Montmédy
Montmédy | |
Vue depuis les remparts de la citadelle. | |
![]() Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Région | Grand Est |
Département | Meuse |
Arrondissement | Verdun |
Intercommunalité | Communauté de communes du pays de Montmédy (siège) |
Maire Mandat |
Pierre Léonard 2020-2026 |
Code postal | 55600 |
Code commune | 55351 |
Démographie | |
Gentilé | Montmédiens [1] |
Population municipale |
2 094 hab. (2018 ![]() |
Densité | 89 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 31′ 13″ nord, 5° 22′ 00″ est |
Altitude | 257 m Min. 177 m Max. 336 m |
Superficie | 23,49 km2 |
Élections | |
Départementales | Canton de Montmédy (bureau centralisateur) |
Législatives | Deuxième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | montmedy.fr |
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Montmédy [mɔ̃medi][2] est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Montmédy, ancienne capitale du comté de Chiny, fait partie de la Lorraine gaumaise.
Ses habitants sont appelés les Montmédiens.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Montmédy est située sur la N 43 à 43 km au sud-est de Sedan et à 25 km au nord-ouest de Longuyon ; Stenay est à 16 km à l'ouest via la D 947 et la frontière franco-belge est à 8 km à l'est via la D 981.
La commune se trouve à une altitude moyenne de 257 mètres[3].
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Climat[modifier | modifier le code]
Le climat de Montmédy est dit tempéré chaud. Montmédy est une ville avec des précipitations importantes. Même pendant le mois le plus sec, il y a beaucoup de pluie. La carte climatique de Köppen-Geiger y classe le climat comme étant de type Cfb. Sur l'année, la température moyenne à Montmédy est de 9,7 °C. La moyenne des précipitations annuelles atteint 901 mm[4].
Hydrographie[modifier | modifier le code]
La Chiers traverse le bourg de Montmédy. Avec l'Othain et la Thonne, ses affluents, elle sert parfois de limite au territoire de la commune.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Chemin de fer[modifier | modifier le code]
Depuis le la gare de Montmédy est fermée et n'est plus qu'un arrêt situé sur la ligne Valenciennes - Thionville. Les voyageurs doivent se munir d'un billet au distributeur automatique ou à la maison de la presse locale située en centre-ville.
La ville est ainsi reliée directement à Carignan, Sedan et Charleville-Mézières à l'ouest et Longwy et Metz à l'est.
De 1914 à 1936 Montmédy était reliée à Verdun par une ligne de chemin fer secondaire qui faisait partie du réseaux des Chemins de fer départementaux de la Meuse.
Le tunnel de chemin de fer qui traverse la colline de Montmédy construit en 1861 fut dynamité à trois reprises lors des invasions allemandes de 1870, 1914 et 1940. Aussi bien pendant la Première Guerre mondiale que lors de la Seconde Guerre mondiale un chemin de fer de contournement fut construit par l'occupant à travers les rues de la ville.
Lignes d'autobus[modifier | modifier le code]
Services assurés par Les Rapides de la Meuse (entreprise du Groupe Veolia Environnement, branche Transport) pour le Réseau Intermodal des Transports de la Meuse (RITM) du conseil général de la Meuse :
- Transport à la demande : Montmédy - Damvillers (trois fois par jour)
- Service régulier :
- Montmédy - Stenay - Dun-sur-Meuse - Vacherauville - Verdun
- Damvillers - Verdun
- Montmédy - Virton (Belgique).
Toponymie[modifier | modifier le code]
Anciennes mentions : Madiacum (634) ; Mons-Medius (933) ; Mons-Madiensis (XIIe siècle) ; Novum castrum quod Mercurii-Mons dicitur (XIIe siècle) ; Montmaidy, Montmaidi (1239) ; Mont-Maidei (1258) ; Mont-Maidie, Mont-Maidey (1264) ; Mont-Maidy (1270) ; Montmaidi, Montmaidie (1276) ; Monmeidey, Monmeidy (1284) ; Momaydi (1364) ; Maidybas, Maidy-Bas, Maidy-Haut (1365) ; Montmalde (1399) ; Monmady, Montmadey (1549) ; Malmedy (1562) ; Montmady (1564) ; Monmedy (1656) ; Montmaidier (1683) ; Montmedy (1700) ; Mons-Maledictus (1756)[5].
