Thuir
Thuir | |||||
Mairie de Thuir. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Céret[1] | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Aspres (siège) |
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Maire Mandat |
René Olive 2020-2026 |
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Code postal | 66300 | ||||
Code commune | 66210 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Thuirinois | ||||
Population municipale |
8 173 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 411 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 37′ 59″ nord, 2° 45′ 26″ est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 243 m |
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Superficie | 19,90 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Thuir (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Les Aspres (bureau centralisateur) |
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Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
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Liens | |||||
Site web | http://www.thuir.fr/ | ||||
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Thuir Écouter est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Thuirinois.
Géographie
Localisation
La commune de Thuir se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 16 km de Céret[3], sous-préfecture.
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Llupia (1,6 km), Sainte-Colombe-de-la-Commanderie (2,0 km), Terrats (2,8 km), Castelnou (4,6 km), Camélas (4,7 km), Ponteilla (4,8 km), Trouillas (4,8 km), Saint-Féliu-d'Avall (5,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Thuir est la ville principal des Aspres. Compris entre les sillons de la Têt au nord et du Tech au sud, ce minuscule territoire roussillonnais, qui constitue le piémont (oriental) du massif du Canigou, tire son nom de la nature caillouteuse de ses sols[5].
Sur le plan physique, Thuir surplombe la plaine du Roussillon et se situe entre les vallées des fleuves Têt (au nord) et Tech (au sud), à 23 km à l’ouest de la mer Méditerranée et à 35 km à l’est du pic du Canigou[6].
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].
Hydrographie
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[8] : les « garrigues de Castelnou » (1 559 ha), couvrant 3 communes du département[9] et les « Prades de Thuir et de Llupia » (335 ha), couvrant 2 communes du département[10] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[8] : le « massif des Aspres » (28 819 ha), couvrant 37 communes du département[11].
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Thuir est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[I 2],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thuir, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 3] et 9 731 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 4],[I 5].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 6],[I 7].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (57 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), zones urbanisées (10,3 %), prairies (5,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[14].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
Thuir est accessible par la RD 612a à partir de Perpignan. La ville était desservie par le chemin de fer dit d'intérêt local. Cette voie ferrée, longue d'une quinzaine de kilomètres, avait été inaugurée en 1911 pour être finalement désaffectée et démantelée dans les années 1990. Cette voie ferrée est aujourd'hui utilisée par une piste cyclable qui s'inscrit dans le Schéma cyclable départemental du conseil général des Pyrénées-Orientales. Thuir possédait une gare de chargement construite par Gustave Eiffel.
Les lignes 544 (Millas - Saint-Cyprien), 570 (Fourques - Gare de Perpignan), 571 (Tresserre - Gare de Perpignan) et 575 (Camélas - Thuir) du réseau régional liO assurent la desserte de la commune.
Toponymie
En catalan, le nom de la commune est Tuïr[15].
Histoire
Thuir est citée dès le Xe siècle dans des documents d'époque. C'est une ancienne villa royale, entourée d'une enceinte qui abritait l'église et le cimetière. Cette enceinte était un heptagone irrégulier, elle était faite en cailloux roulés. Un fossé complétait le dispositif défensif de la villa.
Au fil des ans, des habitations supplémentaires se sont formées autour de l'enceinte, formant comme un bourg à l'extérieur de la minuscule ville. Il fallut donc renforcer à nouveau les défenses en construisant une deuxième enceinte, flanquée de tours et de meurtrières. Les travaux durèrent toute l'année 1287. L'enceinte intérieure apparut alors comme une citadelle, à l'instar de la ville de Mont-Louis des années plus tard. En 1294, la ville obtient du roi une charte de consulat.
En 1415 fut construite la chapelle de la Pietat, suivant le style gothique. Elle fut construite aux frais d'un notaire de Perpignan appelé Pierre Aybri. Elle fut modifiée architecturalement durant le XVIIe siècle. Elle contient une statue de La Vierge du milieu du XIXe siècle ainsi qu'une croix reliquaire.
En 1589, un couvent des Frères mineurs capucins est fondé à l'ouest de la ville, sous gouverne espagnole à cette époque. Lors de la reprise du Roussillon par les Français, les moines partirent en Catalogne pour être remplacés par des moines français.
Thuir eut aussi une part importante dans la Guerre du Roussillon. Cette année-là les espagnols prirent la ville le et la gardèrent jusqu'à , la laissant après un siège fait par les Français.
Avant la Révolution française, Thuir était très commerçante. Les domaines d'activités principales étaient la papeterie, l'imprimerie et la poterie, mais c'est au XIXe siècle que le village va connaître son heure de gloire.En 1827, Simon et Pallade Viollet, deux frères marchands de tissus originaires de Corsavy, créent à Thuir un chai destiné à élever un vin doux naturel sous le nom de Byrrh[16].
Politique et administration
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Aspres. Elle fait partie de l'unité urbaine de Thuir.
Administration municipale
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].
En 2021, la commune comptait 8 173 habitants[Note 6], en évolution de +10,43 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[23] | 1975[23] | 1982[23] | 1990[23] | 1999[23] | 2006[24] | 2009[25] | 2013[26] |
Rang de la commune dans le département | 10 | 4 | 6 | 10 | 9 | 10 | 12 | 12 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale : 20 et [27] ;
- Fête communale : 7 et [27] ;
- Marché : samedi[27].
