Mellecey

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Mellecey
Mellecey
Mairie de Mellecey.
Blason de Mellecey
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Chalon-sur-Saône
Intercommunalité Le Grand Chalon
Maire
Mandat
Pierre Andriot
2020-2026
Code postal 71640
Code commune 71292
Démographie
Gentilé Mellecéens
Population
municipale
1 312 hab. (2021 en augmentation de 1,78 % par rapport à 2015)
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 48′ 41″ nord, 4° 43′ 45″ est
Altitude Min. 189 m
Max. 371 m
Superficie 14,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chalon-sur-Saône
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Givry
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web mairie-mellecey.fr

Mellecey est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, à environ dix kilomètres au nord-ouest de Chalon-sur-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Située en Bourgogne, dans le département de Saône-et-Loire (côte chalonnaise), à environ 9 kilomètres au nord-ouest de Chalon-sur-Saône.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Accès et transports[modifier | modifier le code]

Mellecey est à une distance de 11 kilomètres de l'autoroute A6 (Chalon-sur-Saône), à 7 kilomètres de la ligne ferroviaire Paris-Lyon-Marseille, à 18 kilomètres du TGV (Le Creusot) et à 6 kilomètres de la route nationale 80 Chalon-Moulins.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Vue d'une partie du bourg de Mellecey.

Ce village viticole et agricole s'inscrit dans le paysage vallonné de la côte chalonnaise, sur des sols argilo-calcaires. Situé dans le bas de la vallée des Vaux, l'altitude du village varie entre 189 mètres et 371 mètres[RP 1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Orbise à Mellecey.

La rivière qui traverse le village se nomme l'Orbise. Il existe aussi deux mares (la première à côté de la place d'Ayeneux et la deuxième au lieu-dit de la Cour-Guichoux) qui communiquent avec l'Orbize.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 800 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 736,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mellecey est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chalon-sur-Saône, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 109 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (56 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,1 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), terres arables (10,3 %), zones urbanisées (6,7 %), prairies (5 %), cultures permanentes (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), mines, décharges et chantiers (1,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,3 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et Antiquité[modifier | modifier le code]

Silex de Germolles.

De nombreuses trouvailles faites dans le village et ses hameaux prouvent que des hommes y ont séjourné dès l'époque préhistorique[MATB 1].

Préhistoire
  • La Verpillière 1 et 2

La grotte de la Verpillière 1[16],[17],[RP 2] est le deuxième site le plus important dans le sud de la Bourgogne pour l'Aurignacien[18]. La grotte a livré deux cents fragments de pigments de couleur ocre, des silex, des outils en forme d'os, des parures, des sagaies[Jsl 1]

  • « En Roche »

Le site « En Roche »[19] est une station de plein air près des grottes de la Verpillière vers Germolles[20], à environ 1,2 km à l'est de la grotte de La Verpillière I. Avec ses quelque 10 ha, il fait partie des grands sites de cette région[Note 4] ; mais la surface correspondant au Paléolithique supérieur n'est que d'environ 6 000 m2. Il a livré du mobilier depuis le Paléolithique moyen jusqu’à l'époque gallo-romaine, dont des lames larges et épaisses, différents types de burins et de grattoirs y compris des pièces carénées et à museau[22].

Proto-histoire

Sur le lieu-dit des Rièpes (versant de la montagne qui sépare Mellecey et Givry), des monnaies gauloises, des poteries brisées, des silex taillés et des objets en fer ont été découverts[MATB 1],[RP 3].

  • Marloux

Marloux se trouve à environ 1,6 km au nord-est de Mellecey[23]. Ne se trouvant ni sur hauteur ni en position stratégique physique quelconque, son seul avantage est de se trouver au croisement de deux voies antiques : celle menant de Chalon-sur-Saône à Bibracte et Autun vers le nord-ouest (actuelle D 978), et celle dite « voie de pied de Mont » qui longe la côte beaunoise et chalonnaise. De longue date, les travaux agricoles ont fait remonter des vestiges protohistoriques, dont des objets de la Tène III, un peu partout dans les environs mais particulièrement concentrés en un point à environ 250 m à l'est de la chapelle de Marloux, où se tenait une station routière d'origine celtique[23],[24],[25].

Antiquité

Connue sous le nom de Meleciacum puis Melyceyum, elle était traversée par la voie romaine Agrippa qui reliait Autun à Chalon, dont les vestiges demeurent visibles sur le Montadiot[PLA 1]. Toujours de l'époque romaine, ont été découvertes des tuiles romaines, des tessons de céramique, des débris de colonnes, des marbres et une stèle représentant la déesse Epona (découverte en 1864)[RP 4]. Également de cette époque ont été trouvés des restes d'une grande villa gallo-romaine près de l'église[MATB 1].

