Michèle Mercier
Nom de naissance | Jocelyne Yvonne Renée Mercier |
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Surnom | Michèle Mercier |
Naissance |
Nice, (Alpes-Maritimes), France |
Nationalité | Française |
Profession | ActriceÉcrivaineBallerineChanteuseDanseuse |
Films notables |
Tirez sur le pianiste L'Aîné des Ferchaux Angélique, marquise des anges Merveilleuse Angélique |
Jocelyne Mercier, dite Michèle Mercier, née le à Nice, est actrice, chanteuse, danseuse, ballerine et écrivaine française.
Son nom est notamment attaché à la série cinématographique des Angélique.
Élevée au rang de sex-symbol dans les années 1960, la comédienne s'est efforcée par la suite de se libérer de ce personnage mythique qui marqua fortement sa carrière.
Biographie
Débuts
Jocelyne Yvonne Renée Mercier est la fille aînée d'un pharmacien français et d'une mère italienne[1]. Elle rêvait petite de devenir une grande étoile de la danse. À huit ans, elle entre à l'école de danse de l'opéra de Nice comme petit rat[1]. Mais, fille et petite-fille de pharmaciens propriétaires de laboratoires pharmaceutiques et cosmétiques, sa voie est tracée par avance : elle reprendra l'affaire familiale. C'est par un refus catégorique qu'elle s'oppose à ses parents.
Dans l'un de ses livres de souvenirs, Michèle Mercier parle de son premier amoureux, le mystique Giani Esposito, pour lequel elle refusa d'épouser le shah d'Iran[2]. En 1959, elle rencontre le jeune assistant réalisateur André Smagghe en Italie, sur le plateau du film Les Nuits de Lucrèce Borgia et l'épouse en 1961. Leur union ne dure pas, Smagghe sombre dans l'alcoolisme, il est interné en raison de problèmes psychiatriques. Dès lors, tout divorce devient impossible. Ce n'est qu'au bout de nombreuses années de procédure et au prix d'une pension importante qu'elle verse à son mari, que Michèle Mercier obtient le divorce en 1967. Entre-temps, Michèle est devenue un sex-symbol mondial.
Michèle Mercier épouse Claude Bourillot, ancien chargé de mission sous la présidence d'Alain Poher après la démission du général De Gaulle en 1969, en secondes noces. La série des Angélique s'interrompt brutalement, pour une raison inconnue. Lasse d'être assimilée au personnage du film, Michèle Mercier part avec son mari pour Hollywood où elle caresse l'espoir de devenir productrice. Elle y reste de 1973 à 1976 mais son ambition est un échec. Ils divorcent en 1976, et Michèle Mercier rentre en Europe[1].
Seule, ruinée et oubliée, elle retourne à Paris où elle revient vers le théâtre. À Genève elle rencontre un homme d'affaires, se met en ménage avec lui et décide d'abandonner les tournages pour élever les deux enfants de ce dernier[1]. Au bout de deux années d'un bonheur sans nuage, son ami meurt d'un cancer. Mais ils n'étaient pas mariés, et elle se retrouve financièrement dépourvue[1]. Quelque temps après, elle rencontre un prince romain et part vivre à Rome avec lui mais, trois ans plus tard, elle constate qu'il n'est plus amoureux d'elle. Déçue, Mercier rentre à Paris[1].
En 1996, lors d'un diner mondain, elle fait la connaissance de René Leporc, un Fécampois de 18 ans son cadet, et tombe amoureuse de lui. Cependant, elle ignore que l'homme avec qui elle accepte de fonder une maison d'édition à Cannes pour publier ses mémoires et les ouvrages d'amis du show-business, est un escroc déjà connu de la justice pour d'autres affaires frauduleuses et condamné à 15 ans d'interdiction de gestion de société. La maison d'édition créée, René Leporc falsifie des chèques, allant jusqu'à scanner la signature de l'actrice pour faire des virements sur son compte personnel et 400 000 euros seront alors détournés. Démasqué, Leporc fuit la France et part s'installer au Viêt Nam où il fonde une société de pêche. En 1999, l'actrice confesse à Nice-Matin : « Je suis ruinée. Je vais devoir vendre une partie de mes tableaux, mes meubles, mes bijoux et les vêtements que portait Angélique dans ses films ». En 2008, Leporc est condamné par défaut en appel par la Cour d'appel d'Aix-en-Provence à 18 mois de prison ferme, 150 000 euros d'amende, ainsi que 15 000 euros pour préjudice moral et 44 160 euros de préjudice matériel. Vivant toujours au Vietnam, un mandat d'arrêt a été délivré à son encontre[3],[4].