Festival Pellicu-live: Cinéma, Musique Live et Gastronomie: 1ère édition les 26, 27 et 28 août 2021.
Santé
Sports
Économie
Revenus
En 2018, la commune compte 3 354 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 7 120 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 870 €[I 8] (19 350 € dans le département[I 9]). 44 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (42,1 % dans le département).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 10] | 10,7 % | 13,4 % | 11 % |
Département[I 11] | 10,3 % | 12,9 % | 13,3 % |
France entière[I 12] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 4 680 personnes, parmi lesquelles on compte 69,1 % d'actifs (58,1 % ayant un emploi et 11 % de chômeurs) et 30,9 % d'inactifs[Note 9],[I 10]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 13]. Elle compte 3 343 emplois en 2018, contre 3 277 en 2013 et 3 293 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 747, soit un indicateur de concentration d'emploi de 121,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,8 %[I 14].
Sur ces 2 747 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 084 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 81,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 12,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].
Activités
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 560 €[I 17].
Emploi
Entreprises et commerces
Thuir est surtout connu pour sa production d'apéritifs et notamment le Byrrh, inventé au XIXe siècle par les frères Simon et Pallade Violet. Le succès de cette boisson fut tel qu'il donna une renommée nationale et même internationale à la petite ville avant-guerre. La marque Byrrh est indissociablement associée au village de Thuir. Un livre, Sambucus de Patrick Fornos aux éditions Balzac (ISBN 978-2-913907-71-3), raconte de façon à peine romancée, la saga de la famille Violet et son empreinte sur le village.
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Les lieux notables de Thuir sont les suivants :
- Les vestiges des anciennes fortifications ;
- Plusieurs maisons anciennes ;
- Les caves Byrrh et la plus grande cuve en fût de chêne du monde d'une capacité réelle de 10 002 hl (1950). Cette cuve pèse cent tonnes à vide, elle a une hauteur de 10 mètres et un diamètre de 12,50 mètres.
- L'église paroissiale Notre-Dame de la Victoire, bâtie XVIIIe siècle avec notamment quelques réemplois de vestiges de l'ancienne église romane dédiée à Saint-Pierre et une inscription du XIIIe siècle ;
- Église Saint-François-d'Assise de Thuir.
- Chapelle Saint-Jean de Thuir.
- Chapelle Notre-Dame-de-l'Espérance de Thuir.
- La chapelle Saint-Sébastien de Thuir, chapelle romane ;
- La chapelle Notre-Dame-de-la-Piété de Thuir ou chapelle Nostra Senyora de la Pietat, autre chapelle romane située sur la D612 au niveau du rond-point à l'entrée de la ville ;
- Le parc et la villa de Palauda ;
- La tour de fortification et la chapelle Vilar ;
- Le château de Saü ;
- Le musée de la nature et de la chasse ;
- Le musée des Arts et traditions ;
- Le monument aux morts de Thuir, monument historique.
-
L'église Notre-Dame de la Victoire
-
Fontaine
-
Caves Byrrh
Personnalités liées à la commune
- Les frères Simon et Pallade Violet, fondateurs de la marque Byrrh ;
- Gustave Violet (1873-1952) : sculpteur né et inhumé à Thuir ;
- Louis Noguères (1881-1956) : homme politique et ancien maire de la commune ;
- René Bouscat (1891-1970) : général d'armée aérienne né à Thuir ;
- Eugène Ribère (1902-1988) : joueur de rugby à XV né à Thuir ;
- Léon-Jean Grégory (1909-1982) : sénateur-maire de Thuir, né et mort dans cette commune ;
- Henri Gras (1911-?) : joueur de rugby à XV et à XIII né à Thuir ;
- Marcel Gili (1914-1993), sculpteur, peintre et professeur à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris, né à Thuir ;
- Jean-Pierre Romeu (1948-) : joueur de rugby à XV né à Thuir ;
- Olivier Ferrand (1969-2012) : homme politique et ancien maire-adjoint de la commune.
Héraldique
Blasonnement :
De gueules aux trois tours accolées d' or, maçonnées de sable, celle du milieu plus haute et ouverte aussi de sable[28].
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Voir aussi
Bibliographie
Emile Desplanque, Inventaire sommaire des archives communales de la Ville de Thuir antérieures à 1790, publié par M. Ecoiffier, maire de Thuir Editeur(s) : Perpignan : Impr. de l'Indépendant, 1896.
Henri Mahé de Boislandelle, Castelnou et les Aspres, Canet, Éditions Trabucaire, coll. « Mémoire de pierres, souvenirs d'hommes », 2014, 203 p. (ISBN 9782849741924), notice BnF no FRBNF43847073).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
- « Métadonnées de la commune de Thuir » (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Thuir » (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan » (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Thuir » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Thuir » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Thuir » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
Autres sources
- « Modification des limites territoriales des arrondissements », Préfet des Pyrénées-Orientales.
- Stephan Georg, « Distance entre Thuir et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Thuir et Céret », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Thuir », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 179-180.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Plan séisme » (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Thuir », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « garrigues de Castelnou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Prades de Thuir et de Llupia » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « massif des Aspres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- (http://histoireduroussillon.free.fr/index.php
- Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
- [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur la-clau.net.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
- https://www.les-pyrenees-orientales.com/Villages/Thuir.php