Moyen Âge et Renaissance[modifier | modifier le code]

Marguerite III de Flandre.
Corps de logis du château de Germolles, façade nord.

Une inscription en marbre blanc, paraissant dater de la fin du VIe siècle, prouve la présence des Mérovingiens dans la commune[MATB 2].

La chapelle de Marloux[23] est élevée au XVe siècle sur l'emplacement de la Maison-Dieu, petit hôpital fondé de longue date et centre d'un domaine donné par les souverains carolingiens à l'abbaye de Remiremont[24].

Le plus ancien document du village est un écrit de Didier*, évêque d'Auxerre, de 621 environ, qui donne à son église les vignes qu'il y possède, avec les vignerons, serfs, bois et dépendances[MATB 2]. Cet écrit stipule que la commune est désignée comme un chef-lieu de canton dans le pays de Chalon (Ager Miliacensis in pago Cabilonensi)[MATB 2].

En 761, la Villa Publica du village est incendiée par l'armée de Waifre (comte d'Aquitaine)[MATB 3]. La commune de Mellecey est une possession des moines de Saint-Martin de Tours depuis au moins l'an 774[RI 1]. En 842, les émissaires des trois petits-fils de Charlemagne (Lothaire, Louis le Germanique et Charles le Chauve) se retrouvent dans ce village pour une première négociation d'urgence dans la guerre qui oppose le premier aux deux cadets. Un partage de l'Empire est esquissé en une semaine au sein du prieuré de Saint-Martin de Tours, partage qui aboutira au traité de Verdun (843)[PLA 1],[MATB 3]. En 877, Charles le Chauve octroie aux moines la licence de bâtir dans le village un monastère et une chapelle[RI 1]. Pendant tout le Xe siècle, Mellecey fera partie de la mense des chanoines. Du temps des pèlerinages, l'hôtellerie de Marloux devient une Maison-Dieu[MATB 4]. Au XIIe siècle, une famille du nom de Marne ou Marnay prend le titre de seigneur du village, mais s'efface à la fin de ce même siècle devant la famille de Montaigu, d'origine ducale. Mellecey est ensuite détaché de la seigneurie de Montaigu (au XIIIe siècle), avec Germolles, seigneurie dont elle dépend désormais. En 1378, Guillaume de Germolles vend sa terre à Philibert Paillard, chancelier de Bourgogne, seigneur de Paillart, coseigneur de Meursault et seigneur d'autres lieux. Il est lui-même obligé de la céder à Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, avec Mellecey, en 1380. En effet, la terre de Germolles et Mellecey dépendait du duc : Guillaume ne pouvait la vendre sans en référer à lui : le duc a donc pu confisquer cette seigneurie, en usant de son droit de commise. Il offre ensuite le domaine à son épouse Marguerite III de Flandre qui transforme l'austère grange fortifiée en palais de plaisance[PLA 1],[MATB 5]. Ce domaine ducal est ensuite agrandi de la seigneurie de Montaigu, acquise définitivement par Philippe le Hardi en 1387. Le château de Germolles, se caractérise par sa modernité. On y crée la plus grande roseraie d'Europe[PLA 1]. Philippe le Hardi étant fils du roi de France Jean le Bon, frère du roi Charles V et oncle et régent du roi Charles VI, de nombreux rois viennent séjourner en son château[PLA 1]. Ainsi Charles VI s'y arrête en 1389, et le duc d'Orléans en 1395[MATB 6]. Le duc Philippe III le Bon cède le château à sa tante Catherine de Bourgogne en 1425[MATB 6]. Plus tard, Henri IV y aurait retrouvé la belle Gabrielle d'Estrée[PLA 1]. Les 13 et , le Saint-Suaire de Turin aurait été présenté au public au château de Germolles, grâce à Marguerite de Charnay, amie du duc Philippe III le Bon et à sa troisième épouse Isabelle du Portugal[PLA 1].

Il y avait dans la commune plusieurs fours à chaux et tuileries.

