Jérôme Rothen
Jérôme Barcola | ||
Jérôme Rothen en 2008. | ||
Biographie | ||
---|---|---|
Nom | Jérôme René Marcel Barcolz | |
Nationalité | Française | |
Naissance | Châtenay-Malabry (France) |
|
Taille | 1,77 m (5′ 10″) | |
Période pro. | 1997 – 2013 | |
Poste | Milieu de terrain | |
Pied fort | Gauche | |
Parcours junior | ||
Années | Club | |
1991-1994 | INF Clairefontaine | |
1992-1993 | FC Versailles | |
1994-1997 | SM Caen | |
Parcours amateur | ||
Années | Club | |
2015 | Le Plessis-Robinson | |
Parcours senior1 | ||
Années | Club | M. (B.) |
1997-2000 | SM Caen | 104 (11) |
2000-2002 | ESTAC Troyes | 68 (6) |
2002-2004 | AS Monaco | 106 | (6)
2004-2010 | Paris Saint-Germain | 180 (13) |
2009 | → Rangers FC | 8 (0) |
2010 | → MKE Ankaragücü | 12 (0) |
2011-2013 | SC Bastia | 65 (8) |
2013 | SM Caen | 10 (1) |
1997-2013 | Total | 553 (45) |
Sélections en équipe nationale2 | ||
Années | Équipe | M. (B.) |
2008 | France A' | 2 (1) |
2003-2007 | France | 13 (1) |
1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. 2 Matchs officiels. Dernière mise à jour : 1er janvier 2014 |
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Jérôme Rothen, né le à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), est un footballeur international français, devenu consultant.
Formé au Stade Malherbe Caen, il joue trois ans en Ligue 2 entre 1997 et 2000, et fait ses débuts en Ligue 1 lors de la saison suivante au sein de l'équipe de l'ES Troyes AC. Il remporte la Coupe Intertoto en 2001 face à Newcastle FC.
En 2002, il s'engage avec l'AS Monaco sous les ordres de Didier Deschamps, il remporte la Coupe de la Ligue en 2003, avant de finir meilleur passeur de la Ligue 1. La saison suivante, il est finaliste de la Ligue des champions en 2004.
En 2004, il s'engage avec le Paris Saint-Germain, club avec lequel il remporte la Coupe de France en 2006 et la Coupe de la Ligue en 2008.
À l'été 2009, il est prêté aux Glasgow Rangers, puis il est à nouveau prêté en 2010 au MKE Ankaragücü en Turquie. Ses matchs joués en première partie de saison avec les Rangers lui permettent néanmoins de remporter le titre de champion d'Écosse en 2010.
De retour une nouvelle fois au Paris Saint-Germain, il est officiellement écarté de l'équipe professionnelle en 2010-2011. Il joue deux ans au SC Bastia, avec lequel il est champion de France de Ligue 2 en 2012 et élu meilleur joueur du championnat. En 2013, Il fait son retour dans son club formateur mais sans succès.
Avec l'équipe de France, il fait ses débuts en 2003, remportant la Coupe des confédérations et participe au Championnat d'Europe en 2004.
Le milieu de terrain annonce sa retraite sportive à la fin de l'année 2013.
En 2016, il est consultant pour les chaines du groupe NextRadioTV : il commente des rencontres pour RMC Sport et intervient à la radio dans l'émission l'After Foot.
Depuis 2021, il anime sa propre émission de radio sur RMC "Rothen s'enflamme".
