Génicourt-sur-Meuse

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Génicourt-sur-Meuse
Génicourt-sur-Meuse
Église Sainte-Marie-Madeleine.
Blason de Génicourt-sur-Meuse
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Verdun
Intercommunalité Communauté de communes Val de Meuse - Voie Sacrée
Maire
Mandat
Jean-François Pérotin
2020-2026
Code postal 55320
Code commune 55204
Démographie
Gentilé Génicourtois [1]
Population
municipale
292 hab. (2021 en augmentation de 4,29 % par rapport à 2015)
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 12″ nord, 5° 26′ 17″ est
Altitude Min. 203 m
Max. 360 m
Superficie 7,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Verdun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieue-sur-Meuse
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Génicourt-sur-Meuse
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Génicourt-sur-Meuse est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est à 13,7 km de la Voie sacrée (Heippes), 16,7 de Verdun[2] et 19,3 de Fresnes-en-Voëvre.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau traversant la commune :

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Un omnibus stationne devant la Gare de Verdun, avant la Première guerre mondiale.

Autoroute proche : A4, aussi appelée autoroute de l’Est : Échangeurs Verdun, Voie Sacrée, Fresnes-en-Woëvre.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 001 mm, avec 14,1 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bonzée_sapc », sur la commune de Bonzée à 13 km à vol d'oiseau[8], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 783,7 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,3 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Génicourt-sur-Meuse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Verdun, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 103 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,6 %), prairies (24,1 %), forêts (14,7 %), zones urbanisées (4,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Vestiges gallo-romains au lieu-dit Champ des Romains.

Le fief de Génicourt appartint du XIIe à la fin XVe à la famille de ce nom[19].

Le château cité au XIVe siècle appartenait, milieu XVIe siècle XVIe, aux Gournay. Vendu en 1619 à Nicolas Jappin, il est acquis en 1669 par le petit-fils de ce dernier, Jean-François Jappin, qui fit raser l'édifice et le remplaça par un nouveau château, entouré de jardins à la française.

L'église Sainte-Marie-Madeleine, datée du 17e siècle de style gothique flamboyant, a été érigée entre 1520 et 1524[20] par Philippe de Norroy et Nicole d'Apremont, son épouse, seigneurs du lieu[21].

La commune a été décorée de la croix de guerre 1914-1918 le 11 août 1921[22] avec la citation suivante : « Vaillante cité, situé dans la région de Verdun, a supporté courageusement de nombreux bombardements qui l’on détruite en partie. Par les souffrances endurées et les dommages subis a bien mérité de la patrie ».

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Jean-François Pérotin    
mars 2008 ? Benoît Durand    
? mars 2014 Roger Guérin    
mars 2014 En cours Jean-François Pérotin [23]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  Ancien agriculteur

Budget et fiscalité 2022[modifier | modifier le code]

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :

  • total des produits de fonctionnement : 129 000 , soit 432  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 98 000 , soit 329  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 93 000 , soit 311  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 126 000 , soit 423  par habitant ;
  • endettement : 27 000 , soit 91  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 4,01 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 31,05 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 13,14 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 980 [25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27].

En 2021, la commune comptait 292 habitants[Note 4], en augmentation de 4,29 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
330362374361378396401403361
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
367367355334337312311309281
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
240232227232305258213172194
1962 1968 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
195170216234272277266290292
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Établissements d'enseignements[30] :

  • Écoles maternelles à Ambly-sur-Meuse, Les Monthairons, Dieue-sur-Meuse, Ancemont, Sommedieue.
  • Écoles primaires à Génicourt-sur-Meuse, Ambly-sur-Meuse, Villers-sur-Meuse, Dieue-sur-Meuse, Tilly-sur-Meuse.
  • Collèges à Ancemont, Verdun.
  • Lycées à Verdun.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[31] :

  • Médecins à Dieue-sur-Meuse, Dugny-sur-Meuse, Lacroix-sur-Meuse, Souilly, Fresnes-en-Woëvre.
  • Pharmacies à Dieue-sur-Meuse, Lacroix-sur-Meuse, Souilly, Fresnes-en-Woëvre.
  • Hôpitaux à Saint-Mihiel, Commercy, Bar-le-Duc, Gorze, Longuyon, Joeuf, Pont-à-Mousson.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Culture et élevage associés[33].
  • Élevage de vaches laitières.
  • Élevage d'ovins et de caprins.

Tourisme[modifier | modifier le code]

Commerces[modifier | modifier le code]

  • Commerces et services de proximité à Souilly, Dieux-sur-Meuse, Haudainville, Verdun[37].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux :

  • L'église Sainte-Marie-Madeleine[38] achevée en 1524[39]. Elle présente un ensemble particulièrement homogène de décors architectural, peint et sculpté du début de la renaissance lorraine. Elle a été construite par Nicole d'Apremont et son mari, Philippe de Norroy, représentés sur le vitrail du fond de l'abside et est équipée d'un clocher-donjon à meurtrières surveillant la Meuse.
Vitraux[40].
Autel et retable en pierre de 1530[41].
Autel, retable, 3 statues : Vierge à l'Enfant, sainte Barbe, sainte Catherine[42].
Statue Saint Hubert[43].
Statue Saint Eloi[44].
et ensemble de douze fresques Renaissance, et peintures murales[45],[46],[47],[48],[49],[50],[51],[52],[53],[54],[55].
Carré militaire (Monument militaire) [57] : Conflits commémorés : Guerre franco-allemande de 1914-1918.