Carrière
Dès l'âge de 15 ans, la future Michèle Mercier interprète une jeune danseuse dans le film J'avais 7 filles dont le rôle principal est joué par Maurice Chevalier.
À 17 ans, Jocelyne Mercier part pour la capitale pour se joindre aux ballets de Roland Petit[5] puis aux Ballets de la Tour Eiffel[1]. Son rêve se réalise sur les planches du théâtre des Champs-Élysées où elle danse Gosses de Paris chorégraphié par Pierre Lacotte sur une musique de Charles Aznavour. La compagnie disparaît faute d'argent. Parallèlement, elle suit des cours d'art dramatique avec Solange Sicard. Après un séjour à Londres, elle commence une carrière d'actrice au théâtre[1]
En 1956, Michèle Mercier revient à Nice pour passer les fêtes de Noël chez ses parents et, par le plus pur des hasards, rencontre deux personnages qui vont beaucoup compter dans sa vie future : Denis de la Patellière et Michel Audiard qui lui proposent d'être Jeanne, la femme de chambre, auprès de Michèle Morgan et Daniel Gélin dans Retour de manivelle, un film qui doit commencer dans quelques jours. Sa réponse est : « Non merci, je n'ai pas envie de faire de cinéma! Je suis danseuse et mon seul rêve est de danser ! »
C'est sous la pression de son père, que cela amuse plus que sa fille de « la voir au moins une fois sur les écrans », que Michèle accepte par curiosité de tourner dans ce film. Elle vient d'avoir 18 ans et prend le prénom de Michèle en l'honneur de Michèle Morgan[1] (pour d'autres sources, ce serait plutôt en hommage à sa plus jeune sœur décédée d'une typhoïde à l'âge de cinq ans).
Dès lors, elle n'arrêtera plus de tourner.
Remarquée par Léonide Moguy, elle sera la vedette de son second film Donnez-moi ma chance (1958). Le réalisateur Géza von Radványi lui propose un second rôle dans Mademoiselle Ange (1959), film dont les têtes d'affiche sont Romy Schneider et Henri Vidal. Suit Tirez sur le pianiste (1960) dirigé par François Truffaut et dans lequel elle interprète le rôle d'une prostituée proche de Charles Aznavour. Robert Lamoureux en fait son personnage principal de La Brune que voilà (au théâtre en 1958 puis à l'écran en 1960). En 1959, Hollywood la réclame mais elle revient très vite sur l'ancien continent où l'Italie fait rapidement d'elle une star ; elle y travaillera avec Mario Bava, Luigi Zampa, Dino Risi (Les Monstres, le film le plus célèbre de Mercier avec la série Angélique), Mario Monicelli...
Elle enchaîne une cinquantaine de films dont une majorité en France, une vingtaine en Italie et quelques-uns au Royaume-Uni. Elle joue en italien et en anglais, langues qu'elle maîtrise parfaitement et parle couramment. Elle est la partenaire de nombreux grands noms du cinéma comme Jean Gabin, Yves Montand, Jean-Claude Brialy, Jean-Louis Trintignant, Vittorio Gassman, Marcello Mastroianni, Ugo Tognazzi, Bob Hope, Tony Curtis, Charles Bronson, Charlton Heston ; avec le premier elle tourne Le Tonnerre de Dieu, où elle devient sa fille adoptive, avec Jean-Paul Belmondo L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville, avec Jean Rochefort (avant les Angélique) Symphonie pour un massacre de Jacques Deray, avec Claude Rich Une Veuve en or de Michel Audiard...