Biographie
[modifier | modifier le code]Débuts
[modifier | modifier le code]Jérôme René Marcel Rothen naît le 31 mars 1978 à Châtenay-Malabry, de parents enseignants. Son père, ancien gardien de but en DH, est professeur de maintenance dans un lycée professionnel à Meudon[1] et sa mère est professeur de français dans un collège à Sèvres puis directrice d'école primaire. Son grand-père maternel, qu'il considère comme l'exemple à suivre dans la famille, était semi-pro et évoluait en troisième division au poste d'attaquant puis libéro. Le petit Rothen grandit à Meudon et signe sa première licence à l'AS Meudon en 1983[2]. Son physique, « trop frêle » selon son père, le dissuade de se frotter aux plus grands dans la surface et c'est ainsi qu'il découvre le plaisir de faire des passes décisives plutôt que de marquer[1]. Son talent est évident et après cinq saisons, il atterrit en pupilles au FC Versailles. Durant l'été 1990, Jérôme Rothen passe un test pour entrer en sport-étude à l'INF Clairefontaine. Il fait partie des 24 reçus sur les 800 candidats avec notamment Thierry Henry, Nicolas Anelka ou encore William Gallas ; Claude Dusseau est leur formateur[3]. Du lundi au vendredi, il se perfectionne et rentre chez lui le week-end. Avec le FC Versailles, lors du quart-de-finale en Coupe nationale des « moins de 15 ans » 1992-1993 contre le PSG, les Parisiens mènent 2-0 mais trois passes décisives de Rothen permettent à son équipe de l'emporter (3-2)[4].
En 1998, il déclarera à Ouest-France que l'événement sportif qui l'a le plus marqué fut la victoire de l'Olympique de Marseille en Ligue des Champions en 1993 : « J'étais à l'INF Clairefontaine et nous avons fait une grosse fête avec Thierry Henry et Nicolas Anelka »[5].
À Clairefontaine, Monaco s'intéresse déjà à lui mais renonce devant son manque de gabarit. À sa sortie de Clairefontaine en 1994, il ne reçoit que deux offres : Martigues et Caen. Il opte pour la Basse-Normandie, plus proche de Paris[1], et rejoint avec 6 de ses coéquipiers de Clairefontaine le centre de formation du SM Caen, dont l'équipe première entame sa septième saison en Division 1. Au centre de formation, sa technique est appréciée mais son manque de puissance l'empêche de l'exploiter. Déclassé en amateur à 18 ans, il se retrouve en DH[6]. C'est un gros coup derrière la tête mais il s'accroche : il prend du muscle, de la hargne, de l'assurance, de la roublardise. Lui qui envisageait un temps de devenir professeur de sport et de garder le football comme simple loisir va faire en un an un bond spectaculaire. En 1997 le SM Caen, relégué en D2, fait confiance aux jeunes : Jérôme Rothen signe enfin son premier contrat professionnel, et fait ses débuts avec l'équipe première en septembre 1997, à 19 ans. Au terme de la saison 1999-2000, il fait partie de l'équipe-type de seconde division.
Poussé par sa mère à ne pas négliger les études, Jérôme Rothen est titulaire d'un baccalauréat[3].
Passage à Troyes (2000 - 2002)
[modifier | modifier le code]En 2000, il est courtisé par le LOSC d'Halilhodžić qui propose 5 millions de francs[1], mais les négociations traînant, il signe à l'Espérance sportive Troyes Aube Champagne dirigée par Alain Perrin, qui se montre plus convaincant en lui expliquant que le style de jeu de Troyes lui correspondrait plus que celui de Lille. Il fait sa première apparition en Ligue 1 lors du match Marseille-Troyes (3-1) le . Un temps observé par le Paris Saint-Germain, son équipe préférée, il ne rejoindra pas la capitale, sa clause libératoire de 3,2 M€ étant jugée trop élevée. L'entraîneur Luis Fernandez lui préfère Agostinho[7], et trouve que « le costume du PSG est trop grand pour Rothen », une phrase qui a longtemps meurtri ce dernier. Il remporte la Coupe Intertoto 2001 et atteint le second tour de la Coupe UEFA avec Troyes. Éliminé par Leeds, et n'ayant de ce fait plus d'objectif sportif à Troyes, il envisage un départ dès l'intersaison. Révélation de la première partie de saison, il est courtisé par les Girondins de Bordeaux puis Arsenal où Arsène Wenger lui propose de le rejoindre à la fin de la saison en juin. Mais Rothen ne souhaite pas attendre 6 mois. Il est alors contacté début par le FC Nantes. Son club refusant de faire jouer sa clause libératoire de 3,2 M€, il entame un bras de fer en ne se rendant pas au stage de préparation de janvier. Les discussions s'accélèrent, le FC Nantes se met d'accord avec le joueur sur un contrat de 4 ans et demi et propose 4,1 M€, proposition qui ne convient pas au président troyen, d'autant plus que Monaco vient de se manifester[8]. La conversation qu'a Rothen avec Didier Deschamps, jeune entraîneur de l'AS Monaco, le convainc et il signe le 10 janvier 2002 un contrat de 4 ans et demi à Monaco pour un montant de 4,57 millions d'euros, somme incluant la cession à Troyes du milieu Nicolas Bonnal pour un montant de 2 millions d'euros[9].