Histoire[modifier | modifier le code]


Montmédy, sous sa forme "Madiacum", est mentionné pour la première fois en 634. « Porcionem meam de Madiaco… cum mancipiis, aedificiis, vineis, campos, pratis, silvis, et prato sectum super Caro et Hogregia » : c’est ainsi que, dans son testament du , Adalgisel Grimo, diacre de Verdun issu d’une grande famille aristocratique, donne à l’église Sainte-Agathe de Longuyon ses propriétés de Montmédy et d’Iré : biens, édifices, vignes, champs, prés, bois, et prairie de fauche (?) en bordure de la Chièrs.
Ancienne capitale du comté de Chiny. Le comte de Chiny y élève en 1220 un château fort, le château de Mady, qui donnera son nom à la ville.
En 1285, en contrebas des remparts, dans la plaine de Chauvency-le-Château, Louis de Looz, comte de Chiny, offre des fêtes extraordinaires avec joutes et tournois où participent plus de 500 chevaliers des environs et même de lointaines régions (Grilly au bord du lac Léman, Bergues au bord de la mer du Nord, Trie-Château près de Paris, Sancerre, etc.). Le chroniqueur Jacques Bretel raconte ces journées dans Le Tournoi de Chauvency.
Après être passée aux ducs de Luxembourg et avoir été ainsi incorporée aux Pays-Bas bourguignons d'abord, puis espagnols, elle est, avec le territoire surnommé ensuite « Luxembourg français », rattachée à la France par le traité des Pyrénées en 1659.
La ville, défendue par Jean V d'Allamont, investie en juin 1657, est prise, en présence du jeune Louis XIV et de Mazarin, en par Vauban[6], qui dirige là son premier siège[7].
En 1791, lors de sa fuite, le roi Louis XVI était attendu à Thonnelle. Reconnu, il est arrêté à Varennes-en-Argonne.
Lors de la guerre franco-allemande de 1870, la ville est assiégée par l'armée prussienne : violemment bombardée après la capitulation de Metz, elle capitule le .
Elle est chef-lieu d'arrondissement de 1800 à 1926.
Pendant la Première Guerre mondiale, Montmédy est une plaque tournante de l'armée allemande pour l'approvisionnement du front de Verdun, utilisant dans ce but de la ligne du chemin de fer meusien de Montmédy à Verdun qui venait de s'ouvrir juste avant le début des hostilités. Le 7 septembre 1916, le Kronprinz reçoit en gare de Montmédy le feld-maréchal Paul von Hindenburg et le général Erich Ludendorff lors de leur premier déplacement en France.
Entre 1928 et 1940, Montmédy est le lieu d'implantation de plusieurs ouvrages de la ligne Maginot (177 blockhaus et 36 tourelles, sept casemates, quinze maisons fortes, batteries de 155 L 77 au sud-est de Montmédy, sept PC et quatre observatoires).
Lors de la Seconde Guerre mondiale, pendant la drôle de guerre, le poste de commandement de la 2e division légère de cavalerie du général André Berniquet s'établit à Montmédy[8].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Avec 58,06 % des voix au 2d tour de la présidentielle à Montmédy, Emmanuel Macron (En Marche!) arrive à la première place. À la seconde place, Marine Le Pen (Front national) recueille un score de 41,94 %.
Parmi les votants, 5,14 % ont glissé un bulletin blanc dans l'urne[9].
Liste des maires[modifier | modifier le code]
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[12]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[13].
En 2018, la commune comptait 2 094 habitants[Note 1], en diminution de 7,14 % par rapport à 2013 (Meuse : −3,51 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
Économie[modifier | modifier le code]
Grâce à ses commerces et ses administrations, Montmédy reste un centre de services pour le nord meusien. L'essentiel des emplois relève de l'administration publique, mais les secteurs du tourisme, du commerce et du transport tiennent une place importante dans la vie économique locale.
L'enseignement est assuré localement de la maternelle au baccalauréat, voire au-delà. Les Montmédiens dispose ainsi d'écoles maternelle et primaire, d'un collège (Jean-d'Allamont) et, à Stenay, d'un lycée polyvalent et professionnel (Alfred-Kastler). Celui-ci offre par ailleurs un brevet de technicien supérieur d’assistant de gestion[17].
Les médecins, y compris spécialistes, sont présents sur place, ainsi que deux pharmacies, un opticien, un audioprothésiste et plusieurs autres professionnels de santé (diététicienne, infirmiers, orthophonistes...).
La ville dispose d'un cinéma classé art et essai[18], d'un Centre Social et Culturel et de nombreuses associations sportives ou culturelles.
