Rannée

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Rannée
Rannée
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Karine Morel
2024-2026
Code postal 35130
Code commune 35235
Démographie
Gentilé Rannéen
Population
municipale
1 061 hab. (2021 en diminution de 4,41 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 55′ 27″ nord, 1° 14′ 26″ ouest
Altitude Min. 55 m
Max. 114 m
Superficie 51,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine La Guerche-de-Bretagne
(banlieue)
Aire d'attraction La Guerche-de-Bretagne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Rannée

Rannée est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 061 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte de la commune.

Forêt[modifier | modifier le code]

La forêt de la Guerche (située en fait à Rannée) est l'une des plus vastes du département. Des activités connexes s'y sont développées, comme de petits ateliers de vannerie professionnelle qui fabriquaient les paniers à pommes et les resses (vannerie bâtie sur arceaux)[1].

Les vanniers, appelés aussi pann'rotieux, vendaient leurs objets notamment lors des grandes foires de la fin de l'été de la Guerche de Bretagne : ces foires sont dites angevines dont la foire aux « bitraos » (gardiens de troupeaux), la foire aux Prussiens (référence probablement à l’occupation par les troupes prussiennes de la région de début septembre à début )[2].

Les vanniers prélevaient dans la forêt la « bourdann » (la bourdaine qui est un arbuste noir à fruit rouge) et le châtaignier. Aujourd'hui, les vanniers préfèrent l'osier qu'ils achètent conditionné en bottes. L'atelier Hérisset est le dernier atelier en activité[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[5]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 739 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbrissel à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,7 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rannée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Guerche-de-Bretagne, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[14] et 5 337 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Guerche-de-Bretagne dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (55,7 %), zones agricoles hétérogènes (25,2 %), terres arables (13,1 %), prairies (5,1 %), zones urbanisées (0,8 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Radenix en 1150, Raenia en 1180, Redenia en 1188[20], Rasné au XVIe siècle.

« Fougeraie, lieu ou poussent les fougères »[20], du gaulois ratis « fougère »[21], avec amuïssement roman du [d] intervocalique.

Histoire[modifier | modifier le code]

Rannée est peuplé depuis longtemps. Les mines d'or situées à l'ouest de la forêt ont été exploitées depuis l'Antiquité. De nombreuses pièces de monnaie sont encore trouvées de nos jours dans la forêt (site d'un village gaulois, voie romaine…).

En plus de la richesse de son sous-sol, Rannée était un lieu stratégique situé aux confins des pays de deux cités gauloises qui ont donné les actuelles Rennes et Nantes.

Localisée par la suite sur la marche franco-bretonne, il est certain que de nombreux échanges s'y sont déroulés avec l'Anjou voisin.

De 1791 à 1900, la commune de Rannée est rattachée à La Guerche-de-Bretagne. Avant 1791, La Guerche dépendait de la paroisse de Rannée. Pendant la Révolution, une partie de la bourgeoisie de ce quartier s'est opposée au projet initial de la création de deux communes. Ils souhaitaient développer la Guerche, cependant, ils se sont mis à dos la population des autres quartiers de l'ancienne paroisse en supprimant le droit de culte, le cimetière, les cloches de l'ancienne paroisse (aujourd'hui Rannée). Ils confisquèrent aussi les biens de cette paroisse. La population de Rannée a ressenti cette période comme une forme d'occupation, ce qui a pu favoriser un certain conservatisme religieux (en réaction au zèle « abusif » de certains patriotes guerchais) et plus généralement une méfiance par rapport à leurs voisins guerchais. Les habitants retrouveront les cloches chez un brocanteur et militeront jusqu'au rétablissement du droit de culte et du retour au statut de commune.

Au début du XXe siècle, les habitants de Rannée font construire une école privée (il n'y avait alors aucune école à Rannée). Celle-ci est rapidement confisquée par l'État. Les habitants obtiendront la récupération des lieux (qui étaient des biens privés, propriété notamment de la famille Dutertre et non pas de l'Église : ils n'auraient donc pas dû être confisqués). On s'émeut qu'une commune aussi importante n'ait pas d'école publique. Elle est construite dans les années 1930 : deux élèves (enfants d'une même famille) s'y inscriront dans le siècle. L'école privée est toujours en activité.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, les troupes allemandes occupent la forêt (réserve importante de munitions et de matériel près de la gare de la forêt). Les habitants sont régulièrement réquisitionnés pour y travailler. Le château de la forêt est détruit à la suite des combats de la Libération.

En 2000, une grande fête a été organisée pour célébrer les cent ans de la commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
23 février 1936 27 mars 1971 Julien Chopin[22]    
27 mars 1971 25 mars 1989 André Taillandier[23]   Directeur d'exploitation forestière
25 mars 1989 29 mars 2014 Joseph Aulnette   Retraité
29 mars 2014 25 mai 2020 Gérard Chopin[24] SE Technicien
25 mai 2020 29 octobre 2023[25]
(décès)
Guy Ferré[26]   Comptable
Premier adjoint au maire (2014 → 2020)
janvier 2024[27] En cours Karine Morel   Assistante d'éducation
Première adjointe au maire (2020 → 2023)

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1901. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 1 061 habitants[Note 4], en diminution de 4,41 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6061 5671 5961 4121 3521 2571 3051 1851 188
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 1631 1601 1141 1151 1091 1111 1531 1651 121
2018 2021 - - - - - - -
1 0861 061-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne de bus n°8 de Vitré Communauté.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien.
Statues mariales fixées au chêne de la Vierge.