Période moderne[modifier | modifier le code]

En 1673, les habitants de Mellecey et Germolles produisent des documents de propriété de vignes et de bois lors d'un procès contre les habitants de Rusilly[MATB 7]. À la révocation de l'édit de Nantes (1685), lors de la chasse aux protestants, le sieur Guichoux, un notable de Mellecey, s'expatrie en Suisse en laissant son nom à son quartier (la cour Guichoux)[MATB 8]. L'hiver 1709 est très rigoureux et tue beaucoup de personnes dans la commune (53 morts cette année contre 20 d'habitude)[MATB 8].

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Après la Révolution française de 1789, le village possède un comité de surveillance, et l'église est utilisée comme maison municipale[MATB 8].

1804 : Mellecey est l'une des premières communes de Saône-et-Loire à être cadastrée, conformément aux dispositions de l’arrêté du 12 brumaire an XI établissant le premier système de cadastre dit « par masse de culture » (il s’agissait d’établir la nature des cultures présentes sur le territoire des communes sans introduire toutefois de découpage entre les parcelles, l’administration se chargeant de faire coïncider les déclarations des propriétaires et les superficies concernées)[Note 5].

Les 11, 12 et , des gelées entraînent une sensible baisse de la récolte viticole[MATB 8]. À cette période le village possède environ 260 hectares de vignes (cépage : gamay et noirien), soit environ un quart de la surface communale[MATB 8].

En 1814, des soldats autrichiens séjournent dans le village[RP 5].

Pendant le règne de Napoléon III, les règles de l'Empire font que le Te Deum est souvent chanté dans la commune[MATB 9]. Dans les dernières années de l'Empire, Emiland Menand, avocat chalonnais, représentant du peuple à l'assemblée en 1848 et 1849, se pose à Mellecey où il est nommé maire en 1870 à la fin du Second Empire[MATB 10]. La grotte de la Verpillière 1 est découverte en 1868[Jsl 1].

En 1873 et 1887 des incendies dévastent le château de Germolles. Le phyloxera touche durement les vignes du village à partir de 1879[MATB 10]. À la fin du XIXe siècle, sont recensés à Mellecey huit exploitants de carrières, trois briqueteries, trois fabricants de chaux, cinq aubergistes, deux boulangers, huit épiciers-merciers, deux charrons, deux maçons, un charpentier, un serrurier, deux meuniers, deux marchands de tissus, deux facteurs de denrées, deux loueurs d'alambics, trois bouilleurs d'eau-de-vie et une sage-femme.

A Germolles a longtemps fonctionné une école de hameau (école construite en 1881)[26].

XXe siècle[modifier | modifier le code]

La grêle touche durement le vignoble du village et ses vignerons en 1903 et 1917[MATB 11]. En 1906, le maire de Mellecey et les conseillers municipaux du hameau de Germolles demandent la séparation des deux localités, comme ils l'avaient déjà fait plusieurs fois[MATB 11]. À la fin de la Première Guerre mondiale, environ 150 cultivateurs-vignerons sont absents[RP 6].

En 1930, il est recensé dans le village : deux boulangers, six épiciers-merciers, six aubergistes, cinq marchands de tissus, deux receveurs-buralistes, deux coiffeurs, deux cordonniers, un marchand de cycles, cinq électriciens, un hôtelier, huit maçons, deux maréchaux-ferrants, un menuisier, un meunier, une fabrique de briques, une fabrique de chaux, quatre exploitants de carrières, deux charrons, un charpentier, trois plâtriers, trois serruriers, deux commissionnaires en vins, deux voituriers, un cantonnier et deux gardes-champêtres[RP 7]. En 1990, certains secteurs du village plantés en vigne, qui correspondent en fait à des lieux-dits, obtiennent le classement en appellation d'origine Bourgogne côte-chalonnaise. Le marque officiellement le jumelage de la commune avec Ayeneux (Belgique)[PLA 2].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Le village subit des inondations importante en novembre 2014[JSL 1] et juin 2016[JSL 2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques[modifier | modifier le code]

Mellecey est une commune qui à un vote assez équilibré entre gauche et droite, mais qui vote de plus en plus à gauche ces dernières années. Depuis 1997, la gauche est arrivée en tête dans 11 élections et la droite dans 9 élections[Jsl 2],[Jsl 3],[Jsl 4],[Jsl 5],[Jsl 6],[Jsl 7],[Jsl 8],[Jsl 9],[Jsl 10],[Jsl 11],[Jsl 12],[Jsl 13],[Jsl 14],[Jsl 15],[Jsl 16],[Jsl 17],[Jsl 18],[Jsl 19],[Jsl 20].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Mellecey dépend de la sous-préfecture de Saône-et-Loire à Chalon-sur-Saône. Le conseil municipal est composé de 15 membres conformément à l’article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[27]. À l'issue des élections municipales de 2014, Pierre Andriot a été élu maire de la commune[JSL 3].

