Richard Chamberlain

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Richard Chamberlain
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Richard Chamberlain en 1982.
Nom de naissance George Richard Chamberlain
Naissance (90 ans)
Beverly Hills, Californie, États-Unis
Nationalité Drapeau des États-Unis Américaine
Profession Acteur
Films notables La Symphonie pathétique
Allan Quatermain
La Tour infernale
Trilogie des Trois Mousquetaires
Séries notables Le Jeune Docteur Kildare
Shogun
Le Comte de Monte-Cristo
Les oiseaux se cachent pour mourir

Richard Chamberlain est un acteur américain, né le à Beverly Hills (comté de Los Angeles, Californie).

Biographie[modifier | modifier le code]

Origines et jeunesse[modifier | modifier le code]

George Richard Chamberlain naît en 1934 à Beverly Hills[1] : il est le second fils d’Elsa Winnifred Matthews (née von Benzon) et de Charles Axion Chamberlain, un agent commercial[2],[3],[4]. En 1952, Chamberlain est diplômé de la Beverly Hills High School (en) puis rejoint le Pomona College (promotion 1956) pour une formation d’acteur classique[5],[6]. Il est ensuite incorporé dans l’Armée de terre des États-Unis : il est envoyé en Corée du Sud de 1956 à 1958 où il atteint le grade de sergent[7],[8],[9].

Une gloire précoce[modifier | modifier le code]

En 1959, il est l’un des cofondateurs, avec Leonard Nimoy, Vic Morrow et Vic Tayback, de la compagnie théâtrale Company of Angels (en), installée à Los Angeles[10],[11]. Cinquante ans plus tard, il l’évoque ainsi : « Un groupe d'acteurs travaillait avec Jeff Corey [...] Aucun d'entre nous n'arrivait à trouver du travail et nous avions décidé de créer notre propre compagnie de théâtre. Peu importe comment, nous avions réuni des fonds et loué un petit espace étrange et commencé à monter des pièces. Nous avions fait The Caine Mutiny et La Ronde et c'était follement merveilleux de faire ça. »[N 1],[12].

La même année, il participe également à un épisode de la série Alfred Hitchcock présente.

En 1960, il est à l’affiche de son premier long métrage Secret of the Purple Reef (en)[13].

Le soap opera en hôpital, Le Jeune Docteur Kildare, lancé en sur la chaîne NBC et dont il interprète le rôle-titre, le sacre idole du public féminin[13],[14]. Il y croise Linda Evans qui lui servira longtemps de petite amie fictive lors d'apparitions publiques[15]. La série est annulée et se conclut en 1966 au bout de cinq saisons[13],[14].

L'exil[modifier | modifier le code]

Richard Chamberlain (à gauche) avec Daniela Bianchi et Raymond Massey en 1964 dans Le Jeune Docteur Kildare.

Après l'arrêt de la série, Richard Chamberlain gagne la Grande-Bretagne, et apparaît dans plusieurs pièces de théâtre[13],[14],[16].

En 1966, il joue dans la funeste comédie musicale Breakfast at Tiffany's (en) avec notamment Mary Tyler Moore[17]. Supposée se produire à Broadway et ayant vendu de nombreux billets en prévente, la pièce rencontre des critiques catastrophiques et s'achève après quatre représentations jouées avant la date officielle (en), le producteur David Merrick (en) déclarant ne pas vouloir : « soumettre les critiques et le public à une soirée atroce et ennuyeuse »[N 2],[17],[18],[12]. Chamberlain déclare « C'était de première classe, très coûteux et rien ne fonctionnait »[N 3],[12].

En 1968, il est le mari de Julie Christie dans Petulia de Richard Lester[16].

En 1969, il joue le rôle titre de la pièce Hamlet de William Shakespeare, au Birmingham Repertory Theatre (en)[19]. Il reprend la pièce en 1970 à la télévision pour le programme Hallmark Hall of Fame (en), avec John Gielgud, Michael Redgrave et Margaret Leighton[19]. À partir de 1971, il renoue avec une nouvelle pièce de Shakespeare, tenant le rôle titre dans Richard II[11]. Ses prestations sont appréciées[19],[11].

