschbaum-Batterie, fut construite sur le site historique du Glœckelsberg où se trouvait, au Moyen Âge, le château du Haldenburg. Au début de la Seconde Guerre mondiale, la batterie des Cerisiers a servi pour pilonner la rive droite du Rhin. Pendant l’occupation, les canons ont été démontés et l’ouvrage n’a donc pas pu servir lors de la libération de l’Alsace en 1945. À l’issue de la guerre, les fortifications de Strasbourg n’ont plus présenté d’intérêt militaire et la batterie des Cerisiers a été entièrement détruite. Le site a été acquis par la commune en vue d’aménager un dépôt d’ordures ménagères. Recouvert de terre végétale après sa fermeture, le site a été aménagé en 1992 en parc botanique. Ces bouleversements de terrain ont fait disparaître les traces de la batterie des Cerisiers et celles des vestiges du château médiéval du Haldenbourg.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Camille Roth DVD Réélu en 1977, 1983 et 1989
Norbert Reinhardt DVG Directeur commercial retraité
Élu en 1989, réélu en 1991, 1995, 2001 et 2008
En cours
(au 31 mai 2020)
Béatrice Bulou [18] DVG Cadre supérieure
Vice-présidente de l'Eurométropole de Strasbourg (2015 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École élémentaire Leclerc ;
  • École maternelle Leclerc ;
  • École maternelle du Haldenbourg ;
  • Collège Paul-Émile-Victor.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 5 074 habitants[Note 4], en augmentation de 6,46 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
436364342386417424423418428
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
405413423407439571483764748
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6386467406617739651 2621 3561 584
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 0153 2263 5453 3434 6985 2705 0504 8674 741
2021 - - - - - - - -
5 074--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • En juin : la Fête de l'été ;
  • en juillet : le bal populaire ;
  • deuxième week-end de septembre : vide-grenier et Messti du village ;
  • en septembre : Journée du patrimoine ;
  • en novembre : soirée moules frites ;
  • deuxième week-end de décembre : Marché de Noël.

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

  • AS Mundolsheim (football) ;
  • Pétanque club de Mundolsheim ;
  • UVMH (handball) ;
  • Club d'échecs de Mundolsheim ;
  • Basket club de Mundolsheim ;
  • Judo club de Mundolsheim ;
  • Badminton club de Mundolsheim ;
  • Vélo club fraternité ;
  • Forme et Détente de Mundolsheim ;
  • Rando Cool ;
  • Tennis club de Mundolsheim;
  • Tennis de table ;
  • Volley-ball Club de Mundolsheim

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

L'ancienne mairie, située à l’angle de la rue du Général-de-Gaulle et de la rue Petite a été construite en 1855 à l’emplacement de la Laube, une construction composée d’un toit sur des piliers, destinée à surveiller les cabaretiers qui ne devaient vendre que le vin des Joham, les seigneurs du village.

Le centre possède des maisons à pans de bois construites à partir de 1816 après la quasi destruction du village lors de la bataille d'Alsace en 1815. À noter également l’ancienne forge, 36 rue du Général-de-Gaulle, qui était déjà présente en 1741. C’est l’un des rares bâtiments à avoir échappé à l’incendie de 1815.

Mundolsheim possède deux ouvrages des fortifications militaires édifiées par les Allemands après la cession de Strasbourg en 1871 : le fort Roon, rebaptisé Desaix, et le fort Podbielski, aujourd’hui fort Ducrot. Les fossés du premier ont été aménagés en stands d’entraînement par la société de tir de Strasbourg. Le second servira en 1939 à pilonner la ligne Siegfried puis, en 1945, de cantonnement aux soldats américains de la VIIe armée et ceux de la 3e division d’infanterie algérienne, jusqu’à la contre-offensive menée contre la poche de Gambsheim.

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église protestante est située rue de l’église. Le portail intérieur fait partie du clocher primitif du XIIe siècle, des animaux fabuleux y figurent. En 1729, la nef qui n’est pas reliée au clocher porche est rehaussée d’environ 1,50 m et les grandes fenêtres sont percées. L’église, dont le porche est classé monument historique, abrite les tombeaux de huit Joham de Mundolsheim, seigneurs des lieux. Le clocher abrite trois cloches dont la plus ancienne, fondue par Mathias Edel, date de 1769. L’orgue de Michel Stiehr et Xavier Mockers de Seltz y est installé en 1822.

Une chapelle dédiée à la Vierge se trouvait autrefois au lieu-dit Auf der Kapelle, au bout de la rue de la chapelle. Construite au plus tard au XIe siècle puis agrandie à l’époque gothique, elle est au Moyen Âge le siège d’un pèlerinage dédié à la Vierge. L’édifice a apparemment été abandonné puis est tombé en ruines dans la seconde moitié du XVIe siècle en raison de l’implantation dans la région du protestantisme, qui a mis un terme au culte de la Vierge[23].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Mundolsheim

Les armes de Mundolsheim se blasonnent ainsi :
« D'argent au sautoir alésé de gueules. »[25].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

"Mundolsheim" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Mundolsheim et Entzheim », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Strasbourg-Entzheim », sur la commune d'Entzheim - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Strasbourg (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Strasbourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Halte ferroviaire de Mundolsheim sur le site de la SNCF.
  18. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Châtelet-Lange 2014, p. 9-10.
  24. Musée alsacien
  25. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).