L'église Saint-Crépin-et-Saint-Crépinien est inscrite aux monuments historiques depuis le [32],[33]. Le chœur, l'abside et la base de la tour datent du XIIe siècle, tandis que les collatéraux ont été édifiés au XVIe siècle.

L'église conserve trois beaux retables :

  • le retable du maître-autel, orné de colonnes,
  • un retable nord, également composé de colonnes corinthiennes,
  • un retable sud, de 1652, comprenant un groupe en terre cuite polychrome figurant sainte Anne et la Vierge. La curieuse chaire en bois , du XVIe siècle, est la plus ancienne d'Ille-et-Vilaine.

Le retable du maître-autel est orné de colonnes et d'une frise à rinceaux surmontée de trois frontons interrompus. Au-dessus s'élève une niche centrale accostée de deux cornes d'abondance. Il renfermait autrefois une peinture du XVIIe siècle, représentant le commandeur du temple de La Guerche.

Il existe en forêt de la Guerche, un chêne dédié à la Vierge appelé « Chêne à la Vierge ». L'histoire a trait à la période révolutionnaire. En 1792, des Bleus y surprirent une jeune fille occupée à prier une statuette nichée dans un creux de l'arbre et elle cachait des prêtres. Ils lui intimèrent d'indiquer où se trouvait le prêtre réfractaire de la paroisse. Devant son refus, ils la fusillèrent au pied de l'arbre. Depuis, l'endroit, libre d'accès, est l'objet d'une dévotion populaire à la Vierge Marie comme en témoignent les nombreuses statues et ex-voto accrochés à l'arbre. Dans la nuit du 11 au , le site est détruit, le chêne ayant brûlé[34].

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jules-Émile-François Hervé de Beaulieu, né à Rannée le , décédé à Redon le . Il fut ministre des contributions et revenus publics du au . Il suit la même voie que son père, celle de l’administration des fermes d’impôts en Bretagne.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. François de Beaulieu, « Les vanniers de Rannée. En pays gallo, une dynastie d’artistes de l’osier », 2011, p. 38–43 ArMen, no 122.
  2. Roger Hérisset, La Vannerie en Bretagne : nouvelle approche de l'ethnologie de la vannerie et contribution à l'étude des composantes culturelles, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, , 408 p. (ISBN 978-2-7535-3531-2, 6), page 132.
  3. Roger Hérisset, « Le patrimoine vannier à redécouvrir », septembre 2003, Institut culturel de Bretagne, Sterenn, no 20.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Rannée et Arbrissel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Arbrissel » (commune d'Arbrissel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de La Guerche-de-Bretagne », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Editions Jean-paul Gisserot, coll. « Universels Gisserot » (no 22), , Universels Gisserot, (ISBN 978-2-87747-482-5, OCLC 2877474828, lire en ligne), p. 101.
  21. Bernard Tanguy, « La limite linguistique dans la péninsule armoricaine à l'époque de l'émigration bretonne (IVe – Ve siècle) d'après les données toponymiques », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, vol. 87, no 3,‎ , p. 429–462 (ISSN 0399-0826, DOI 10.3406/abpo.1980.3016, lire en ligne, consulté le )
  22. Chopin : Nom relevé sur un extrait d'acte de naissance portant mention de ses nom et signature en 1938 et 1951.
  23. Taillandier : Nom relevé sur un extrait d'acte de naissance portant mention de ses nom et signature en 1976.
  24. « L'annuaire des élus 2014 d'Ille-et-Vilaine », Dimanche Ouest-France, 20 avril 2014
  25. Maxime Turberville, « Le maire de Rannée est décédé : "Guy Ferré était une fourmi ouvrière" », Le Journal de Vitré,‎ (lire en ligne).
  26. « Rannée. Guy Ferré, septième maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « À Rannée, Karine Morel est élue maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Notice no PA00090663, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Notice no IA00130859, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Ouest-France, 13 juillet 2018

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Roger Hérisset, La Vannerie en Bretagne, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 408 p.
  • Jean-Claude Meuret, Peuplement, pouvoir et paysage sur la marche Anjou-Bretagne, Société d'Archéologie et d'Histoire de la Mayenne, Laval, 1993.
  • Paul Banéat, Le Département d'Ille-et-Vilaine, Rennes : Librairie Moderne J. Larcher, 1927-1929., p. 160-165.
  • Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Rennes : Fougeray Libraire-éditeur. Paris : René Hatton Libraire-éditeur, 1882-1886., t. 2, p. 744-749.
  • Armand Baron, Rannée. Évêché de Rennes - Baronnie de la Guerche - Sénéchaussée de Rennes (texte manuscrit relié, non daté, A. C. Rannée).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]