Il tourne également avec Ken Russell et Robert Bolt, s'imposant en Tchaïkovski en 1971 dans The Music Lovers ou en personnage romantique Lord Byron en 1972 dans Lady Caroline Lamb[20],[21]. L'athlète se mue en interprète racé et tourne avec Glenda Jackson puis Sarah Miles[20],[21]. Il participe ainsi au fameux Swinging London d'où émergent les derniers courants artistiques, cinéma, musique, mode…

D'ici et d'ailleurs[modifier | modifier le code]

En 1973 et en 1974, il interprète Aramis dans les films de cape et d’épée Les Trois Mousquetaires et On l'appelait Milady dirigés par le réalisateur américain Richard Lester et d'après le roman d'Alexandre Dumas[22],[23]. Ses amis mousquetaires sont alors Michael York, Oliver Reed et Frank Finlay, leurs ennemis Christopher Lee, Faye Dunaway et Charlton Heston[22],[23].

Autre grande production de l'année 1974, Richard Chamberlain fait partie de la distribution du film catastrophe La Tour infernale de John Guillermin, aux côtés de Paul Newman, Steve McQueen, Faye Dunaway, William Holden, Fred Astaire, Susan Blakely ou encore Robert Wagner[24]. En 1975, il renoue avec l'univers d'Alexandre Dumas et devient Edmond Dantès, alias le comte de Monte-Cristo, dans une version télévisée du célèbre roman[25].

En 1976, il tient le rôle du prince Édouard dans le film musical The Slipper and the Rose de Bryan Forbes, adaptation du conte Cendrillon, avec Gemma Craven (en) dans le rôle de la jeune femme au soulier de vair[26].

En 1977, Chamberlain joue le rôle de l'avocat David Burton, qui décide de défendre des Aborigènes accusés d'avoir tué un des leurs dans La Dernière Vague (The Last Wave) de l'australien Peter Weir[27]. Puis il tient une nouvelle fois un personnage de l'imaginaire de Dumas — en fait deux —, le roi Louis XIV et son jumeau Philippe, dans L'Homme au masque de fer[16].

En 1978, il joue le rôle du Dr Hubbard dans le film catastrophe L'Inévitable Catastrophe (The Swarm) de Irwin Allen, avec notamment Michael Caine ou encore Katharine Ross[28]. Il apparaît également dans la mini-série Centennial[16]. Il joue également le cowboy Wild Bill Hickok dans la pièce Fathers vs. Sons de Thomas Babe (en)[29].

L'icône[modifier | modifier le code]

Les années 1980 marquent la nouvelle dimension de Richard Chamberlain en le sacrant acteur des grandes productions de télévision[16]. Ainsi, on peut le voir dans la mini-série Shogun dans le rôle du navigateur échoué au Japon John Blackthorne, aux côtés de Yōko Shimada et de Toshirō Mifune, puis, en 1983, il est le père Ralph de Bricassart dans Les oiseaux se cachent pour mourir face à Sydney Penny puis Rachel Ward[16] et aux côtés de Barbara Stanwyck, Jean Simmons, Bryan Brown, Christopher Plummer et Richard Kiley. La série est un succès dans le monde entier, et particulièrement en France où les rediffusions sont régulières. En 1985, il incarne le diplomate suédois Raoul Wallenberg dans le téléfilm Wallenberg: A Hero's Story (en) de Lamont Johnson, qui relate sa contribution au sauvetage de plusieurs milliers de Juifs durant l'Holocauste[16]. En 1986, il tient le rôle de l'explorateur John Charles Fremont dans la mini-série Dream West (en)[16].

Loin des films à costumes, il devient en 1988 l'amnésique Jason Bourne, dans le téléfilm d'action-thriller La Mémoire dans la peau, de Roger Young, d'après le roman de Robert Ludlum[16]. Il tourne à Nice, Zurich, Londres ou encore Paris avec l'ancienne « drôle de dame » Jaclyn Smith[16].

La même année, le The New York Times le nomme « Roi des mini-séries » et déclare : « Richard Chamberlain est devenu le Robert Redford du salon, trouvant une célébrité aux heures de grande écoute, célébrité qui lui a échappé sur grand écran. »[N 4],[16].