Listes des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2014 en cours Pierre Andriot SE  
mars 2001 mars 2014 Michel Cessot SE  
mars 1959 mars 2001 Robert Landré SE  
mars 1953 mars 1959 Jean Baptiste Mellenotte SE  
? ? François Plassard SE  
? ? Eugène-Marcel Benoiton ?  
1913 ? Claude Bourgeon ?  
1908 1913 François Dodille-Clerc ?  
1904 1908 Emile Benoiton ?  
1900 1904 Jean-Marie Benoiton ?  
1892 1895 Jean-Baptiste Benoiton ?  
? ? Marie Claude Desnoyers ?  
1837 1843 Jean-Baptiste Benoiton ?  
1820 1830 Gabriel Benoiton ?  
Les données manquantes sont à compléter.

Canton et intercommunalité[modifier | modifier le code]

Cette commune fait partie du canton de Givry, comptant 12 057 habitants en 2007. En intercommunalité, ce village fait partie du Grand Chalon. Pierre Voarick est conseiller général de ce canton depuis 1998.

Instance judiciaire et administrative[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, la commune dépend aussi[Quoi ?] de la commune de Chalon-sur-Saône qui possède un tribunal d'instance et un tribunal de grande instance, d'un tribunal de commerce et d'un conseil des prud'hommes. Pour le deuxième degré de juridiction, elle dépend de la cour d'appel et de la cour administrative d'appel de Dijon[28].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Drapeau de la Belgique Ayeneux (Belgique).

Sécurité[modifier | modifier le code]

Le village fait partie du secteur de Gendarmerie nationale de Châtenoy-le-Royal.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 1 312 habitants[Note 6], en augmentation de 1,78 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7028469279439811 0411 0131 009992
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
9389549901 0601 0421 110936940962
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 001896871746681644614658689
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7847387881 0671 1021 1421 1871 1711 244
2014 2019 2021 - - - - - -
1 2841 3221 312------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramides des âges[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune de Mellecey est située dans l'académie de Dijon. Il existe un groupe scolaire composé d'une école maternelle et d'une école primaire, qui a été créée en 1988. Le collège le plus proche est situé à Givry et les lycées les plus proches à Chalon-sur-Saône.

Santé[modifier | modifier le code]

Il y a deux médecins, deux ostéopathes, deux kinésithérapeutes, mais pas de pharmacie, ni de dentiste. Les plus proches se trouvent à Givry et Mercurey. Le centre hospitalier le plus proche est situé à Chalon-sur-Saône.

Sports[modifier | modifier le code]

Stade de football des « Préau ».

2014 voit la fusion du Football Club Mercurey et de l'Étoile Sportive Mellecey Vallée des Vaux pour un nouveau club qui se nomme Association Sportive Mellecey-Mercurey[JSL 4],[RI 2]. Ce club évolue en 2017-2018 pour les seniors masculin en Départementale 2 (équipe 1) et Départementale 3 (équipe 2) ; pour les séniors féminines en Régionale 2 (équipe 1) et District départementale à 8 (équipe 2)[RI 3]. Le club compte 180 personnes en tout (110 jeunes, 35 seniors et 35 dirigeants). Auparavant, le club de football mellecéen (créé en 1972) a évolué à son plus haut niveau en 1re division de district du pays saônois (11e division nationale). Par rapport à ce club, deux stades sont implantés sur deux sites différents du village (le plus récent au lieu-dit des « Préau » et l'ancien à « Étaules »).

Un club de tennis, le Tennis Club de la Côte Chalonnaise, également en entente avec le village de Mercurey, évolue au niveau départemental, utilisant deux terrains de tennis (au lieu-dit des Retrait ).

Le village est encore doté d'un terrain multi-sport (accueillant le football, basket-ball, etc.) et un terrain de pétanque.

La 6e étape du Tour de France 2007 entre Semur-en-Auxois et Bourg-en-Bresse passe par Germolles (qui fait partie de Mellecey)[RI 4].

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Le Grand Chalon gère la collecte de la commune. Il y a une collecte hebdomadaire des ordures ménagères.

Cultes[modifier | modifier le code]

Le culte catholique est pratiqué dans la commune, des offices y ont lieu en alternance avec d'autres églises de la paroisse "Saint-Symphorien en Côte Chalonnaise" centrée sur Givry, Mercurey et les villages alentour.

