Saint-Fort-sur-le-Né

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Fort-sur-le-Né
Saint-Fort-sur-le-Né
La mairie.
Blason de Saint-Fort-sur-le-Né
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Cognac
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Grand Cognac
Maire
Mandat
Gilbert Rambeau
2020-2026
Code postal 16130
Code commune 16316
Démographie
Gentilé Saint-Fortais
Population
municipale
384 hab. (2021 en augmentation de 3,5 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 34′ 41″ nord, 0° 18′ 14″ ouest
Altitude Min. 16 m
Max. 65 m
Superficie 6,80 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Cognac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Charente-Champagne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Fort-sur-le-Né
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Fort-sur-le-Né
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Saint-Fort-sur-le-Né
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Fort-sur-le-Né

Saint-Fort-sur-le-Né est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Saint-Fortais et les Saint-Fortaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Saint-Fort-sur-le-Né est une commune de l'ouest du département de la Charente limitrophe avec la Charente-Maritime. La commune est située en bordure du qui marque la limite départementale, à 13 km au sud de Cognac et 37 km à l'ouest d'Angoulême.

Le bourg de Saint-Fort est aussi à 6 km au nord d'Archiac, 8 km au sud-ouest de Segonzac, le chef-lieu de son canton, 16 km de Jarnac, 17 km au nord-ouest de Barbezieux, 18 km à l'est de Pons, 18 km au nord-est de Jonzac et 84 km de Bordeaux[2].

Saint-Fort-sur-le-Né est sur l'axe routier Bordeaux-Cognac, la D 731, entre Cognac et Archiac, qui longe le Né puis le traverse et passe en bas de la partie ancienne du village qui, elle, est située en hauteur sur le coteau. La D 731 rejoint la .10 à Barbezieux. C'est aussi la jonction avec la D 736 venant de Ruffec, Rouillac, Jarnac et Segonzac[3].

La commune de Saint-Fort-sur-le-Né est en Grande Champagne, 1er cru classé du vignoble d'appellation cognac.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Saint-Fort forme un gros bourg, avec quatre hameaux périphériques : les Régniers, les Bons Enfants, Granges et les Portes. Le Ménis est un peu plus à l'ouest sur la route d'Angles. Au nord de la commune on trouve la Vallade, et elle compte aussi de nombreuses fermes[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est occupée par le Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux, qui occupe une grande partie du Sud Charente et qu'on appelle ici Champagne. La vallée du Né est occupée par des alluvions récentes du Quaternaire ainsi qu'une terrasse plus ancienne au sud de la commune[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un bas plateau s'abaissant doucement vers la vallée du Né qui borde la commune à l'ouest. Le point culminant du territoire communal est à une altitude de 65 m, situé au nord-est du bourg (borne IGN). Le point le plus bas est à 16 m, situé le long du Né en limite nord-ouest près d'Angles. Le bourg de Saint-Fort, construit sur le flanc de la vallée en rive droite du Né, s'étage entre 20 et 40 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Fort-sur-le-Né.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Né, le ruisseau de la Motte, qui constituent un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le , affluent de la Charente en aval de Cognac, borde la commune et le département à l'ouest. Il passe au pied du bourg de Saint-Fort.

Le ruisseau de la Motte, petit affluent du Né qui naît au sud du bourg d'Angeac, limite la commune au nord et se jette près d'Angles[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Sanctus Fortmatus, Sanctus Fortunatus en 1110[11], Sanctus Fortunatus supra Nedum (non datée)[12].

L'origine du nom de Saint-Fort, longtemps discutée car n'ayant aucun renseignement sur l'existence de ce saint dans la région, remonterait à Fortis, évêque de Bordeaux vers le Ier siècle, plutôt que Fortunatus, évêque de Poitiers vers le VIe siècle. Elle est semblable à celle de Saint-Fort-sur-Gironde[13],[14].

Pendant la Révolution, la commune s'est appelée provisoirement Fort-le-Né[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Un chemin antique venant de Jarnac et se dirigeant vers Arthenac et Blaye passait le Né au gué du Pas de Saint-Fort. De nombreux sites renferment des tessons de céramique, des tuiles et des briques qui marquent une importante occupation gallo-romaine[16]. En particulier de la céramique sigillée estimée du Ve siècle a été trouvée à la Renorville, attesté Romanorevilla en 1075-1101, nom évoquant fortement Romanorum villa[17].

La terre de Saint-Fort dépendait du château d'Ambleville. Elle a appartenu à la maison d'Archiac, puis à la famille de Montbron, ensuite de La Tour en 1598 et enfin de Brémond d'Ars jusqu'à la Révolution[18]. Pierre-René-Auguste de Brémont d'Ars, seigneur de Saint-Fort, prit une part active aux États généraux de 1789 en tant que député de la Saintonge, puis il émigra et ne revint en France qu'en 1800[19].

L'inventaire de la DRAC repère des maisons et fermes des XVIIIe et XIXe siècles, un manoir du XVIIIe siècle et quatre moulins dont un est sur la carte de Cassini et deux autres sur l'inventaire de 1850[20].

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Cognac à Barbezieux appelée le Petit Mairat[19]. Un embranchement partait au nord-est en direction de la ligne de Segonzac à Rouillac[21].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2008 Dominique Rebillier    
2008 2014 François Dihé MoDem
puis UDI
Agent d'assurances retraité
2014 En cours Pascal Martin UDI[22]  

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Elle fait partie de la communauté d'agglomération du Grand Cognac.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Fort-sur-le-Né est une commune rurale[Note 1],[23]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[24],[25].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cognac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[26],[27].