Robert Hossein sera sept fois son partenaire dont quatre fois (il est en effet absent du deuxième épisode) dans les cinq films de la série culte des Angélique [6], qui désormais fait partie du patrimoine français et fait sauter l'audimat à chaque passage à la télévision : Angélique Marquise des Anges, Merveilleuse Angélique, Angélique et le Roy, Indomptable Angélique, Angélique et le Sultan. Elle fait corps avec son personnage :
« Dès l'instant où j'ai ouvert ces livres et commencé à les lire, j'ai su qu'Angélique était moi et que j'étais Angélique »
C'est pour cela qu'elle accepte, comme une débutante (elle a déjà plus de vingt films à son actif !), de se plier à des essais : au bout de deux jours, elle s'emporte et quitte le plateau, le regrettant aussitôt. Le lendemain elle apprend qu'elle est choisie[7]. Angélique sera, pour l'actrice, l'aboutissement et la fin d'une carrière. Enfermée dans ce rôle comme dans une prison dorée, son personnage lui colle littéralement à la peau. Elle ne parviendra jamais à s'en défaire aux yeux des professionnels du cinéma[8].
Un film comme Lady Hamilton ne confirme pas le statut international acquis grâce à Angélique. Les échecs consécutifs du film d'action Les Baroudeurs et de la comédie satirique Macédoine, que Michèle Mercier produit, participeront aussi à sa chute. En 1969, elle enregistre La Fille qui fait tchic ti tchic[9], une chanson de Serge Gainsbourg est un flop. Michèle Mercier disparaît pratiquement des écrans à partir de 1973. En 1991, elle confie son bon espoir de voir aboutir un de ses projets les plus chers : un film sur Diane de Poitiers. Le projet n'aboutira jamais. La même année elle est acclamée au festival de Cannes puis jurée au festival du cinéma de Moscou[10]. Elle revient devant l'objectif en 1998 avec La Rumbera de Piero Vivarelli et dix ans plus tard dans la série Vénus et Apollon.
Filmographie
Cinéma
- 1957 : Retour de manivelle de Denys de La Patellière : (Jeanne) avec Daniel Gélin, Michèle Morgan, Peter Van Eyck
- 1957 : Donnez-moi ma chance de Léonide Moguy avec Ivan Desny
- 1959 : Les Nuits de Lucrèce Borgia (Le notte di Lucrezia) de Sergio Grieco avec Belinda Lee, Franco Fabrizi et Jacques Sernas
- 1959 : La Ligne de mire de Jean-Daniel Pollet avec Yves Barsacq, Véra Belmont, Claude Melki et Édith Scob
- 1959 : Mademoiselle Ange (Ein Engel auf Erden) de Geza von Radvanyi (Augusta de Munchenberg) avec Romy Schneider, Henri Vidal et Jean-Paul Belmondo
- 1959 : Tirez sur le pianiste de François Truffaut : (Clarisse) avec Charles Aznavour, Marie Dubois et Nicole Berger
- 1960 : La Brune que voilà de Robert Lamoureux avec Robert Lamoureux
- 1960 : Le Saint mène la danse de Jacques Nahum avec Félix Marten
- 1961 : Aimez-vous Brahms... (Goodbye Again) d'Anatole Litvak avec Ingrid Bergman, Yves Montand et Anthony Perkins
- 1961 : Les Pirates de la nuit (Fury at Smugglers Bay) de John Gilling avec Peter Cushing, John Fraser et Bernard Lee
- 1961 : Les Mille et Une Nuits (Le Meraviglie di Aladino) de Henry Levin et Mario Bava avec Donald O'Connor, Fausto Tozzi, Vittorio De Sica et Mario Girotti (Terence Hill)
- 1961 : Le Boucanier des îles (Il Giustiziere dei mari) de Domenico Paolella avec Richard Harisson et Paul Muller
- 1962 : L'Île aux filles perdues (Le prigioniere dell'isola Del Diavolo) de Domenico Paolella avec Guy Madison et Paul Muller
- 1962 : Les Années rugissantes (Anni ruggenti) de Luigi Zampa avec Nino Manfredi et Gino Cervi
- 1963 : Symphonie pour un massacre de Jacques Deray (Madeleine Clavet) avec Jean Rochefort, Michel Auclair, Charles Vanel et Claude Dauphin
