Rosières-en-Haye

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Rosières-en-Haye
Rosières-en-Haye
Le centre du village.
Blason de Rosières-en-Haye
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes du bassin de Pont-à-Mousson
Maire
Mandat
Claude Hanrion
2020-2026
Code postal 54385
Code commune 54463
Démographie
Population
municipale
239 hab. (2021 en diminution de 1,24 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 47′ 37″ nord, 6° 00′ 05″ est
Altitude Min. 235 m
Max. 306 m
Superficie 10,74 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Rosières-en-Haye
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Rosières-en-Haye
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Voir sur la carte topographique de Meurthe-et-Moselle
Rosières-en-Haye
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Rosières-en-Haye
Liens
Site web http://www.rosieres-en-haye.fr

Rosières-en-Haye est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Village situé à 21 km de Nancy, 17 de Toul, 7 de Domêvre-en-Haye.

(Fig. 1) - Rosières-en-Haye (ban communal).

D’après les données Corine land Cover, le ban communal de 1075 hectares comportait en 2011, 56 % de zones agricoles, 12 % de forêts et 32 % de surfaces commerciales (ancien aéroport). Le territoire n'est arrosé que par des ruisseaux intermittents non recensés par le SANDRE[1].

communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 802 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 20 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rosières-en-Haye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (31,4 %), forêts (12,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ecclesia in Rauseras, in comitatu Scarponinsi, 896 - In Rauserias - Ecclesia de Rausariis, 965 - Roseriae, Rozerium, 1146 - Roceres, Roseres, 1188 - Rouzières, 1340 - Rozeriae en Heilz, 1402 - Rouseires, 1421 - Rosierres, Rosierres-en-Heix, 1441 - Rozière-en-Hey, 1500 ; sont les différentes graphies recensées par le dictionnaire topographique de la Meurthe[15].

L’église de Rosières est implantée au bord d’une légère cuvette dans laquelle jaillissait une source qui alimentait le lavoir municipal. La présence surprenante de cette cuvette humide au milieu d’un plateau plutôt sec[16] et donc la possibilité d’y avoir vu des roseaux pourrait avoir donné le nom de cette commune : soit littéralement « les roseaux dans la forêt de Hêtres » (Haye) (Ros in silva Heis - Rosières-en-Haye).

Cette origine est avancée en rapport avec l'étymologie mise en avant dans le dictionnaire d'Auguste Longnon, article "Rosières"[17] dans laquelle cet étymon dérive du mot roseau en latin (russus) et vieux français (ros).

Ecarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les écarts suivants sont cités dans les chroniques historiques, dont au moins deux ont persisté sur les cartes modernes : le carrefour des Quatre-Vents et la Justice.

CROPELLO, fief à Rosières-en-Haye, érigé en 1712, supprimé on 1725, rétabli en 1736 ; non localisé. QUATRE-VENTS (LES), écart. commune de Rosières-en-Haye, moulin aux vents. SAINT-NICOLAS, anc. ermitage, commune de Rosières-en-Haye[15], aujourd'hui disparu.

On peut citer aussi LA COTE EN HAYE, peu documenté mais mentionné sur la carte d'état-major (IGN) de 1866 comme ancienne ferme, ainsi que la Justice figurant encore dans la base FANTOIR pour cette commune. (Fig. 1).

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité et Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le territoire communal semble avoir été depuis longtemps fréquenté par les hommes, puisque Beaupré cite la découverte de «Hache en silex pointes de lances et de flèches, etc., », mais également à l'époque romaine dont on a retrouvé des pièces de monnaie et des substructions (En Hermiterre aujourd'hui Hermé terme)[18] Au XXe siècle une nécropole mérovingienne et les traces d'activités de fonderie ou de forges ont été signalés[19]

Après la conquête de la Gaule, le territoire fut couvert de villages et de métairies puisqu’il était traversé par la voie de Langres à Metz, par Toul et Scarponne, le chemin royal de grande communication numéro vingt-huit, de Toul à Pont-à-Mousson, par Dieulouard fut établi en grande partie sur cette ancienne voie.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le bourg est cité pour la première fois à la fin du IXe siècle, comme le rapporte H. Lepage[20], dans les chroniques d'Adson[21] de Toul, quand Arnalde, évêque de Toul fait l'acquisition de quelques fermes (meix) au village de Rosières. Puis, en 968, saint Gérard évêque de Toul donne à l'abbaye de Bouxières l’église de Rosières.

Par la suite les revenus de ces terres vont à différents seigneurs comme il l'indique dans son ouvrage :

« Il est encore parlé de Rosières, dans une charte de Henri, évêque de Toul (1146) et dans le titre de fondation de la collégiale de Liverdun par Pierre de Brixey (1188). En 1436, René Ier donna à Henri, bâtard de Bar, ce qu'il avait à Rosières, jusqu'au paiement de 300 florins ; et, en 1608, Louis de Guise, baron d'Ancerville, fit ses reprises pour la terre de Rosières, que le duc de Lorraine lui avait donnée ».