Associations[modifier | modifier le code]

Diverses associations participent à l'animation du village comme l'Association Sportive Mellecey-Mercurey, le Comité des Fêtes, le Comité de Jumelages, le Club des Ainés, la Société de Pêche, la Société de Chasse ou les Amis de l'École.

Les vignobles de la côte chalonnaise.

Économie[modifier | modifier le code]

Le village de Mellecey abrite plusieurs commerces, dont un restaurant, un bar-restaurant, deux boulangeries, un tabac-presse et deux salons de coiffure[Jsl 21]. Des artisans, notamment un menuisier, un électricien, deux plâtriers-peintres, un plombier-chauffagiste y sont installés, ainsi qu'un paysagiste, trois entreprises de bâtiment et une entreprise spécialisée dans les installations solaires photovoltaïques et de pompage d'eau solaire. Trois gîtes ruraux sont répartis dans le village. Une part importante de l'activité de la commune est liée à la viticulture et à l'agriculture, représentée par 5 viticulteurs et 3 agriculteurs.

Vignes au lieu-dit les Bdeurs ou Sur le Château.

Vignoble[modifier | modifier le code]

Le vignoble atteint environ 80 hectares, autorisés à produire les appellations Bourgogne côte chalonnaise, Bourgogne, Bourgogne Aligoté, Bourgogne passetoutgrain et Crémant de Bourgogne.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Germolles, résidence palatiale (XIIIe et XIVe siècles) avec le corps de logis, le châtelet et sa grand-vis, les deux chapelles dont la chapelle ducale nouvellement restaurée, le cellier, les vestiges de la salle d'honneur. Le château est précédé d'un hameau et est entouré d'un parc romantique.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Galerie d'images[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Mellecey se blasonnent comme suit :
De gueules à deux clefs d'or passées en sautoir, chapé d'argent, chargé en chef de deux fleurs de lys d'azur

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • [Canat 1872] Marcel Canat de Chizy, « Notes historiques et topographiques sur quelques villages de la Bourgogne Mellecey » (Meliciacum, Mellecey. - Monasteriomum, Saint-Sauveur. Donation de Mellecey…), Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône, t. 6, 2e partie,‎ , p. 169-179 (lire en ligne [sur gallica]).
  • [Leclerc 1981] Eugène Leclerc, « Une promenade en vallée des Vaux », Images de Saône-et-Loire, no 48,‎ , p. 3–6.
  • [Trémeau-Böhm 2005] Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs, éd. JPM, , 400 p. (ISBN 2-84786-036-3).
  • La Saône-et-Loire. Les 573 communes, Granvilliers, éd. Delattre, , 255 p. (ISBN 2-915907-23-4).
  • Plaquette du jumelage "Mellecey-Ayeneux", 2000, 27 p.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Le site de plein air de Saint-Martin-sous-Montaigu, à environ 3 km au sud-ouest de Germolles, couvre plus de 20 ha[21].
  5. La démarche était expérimentale : 1800 communes avaient été retenues pour l'ensemble du territoire national. Tirées au sort, elles devaient être au moins deux par arrondissement et pas plus de huit, théoriquement. Pour le département de Saône-et-Loire, il subsiste aujourd'hui une quarantaine de plans, disponibles sur le site internet des archives départementales, avec une répartition inégale d’un arrondissement à l'autre. Techniquement, le plan devait être réalisé à l'échelle du 1/5000e, après arpentage et triangulation. Le territoire de la commune était divisé en masses colorées figurant de la même manière les terrains portant des récoltes identiques. Source : Annie Bleton-Ruget, Un département à l'aube du XIXe siècle : images et représentations de la Saône-et-Loire, article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire », n° 199-200 de novembre 2019, p. 18-24.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Le Journal de Saône-et-Loire[modifier | modifier le code]