Le photographe Yoni S. Hamenachem et Chamberlain sur le tournage d'Allan Quatermain et les Mines du roi Salomon au Zimbabwe, vers 1984.

Côté cinéma, il joue en 1982 dans le film Murder by Phone (en) de Michael Anderson[16]. En 1985, il devient pour The Cannon Group, Inc. l'aventurier Allan Quatermain, aux côtés de Sharon Stone, dans le film d'aventure Les Mines du roi Salomon de J. Lee Thompson, qui se veut plus être une parodie de la franchise Indiana Jones, qu'une adaptation du roman de Henry Rider Haggard, paru exactement 100 ans auparavant[30]. Il reprend le personnage l'année suivante dans Allan Quatermain et la Cité de l'or perdu, cette fois-ci pour la caméra de Gary Nelson, mais toujours accompagné de Sharon Stone[31]. Au casting s'ajoute notamment James Earl Jones, Henry Silva, Cassandra Peterson, Robert Donner, ou encore Martin Rabbett[31]. Le film reçoit des critiques mitigés comme celle du The New York Times qui déplore les effets spéciaux mais qui admire le travail de l'acteur : « Heureusement, Richard Chamberlain est professionnel et plus encore, car le film serait autrement pratiquement impossible à regarder »[32],[31],[N 5]. Le film est également un échec commercial et récolte moins de 4 millions de dollars[33].

On peut le voir entre autres dans la mini-série Le Rêve californien en 1986. En 1987, il campe Casanova dans un téléfilm, rôle qui lui convient bien mieux puisqu'il redevient, au milieu des années 1980, un véritable sex-symbol pour la gent féminine ; ses partenaires ont pour nom Faye Dunaway, Sylvia Kristel ou encore Hanna Schygulla[34].

Il reprend également le rôle d'Aramis en 1989, pour les besoins du film Le Retour des Mousquetaires[35].

Il joue dans le Le Missionnaire du mal en 1991, un remake de La Nuit du chasseur . À partir de fin 1993, il joue le rôle d'Higgins dans la comédie musicale My Fair Lady, à Broadway[36],[37].

En 1996, il retrouve le rôle du Père Ralph de Bricassart dans la nouvelle mini-série The Thorn Birds: The Missing Years[38].

En 1999, il succède à Michael Siberry (en) ainsi qu'à Dennis Parlato (en), et devient le nouveau capitaine von Trapp dans la comédie musicale The Sound of Music relancée l'année d'avant à Broadway, avec notamment Laura Benanti comme partenaire de jeu dans le rôle de Maria Rainer[39].

Rare sur les plateaux, mais toujours près des planches[modifier | modifier le code]

En 2003 et alors âgé de 69 ans, il publie son autobiographie Shattered Love: A Memoir, dans laquelle il révèle notamment son homosexualité[40].

À partir d'octobre 2004, il prend les traits d'Ebenezer Scrooge et part en tournée à travers les États-Unis dans la comédie musicale de Broadway Scrooge (en), d'après l'œuvre de Charles Dickens, qui débute au James M. Nederlander Theatre (anciennement Ford Center for the Performing Arts Oriental Theatre)[41].

Il fait son retour devant les caméra en 2005, apparaissant dans le quatrième épisode de la huitième saison de la sitcom Will et Grace.

En 2006, il participe le temps d'un épisode de la quatrième saison de Nip/Tuck, aux côtés de Julian McMahon et Dylan Walsh, dans le rôle d'un millionnaire qui souhaite que son compagnon devienne une réplique plus jeune de lui-même[42]. Il participe également au troisième épisode de la troisième saison de la série Hustle[43]. Enfin, il tient le rôle du gouverneur Charles Eden dans la mini-série Blackbeard[44].

Il apparait en 2007 dans un épisode de Desperate Housewives durant la saison 4, en y tenant le rôle de l'ex-beau-père de Lynette Scavo jouée par Felicity Huffman, épisode où son personnage révèle son homosexualité[45]. La même année, il est présent dans la comédie I Now Pronounce You Chuck & Larry de Dennis Dugan, avec Kevin James et Adam Sandler dans les principaux rôles[46].