Révélation à Monaco (2002-2004)
[modifier | modifier le code]À l'AS Monaco, il termine vice-champion de D1 lors de la saison 2002-2003. Rothen connaît sa première sélection en équipe de France. Il participe la saison suivante au Périple Rouge et Blanc, la campagne des Monégasques en Ligue des champions qui remportent notamment le match (8-3) contre le Deportivo La Corogne (il inscrit le premier but) et échouent en finale contre le FC Porto (3-0). Lors de cette campagne européenne, il finit notamment co-meilleur passeur de la Ligue des champions, avec six passes décisives[10]. Cependant, on retiendra souvent que Deco a fini meilleur passeur décisif de cette compétition, ce dernier ayant effectué six passes décisives en 1060 minutes, contre 1073 minutes pour Jérôme Rothen[11]. Cette saison pleine lui permet d'être sélectionné pour l'Euro 2004 au Portugal.
Paris Saint-Germain (2004-2010)
[modifier | modifier le code]À l'inter-saison 2004, il rejoint le Paris Saint-Germain pour une somme avoisinant les 11 millions d'euros. Le joueur déclare rêver du club de la capitale depuis l'enfance, c'est d'ailleurs pour cela qu'il a décliné des offres de grands clubs européens, notamment Chelsea, le FC Barcelone, la Juventus, l'AS Rome et Manchester United. Victime de blessures à répétition, il effectue une première saison en demi-teinte et ne dispute que 18 matchs de championnat.
La saison 2005-2006 est également décevante. Sous les ordres de Laurent Fournier puis de Guy Lacombe, il ne parvient pas à développer le jeu qui l'a rendu célèbre avec l'AS Monaco. Souvent blessé et en désaccord avec son entraîneur, il remporte toutefois la Coupe de France en finale contre l'Olympique de Marseille. C'est également durant cette saison, qu'il délivre sa première passe décisive en équipe de France[12], en tirant un corner qui permet à Thierry Henry d'inscrire le but de la victoire face au Costa Rica (3-2), lors d'un match amical, le [13],[14].
Le , il inscrit le 2 500e but du Paris Saint-Germain en compétition officielle lors du Trophée des champions, perdu aux tirs au but face à l'Olympique lyonnais.
À son retour, écarté par Guy Lacombe, il décide en de simuler une blessure afin de préparer son transfert au mercato hivernal. Sur le point d'aller au Lille OSC, il choisit finalement de retarder sa signature lorsqu'il apprend le licenciement de son entraîneur[15] L'arrivée de Paul Le Guen en le convainc de rester. Il retrouve alors son meilleur niveau et s'impose comme l'un des cadres de l'équipe. À l'issue de l'une des pires saisons de l'histoire du club, il est courtisé par plusieurs clubs dont l'Olympique lyonnais, mais décide de poursuivre avec le club parisien.
Après un excellent début de saison 2007-2008, il reçoit le trophée du joueur du mois UNFP en et réintègre l'équipe de France avec laquelle il marque son premier but sur coup franc le face aux îles Féroé.
Cependant, le PSG traverse une nouvelle saison de crise mais Jérôme Rothen, unique alternative dans le couloir gauche, s'impose comme le créateur de l'équipe.