D'après le recensement de 1999, les 173 logements de la commune sont pour la plupart anciens, 153 sont des résidences principales, 2 des résidences secondaires et 18 sont vacants.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (40,5 %), terres arables (29,9 %), zones agricoles hétérogènes (18,4 %), forêts (6,3 %), zones urbanisées (4,8 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Fort-sur-le-Né est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Fort-sur-le-Né.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 212 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 211 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1986 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[29].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[33].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 384 habitants[Note 3], en augmentation de 3,5 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
509466434411461523538578550
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
573576598573501503476491504
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
477469444442451437394403426
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
464406419402386395397404378
2019 2021 - - - - - - -
385384-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 186 hommes pour 192 femmes, soit un taux de 50,79 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,1 
7,9 
75-89 ans
12,2 
20,6 
60-74 ans
16,3 
21,7 
45-59 ans
21,4 
18,5 
30-44 ans
20,4 
14,3 
15-29 ans
12,8 
16,9 
0-14 ans
13,8 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts

Comme toutes les communes rurales du Cognaçais, Saint-Fort-sur-le-Né a subi un exode rural à la fin du XIXe siècle lors de la crise du phylloxéra qui s'est poursuivie au XXe siècle. La commune a perdu 31 % de sa population entre 1876 et 1999.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture est l'activité principale de Saint-Fort-sur-le-Né, qui est située dans la zone d'appellation d'origine contrôlée cognac, en Grande Champagne, premier cru classé du cognac[40].

De petits producteurs de cognac, de pineau des Charentes et de vin de pays sont installés dans la commune.

Commerces[modifier | modifier le code]

Sont aussi présents sur la commune des artisans : garagiste, maçon, rénovation de bâtiments, travaux publics, scierie, et bien sur des commerces de proximité ainsi qu'un snack-bar et un gîte rural.

D'après le recensement de 1999, il y a 145 actifs (87 hommes et 58 femmes) dont 100 sont salariés et 45 non salariés.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Saint-Fort-sur-le-Né et Verrières. Saint-Fort accueille l'école primaire et Verrières l'école élémentaire. L'école de Saint-Fort comprend une classe de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Segonzac[41].

Santé[modifier | modifier le code]

Saint-Fort-sur-le-Né possède un cabinet médical, un cabinet dentaire, une infirmière et une pharmacie.

Vie locale et animations[modifier | modifier le code]

Bar Pub Jazz

La Bonne Chauffe, bar, pub, propose régulièrement des soirées jazz et blues renommées.

Saint-Fort-sur-le-Né possède un club du 3e âge, une association des parents d'élèves, une association Sport et Détente, l'Association Sportive Sainte-Fortaise, Bien vivre ensemble à Saint-Fort-sur-le-Né, la Société de chasse Saint-Fort-sur-le-Né, et l'Amicale des donneurs de sang[18].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Dolmen[modifier | modifier le code]

Le dolmen de Saint-Fort se dresse à mi-coteau au milieu du vignoble. D'une longueur de 7 mètres et d'une largeur de 4,70 mètres, il est d'une hauteur imposante et inhabituelle dans la région, 2,20 mètres[18]. Il est classé monument historique depuis 1983[42].

Église paroissiale[modifier | modifier le code]

Le bourg de Saint-Fort possède une église du XIIe siècle, l'église Saint-Fortunat ou Saint-Fort, nommée maintenant Sainte-Anne[18]. Les Anglais, après l'avoir presque entièrement détruite durant la Guerre de Cent Ans, l'auraient reconstruite. Elle présente des parties romanes et des parties ogivales. Elle a été plusieurs fois remaniée (en 1815, 1827, 1828). En 1867-1868, la façade a été reconstruite et les voûtes ont été restaurées sous la direction de Gabriel Warin[43]. Elle est à un seul vaisseau, en calcaire, pierre de taille, moellon, en voûte d'ogives et couverture de tuile. Le clocher est au centre. Elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1991[44].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’azur à l’aigle bicéphale d’or, languée et membrée de gueules.
Commentaires : Blason de Saint-Fort-sur-le-Né.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Saint-Fort-sur-le-Né » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Cognac », sur Infoterre (consulté le )
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  8. « Fiche communale de Saint-Fort-sur-le-Né », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
  9. « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
  11. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 126
  12. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 345
  13. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 598.
  14. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  15. Jacques Baudet et Jacques Chauveaud, « Toponymie révolutionnaire en Charente », Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente,‎ 4e trimestre 1986, p. 272-278 (lire en ligne [PDF] sur andre.j.balout.free.fr, consulté en )
  16. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 204-205
  17. Louis Maurin in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 74
  18. a b c et d site de la CDC
  19. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 328
  20. « Saint-Fort-sur-le-Né », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  21. Photographies aériennes IGN de 1948.
  22. « UDI - Le site officiel », sur UDI (consulté le ).
  23. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  25. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  29. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Fort-sur-le-Né », sur Géorisques (consulté le )
  30. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  32. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Fort-sur-le-Né », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  33. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur www.charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Fort-sur-le-Né (16316) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  40. [PDF] Union générale des viticulteurs pour l'AOC Cognac, « Liste des communes par circonscriptions », (consulté le )
  41. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
  42. « Dolmen de Saint-Fort », notice no PA00104499, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. « Église Saint-Fortunat (notice) », notice no IA00042249, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  44. « Église Saint-Fortunat », notice no PA00104570, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]