En 2009, il rejoint en cours de route la tournée de la comédie musical Spamalot des Monty Python, dans laquelle il joue le Roi Arthur[47].

De 2010 à 2011, il apparait dans plusieurs épisodes de la cinquième saison de la série Brothers & Sisters[48]. En 2010, il est opposé à Zachary Levi le temps de deux épisodes de la quatrième saison de Chuck, durant lesquels il tient le rôle de l'espion Adelbert De Smet, dit « le Belge »[49]. Il joue également le rôle du maitre voleur Archie Leach, le mentor de Parker (Beth Riesgraf), dans un épisode de la troisième saison de Leverage[50]. Il reprend le rôle en 2012, le temps d'un épisode de la quatrième saison[51].

En 2011, il joue dans le film We Are the Hartmans[52].

En 2012, il joue le Dr Sloper dans la pièce The Heiress (en) de Ruth (en) et Augustus Goetz, avec l'actrice Heather Tom dans le rôle de sa fille[19]. Juste après, il tient le rôle du père Merrin dans la pièce The Exorcist (en) de John Pielmeier (en)[53].

En 2014, il joue le rôle de Père Donald dans la pièce Off-Broadway Sticks and Bones de David Rabe (en), aux côtés de Holly Hunter et de Bill Pullman [54].

En 2015, il prête sa voix au personnage de DC Comics Highfather (en) dans le film d'animation Justice League: Gods and Monsters[55].

En 2017, il participe au court métrage horrifique The Black Ghiandola (en) de Sam Raimi, Catherine Hardwicke et Theodore Melfi, qui comprend également Johnny Depp, Laura Dern, J. K. Simmons ou encore David Lynch[56]. Par ailleurs, il retrouve ce dernier, qui le fait tourner très brièvement le temps d'une scène du quatrième épisode de la série Twin Peaks: The Return[57].

En 2018, il joue le rôle d'un chirurgien plastique dans le segment Mirari réalisé par Joe Dante, du film d'horreur Nightmare Cinema (en)[58].

Théâtre[modifier | modifier le code]

Note : Les dates correspondent aux premières représentations des pièces.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Discographie[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • Golden Apple Awards 1962 : Lauréat du Prix de la star masculine de l'année
  • Golden Apple Awards 1963 : Nomination au Prix de la star masculine de l'année
  • Golden Globes 1963 : Lauréat du Prix du meilleur acteur dans un film dramatique pour Dr Kildare
  • Primetime Emmy Awards 1975 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans une série dramatique pour Le Comte de Monte-Cristo
  • Australian Film Institute 1978 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans un film dramatique pour La Dernière Vague
  • Golden Apple Awards 1980 : Lauréat du Prix de la star masculine de l'année
  • Golden Globes 1980 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans une série dramatique pour Colorado
  • Golden Globes 1981 : Lauréat du Prix du meilleur acteur dans une série dramatique pour Shogun
  • Primetime Emmy Awards 1981 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans une série dramatique pour Shogun
  • Primetime Emmy Awards 1983 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans une mini-série où un téléfilm pour Les oiseaux se cachent pour mourir
  • Golden Globes 1984 : Lauréat du Prix du meilleur acteur dans une mini-série où un téléfilm pour Les oiseaux se cachent pour mourir
  • Aftonbladet TV Prize 1985 : Lauréat du Prix TV Prize de la meilleure performance étrangère sur TV
  • Primetime Emmy Awards 1985 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans une mini-série où un téléfilm pour Wallenberg: A Hero's Story
  • Golden Globes 1986 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans une mini-série où un téléfilm pour Wallenberg: A Hero's Story
  • Golden Globes 1989 : Nomination au Prix du meilleur acteur dans une mini-série où un téléfilm pour La Mémoire dans la peau

Voix francophones[modifier | modifier le code]