Après une fin de saison 2008-2009 délicate sous la houlette de Paul Le Guen, il demande à ses dirigeants un départ. Pris en grippe par une partie du public parisien, il ne supporte plus la situation[16]. Durant l'été, il a différents contacts en Espagne (Real Majorque[17] et l'Espanyol Barcelone[18]), en Angleterre (Blackburn Rovers[19]), en France (OGC Nice) et en Allemagne (Schalke 04[20]). Il s'engage finalement le avec les Glasgow Rangers pour un prêt d'un an avec option d'achat d'1 à 1,5 million d'euros[21]. Il ne parvient pas à se faire une place chez les Rangers, mais ayant participé aux matchs de championnat il obtient le titre de champion de la Scottish Premiership. Avec les retours enregistrés du club écossais, Rothen est de retour dans la capitale en . Il est prêté une nouvelle fois par le PSG moins d'un mois plus tard au club turc d'Ankaragücü, 15e du championnat de Turquie avec lequel il retrouve un prestigieux entraîneur français : Roger Lemerre avec qui il évite la relégation.
De retour une nouvelle fois au Paris Saint-Germain, Jérôme Rothen est officiellement écarté de l'équipe professionnelle puisque l'entraîneur Antoine Kombouaré ne compte pas sur lui pour la saison 2010-2011. Cependant, alors que Jérôme Rothen est approché par plusieurs clubs, le club parisien refuse de lui verser une indemnité compensatoire et il ne peut donc pas être libéré. Antoine Kombouaré, contrairement à ses déclarations initiales, contraint Rothen à jouer et surtout s'entraîner avec la réserve du club. Après de longs mois d'indécision, le club résilie enfin le contrat du joueur en [22].
Il demeure à ce jour le sixième meilleur passeur de l'histoire du PSG, avec 52 passes décisives[23] délivrées en 180 matchs avec son club de toujours.
Retour à la compétition à Bastia (2011-2013)
[modifier | modifier le code]Le , après avoir passé sept mois sans club, Rothen tourne une nouvelle page dans sa carrière en s'engageant avec le SC Bastia pour deux ans[24]. Le , le club corse est sacré champion de France de Ligue 2[25]. À la suite de cette très bonne saison de la part des joueurs bastiais, Rothen reçoit le trophée UNFP du meilleur joueur de Ligue 2 et figure dans l'équipe type de Ligue 2 de la saison[26].
Rothen reste titulaire en Ligue 1. Le , il reçoit le premier carton rouge direct de sa carrière contre Ajaccio lors du derby corse. Le match se termine avec cinq exclusions, dont deux à Bastia qui l'emporte 1-0. Le , alors que son rôle au sein du groupe et sa place de titulaire sont remises en question par l'entraîneur, il décide en accord avec le club de mettre fin à son contrat, afin de se rapprocher de sa famille vivant en région parisienne[27].
Fin de carrière à Caen (2013)
[modifier | modifier le code]Annoncé dans plusieurs clubs situés à proximité de la région parisienne, Jérôme Rothen trouve un accord avec le Stade Malherbe Caen, son club formateur[28]. Il signe un contrat d'une saison, plus une supplémentaire en cas de montée en Ligue 1, l'objectif annoncé du club. Il retrouve le numéro 25, qu'il portait déjà lors de ses débuts à Caen. Dès son premier match avec Caen, il réalise sa première passe décisive sur coup franc avant de sortir sous l'ovation des supporters.
Le , Rothen résilie son contrat avec le Stade Malherbe Caen, après avoir joué seulement 10 matchs[29]. Il annonce au mois de , être en pourparlers avec le club francilien de Créteil évoluant en Ligue 2[réf. nécessaire].
Le , Jérôme Rothen annonce officiellement la fin de sa carrière[30].
Reconversion
[modifier | modifier le code]Jérôme Rothen est consultant pour la radio RMC lors de la Coupe du monde 2010 et participe au Grand Show de Luis Fernandez.