Peu après, des comptes extraits des archives des domaines seigneuriaux lorrains dit de l'avant-garde[22] indiquent que le village, comme beaucoup d'autres eut à souffrir des conséquences de la guerre de Trente Ans :

« Le comptable ne rapporte (en 1643) aucune recette du village de Rosières, soit des rentes en deniers, grains, poules et chapons, pour être ledit village désert et abandonné...»

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Anecdote[modifier | modifier le code]

En 1609, Louis de Guise, baron d'Ancerville, à qui la seigneurie de Rosières avait été donnée l'année précédente, obtient la permission de faire ériger dans ce lieu (Fig. 1 ) signes patibulaires, poteaux, piloris et carcan, pour l'exercice de la haute justice[20].

  • La voie romaine Lyon-Trèves fut détruite en 1738 pour remblayer la GC 28.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Alain Aubriot    
mars 2008 En cours
(au 2 juillet 2020)
Claude Hanrion [23]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Professeur

Par arrêté préfectoral de la préfecture de la région Grand-Est en date du 9 décembre 2022, la commune de Rosières-en-Haye a intégré l'arrondissement de Nancy au 1er janvier 2023[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 239 habitants[Note 4], en diminution de 1,24 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
244264273314304320331318322
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
307303285274258266249231231
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
217215180184161169167429831
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
499343451239259237226249232
2021 - - - - - - - -
239--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Secteur primaire ou Agriculture[modifier | modifier le code]

Les historiens s'accordent à décrire une économie essentiellement agricole et faiblement viticole au XIXe siècle :

« Surf. territ.: 1,074 hect.; 745 en terres lab., 8 en prés, 5 en vignes. 288 en bois. »[29],[30].

Un des rares moulins à vent lorrains a fonctionné au carrefour des 2 routes au nord-est du village, attesté en 1580 dans les chroniques :

« Thomas, meunier du moulin d'Alainveaux, doit par chacun an, au terme Saint-Remy, pour et au nom de Jean Simonin, de Rosières, deux chapons pour cause de la permission que feu Monseigneur de l'Avant-garde[22] a donnée audit Jean Simonin pour l'assiette du moulin aux vents (Fig. 1) qu'il a fait construire et ériger proche dudit Rosières »[20]

Aujourd'hui, le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs.

D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[31],), la commune de Rosières-en-Haye était majoritairement orientée [Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux sur une surface agricole utilisée d'environ 570 hectares (50% de la surface cultivable) stable depuis l'an 2000 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 278 à 48 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 7 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 6 unités de travail[Note 6].

Secteur secondaire ou Industrie ou Artisanat et industrie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Pierre.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Rosières-en-Haye Blason
Écartelé aux 1 et 4 d'azur semé de croix recroisetées au pied fiché d'or, à deux bars adossés de même ; et aux 2 et 3 d'argent à la gerbe de roseaux de sinople posée en pal.
Détails
Armes parlantes (Rosières: lieu planté de roseaux). Les armoiries de Bar rappellent l'appartenance de Rosières au Barrois.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.
  7. Voir sur le site web de la commune

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Rosières-en-Haye et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe : réd. sous les auspices de la Société d'archéologie lorraine, coll. « Dictionnaire topographique de la France », (lire en ligne).
  16. Monographies communales de Meurthe-et-Moselle réalisées pour l'exposition universelle de 1889 et conservées par les Bibliothèques de Nancy, sur galeries.limedia.fr « Le territoire vu à vol d’oiseau peut-être considéré comme une plaine ou un plateau, sauf quelques légères aspérités de peu d’importance… et Pèche : pas de cours d'eau… ».
  17. Auguste LONGNON, Les noms de lieu de la France, Paris, 1920-29.
  18. Jules Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle : époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes, (lire en ligne), p. 19,124.
  19. Hamm, Gilles., La Meurthe-et-Moselle, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, (ISBN 2-87754-091-X et 978-2-87754-091-9, OCLC 890475393, lire en ligne).
  20. a b et c Henri Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département, vol. 2, (lire en ligne), p. 437.
  21. Histoire des Evêques de Toul.
  22. a et b Le domaine de l'avant-garde était l'ensemble des ressources et rentes sur des villages lorrain dont bénéficiaient des seigneurs de Pompey au Moyen Âge.[1]
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. Arrêté préfectoral n° 2022/810 du 9 décembre 2022 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Meurthe-et-Moselle, p. 178.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Étienne Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe : contenant une introduction historique, etc., Lunéville, Creusat, .
  30. Henri Lepage, Le département de la Meurthe. Deuxième partie : statistique historique et administrative, (lire en ligne), p. 495.
  31. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  32. Clochers de France, « Église Saint-Pierre - 54463 Rosières-en-Haye » (consulté le ).
  33. [PDF] EDF énergies nouvelles, « Centrale photovoltaïque BA136 Toul-Rosières »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), (consulté le ).
  34. mac-bio.fr, « La centrale solaire de Rosières-en-Haye », (consulté le ).