En version française, Richard Chamberlain est dans un premier temps doublé par Hubert Noël dans Le Motel du crime et Claude Giraud dans La Folle de Chaillot. Dominique Paturel le double de 1973 à 1979 dans Les Trois Mousquetaires, On l'appelait Milady, La Tour infernale et Colorado. Il est remplacé par Thierry Wermuth pour le second doublage de La Tour infernale[61]. De 1975 à 1978, il est doublé par Philippe Ogouz dans Le Comte de Monte-Cristo[61], Jean-François Poron dans L'Homme au masque de fer, Bernard Tiphaine dans La Dernière Vague et Pierre Arditi dans L'Inévitable Catastrophe. Claude Giraud le retrouve de nouveau entre 1980 et 2000 dans Shogun, Wallemberg, Le Retour des Mousquetaires et Les Anges du bonheur.

Richard Darbois le double une première fois en 1983 dans Les oiseaux se cachent pour mourir, tandis que Guy Chapellier le double en 1985 dans Allan Quatermain et les Mines du roi Salomon[61]. L'année suivante, ce dernier est remplacé par Darbois dans Allan Quatermain et la Cité de l'or perdu, qui devient sa voix régulière jusqu'en 2007. Il le double notamment dans Dream West, La Mémoire dans la peau, Les oiseaux se cachent pour mourir : Les Années oubliées, L'Ultime Voyage, La Vie secrète d'une milliardaire, Le Trésor de Barbe-Noire, Nip/Tuck ou encore Desperate Housewives. Par la suite, Pierre Dourlens le double de 2007 à 2012 dans Quand Chuck rencontre Larry, Chuck, Leverage et Brothers and Sisters.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Citation originale : “A bunch of actors were working with Jeff Corey [...] None of us could get work and we decided to form our own theater company. Somehow we got funds together and rented a little odd space and started putting on plays. We did The Caine Mutiny and 'La Ronde and it was deliriously wonderful to do that.
  2. Citation originale : subject the drama critics and the public to an excruciating, boring evening.
  3. Citation originale : It was first-class, very expensive and nothing worked.
  4. Citation originale : Richard Chamberlain has become the Robert Redford of the living room, finding a stardom in prime time that has eluded him on silver screen.
  5. Citation originale : Fortunately, Richard Chamberlain is professional and then some, since the film would otherwise be virtually unwatchable.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Chamberlain, Richard 1934– », sur Encyclopedia.com, Cengage (consulté le )
  2. William Addams Reitwiesner, « Ancestry of William Shattuck », sur Wargs.com (consulté le )
  3. « Richard Chamberlain Online Article 139 », Richard-chamberlain.co.uk, (consulté le )
  4. Abraham W. Foote, « Foote family, comprising the genealogy and history of Nathaniel Foote, of Wethersfield, Conn., and his descendants; also a partial record of descendants of Pasco Foote of Salem, Mass., Richard Foote of Stafford County, Va., and John Foote of New York City », Burlington, Vt., Free Press Printing Co., , p. 33
  5. « Richard Chamberlain », sur Biography, (consulté le )
  6. Gretchen Rognlien, « Celebrate! », Pomona College Alumni Magazine,‎ , p. 46 (lire en ligne, consulté le ) :

    « Claremont in Entertainment and Media panel featuring Richard Chamberlain ’56. »

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  8. Heartthrob Richard Chamberlain Disliked & Feared Himself ‘Intensely’ Hiding Sexuality for Years news.amomama.com. Retrieved February 13, 2022.
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  15. Telestar.fr, « Richard Chamberlain : pourquoi il a dû cacher son homosexu... - Télé Star », sur www.telestar.fr, (consulté le )
  16. a b c d e f g h i j k et l (en) « TELEVISION; Richard Chamberlain's Mini-Series Mastery », sur nytimes.com, (consulté le )
  17. a et b (en) « Holly come lately - can Anna match Audrey? », sur independent.co.uk, (consulté le )
  18. (en) « Breakfast At Tiffany’s Broadway Review: Capote Without Audrey Hepburn Or Moon River », sur newyorktheater.me, (consulté le )
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  60. Sous le pseudonyme Alan Smithee (https://www.imdb.com/name/nm0000647/filmotype?mode=desktop)
  61. a b et c « Comédiens ayant doublé Richard Chamberlain en France », sur RS Doublage.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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