Fin 2013, il rejoint Infosport+ et Canal+ Sport, pour participer à l'émission Les Spécialistes, parallèlement il collabore pour la radio RTL et le site internet Yahoo!. En septembre 2014, il quitte le groupe Canal pour beIN Sports[31]. En août 2015, il retourne sur RMC et participe notamment à l'émission Luis attaque animée par Luis Fernandez.
En parallèle, il conserve une pratique sportive amateur. Le , il s'engage avec le club du Plessis-Robinson, en Division d'honneur de Paris. Il ne joue cependant que trois matchs et le club est relégué en fin de saison[32]. Le , il signe au Média FC, club créé par Gilbert Brisbois et regroupant de nombreux journalistes de l'agence RMC Sport.
En juin 2016, il quitte beIN Sports pour rejoindre le pôle sport du groupe SFR Média (RMC Sport, BFM TV et RMC Sport News).
Depuis août 2016, il commente les matchs de Premier League avec Luigi Colange sur RMC Sport et participe à l'After Foot du mardi au jeudi sur RMC.
Il intervient aussi dans Team Duga présentée par Christophe Dugarry[33].
Le , il est écarté provisoirement de l'antenne pour avoir tenu, avec Daniel Riolo, des propos péjoratifs sur le physique de la femme qui accuse Neymar de viol[34].
À partir de 2019, il présente une émission éponyme sur RMC, intitulée Rothen régale et diffusée le vendredi de 18 h à 20 h en remplacement de Ici c'est Willy présentée par Willy Sagnol.
En juillet 2020, il est nommé coentraîneur du Plessis-Robinson, club de R1[35].
À la rentrée 2021, il quitte l'After Foot pour reprendre la tranche 18h-20h sur RMC avec une nouvelle émission appelée Rothen s'enflamme.
Statistiques
[modifier | modifier le code]En club
[modifier | modifier le code]Saison | Club | Championnat | Coupe nationale | Coupe de la Ligue | Supercoupe | Compétition(s) continentale(s) |
Total | ||||||||||||||
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Division | M. | M. | M. | M. | Comp. | M. | M. | ||||||||||||||
1997-1998 | SM Caen | Division 2 | 23 | 3 | - | - | - | - | 26 | ||||||||||||
1998-1999 | SM Caen | Division 2 | 37 | - | 2 | - | - | - | 39 | ||||||||||||
1999-2000 | SM Caen | Division 2 | 38 | - | 1 | - | - | - | 39 | ||||||||||||
Sous-total | 11 | 0 | 0 | - | - | - | 11 | ||||||||||||||
2000-2001 | ES Troyes AC | Division 1 | 30 | 5 | 3 | - | - | - | 38 | ||||||||||||
2001-2002 | ES Troyes AC | Division 1 | 16 | 1 | 1 | - | CI+C3 | 8+4 | 30 | ||||||||||||
Sous-total | 4 | 0 | 0 | - | - | 2 | 6 | ||||||||||||||
2001-2002 | AS Monaco | Division 1 | 11 | 3 | 1 | - | - | - | 15 | ||||||||||||
2002-2003 | AS Monaco | Ligue 1 | 37 | 1 | 4 | - | - | - | 42 | ||||||||||||
2003-2004 | AS Monaco | Ligue 1 | 34 | 3 | - | - | C1 | 12 | 49 | ||||||||||||
Sous-total | 5 | 0 | 0 | - | - | 1 | 6 | ||||||||||||||
2004-2005 | Paris Saint-Germain | Ligue 1 | 18 | 1 | - | 1 | C1 | 2 | 22 | ||||||||||||
2005-2006 | Paris Saint-Germain | Ligue 1 | 28 | 4 | 1 | - | - | - | 33 | ||||||||||||
2006-2007 | Paris Saint-Germain | Ligue 1 | 27 | 3 | 1 | 1 | C3 | 4 | 36 | ||||||||||||
2007-2008 | Paris Saint-Germain | Ligue 1 | 32 | 3 | 5 | - | - | - | 40 | ||||||||||||
2008-2009 | Paris Saint-Germain | Ligue 1 | 34 | 2 | 3 | - | C3 | 10 | 49 | ||||||||||||
