Bourguébus

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Bourguébus
Bourguébus
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Caen
Intercommunalité Caen la Mer
Maire
Mandat
Sébastien François
2020-2026
Code postal 14540
Code commune 14092
Démographie
Gentilé Bourguébusiens ou Bourguébois
Population
municipale
2 433 hab. (2021 en augmentation de 32,01 % par rapport à 2015)
Densité 441 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 07′ 17″ nord, 0° 17′ 52″ ouest
Altitude Min. 40 m
Max. 73 m
Superficie 5,52 km2
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Évrecy
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Bourguébus
Liens
Site web www.bourguebus.fr

Bourguébus est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 2 433 habitants[Note 1].

Géographie

Transports en commun

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 12 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 673 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Sylvain_sapc », sur la commune de Saint-Sylvain, mise en service en 1997[8] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[9],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 680,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 6], « Caen-Carpiquet », sur la commune de Carpiquet, mise en service en 1945 et à 13 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10,9 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,2 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[14].

Urbanisme

Typologie

Bourguébus est une commune urbaine[Note 7],[15]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,4 %), zones urbanisées (18,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,7 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[20].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Borgesbu en 1077 ; Burgesbu en 1079 et 1082 ; Borguesbu en 1198 (magni rotuli, p. 74) ; Bourgesbu en 1210 ; Borguebutum en 1297 ; Bourguebu, Burguesbu au XIVe siècle ; Bourguebus en 1453[22],[23].

La plupart des toponymistes ont identifié dans le second élément -bus (anciennement -bu avec un s postiche apparu au XVe siècle), le vieux norrois dont le sens premier n'est pas clairement défini, sans doute « maison, ferme, domaine rural »[24],[23],[25],[26]. René Lepelley évoque le scandinave by « village »[27], comprendre l'accusatif du vieux norrois býr « emplacement, terrain, propriété » qui a donné le scandinave moderne (danois, norvégien) by « village, ville » et qui explique la plupart des toponymes en -by de Scandinavie et d'Angleterre. En revanche, le norrois (ou son correspondant vieil anglais ) a été identifié par les spécialistes dans quelques toponymes normands dont Carquebut (Manche, anciennement Carquebu), Rabut (Calvados, Rabu XIIIe siècle), etc.

Le premier élément Borges- > Bourgué- parait représenter le mot bien connu bourg d'origine pangermanique en Normandie (vieux saxon burg, vieil anglais burh, burg ou scandinave borg). Dans les formations toponymiques les plus anciennes, il est toujours en seconde position -bourg (ex : Cherbourg, Cabourg, etc.), alors que dans les formations romanes plus récentes, il apparait en première position Bourg- (ex.: Bourg-Achard, Bourgtheroulde, etc.). Dans le cas de Bourguébus, la plupart des auteurs s'expriment mal à ce sujet, ainsi Albert Dauzat qui identifie le même bourg dans toute la France, évoque comme étymologie ultime, le bas latin burgus « ville fortifiée, village », emprunté au germanique burg[28]. Ernest Nègre dans ses formations toponymiques non romanes propose le germanique burg[29] et Jean Renaud, le saxon burg « ouvrage fortifié »[30]. Quant à René Lepelley, il tient l'élément Borgues- > Bourgué- pour indéterminé[31].

Remarque : Aucun de ces auteurs n'est précis sur le fait que les deux éléments burg et ne peuvent pas appartenir simultanément à deux langues germaniques différentes lors de la fixation de ce toponyme, sauf à considérer qu'il s'agit d'une formation anglo-scandinave. Les trois seules possibilités sont donc, si -bu(s) représente bien le norrois , le vieil anglais burg / burh, le norrois borg ou l'appellatif roman bourg (anciennement borc, burc), en admettant que ce dernier ait pu se fixer sur employé de manière autonome. Aucun d'entre-eux n'explique pourquoi la forme est Borgesbu et non pas *Borgbu. C'est sans doute la raison pour laquelle René Lepelley considère Borges- comme indéterminé. Il est probable que le premier élément représente en fait un anthroponyme anglo-scandinave, peut-être Borgarr qui est phonétiquement possible par amuïssement précoce du [r] devant [b] dont le s constituerait la trace : Borgarr- > Borger- > Borges-. En effet, même si cette évolution phonétique est systématique devant [b] en Normandie, comme dans le nom de personne Herbert > Hébert, on ne conserve normalement pas trace de cet amuïssement avant le XIIe siècle, et cela de manière sporadique, comme dans Guéhébert (Manche, Vehebert 1175, Weherbert XIIIe siècle). Or Borgesbus et Burgesbu sont attestés dès le XIe siècle[Note 9].

Le gentilé est Bourguébusien ou Bourguébois. La prononciation traditionnelle est [burgeby] « bourguébu », sans articuler le s final[31], la tendance contraire étant de prononcer littéralement (d'après la forme écrite) les toponymes, surtout quand ils évoquent un mot existant, c'est-à-dire, dans ce cas, bus, mode de transport.