Patrimoine civil :

Les vestiges du château de Génicourt, datant du XIIe siècle[60] transformés en habitations et fermes.
Ferme du château[61],[62].
  • Lavoir du XIXe siècle[63].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Génicourt-sur-Meuse Blason
De gueules à la Marie Madeleine d'argent aux cheveux d'or portant un pot d'onguent du même issant de la pointe et accostée de deux billettes d'argent ; au chef dentelé d'or chargé d'un écusson de sable à la tiercefeuille d'or accosté de deux corbeaux de gueules[64],[65].
Détails
Armoiries composées par R. A. Louis et D. Lacorde proposées à la commune en 2014 et en attente d'adoption.
La représentation de Marie Madeleine est celle du volet droit du Triptyque Braque de Rogier van der Weyden (Musée du Louvre), et non celle de la statue attribuée à Ligier Richier à droite de l'autel de l'église du lieu, statue de gauche.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ferrantia. Trois études sur la Zone Rouge de Verdun, une zone totalement sinistrée, par Georges H. Parent, Luxembourg 2004.Travaux scientifiques du Musée national d'histoire naturelle Luxembourg

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

"Génicourt-sur-Meuse" Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Gentilé : Génicourtois, Génicourtoises
  2. 55320/Verdun 55100/car/27 Itinéraires
  3. Canal de l'Est Branche-Nord
  4. Clair Fosse
  5. Ruisseau de Nazingue
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Génicourt-sur-Meuse et Bonzée », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Bonzée_sapc », sur la commune de Bonzée - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Bonzée_sapc », sur la commune de Bonzée - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Archives départementales Génicourt-sur-Meuse
  20. L'église de Génicourt-sur-Meuse
  21. L'église Sainte-Marie-Madeleine de Génicourt-sur-Meuse
  22. Communes décorées de la Croix de guerre 1914-1918
  23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  24. Les comptes de la commune
  25. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Établissements d'enseignements
  31. Professionnels et établissements de santé
  32. Paroisse Val de Marie
  33. Annuaire Agriculture, sylviculture et pêche
  34. Hébergements et restauration
  35. Chambres d'hôtes
  36. Route Ligier-Richier en Meuse
  37. Le cadre de vie des Territoires
  38. Marie-Claire Burnand - La Lorraine gothique - p. 377-381 - Picard - Paris - 1989 - (ISBN 2-7084-0385-0).
  39. « Église paroissiale Sainte-Marie-Madeleine », notice no IA55000202, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. « Baie CH 1 : saint Maur, saint Blaise, Donatrices », notice no APMDP065621, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  41. « Retable », notice no PM55000212, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  42. « Retable du bas-côté nord : Autel, retable, 3 statues : Vierge à l'Enfant, sainte Barbe, sainte Catherine », notice no PM55000216, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. « Statue Saint Hubert, évêque, livre, cor de chasse », notice no PM55000971, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  44. « Statue Saint Eloi, évêque, crosse, livre, enclume », notice no PM55000972, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  45. « Peintures murales de la première travée du mur sud de la nef, scène de Saint-Mathias », notice no APMH00260926, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  46. « Peintures murales de la deuxième travée du mur nord de la nef, Annonciation, nativité et apôtre », notice no APMH00260916, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  47. « Peintures murales de la deuxième travée du mur sud de la nef, église et Apôtre Saint-Mathieu », notice no APMH00260923, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  48. « Peintures murales de la deuxième travée du mur nord de la nef, Crucifixion et Saint-Jean », notice no APMH00260917, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  49. « Peintures murales de la troisième travée du mur sud de la nef, Christ en Majesté et Apôtre Saint-Philippe », notice no APMH00260921, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  50. « Peintures murales de la troisième travée du mur sud de la nef, Saint-Esprit et Saint-Barthélémy », notice no APMH00260922, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  51. « Peintures murales du côté sud du mur ouest de la nef, scène de Christ enseignant et Ecce Homo », notice no APMH00260928, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  52. « Peintures murales de la deuxième travée du mur sud de la nef, Résurrection des morts et Saint-Jude », notice no APMH00260925, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  53. « 5 peintures monumentales : les Apôtres », notice no APMH00260920, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  54. « Peintures murales de la troisième travée du mur nord de la nef, Résurrection et Saint-Thomas », notice no APMH00260918, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mémoire, ministère français de la Culture.
  55. Michel Hérold, « L'église Saint-Genicourt-sur-Meuse et ses vitraux », Congrès archéologique de France, vol. 191, no 49,‎ , p. 121-138 (lire en ligne).
  56. Monument aux morts
  57. Carré militaire
  58. Le Fort de Génicourt (Meuse)
  59. « Château, actuellement mairie-école et presbytère », notice no IA55000204, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  60. Cartes postales Genicourt - Le Vieux Chateau ; Vue des anciens Remparts
  61. Diagnostic archéologique a été réalisé dans le quart nord-est de l’ancienne maison forte
  62. Génicourt-sur-Meuse, le Château, maison forte
  63. Itinéraire de lavoirs & d'images : Génicourt-sur-Meuse
  64. Blason de Génicourt-sur-Meuse
  65. Génicourt-sur-Meuse, sur www.genealogie-bisval.net/