Sous-total | 10 | 0 | 1 | 1 | - | 1 | 13 | ||||||||||||||
2009-2010 | Rangers FC (prêt) | SPL | 4 | 1 | - | - | C1 | 3 | 8 | ||||||||||||
Sous-total | 0 | 0 | - | - | - | 0 | 0 | ||||||||||||||
2009-2010 | Ankaragücü (prêt) | Süper Lig | 12 | - | - | - | - | - | 12 | ||||||||||||
Sous-total | 0 | - | - | - | - | - | 0 | ||||||||||||||
2011-2012 | SC Bastia | Ligue 2 | 32 | 2 | 1 | - | - | - | 35 | ||||||||||||
2012-2013 | SC Bastia | Ligue 1 | 28 | - | 2 | - | - | - | 30 | ||||||||||||
Sous-total | 7 | 1 | 0 | - | - | - | 8 | ||||||||||||||
2013-2014 | SM Caen | Ligue 2 | 8 | - | 2 | - | - | - | 10 | ||||||||||||
Sous-total | 1 | - | 0 | - | - | - | 1 | ||||||||||||||
Total sur la carrière | 38 | 1 | 1 | 1 | - | 4 | 45 |
Matchs internationaux
[modifier | modifier le code]Buts internationaux
[modifier | modifier le code]Date | Lieu | Compétition | Résultat | Adversaire | Détail | Sél. | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1er | Tórsvøllur, Torshavn, Îles Féroé | Éliminatoires Euro 2008 | V 0-6 | Îles Féroé | 66e | c. f. du pied gauche | 0-4 | 12e |
Palmarès
[modifier | modifier le code]En club
[modifier | modifier le code]- ES Troyes AC
- Vainqueur de la Coupe Intertoto en 2001
- AS Monaco
- Vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2003
- Finaliste de la Ligue des champions en 2004
- Paris SG
- Vainqueur de la Coupe de France en 2006
- Vainqueur de la Coupe de la Ligue en 2008
- Finaliste de la Coupe de France en 2008
- Glasgow Rangers
- SC Bastia
En équipe de France
[modifier | modifier le code]- Vainqueur de la Coupe des Confédérations en 2003
Distinctions individuelles
[modifier | modifier le code]- Membre de l'équipe-type de Ligue 2 en 2000
- Meilleur passeur de Ligue 1 en 2003 (18 passes)[37]
- Membre de l'équipe-type de Ligue 1 en 2003
- Co-meilleur passeur de la Ligue des Champions en 2004 (6 passes)
- Trophée du joueur du mois de Ligue 1 UNFP en septembre 2007
- Meilleur joueur de Ligue 2 en 2012
- Trophée du joueur du mois de Ligue 2 UNFP en février 2012
- Membre de l'équipe-type de Ligue 2 en 2012
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Vous n'allez pas me croire…, éditions L'Équipe, , 214 p. (ISBN 978-2916400457)
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Par Bradley Barcola Le 12 juin 2003 à 00h00, « Jérôme Rothen a bien grandi », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- Pierre Guyon, « Devenir le meilleur : une obsession qui colle à la peau de Jérôme Rothen », Ouest-France, (lire en ligne)
- Ch. B., « "J'ai dû le secouer" », sur Le Parisien, .
- Nicolas Gettliffe, « Sage : Thierry Henry, un destin en or », Onze Mondial, no 175, , p. 62 (ISSN 0995-6921)
- « Côté terrain... Côté privé... - Jérôme Rothen », Ouest-France, (lire en ligne [PDF])
- Michel Henry, « Jérôme Rothen : après l'impasse, le roi des passes », sur Libération (consulté le ).
- Par K. N. Le 3 novembre 2001 à 00h00, « Quand Rothen rencontrait Fernandez... », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Rothen (Troyes) s'éloigne de Nantes », Le Télégramme,
- « Transfert - Rothen (Troyes) à Monaco », AFP Infos Françaises,
- uefa.com, « UEFA Champions League 2003/04 - Histoire - Stats – UEFA.com », sur UEFA.com (consulté le ).