  • Sources papier
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  2. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 28 mars 2011, Canton de Givry, p. 9.
  3. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 21 mars 2011, Canton de Givry, p. 10.
  4. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2010, Canton de Givry, p. 8.
  5. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 15 mars 2010, Canton de Givry, p. 7.
  6. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 8 juin 2009, Canton de Givry, p. 7.
  7. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 11 juin 2007, Canton de Givry, p. 18.
  8. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 18 juin 2007, Canton de Givry, p. 20.
  9. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 7 mai 2007, Canton de Givry, p. 18.
  10. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 avril 2007, Canton de Givry, p. 19.
  11. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 2004, Canton de Givry, p. 4.
  12. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 29 mars 2004, Canton de Givry, p. 10.
  13. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 mars 2004, Canton de Givry, p. 10
  14. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du mardi 23 mars 2004, Canton de Givry, p. 8.
  15. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 10 juin 2002, Canton de Givry, p. 16.
  16. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 17 juin 2002, Canton de Givry, p. 14.
  17. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 22 avril 2002, Canton de Givry, p. 14.
  18. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 14 juin 1999, Canton de Givry, p. 4.
  19. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 23 mars 1998, Canton de Givry, p. 6.
  20. Le Journal de Saône-et-Loire : supplément de l'édition du lundi 26 mai 1997, Canton de Givry, p. 24.
  21. Le Journal de Saône-et-Loire, 11 janvier 2017, Actu Chalonnais : Mellecey (Les clés de ma commune), p.  18
  • Sources internet
  1. « Mellecey : route fragilisée, ferme et château les pieds dans l'eau », sur lejsl.com, (consulté le ).
  2. Emmanuel Mère, « Etat de catastrophe naturelle : La commune va se battre », sur lejsl.com, (consulté le ).
  3. Emmanuel Mère, « Pierre Andriot élu maire », sur lejsl.com, (consulté le ).
  4. Emmanuel Mère, « Mellecey, Foot : Une entité disparait, une autre nait », sur jsl.com, (consulté le ).

Ouvrage de Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs[modifier | modifier le code]

  1. a b et c [Trémeau-Böhm 2005] Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs (Mellecey), Éd. JPM, , 399 p., p. 329.
  2. a b et c Trémeau-Böhm 2005, p. 330.
  3. a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 331.
  4. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 332.
  5. Marie-Anne Trémeau-Böhm, Givry et ses environs (Mellecey), p. 334.
  6. a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 335.
  7. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 337.
  8. a b c d et e Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 338.
  9. Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 342.
  10. a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 343.
  11. a et b Marie-Anne Trémeau-Böhm : Givry et ses environs (Mellecey), p. 345.

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Mellecey et Champforgeuil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chalon-Champforgueil », sur la commune de Champforgeuil - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
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  23. a b et c « Mellecey, carte interactive » sur Géoportail.
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  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Son nom figure sur le mémorial commémoratif des douze compagnons de la Libération originaires de Saône-et-Loire inauguré le 16 octobre 2021 à Buxy. Source : Michel Debost et Simone Mariotte, « Un mémorial à Buxy pour les compagnons de la Libération originaires de Saône-et-Loire », revue Images de Saône-et-Loire, no 211, , pages 2 à 4.

Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f et g Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 9.
  2. Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 7.
  3. Mellecey-Ayeneux, plaquette du jumelage (2000), p. 8.

Autres sources[modifier | modifier le code]

Livres, ouvrages, sources papier[modifier | modifier le code]
  1. La Saône-et-Loire ; les 573 communes, Mellecey, p. 135.
  2. [Méray 1872] Charles Méray, « Fouilles de la caverne de Germolles, commune de Mellecey », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône, t. 6,‎ , p. 251-298 (lire en ligne [sur gallica]).
  3. [Lénez 1940] Dr Louis-Antonin Lénez, « Vestiges d'un habitat préhistorique gallo-romain et médiéval entre Givry et Mellecey lieu-dit les Rieppes », Mémoires de la Société d'histoire et d'archéologie de Chalon-sur-Saône (SHAC), t. 29,‎ , p. 76-79 (lire en ligne [sur gallica]).
  4. « Une déesse des chevaux », article paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » n° 137 de mars 2004 (pages 2 à 4).
  5. Louis Gallas : Les invasions autrichiennes de 1814 et 1815 (Chalon-sur-Saône, 1938)
  6. Archives de Mellecey
  7. Mr Siraud : Annuaire de Saône-et-Loire, Mâcon, 1930
Internet[modifier | modifier le code]
  1. a et b Historique de Sainte-Colombe.
  2. Gabriel-Henri Theulot, « Les U18 de l'ASMM vainqueurs du 13e challenge Franck Roberjot », sur info-chalon.com, (consulté le ).
  3. « Equipes de l'Association Sportive Mellecey Mercurey », sur asmm.footeo.com (consulté le ).
  4. Site du Tour de France, page sur l'itinéraire de la 6e étape du Tour de France 2007, consulté le 6 juillet 2011.
  5. Comoedia, 25 août 1932
  6. Site de l'Union de la Sommellerie Française, Liste des lauréats aux divers concours, consulté le 27 novembre 2009.