- 1963 : Les Trois visages de la peur (I tre volti della paura) de Mario Bava (Sketch du téléphone - Il telefono) avec Lidia Alfonsi
- 1963 : L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville (Lou) avec Jean-Paul Belmondo et Charles Vanel
- 1963 : La Pupa de Giuseppe Orlandi avec Ettore Manni
- 1963 : Via Veneto de Giuseppe Lipartiti avec Gérard Blain et Umberto D'Orsi
- 1963 : Il giovedì de Dino Risi avec Walter Chiari et Umberto D'Orsi
- 1963 : Les Monstres (I Monstri) de Dino Risi : sketch L'opium du peuple (L'oppio dei popoli) avec Ugo Tognazzi et Marino Mase qui joue l'amant
- 1963 : Haute Infidélité (Alta infedalta) de Mario Monicelli : sketch Des gens modernes - Gente moderna) avec Ugo Tognazzi et Bernard Blier
- 1964 : Papa play-boy de Jack Arnold avec Bob Hope, Barbara Bouchet et Yvonne De Carlo
- 1964 : Controsesso de Renato Castellani
- 1964 : Angélique, marquise des anges de Bernard Borderie : (Angélique) avec Robert Hossein, Giuliano Gemma et Jean Rochefort
- 1964 : Merveilleuse Angélique de Bernard Borderie : (Angélique) avec Claude Giraud et Jean-Louis Trintignant
- 1964 : L'Amour en quatre dimensions (Amore in quatro dimensioni) de Mino Guerrini : sketch L'Amour et la Mort (Amore e Morte) avec Alberto Lionello
- 1964 : Casanova 70 de Mario Monicelli avec Marcello Mastroianni, Virna Lisi, Marisa Mell, Marco Ferreri
- 1965 : Le Tonnerre de Dieu de Denys de La Patellière (Simone Leboucher) avec Jean Gabin, Robert Hossein
- 1965 : Angélique et le Roy de Bernard Borderie (Angélique) avec Jacques Toja, Sami Frey, Philippe Lemaire et Michel Galabru
- 1966 : La Seconde Vérité de Christian-Jaque avec Robert Hossein
- 1966 : I Nostri mariti de Luigi Zampa (sketch: Il complessi de Angelotto) avec Jean-Claude Brialy
- 1966 : Comment j'ai appris à aimer les femmes (Come imparai ad amare le donne) de Luciano Salce avec Robert Hoffmann et Nadja Tiller
- 1966 : Soleil noir de Denys de La Patellière avec Daniel Gélin et Valentina Cortese
- 1967 : Le Plus Vieux Métier du monde de Franco Indovina (sketch L'Amour à l'âge de pierre- L'eta della pietra)
- 1967 : Indomptable Angélique de Bernard Borderie (Angélique) avec Robert Hossein, Roger Pigaut et Ettore Manni
- 1967 : Une corde, un colt de Robert Hossein avec Robert Hossein
- 1968 : Angélique et le Sultan de Bernard Borderie (Angélique) avec Robert Hossein, Ali Ben Ayed et Jean-Claude Pascal
- 1968 : Les Amours de Lady Hamilton de Christian-Jaque avec Richard Johnson et John Mills
- 1969 : Une Veuve en or de Michel Audiard avec Claude Rich
- 1970 : Les Baroudeurs (You can't win 'em all) de Peter Collinson avec Tony Curtis et Charles Bronson
- 1970 : La Femme sandwich / Opération Macédoine de Jacques Scandelari avec Pierre Brasseur, Bernard Fresson et Robert Webber
- 1971 : Scandale à Rome de Carlo Lizzani avec Senta Berger, Virna Lisi, Nino Manfredi et Irene Papas
- 1971 : L'Amour de gré ou de force de Massimo Franciosa avec Carlo Giuffré
- 1971 : Les Fantômes de Hurlevent (Nella streeta morsa del ragno) d'Anthony Dawson avec Anthony Franciosa et Klaus Kinski
- 1972 : Le Viager de Pierre Tchernia avec Michel Serrault et Claude Brasseur
- 1972 : L'Appel de la forêt (Call of the Wild) de Ken Annakin avec Charlton Heston
- 1978 : Götz von Berlichingen mit der eisernen Hand ou Iron Hand (L'Homme au bras de fer) de Wolfgang Liebeneiner d'après Goethe, avec Raimund Harmstorf
- 1984 : Jeans Tonic de Michel Patient avec Géraldine Danon et Bernard Le Coq (participation amicale)
- 1998 : La Rumbera de Piero Vivarelli avec Franco Interlenghi
- 2011 : Celles qui aimaient Richard Wagner de Jean-Louis Guillermou
Télévision
- 1977 : Les Femmes du Monde de Georges Farrel avec Roger Hanin, Renée Saint-Cyr...