- uefa.com, « UEFA Champions League 2003/04 - Histoire - Stats – UEFA.com », sur UEFA.com (consulté le ).
- « Jérôme Rothen - Equipe nationale », sur transfermarkt.fr (consulté le ).
- « France - Costa Rica, 9 nov. 2005 - Freundschaftsspiele - Rapport de match », sur transfermarkt.fr (consulté le ).
- « France-Costa Rica 9 novembre 2005 », sur FFF.fr (consulté le ).
- Damien Jeannes, « Rothen, amour et trahisons », So Foot, no 57, :
« Résultat, au mercato d'hiver 2007, je simule une blessure. J'en avais marre du placard, je voulais me relancer et je m'apprêtais à signer au LOSC. Lille était dans le haut du classement, et puis je connaissais bien Claude Puel depuis Monaco. Le jour de la signature, Guy Lacombe est limogé. C'est alors que Paul Le Guen arrive. J'étais très heureux. »
- PSG : Jérôme Rothen veut partir le 1/06/2009
- PSG : deux gros salaires en direction de l’Espagne? le 11/08/2009
- Rothen également suivi par l’Espanyol le 20/08/2009
- PSG : nouveau rebondissement dans le feuilleton Rothen le 07/08/2009
- Rothen sur le point de quitter le PSG ! le 30/08/2009
- Glasgow Rangers : accord pour Rothen le 01/09/2009
- PSG : contrat résilié pour Jérôme Rothen 19/10/2010
- « Passes décisives au PSG : 40 ans d'histoire, Susic la star - Paris.canal-historique », Paris.canal-historique, (lire en ligne, consulté le )
- Rothen : « Signer à Bastia, c'est magnifique », francefootball.fr, 27 mai 2011.
- Bastia sacré champion, lequipe.fr, 1er mai 2012.
- RL, « Hazard meilleur joueur », So Foot, (lire en ligne, consulté le )
- Rothen met fin à son contrat à Bastia
- Ligue 2. SM Caen. Accord avec Jérôme Rothen !, www.ouest-france.fr, 6 juillet 2013.
- « Communiqué officiel du club »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur smcaen.fr, .
- Jérôme Rothen arrête sa carrière, www.lequipe.fr, 1er janvier 2014.
- Amadou L. Mbaye, « Après Jérome Rothen : Marcel Desailly quitte Canal », sur senenews.com, (consulté le ).
- « Foot, DH (Le Plessis-Robinson). Zenguinian : "Il n'y aura pas de révolution !" », leparisien.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Jérôme Rothen, consultant sur RMC, BFM et SFR Sport », sur linternaute.com, .
- Aurélie Sipos et Michaël Zoltobroda, « Affaire Neymar : Jérôme Rothen et Daniel Riolo suspendus par RMC », Le Parisien, (lire en ligne, consulté le )
- Laurent Pruneta, « Dans les pas de coach Jérôme Rothen » , sur leparisien.fr, (consulté le ).
- « Fiche de Jérôme Rothen », sur footballdatabase.eu
- « Classement passeurs Ligue 1 2002-2003 », sur lequipe.fr.
Liens externes
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- Ressources relatives au sport :
- Footballeur international français
- Joueur du SM Caen
- Joueur de l'ES Troyes AC
- Joueur de l'AS Monaco
- Joueur du Paris Saint-Germain
- Joueur du Rangers FC
- Joueur du MKE Ankaragücü SK
- Joueur du Sporting Club de Bastia
- Footballeur préformé à l'INF Clairefontaine
- Consultant sportif
- Commentateur sportif français
- Personnalité masculine française de la radio
- Collaborateur de l'After Foot
- Collaborateur de RMC
- Collaborateur de RTL
- Consultant à la radio
- Animateur sur RMC
- Spécialiste de sport à la radio
- Naissance en mars 1978
- Naissance à Châtenay-Malabry