L'offre commerciale, alimentaire et non alimentaire, est présente en centre-ville, mais aussi par le biais d'un supermarché de 2 490 m² de surface de vente (Super U), ou de hard-discounteur (Aldi) implantés en périphérie. L’attraction des pôles commerciaux extérieurs est significative mais elle reste assez diffuse (Longwy, Verdun, Virton,…). La proximité de la Belgique (Virton à 19 minutes) alimente une évasion commerciale importante notamment dans le domaine non alimentaire, peu développé dans la commune.
Plusieurs banques et assureurs sont présents, ainsi que plusieurs restaurants.
Le centre de détention de Montmédy[19] est un acteur majeur de la vie économique locale depuis 1990. 310 détenus, souvent condamnés à de longues peines, y sont encadrés par 120 membres du personnel.
La place forte (ville haute) attire de nombreux touristes.
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | D'azur à une forteresse d’or bâtie sur une montagne de sinople, chargée en pointe d’un écusson d’or couronné de même et surchargé d'un lion de sable[5]. |
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Détails | Blason attribué à Montmédy, au minimum en 1696[5]. |
Les armoiries de Montmédy, figurées sur le sceau du corps municipal, étaient mi-parties de Los et de Chiny[5].
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Édifices civils[modifier | modifier le code]
- Citadelle (XVIe, XVIIe et XIXe siècles)[20],[21]
Classé MH (1991)[22];
- Fortification de Vauban ;
- Musée Jules-Bastien-Lepage consacré au peintre Jules Bastien-Lepage ;
- Musée de la Fortification ;
- Château de Fresnois à Montmédy
Inscrit MH (1990)[23],[24] ;
- Cimetière militaire allemand.
Édifices religieux[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Martin à Montmédy-Haut
Classé MH (1932)[25].
- Église de la Nativité à Iré-les-Prés.
- Église Saint-Bernard à Montmédy-Bas.
- Église Saint-Martin à Fresnois.
- Chapelle de la Croix.
- Chapelle de Malandry à Montmédy-Haut.
- Chapelle Saint-Nicolas à Fresnois.
- Abbaye d'Orval de Montmédy
Inscrit MH (1990)[26]
Arbres remarqués[modifier | modifier le code]
Quelques-uns des arbres les plus intéressants de Montmédy, tous visibles de la route (mesures prises à épaule d'homme soit à 1,50 mètre, en ) :
- le chêne de l'Attaque, spectaculaire tronc creux toujours vivant, ayant survécu à plusieurs incendies malveillants et autres actes de vandalisme, d'une circonférence de 5,90 mètres, au bord du ruisseau du Chabot, un peu en amont d'Iré-les-Prés.
- trois séquoias remarquables par leur circonférence :
- 4,90 mètres, arbre situé sous les remparts sud de la citadelle, dans un joli jardin près d'une folie tout en bois de la Belle Époque ;
- 5,20 mètres, dans un parc privé, place Tronville ;
- 9,00 mètres(?), à Iré-les-Prés, dans un jardin privé : cet arbre avait été fracassé au tiers de sa hauteur lors de la tempête de Noël 1999.
- un calocèdre, d'une circonférence de 3,65 mètres, situé dans un jardin privé, à Iré-les-Prés, à quelques pas du séquoia foudroyé. C'est le seul arbre de cette taille et de cette beauté dans le Nord-Meusien. Un spécimen comparable est visible dans les ruines de l'abbaye d'Orval.
- un tulipier de Virginie d'une circonférence de (?) mètres, à l'entrée de l'avenue du Lieutenant-Bourguignon.
- un platane, d'une circonférence de (?) mètres, dans le parc du château de Fresnois.
- un très rare frêne pleureur, en compagnie de plusieurs anciens catalpas et de pins dans le Jardin Poulain, route de Villécloye.
Bande dessinée[modifier | modifier le code]
La citadelle de Montmédy constitue le cadre de « Les enfants de la citadelle », un album de la série « Tendre Violette » dessinée par Jean-Claude Servais.
- Le tournoi de Chauvency, 1285, Jacques Bretel (traduction Dominique Henriot-Walzer, Editions de La Joyeuserie, Dampicourt, Belgique, 1997)
- Guillaume de Waha-Baillonville : le fidèle et vaillant gouverneur Jean V d'Allamont (nouvelle édition présentée et annotée par Daniel Garrot, Éditions de La Joyeuserie, Dampicourt, Belgique, 2002)
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Pierre Antoine Michaud (1746-1808), général des armées de la République et de l'Empire, né le à Villers-lès-Luxeuil (Haute-Sâone), décédé dans cette ville.