- 2003 : Il bello delle donne avec Stefania Sandrelli, Virna Lisi, Anita Ekberg...
- 2004: Krasnaya kapella d'Aleksandr Aravin (Russie)
- 2009 : Vénus et Apollon de Pascal Lahmani et Tonie Marshall (saison 2)
- 2013 : La Famille Katz (série en 6 épisodes) d'Arnauld Mercadier
Théâtre
- 1958 : La Brune que voilà de Robert Lamoureux, mise en scène de l'auteur, théâtre des Variétés (Sophie)
- 1979 : Le Bluffeur de Marc Camoletti
- 1984 : Banco ! d'Alfred Savoir, mise en scène Robert Manuel, théâtre de la Michodière
Ouvrages littéraires
En 1987 Michèle Mercier écrit une première autobiographie Angélique à cœur perdu préfacée par Roger Peyrefitte et publiée aux Éditions Carrere[11]. Elle ouvre une maison d'édition et publie un album photo intitulé Merveilleuse Angélique en 1995[12]. Une seconde autobiographie, Angéliquement vôtre[13], préfacée par Pierre Palmade, voit le jour à la fin de 1996. Comme pour revendiquer sa personnalité propre, Michèle Mercier écrit encore Je ne suis pas Angélique[8], paru aux Éditions Denoël en 2002 et qu'elle présente elle-même au Festival de Cannes cette même année. Elle y partage ses souvenirs de star internationale.
Récompense
- : promue chevalier de l'ordre des Arts et lettres par le ministre de la Culture Renaud Donnedieu de Vabres pour l'ensemble de son œuvre.
Disques
1970 45 tours: La fille qui fait tchic ti tchic (face A . Auteurs compositeurs : Serge Gainsbourg ) / Six huit (face B .Auteurs compositeurs : Guy Skornik) Pochette : A. Grassart Label : Disc'AZ Référence : SG 144[14]
Notes et références
- (en) « Michèle Mercier » (consulté le )
- Je ne suis pas Angélique
- Dix-huit mois ferme pour avoir escroqué l'actrice Michèle Mercier - dhnet.be du 10 décembre 2008.
- Michèle Mercier, une Marquise des Anges heureuse... gravement escroquée, elle a gagné son procès ! - article de Pure People du 10 décembre 2008.
- Coulisses de la danse, Gilbert Serres, France-Europe éditions, 2005 « Copie archivée » (version du sur Internet Archive)
- Plusieurs actrices ont été envisagées pour tenir le rôle d'Angélique : Francis Cosne, le producteur du film, souhaitait Brigitte Bardot qui décline l'offre, mais lorsqu'elle lira les romans, elle regrettera cette décision tout en saluant la performance de Mercier dans ses mémoires (Initials B.B.). La suivante, Annette Stroyberg, n'est pas assez connue, Catherine Deneuve est jugée trop lisse, le français de Jane Fonda est teinté d'accent américain et Virna Lisi est occupée à Hollywood. On parle aussi de Marina Vlady, Claudia Cardinale et Monica Vitti.
- Télé-7-jours, 30 juillet 1987
- Michèle Mercier & Henry-Jean Servat, Je ne suis pas Angélique, Ed. Denoël, 2006 (ISBN 978-2-207-25329-8) « Lorsque les gens s'adressent à moi, ils se réfèrent toujours à Angélique mais j'ai également interprété cinquante autres rôles féminins. J'ai longtemps essayée de l'oublier. Mais je la considère maintenant comme une petite sœur qui est perpétuellement à mes côtés et j'ai appris à vivre avec elle. »
- Prestation télévisée dans Dim Dam Dom, 26 décembre 1969
- Télé-sept-jours, 8 juin 1991
- Angélique à cœur perdu, Paris, Carrere, 1987 (ASIN B003EKT4PA)
- Raymond Boyer avec Henry-Jean Servat, Michèle Mercier, merveilleuse Angélique, TF1 Editions (ISBN 978-2-877-61064-3)
- Michèle Mercier, Angéliquement vôtre, Delerins, 2000 (ISBN 978-2-911-94400-0)
- « La fille qui fait tchic ti tchic (par Michèle Mercier) - fiche chanson - B&M », sur www.bide-et-musique.com (consulté le )
Liens externes
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