Histoire

Au milieu des ruines, un char de dépannage Sherman Recovery, remorquant un Sherman de combat hors de service, traverse Bourguébus pendant la bataille de Normandie.
Au milieu des ruines, un char de dépannage Sherman Recovery, remorquant un Sherman de combat hors de service, traverse Bourguébus pendant la bataille de Normandie.

Le village est situé sur une crête qui sera un lieu de combats à l'été 1944 durant la bataille de Normandie : la « crête de Bourguébus ». Les Allemands y ont installé plusieurs pièces d'artillerie. La position est bombardée par le 8th Air Force américaine et l'assaut lancé par la 11e division blindée britannique le dans le cadre de l'opération Goodwood[32] pour dégager Caen. Les blindés britanniques atteignent le sommet de la crête mais au prix de lourdes pertes infligées par les canons d'assaut du major Becker[32]. Le lendemain, 19 juillet, le 5th Royak Tank Regiment de la 7e division blindée britannique essaye de déloger la 1re division SS Leibstandarte Adolf Hitler et des Tiger II du 503e bataillon de chars lourds, positionnés dans les environs du village, mais sans succès[32]. Les Allemands lancent ensuite une contre-attaque, repoussée seulement grâce à l'intervention des bombardiers britanniques Hawker Typhoon[32]. Le village de Bourguébus ne sera libéré que dans la matinée du 20 juillet[32].

Politique et administration

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
? juillet 1988
(démission)
Émile Vandecandelaere[Note 10]   Industriel (teillage de lin)
juillet 1988 mars 2001 Marcel Hoste[Note 11]   Industriel
mars 2001[33] mars 2008 Daniel Jourdaine   Métrologue
mars 2008[34] mars 2014 Michel Aubey   Retraité de PSA Caen
mars 2014[35] En cours Sébastien François[36] SE Enseignant
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres[37] dont le maire et quatre adjoints[36].

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

En 2021, la commune comptait 2 433 habitants[Note 12], en augmentation de 32,01 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
315500346268280318321292298
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
274278262255233226213205185
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
195203212220216214195173263
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3043426166506631 0741 3101 4291 915
2021 - - - - - - - -
2 433--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Lieux et monuments

  • Vestige de l'ancienne église Saint-Vigor du XIIIe siècle, détruite en 1944.
  • Église Saint-Vigor (reconstruction).

Activité, label et manifestations

Label

La commune est une ville fleurie (deux fleurs) au concours des villes et villages fleuris[42].

Sports

Le Bourguébus-Soliers Football Club fait évoluer une équipe de football en ligue de Basse-Normandie et une deux autres en divisions de district[43].

Loisirs

  • École de musique MEP.
  • bibliothèque
  • local jeune

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Notes et références

Notes

  1. Population municipale 2021.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Aucun toponymiste ne semble avoir suggéré une origine gotique à ce toponyme, alors que des fouilles archéologiques menées dans la région ont démontré la présence de ces Germains orientaux, même s'il est toujours hasardeux de relier la toponymie à l'archéologie, le gotique offre un composé connu avec le mot baurgs « lieu fortifié » comme premier élément du composé, c'est-à-dire baurgs-, qui expliquerait d'une part la position de Borges- à l'initiale et d'autre part le maintien du [s]. Il s'agit de 𐌱𐌰𐌿𐍂𐌲𐍃𐍅𐌰𐌳𐌳𐌾𐌿𐍃 (baurgswaddjus) qui signifie « rempart » et dont le second élément -waddjus est distinct de -bu. Quoi qu'il en soit, il parait douteux qu'un toponyme gotique ou burgonde (germanique oriental) ait pu se fixer dans une région dans laquelle ces deux peuples n'ont pas pu diffuser leur langue étant donné leur trop petit nombre.
  10. Réélu en mars 1977 et 1983.
  11. Réélu en mars 1989 et juin 1995.
  12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Bourguébus et Saint-Sylvain », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Saint-Sylvain_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Bourguébus et Carpiquet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Caen-Carpiquet - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  22. « Dictionnaire topographique de la France - CTHS », sur cths.fr (consulté le ), p. 35
  23. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, t. 2 : Formations non romanes ; formations dialectales, Genève, (OCLC 25805354, lire en ligne), p. 1015
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 97b
  25. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 89.
  26. Wikimanche : Carquebut - Toponymie[1]
  27. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éd. Charles Corlet, (ISBN 2-905461-80-2), p. 76
  28. Albert Dauzat, op. cit.
  29. Ernest Nègre, op. cit.
  30. Jean Renaud, op. cit.
  31. a et b René Lepelley, op. cit.
  32. a b c d et e Claude Quétel (dir.), Dictionnaire du Débarquement, Rennes, éditions Ouest-France, , 725 p. (ISBN 978-2-7373-4826-6), p. 108 "Bourguébus"
  33. « Daniel Jourdaine est candidat à sa succession », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  34. « Élection du maire et des adjoints », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  35. « Sébastien François sera le nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  36. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Bourguébus. Deuxième mandat pour Sébastien François, élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )
  37. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Calvados (14) - Bourguébus », sur interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le )
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris » (consulté le )
  43. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Bourguébus-Soliers FC » (consulté le )
  44. « Qui est Amandine Petit, élue Miss Normandie 2020 ? », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le )

Liens externes

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