- Nicolas-Charles Bochsa[27], un des plus célèbres harpistes du XIXe siècle, né à Montmédy en août 1789 et mort à Sydney en 1856.
- Georges Villa, graveur, lithographe, illustrateur, né à Montmédy le , mort en 1965.
- Stéphane Errard (°1907 - +1983), spéléologue français, né à Montmédy le , mort à Saint-Benoît-la-Chipotte (Vosges) le .
- Paulette Lagosse, artiste peintre et illustratrice, née à Montmédy le . Elle meurt à Paris en 1996.
- Jean Lanher (1924-2018), professeur émérite de l'Université de Nancy II, spécialiste de dialectologie lorraine, né à Montmédy.
- Henri Auger (1883-1916), missionnaire au Japon.
- Anly (Jean D’), historien, né à Montmédy (ancien Luxembourg), vers 1540.
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Jean Lanher, Le pays de Montmédy au fil des jours : -, Éd. Serpenoise, Metz, 2001, 125 p. (ISBN 2-87692-488-9)
- Georges Henri Parent, Additions et corrections au catalogue des plantes vasculaires de l'arrondissement de Montmédy : étude sur l'évolution séculaire de la flore, Musée national d'histoire naturelle, Luxembourg, 2006, 195 p.
- Alfred-Jean-Marie Pierrot, L'arrondissement de Montmédy sous la Révolution, C. Lacour, Nîmes, 2005, 206 p. (ISBN 2-7504-1065-7) (fac-simile de l'édition de Bar-le-Duc, Imprimerie Contant-Laguerre, 1904)
- Alfred-Jean-Marie Pierrot, Montmédy sous l'ancienne monarchie française : 1657-1789, C. Lacour, Nîmes, 2004, XXXVI p. (ISBN 2-7504-0645-5) (fac-simile de l'édition de Bar-le-Duc, Imprimerie Contant-Laguerre, 1909)
- Jean François Louis Jeantin, Manuel de la Meuse : histoire de Montmedy et des localités meusiennes de l’ancien comté de Chiny, Nancy : Veuve Raybois, en 3 parties, 1861-1863 — volume 1: A-F , volume 2: G-N & volume 3: O-Z (notice BnF no FRBNF36480676)
Articles connexes[modifier | modifier le code]
- Liste des communes de la Meuse
- Communauté de communes du pays de Montmédy
- Liste des monuments historiques de la Meuse
Liens externes[modifier | modifier le code]
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références[modifier | modifier le code]
- https://www.habitants.fr/meuse-55
- Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
- « PLAN MONTMEDY - Plan, carte et relief de Montmédy 55600 », sur www.cartesfrance.fr (consulté le 30 juillet 2018)
- « Climat Montmédy: Diagramme climatique, Courbe de température, Table climatique pour Montmédy - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le 30 juillet 2018)
- Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, 1872
- Martin Barros, Nicole Salat et Thierry Sarmant (préf. Jean Nouvel), Vauban - L’intelligence du territoire, Paris, Éditions Nicolas Chaudun et Service historique de l'armée, , 175 p. (ISBN 2-35039-028-4), p. 166
- Barros et alii, p. 44
- Le corridor des Panzers, tome I, Jean-Yves Mary, p.34-35, Heimdal, 2009
- « Montmédy (55600) : Résultats de l'élection présidentielle 2017 », sur LExpress.fr (consulté le 30 juillet 2018)
- Notice ROUSSEL Jean, Émile, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le 10 septembre 2020)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Pyramide des âges, Recensement 2016 sur le site de l'INSEE
- « Ville de Montmédy, la Mairie de Montmédy et sa commune (55600) », sur Annuaire-Mairie (consulté le 30 juillet 2018)
- « CINEMA LUX », Quotidien, (lire en ligne, consulté le 30 juillet 2018)
- « Montmedy », justice.gouv.fr, (lire en ligne, consulté le 30 juillet 2018)
- La citadelle de Montmédy de 1874 à 1914
- Citadelle de Montmédy
- « Citadelle », notice no PA00106590, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Fresnois », notice no PA00106588, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Mon château, ma demeure Château de Fresnois - Rêve de Châteaux », sur www.revedechateaux.com (consulté le 14 septembre 2020)
- « Saint-Martin de Montmédy », notice no PA00106589, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Abbaye d'Orval », notice no PA00106693, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- sources : "Nicolas-Charles Bochsa, harpiste, compositeur, escroc" de Michel Faul (éditions Delatour 2003) et site sur Bochsa et sa biographie